- Médium (spiritualité)
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On nomme médium une personne qui serait sensible à des influences ou à des phénomènes non perceptibles par les cinq sens. Des suppositions avancent que les médiums percevraient les manifestions de l'au-delà, ou bien des esprits. D'autres suppositions suggèrent que les médiums percevraient intuitivement des informations lors d'un changement de leur état de conscience. De multiples activités, religions et cultures prétendent utiliser les capacités des médiums dont les facultés supposées se déclinent de diverses manières.
Très peu d'études sont menées sur les médiums, par conséquent les informations à leur sujet demeurent incomplètes et font l'objet de controverses.
Définition et étymologie
Le substantif « médium », emprunté à la langue anglaise, apparaît en France au milieu du XIXe siècle, après l'arrivée de missionnaires du spiritualisme moderne anglo-saxon[1]. Il passa dans le langage courant avec la diffusion du Le Livre des médiums, publié par Allan Kardec en 1861. Dans cet ouvrage, le mot médium (du latin, medium, milieu intermédiaire) désigne une « personne pouvant servir d'intermédiaire entre les Esprits et les hommes »[2] et la médiumnité désigne la faculté des médiums. Bien que représentés dans de multiples activités, les médiums sont généralement associés au mouvement spirite[3] ou au domaine du surnaturel[4].
Histoire et évolutions
Du magnétisme à la médiumnité
Avant la période de la révolution, la France connaît un véritable engouement pour les phénomènes du magnétisme animal étudiés par Franz-Anton Mesmer. Des individus exposés à ces phénomènes entrent dans des états de conscience comparables à ceux que l'on observera plus tard chez les médiums. En 1811, le marquis de Puységur considère notamment que les effets du sommeil hypnotique s'apparentent à du « somnambulisme provoqué »[5]. Avant l'apparition du terme médium, on utilise le mot de somnambule pour désigner des personnes qui, dans un état hypnotique, attestent d'une sensibilité exceptionnelle ou bien affichent des comportements sans rapport avec leur personnalité habituelle. Les tentatives pour développer les applications scientifiques de l'hypnose et du mesmérisme sont alors supplantées par l'expansion du spiritisme et sa propre définition des médiums, qui seraient les instruments utilisés par les « Esprits » pour se manifester. Le déclin du mouvement spirite en Europe au milieu du XXe siècle fera progressivement disparaître l'intérêt pour les médiums au profit des voyant(e)s. Les médiums croient essentiellement à la vie éternelle et aux échanges avec les défunts, alors que les voyants annoncent généralement que leurs capacités extra-sensorielles sont des moyens pour répondre aux préoccupations pratiques des clients qui les consultent[5].
Évolution des interprétations
À la fin du XIXe siècle, les phénomènes médiumniques suscitent des débats entre les scientifiques qui analysent le psychisme comme Charles Richet ou Isabel Briggs Myers. En dehors du mouvement spirite, certains médiums exposent des capacités exceptionnelles telles que la lecture à distance, la vision d'objets cachés ou la précognition[6]. A cette époque, des études académiques tentent de vérifier la réalité de ces facultés et de les comprendre[Note 1]. Cependant la volonté des savants d'estomper les hypothèses du magnétisme et du spiritisme conduisent à un réaménagement des études du psychisme. C'est alors qu'apparaît la notion d'inconscient qui ouvrira le champ de la psychanalyse freudienne[7].
En France, durant la première moitié du XXe siècle, l'étude des médiums est considérée comme un sujet vulgaire, emprunt de superstitions. Dans les années 1920 - 1930, les membres du courant artistique du surréalisme expliquent que leurs œuvres sont le résultat d'automatismes psychiques, sans rapport avec la pensée ou la médiumnité. Cependant, à partir des années 1950, de nombreux ethnologues rendent compte des états modifiés de conscience observés dans d'autres cultures, ainsi que du rôle social des chamanes. Si ces travaux concernant des sociétés lointaines et exotiques sont bien accueillis, l'idée d'étudier de la même manière les médiums et les voyants européens est alors rejetée par les chercheurs[7].
Perceptions actuelles du phénomène
Dans les pays anglo-saxons, la possibilité de « perceptions extrasensorielles » n'est pas réfutée à priori et les spécialistes préfèrent désormais le terme de channel à celui de médium. En France, à partir des années 1980, une convergence de disciplines scientifiques s'oriente occasionnellement vers les énigmes posées par la médiumnité. Des chercheurs mentionnent la complexité du réel et la nécessité d'en considérer tous les éléments. Leur objectif n'est plus de « faire la preuve » de faits paranormaux, dans un laboratoire qui isole le sujet observé de l'environnement nécessaire à la production de ces faits. Leur démarche consiste plutôt à définir des méthodes d'observation pouvant s'appliquer à des phénomènes non perceptibles par les cinq sens. Ces travaux sont compliqués par le fait que les « états altérés de conscience », communément admis dans d'autres cultures, ne le sont pas en occident[8].
Malgré tout, des études anthropologiques portant sur quelques individus concluent que les médiums et les voyants sont généralement des sujets qui, après des épreuves affectives, développent un fort désir d'altruisme. Cet état d'empathie provoquerait des particularités sensorielles hors-normes. Quelques psychologues et psychanalystes surpris par « l'inquiétante étrangeté » de certains de leurs patients, s'interrogent sur les effets surprenants de ces états d'empathie. Ces effets ne sont pas contrôlés par la personne qui les subit, mais celle-ci acquière momentanément la faculté de percevoir intuitivement des informations cachées spécifiques à son entourage. La médiumnité reste cependant un sujet de controverse entre croyants et sceptiques. L'étude de ces phénomènes implique au départ l'acceptation d'hypothèses et cette acceptation dépend de la subjectivité de l'observateur[9].
Activités revendiquant l'usage de formes de médiumnités
De nos jour, la médiumnité est une faculté prise en considération dans le cadre :
- de religions comme le pentecôtisme, le renouveau charismatique, le spiritualisme moderne, le caodaïsme, l'antoinisme, l'animisme, le vaudou, le candomblé, la Santeria, l'umbanda, le quimbanda, le Palo Mayombe et les diverses formes de spiritisme.
- de certaines branches du bouddhisme tibétain comme le bön ou les nyingmapa d'où sont issus les oracles tibétains.
- d'une philosophie comme la doctrine spirite
- d'une pratique comme le channeling
- d'une tradition comme le mazzérisme, le chamanisme ou le druidisme
- d'une profession comme la voyance
- d'expériences mystiques, d'extase ou de visions
- de cas de possession en anthropologie
- d'activités non spirituelles comme la parapsychologie.
Catégories de médiums
Dans la liste suivante, le mot « entité » a été choisi pour désigner toute forme d'intelligence censée appartenir à une dimension non matérielle, selon les médiums.
- Médium clairvoyant
- Le médium voit une entité qu'il est généralement le seul à percevoir (exemples : Emanuel Swedenborg, Bernadette Soubirous). Il peut voir son don se manifester également par des rêves dits prémonitoires et entrant en contact avec des entités ou situations réelles. La médiumnité à clairvoyance est sans doute la forme de perception la plus répandue chez les individus médiums.
- Médium clairentendant
- Le médium entend une entité qu'il est généralement le seul à percevoir (exemples : Jeanne d'Arc, John Edward). Les sons qu'il entend peuvent également provenir d'énergies propres à des lieux ou des personnes. Le médium clairentendant peut aussi être clairvoyant ainsi que tout type autre de médiumnité.
- Médium christique
- Le médium possède un magnétisme qui lui permet de guérir toutes sortes de maux et paralysies, il est à la fois guérisseur et magnétiseur.
- Médium à inspiration
- Le médium est particulièrement réceptif aux idées suggérées par une entité. Cette faculté se confond avec l'intuition, la prémonition et l'inspiration artistique. Ces incitations se mélangent aux pensées personnelles du médium, qui peine souvent à faire la distinction. Ces suggestions sont bonnes ou mauvaises, créatives ou destructives, selon la nature de l'entité qui les produit. Un concept équivalent existe en psychanalyse, mais dans ce cas, les pulsions sont attribuées à l'inconscient et non à des entités extérieures. Dans le type de cas ou le don du prétendu médium est authentique, l'individu est souvent en proie à l'hypersensibilité, il ressent des émotions submergeantes, déroutantes qui ne proviennent pas de lui, il capte les énergies produites par des entités, des personnes, des lieux. C'est le type de médiumnité le plus difficile à déceler car on peut le confondre avec un désordre psycho-émotionnel et une fragilité toute simple de l'individu dans ses ressentis, ce qui conforte les sceptiques dans l'idée que tout part d'une volonté complexe inconsciente de créer soi même ces altérations de ressenti, qui seraient d'après eux tout à fait humains dans le cas des personnes psychologiquement fragiles. C'est aussi un état à ne pas confondre avec certains troubles psychiques. Le médium à inspiration perçoit en lui quelque chose de différent, impalpable et le plus souvent dès le plus jeune âge, comme un feeling qu'on ne peut analyser matériellement.
- Médium à table tournante
- L'énergie du médium sert à l'entité pour produire des coups à l'intérieur d'un meuble à proximité ou à le faire bouger. Forme de médiumnité populaire au XIXe siècle (exemple : Eusapia Palladino).
- Médium écrivain
- Le médium se saisit d'un stylo ou d'un crayon, il détend sa main et laisse l'entité utiliser ses doigts pour écrire. Pratique médiumnique très répandue, également appelée écriture automatique (exemple : Chico Xavier). L'écriture automatique est une pratique de spiritisme très courante qui se développe par la pratique, selon ses partisans.
- Médium peintre
- Comme le médium écrivain, mais l'entité produit des dessins ou des peintures (exemples : Victorien Sardou, Hilma af Klint, Luiz Gasparetto).
- Médium à planchette
- Le médium se tient calmement près d'une planche sur laquelle sont inscrites les lettres de l'alphabet. Au-dessus de la planche se trouve un petit objet comme un triangle en bois ou un verre retourné. L'énergie du médium sert à l'entité pour déplacer le petit objet vers les lettres afin de composer des mots et des phrases. Cette pratique est également appelée Ouija.
- Médium parlant
- Le médium prête son larynx et ses cordes vocales à une entité afin que celui-ci puisse parler de manière claire et perceptible. Il arrive ainsi que le médium s'exprime dans une langue qu'il ne connaît absolument pas, mais qui correspond à une langue parlée par l'entité. Le médium est parfois conscient, parfois inconscient. Ce dernier cas est appelé transe médiumnique (exemple : Thérèse Neumann ou le médium de Johannes Greber). Ce phénomène est également appelé Glossolalie.
- Médium à matérialisation
- La présence du médium favorise la matérialisation d'une entité, soit sous la forme d'un ectoplasme, soit sous une forme anatomique (une main ou un visage par exemple). La matérialisation complète du corps d'une entité est également appelée Apparition.
- Médium à effet physique
- Le médium ignore généralement qu'il possède cette faculté et cède involontairement de l'énergie à des entités, qui provoquent alors des bruits autour de lui (exemple : Sœurs Fox). Si le phénomène se produit de manière désordonné il est appelé Poltergeist
- Médium guérisseur
- Le médium ne peut pas soigner par lui-même, mais il sert de canal à une entité pour apporter des soins à un malade, à proximité ou à distance (exemples : Rosemary Altea, João Teixeira de Faria, Père Antoine). Lorsqu'une personne soigne avec sa propre énergie, sans l'aide d'une entité, on parle alors de magnétiseur.
- Médium psionique
- Le médium , dans son inconscient, crée des failles spatio-temporelle aspirant toute sorte de corps se trouvant à proximité et donc généralement des entité, ainsi, l'entité devient un ectoplasme qui enroule et commande le médium
Les concepts équivalents
Le mot médium n'existe pas avant le XIXe siècle. Durant les siècles précédents, le vocabulaire pour désigner le même concept variait en fonction des sentiments qu'il inspirait.
- vocabulaire positif : mystique, prophète, saint.
- vocabulaire neutre : voyant, illuminé, devin.
- vocabulaire négatif : sorcier, nécromancien, possédé
Traditionnellement, l'adepte d'une religion utilisait le vocabulaire positif pour qualifier les médiums en accord avec ses croyances et le vocabulaire négatif pour parler des autres médiums.
Les signes de la médiumnité
Les personnes qui admettent l'existence de la médiumnité, croient qu'un authentique médium est reconnaissable par un ou plusieurs des critères suivants :
- les visions ou apparitions d'entités telles que les esprits ou toute autre forme d'énergie invisibles. Ces apparitions peuvent témoigner de la présence d'un don de médiumnité de l'individu, le plus souvent elles apparaissent dans l'enfance.
- l' intuition propre à chaque individu, qui est particulièrement présente chez les individus médiums, elle peut se révéler par de forts ressentis, des pressentiments, des flashs durant lesquels le médium voit une scène se produire.
- les rêves, qu'ils soient prémonitoires ou mettant en scène des situations réelles dont il a l'information par cette voie. Il peut également être au contact d'entités dans son sommeil, chez l'individu médium, celui-ci est d'ailleurs peu réparateur, le médium se réveille souvent dans un état troublé et met du temps à émerger.
- la perception d'émotions, d'énergies, de sensations qui sont extérieures aux siennes, elles sont provoquées par les lieux, les personnes, et tout autre facteur pouvant ramener le médium à ressentir des événements, le plus souvent lourds d'atrocités ou de morts.
Selon Alain Assailly (Médium ou médiateur, 1959), docteur en médecine, les médiums auraient ces caractéristiques physiologiques : gonflement de l'abdomen en période prémenstruelle chez la femme, fragilité des vaisseaux capillaires, hyperlaxité des ligaments, développement pileux supérieur à la normale, sensibilité aiguë à l'épigastre. Il y aussi des caractéristiques psychologiques : insatisfaction sensuelle, affective ou intellectuelle, propension à la mythomanie, troubles du schéma corporel, aisance pour les automatismes.
Des instituts dédiés aux médiums
Certaines institutions ont pour vocation l'accueil des médiums et le développement de leur médiumnité. Par exemple :
- En Angleterre : Le collège Arthur Findlay[10]. L'Institute of Spiritualist Mediums[11]
- Aux États-Unis (Arizona) : Le Imagine Spirit Institut[12]
- En Suisse : L'École Suisse de Médiumnité[13]
- En Nouvelle-Zélande : La Fondation des médiums spiritualistes[14]
D'autres instituts font passer des tests à des médiums afin de vérifier leurs aptitudes pour ensuite les "certifier" comme d'authentiques médiums. Par exemple :
- Aux États-Unis : l'institut Windbridge[15]. La fondation Forever Family[16].
D'autres instituts analyse la médiumnité pour tenter de développer les connaissances scientifiques sur ce sujet. Par exemple :
- En France : l'Inrees, l'Ifres[17] ou encore l'Institut métapsychique international
- En Écosse : la Scottish Society for Psychical Research[18].
Critiques et controverses
Médiums célèbres
- Edgar Cayce(1877-1945), médium mystique
- Florence Cook (1856-1904), médium spirite
- Allison DuBois (1972-.), médium parapsychologue
- Luiz Gasparetto (1949-.), médium peintre
- Daniel Dunglas Home (1833-1886), médium à effets physiques
- Augustin Lesage (1876-1954), médium spirite
- Jakob Lorber (1800-1864), médium mystique
- Eusapia Palladino (1854-1918), médium spirite
- Divaldo Pereira Franco (1927-.), médium spirite
- Jane Roberts (1929-1984), médium parapsychologue
- William Stainton Moses (1839-1892), médium spiritualiste
- Emanuel Swedenborg (1699-1772), scientifique et médium
- James Van Praagh (1958-.), médium parapsychologue
- Neale Donald Walsch (1943-.), médium écrivain
- Lisa Williams (1973-.), médium parapsychologue
- Chico Xavier (1910-2002), médium spirite
Médiums comme personnages principaux au cinéma et à la télévision
Au cinéma
- George Lonegan (Matt Damon) dans Au-delà
- Chico Xavier (Angelo Antonio) dans Chico Xavier
- Oda Mae Brown (Whoopi Goldberg) dans Ghost
- Carol Anne Freeling (Heather O'Rourke) dans Poltergeist est une médium à matérialisation et à effets physiques.
- Charlie St. Cloud (Zac Efron) dans Le Secret de Charlie
- Cole Sear (Haley Joel Osment) dans Sixième sens est un médium clairvoyant.
À la télévision
- Alison Mundy (Lesley Sharp) dans Afterlife (série télévisée)
- Georgia Lass (Ellen Muth) dans Dead Like Me
- John Smith (Anthony Michael Hall) dans Dead Zone (série télévisée)
- Melinda Gordon (Jennifer Love Hewitt) dans Ghost Whisperer
- Allison Dubois (Patricia Arquette) dans Médium (série télévisée)
Film documentaire
- Les yeux fermés, réalisation Clémént Dorival et Christophe Pons, production CNRS image, Paris, 2011. Ce documentaire de 59 minutes montre la complicité qui unit les morts aux vivants dans la société islandaise, en suivant les pratiques de deux médiums, Skuli et Maggy[19].
Notes et références
Notes
- Albert de Rochas d'Aiglun, L'extériorisation de la sensibilité, Paris, 1899. Albert de Rochas d'Aiglun, L'extériorisation de la motricité, Paris, 1896. Alexandre Aksakof, Animisme et spiritisme, Paris 1906. William Crookes, Nouvelles expériences sur la force psychique, Paris, 1896.
Références
- Marion Aubrée (2010), p. 703.
- Allan Kardec, p. chapitre XXXII, vocabulaire spirite, 505.
- « une personne qui, selon les spirites, peut communiquer avec les esprits et servir d'intermédiaire entre eux et les humains ». Selon le dictionnaire Hachette (2005), un médium est
- « Personne capable de percevoir, par des moyens apparemment surnaturels, des éléments de connaissance réels, et dans un sens plus restreint et plus classique, de percevoir les messages des esprits. » Selon l'encyclopédie Larousse (2003), un médium est une
- Marion Aubrée (2010), p. 704.
- Jean Prieur, L’Europe des médiums et des initiés, éditions Perrin, 1987.
- Marion Aubrée (2010), p. 705.
- Marion Aubrée (2010), p. 705 et 706.
- Marion Aubrée (2010), p. 706.
- [1] Site officiel du Collège Arthur Findlay :
- [2] Site officiel de l'ISM :
- [3] Site officiel de l'Imagine Spirit Institut :
- [4] Site officiel de l'ESM :
- [5] Site officiel de la fondation des médiums spiritualistes :
- [6] Site officiel
- [7] Site officiel et tableau de certification des médiums :
- Site officiel de l'Ifres
- Site officiel de la Scottich Society of Psychical Research.
- CNRS Images, Paris, 2011 Notice au dos de la jaquette du DVD : Les yeux fermés,
Annexes
Bibliographie
- Marion Aubrée (dir.), Dictionnaire des faits religieux, Paris, Presses universitaires de France, 2010, 703-706 p.
- Grégory Gutierez et Nicolas Maillard, Les aventuriers de l'esprit : Une histoire de la parapsychologie, Paris, Presses du Châtelet, 2005
- René Louis, Les explorateurs de l'invisible, Paris, Kiron Philippe Lebaud, 2000
- Jean Pierre Girard, Encyclopédie de l'au-delà, Paris, éditions Trajectoire, coll. « Les incontournables », 2006
- Bertrand Méheust, Somnambulisme et médiumnité : Vol. I : Le défi du magnétisme, 620 p. vol. II : Le choc des sciences physiques, Le Plessis-Robinson, Les empêcheurs de penser en rond, 1999
- Allan Kardec, Le Livre des médiums, Paris, Dervy, 1999
- Allan Kardec, Le Livre des Esprits, 1857
- Allan Kardec, Le Livre des médiums, 1861
- Robert Amadou, Les Grands Médiums, Denoël, 1957
Articles connexes
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