Antoine Drouot

Antoine Drouot
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Antoine Drouot
General Antoine Drouot.jpg
Surnom Le sage de la Grande Armée
Naissance 11 janvier 1774
Nancy
Décès 24 mars 1847 (à 73 ans)
Nancy
Origine Drapeau de France France
Arme artillerie
Grade général de division
Années de service 1793 - 1815
Distinctions Grand croix de la légion d'honneur
Chevalier de Saint-Louis
Hommages Nom gravé sous l'Arc de Triomphe de Paris (32ème colonne)
Autres fonctions Pair de France

Le comte Antoine Drouot (né le 11 janvier 1774 à Nancy et mort le 24 mars 1847 à Nancy), était un général d'artillerie français du Premier Empire, pair de France. Napoléon Ier dira de lui : « Il n'existait pas deux officiers dans le monde pareils à Murat pour la cavalerie et à Drouot pour l'artillerie. »[1].

Sommaire

Jeunesse et études

Antoine Drouot est né le 17 janvier 1774 à minuit, rue Saint-Thiébaut, dans un faubourg de Nancy[2] d'un père boulanger. Il était le troisième enfant d'une famille, très pieuse et aux revenus modestes, qui en comptera douze. Admis à l'école des Frères des Écoles chrétiennes, son ardeur au travail et son intelligence furent remarquées par le supérieur, qui conseilla à son père de l'encourager dans les études. L'octroi d'une bourse, sollicitée par le supérieur et accordée au vu de ses résultats à l'examen d'entrée, lui permit de devenir externe au collège de Nancy. Il y bénéficia des leçons particulières d'un professeur de mathématiques, qui déclara en 1854 :

« En l'espace de deux ans, mon élève avait acquis la connaissance de toutes les parties des sciences mathématiques qui n'étaient enseignées que dans les écoles militaires supérieures. »

En 1793, âgé de 19 ans, il posa sa candidature à l'école d'artillerie de Châlons-en-Champagne, ouverte en 1791. La mort en 1792, à l'âge de 16 ans, de son frère cadet engagé dans l'armée de Sambre-et-Meuse ne fut probablement pas étrangère à cette décision. La sélection était sévère puisqu'il n'y avait que 52 places pour environ 400 candidats. Faute de moyens, il dut faire à pied les 150 kilomètres le séparant du lieu de l'examen. D'abord objet de railleries du fait de sa modeste apparence, il stupéfia rapidement le jury des examinateurs, présidé par le mathématicien et astronome Laplace, par la facilité avec laquelle il répondait aux questions de mathématiques les plus difficiles. Pourtant réputé pour sa froideur, le savant est resté marqué par cet épisode. S'adressant un jour à Napoléon, il lui dit : « Sire, l'un des plus beaux examens que j'ai vu passer dans ma vie est celui de votre aide de camp, le général Drouot. »[3]. Antoine Drouot fut reçu premier de sa promotion sous les applaudissements du public, puis porté en triomphe par ses futurs camarades[4].

Début de carrière militaire durant la Révolution

Canon de 12 modèle Gribeauval de 1780

Il entra le 1er juin 1793 à l'école d'artillerie de Châlons-en-Champagne en qualité d'élève sous-lieutenant. En raison du manque de cadres dans les armées révolutionnaires en guerre, les dix premiers de la promotions, dont les résultats avaient été remarquables, furent, au bout d'un mois, envoyés directement dans les régiments d'artillerie en qualité d'officiers. Antoine Drouot fut nommé lieutenant en second au 1er régiment d'artillerie basé à Metz.

Arrivé à son poste depuis à peine deux mois, il prit part à la bataille de Hondschoote du 8 septembre 1793. En l'abscence de ses supérieurs, il commanda seul sa batterie de canons et fit tomber une des redoutes qui défendait le village de Hondschoote près de Dunkerque, ce qui lui valut les éloges publics des généraux Hoche, Moreau et Houchard. Par la suite, le général Moreau devait déclarer, en s'adressant au général Macdonald : « J'ai vu des choses fort surprenantes; mais ce qui m'a frappé, c'est une batterie placée dans une redoute par un enfant; et cet enfant, c'était le brave Drouot que vous voyez. »

Participant à de nombreux combats, il fut nommé lieutenant en premier le 22 février 1794. Affecté à l'armée de Sambre-et-Meuse, il participa à la bataille de Fleurus le 26 juin 1794. Nommé capitaine le 25 février 1796, il fut envoyé à Bayonne à la fin de la même année en tant que directeur de l'artillerie. C'est à cette occasion qu'il fut victime de l'inflammation accidentelle de la charge de poudre d'un canon qu'il inspectait. Atteint aux yeux, il resta aveugle durant deux mois et sa vue demeura délicate par la suite et sera la cause de la cécité définitive qui le frappa en 1847. Nommé à l'armée de Naples en décembre 1798, il participa à la Bataille de la Trebbia le 19 juin 1799 en couvrant, avec ses canons, la retraite de l'armée du général Macdonald.

Consulat et Premier Empire

Après son retour en France, il fut nommé à l'état major du général Eblé commandant l'artillerie de l'armée du Rhin. À ce titre, il prit par à la bataille de Hohenlinden du 3 décembre 1800.

Tir d'un canon de 18 livres, modèle équipant la frégate Hortense

En 1804, après s'être rendu à Nancy au chevet de son père mourant, Antoine Drouot se rendit à Toulon, où il participa à la préparation de l'expédition vers les Antilles. Bien que souffrant terriblement du mal de mer, il participa à des croisières de surveillance. Il embarqua, en qualité de responsable de l'artillerie, à bord de la frégate Hortense[5] de la flotte de l'Amiral Villeneuve composée de 11 vaisseaux de ligne, six frégates et deux bricks, quitta Toulon le 29 mars 1805. Au large du cap d'Alger, un premier combat opposant l'Hortense à trois vaisseaux anglais, occasionna de nombreux dégâts à son bord. Le 12 mai 1805, l'Hortense captura l'HMS Cyane au large de la Martinique et participa, le 23 juillet 1805, aux combats contre la flotte anglaise de l'amiral Robert Calder. Il échappa de peu au désastre de Trafalgar en recevant, au moment d'une ultime escale à Cadix, l'ordre de rejoindre la Grande Armée.

Le Dos de mayo 1808 à Madrid par Goya

De retour en France, Antoine Drouot fut nommé Chef de bataillon au 4e régiment d'artillerie le 20 septembre 1805. Le général Gassendi l'affecta à la surveillance de la manufacture d'armes de Maubeuge, puis, en septembre 1807, à celle de Charleville. Dans ces deux postes, il se fit remarquer par son sérieux, ses compétences et son soucis de mettre fin à certaines corruptions. Bien que nommé major (lieutenant-colonel) le 10 janvier 1807, il ne put quitter les manufactures que le 24 février 1808, date à laquelle il fut affecté à l'armée d'Espagne, commandée par le général Lariboisière, en qualité de directeur du parc d'artillerie à Madrid. Il échappa de peu à la mort au cours de l'insurrection populaire du 2 mai à Madrid. Après avoir protégé ses canons et ses munitions durant la retraite qui suivit le 1er août, Drouot participa à la bataille de Burgos (10 novembre), à celle de Somosierra (30 novembre) et à la reprise de Madrid, offensive durant laquelle il dirigea le tir de barrage dévastateur des batteries d'artillerie (4 décembre). Suite à cette brillante action, Antoine Drouot fut nommé colonel-major de l'artillerie à pied de la Garde impériale le 18 décembre 1808.

Antoine Drouot à la bataille de Wagram

C'est en juin 1809, au cours d'une revue au château de Schönbrunn en Autriche, que Napoléon remarqua Drouot. L'attitude du colonel-major et ses réponses précises et pertinentes, tant sur le matériel que sur la stratégie le stupéfièrent. Peu de temps après, pendant la bataille de Wagram, la terrible cannonade[6] commandée par Drouot au cours de la journée du 6 juillet 1809 fut déterminante et lui valut d'être élevé au grade d'officier de la légion d'honneur, distinction rare à l'époque.

Il participa à la campagne de Russie et à la bataille de la Moskova (7 septembre 1812) pendant laquelle son comportement lui valut d'être élevé au grade de commandeur de la légion d'honneur. Pendant la tragique retraite de Russie qui s'en suivit, son courage et sa détermination le firent à nouveau remarquer par l'empereur. Durant une nuit glaciale du début de décembre 1812, Napoléon remarqua un point lumineux dans l'obscurité du bivouac. Un officier envoyé se renseigner sur son origine vint lui faire son rapport : « Sire, c'est le colonel Drouot qui travaille et prie Dieu ». Quelques semaines après, le 26 janvier 1813, Antoine Drouot était nommé général de brigade et aide de camp de l'empereur[7].

Le mois de mai 1813 fut particulièrement chargé : le 1er il participa au combat de Poserna, le 2 à la bataille de Lützen, le 19 au combat de Weissig, les 20 et 21 à la bataille de Bautzen (ou de Wurschen). Le 3 septembre 1813 il fut nommé général de division.

Drouot et ses artilleurs chargés par la cavalerie bavaroise à la bataille de Hanau

Le 16 octobre 1813, au début de la bataille de Leipzig, il chassa le 2e corps d'infanterie russe de la ville de Wachau puis, à la demande de Napoléon, il installa sur la colline de Gallows une batterie de cent canons qui balayèrent le 2e corps russe et forcèrent les bataillons prussiens qui les soutenaient à se mettre à couvert, ouvrant une brèche dans le camp ennemi.

Au cours de la bataille de Hanau (30 septembre 1813), il trouva un accès à travers la forêt pour déployer ses cinquante canons, sur la gauche des positions de Wrede. Il dut affronter, sabre à la main, une charge de la cavalerie bavaroise qui manqua de le balayer, puis fit avancer ses canons dans la plaine, réduisant ainsi au silence les 28 canons de Wrede et ouvrant la route à la charge décisive de la cavalerie lourde de la Garde impériale.

L'empereur lui accorda de plus en plus sa confiance, au point qu'il reçut de sa main, le 16 juillet 1830 à Dresde, l'ordre suivant :

« Pendant l'absence du duc de Vicence vous prendrez commandement de ma maison, savoir du service du grand maréchal et du service du grand écuyer. Vous prendrez mes ordres et les donnerez à ma maison. »

Pendant la Campagne de France (1814), il défendit pied à pied le territoire français. Il participa à la bataille de La Rothière (1er février), à celles de Champaubert (10 février), Vauchamps (14 février), de Mormant (17 février), de Craonne (7 mars), de Laon (9 et 10 mars), d'Arcis-sur-Aube (20 et 21 mars). Il est aux côtés de l'empereur au moment de son abdication à Fontainebleau. Le traité de Fontainebleau autorisant Napoléon à s'entourer de 400 officiers, sous-officiers et soldats durant son exil, il choisit trois généraux : Drouot, qu'il nomma gouverneur de l'île d'Elbe, Cambronne pour commander sa garde et Bertrand pour diriger le Palais et l'administration.

Il accompagna l'emprereur à son retour en France en 1815, bien qu'il désapprouvât l'entreprise. Il fit à la bataille de Waterloo des efforts incroyables, se retira après le désastre au-delà de la Loire à la tête de la garde impériale, sut contenir cette troupe qu'on craignait encore et aida à la licencier.

Restauration

Il ne s'en vit pas moins proscrit par Louis XVIII, et traduit devant un conseil de guerre, mais il fut acquitté. Il a été compris ensuite dans l'ordonnance du 24 juillet 1815 et acquitté[8]

Drouot a refusé tout service et tout traitement, et il est rentré dans la vie privée. Retiré dans sa ville natale, il refusa constamment d'accepter aucune fonction publique. Son refus a été dicté par la crainte de se voir rappeler à l'activité et de se trouver dans la prospérité et dans les honneurs alors que Napoléon gémissait sur un rocher de l'Atlantique. En 1824, il accepta une pension de retraite qui lui fut offerte par le gouvernement en récompense de ses services.

Le 19 novembre 1831, il fut créé pair de France dans la fournée de trente-six pairs viagers destinée à permettre l'adoption à la Chambre haute du projet de loi abolissant l'hérédité de la pairie. En 1833, le duc d'Orléans (Louis-Philippe Ier) lui avait offert la place de gouverneur des princes, ses fils. Drouot avait cru devoir refuser.

Il avait commencé à écrire les mémoires de son temps, mais les infirmités et une cécité complète interrompirent son travail.

Fin de vie

Antoine Drouot est mort à Nancy, le 24 mars 1847. son éloge funèbre fut prononcé par le père Lacordaire. Il est enterré au cimetière de Préville à Nancy.

Appéciations et traits de caractère

Paroles de Napoléon rapportées pas Las Cases :

« Il a peint Drouot comme un des hommes les plus vertueux et des plus modestes qu'il y eût en France, quoiqu'il fût doué de rares talents. Drouot était un homme, à ce qu'il dit, qui vivrait aussi satisfait, pour ce qui le concernait personnellement, avec quarante sous par jour que s'il jouissait des revenus d'un souverain. Charitable et religieux, sa morale, sa probité et sa simplicité eussent été honorées dans le siècle du plus rigide républicanisme. »

Distinctions et honneurs

Armoiries

Figure Blasonnement
Ornements extérieurs Comtes de l'Empire français.svg
Blason du Général Antoine Drouot.svg
Armes du général Antoine Drouot et de l'Empire :

Coupé, au I parti, à dextre d'azur à l'épée haute d'argent, montée d'or et posée en pal (qui est le franc-quartier des comtes militaires) et à senestre, aussi d'azur à la croix fleuronnée d'or ; au II, d'argent au chevron de gueules, accompagné, en pointe, d'une pile de boulets de sable[11].

Galerie

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Notes et références

  1. Napoléon cité par O'Méara in Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850 T1
  2. Extrait de naissance publié dans la base Léonore : Ministère de la culture - Base Léonore
  3. Cité par le Père Lacordaire dans son Éloge funèbre du général Drouot.
  4. A ce même concours des écoles d'artillerie, également présidé par Laplace, Napoléon Bonaparte ne fut reçu que 42e sur 58 en septembre 1785.
  5. L'Hortense est la première d'un classe de 7 frégates dites "de 18" en raison des 36 canons de 18 livres qu'elles portent en plus de leurs 8 caronades
  6. Les 60 pièces de l'artillerie de la Garde et les 40 pièces de l'armée d'Italie tirèrent 82 000 boulets durant la bataille
  7. Napoléon Ier élevait au plus haut point les talents et les facultés du général Drouot. « Tout est 18certain dans Drouot tout ce qui pouvait en faire un grand général. Il le croyait supérieur à beaucoup de ses maréchaux. Il n'hésitait pas à le croire capable de commander cent mille hommes : et peut-être ne s'en doutait-il pas, ajoutait-il, ce qui ne serait qu'une qualité de plus. » (Las Cases.)
  8. Après avoir prononcé ces paroles :
    Quand j'ai connu l'ordonnance du 24 juillet, je me suis rendu volontairement; j'ai couru au-devant du jugement que je devais subir. Si je suis condamné par les hommes qui ne jugent les actions que sur les apparences, je serai absous par mon juge le plus implacable, ma conscience. Tant que la fidélité aux serments sera sacrée parmi les hommes, je serai justifié ; mais quoique je fasse le plus grand cas de leur opinion, je tiens encore plus à la paix de ma conscience. J'attends votre décision avec calme…
  9. Dossier de la légion d'honneur du général Drouot aux archives nationales : Dossier base Léonore
  10. Vue du timbre à l'effigie du général Drouot
  11. Lettres patentes du 22 mars 1814

Annexes

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Bibliographie

  • Henri Lacordaire, Éloge funèbre du général Drouot, prononcé dans la cathédrale de Nancy, le 25 mai 1847, Sagnier et Bray, 1847 (ASIN B001C6MW0W) Lien Gallica
  • Jules Nollet-Fabert, Biographie du général Drouot, M. J. Corréard, 1848, (ASIN B001BV7XU2) Lien Google books
  • Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850 T1, Poignavant et Compagnie, Paris, 1852, Lien Gallica.
Source considérée comme manquant d'objectivité : voir ici.
  • Général Ambert, Le général Drouot, 9e édition, Alfred Mame et fils, Tours, 1896
  • William Serieyx, Drouot et Napoléon, vie héroïque et sublime du Général Drouot, Tallandier, Paris, 9e édition, 1929 (ASIN B003U7YSC6)
  • Jean Tabeur, Le général Drouot: fils de boulanger! aide de camp de l'Empereur, collection du bicentenaire de l'épopée impériale, Teissèdre, 2004 (ISBN 978-2-912259-88-2)

Articles connexes

Liens externes


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