- Maumusson (Loire-Atlantique)
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Maumusson
DétailAdministration Pays France Région Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Arrondissement Ancenis Canton Saint-Mars-la-Jaille Code commune 44093 Code postal 44540 Maire
Mandat en coursAndré Guillet
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Ancenis Site web http://www.pays-ancenis.fr/ Démographie Population 990 hab. (2008) Densité 40 hab./km² Gentilé Maumussonnais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 27 m — maxi. 84 m Superficie 24,56 km2 Maumusson est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire. Sise dans la marche de Bretagne, elle se situe dans le pays d'Ancenis.
Longtemps sous la domination de la seigneurie de La Motte, Maumusson a connu une période tourmentée lors de la Révolution, ses habitants rejoignant en nombre les rangs des Chouans. L'économie est depuis l'origine basée sur l'agriculture et l'élevage. Maumusson a subi une période de déclin démographique qui a pris fin au début du XXIe siècle.
Sommaire
Géographie
Relief
Le sud de la commune est relativement plat. Le nord est parcouru dans l'axe est-ouest d'un relief peu élevé.
Hydrographie
La commune est parcourue par la Motte, la Morleyère, la Libaudière et le Gué des Forges[F 1].
Climat
Article connexe : Climat de la Loire-Atlantique.Avec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique. Les hivers y sont doux (5°C en moyenne), les étés faiblement chauds (18°C en moyenne). Les précipitations sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes.
Maumusson est proche de la région angevine. Le tableau suivant recense les données climatique d'Angers, distante de 40 kilomètres à vol d'oiseau de la commune de Maumusson.
Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année Températures maximales moyennes (°C) 7,9 9,2 12,6 15,3 19 22,6 24,9 24,7 21,8 17 11,4 8,4 16,2 Températures minimales moyennes (°C) 2,1 2,2 3,9 5,6 8,9 11,8 13,6 13,4 11,3 8,4 4,6 2,8 7,4 Températures moyennes (°C) 5 5,7 8,2 10.4 13,9 16,2 19,2 19,1 16,5 12,7 8 5,6 11,8 Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 62,1 50,8 51,7 44,6 54,4 41,2 43,8 44,9 52,2 59,6 64,5 63,4 633,4 Durée mensuelle d'ensoleillement (heures/mois) 70 92 141 179 201 234 248 237 191 129 89 65 1877 Source : Climatologie de 1947 à 2008 - Angers, France Risques de catastrophe naturelle
La commune est dans une zone de risque sismique négligeable. Elle a connu des dommages ayant entraîné la publication d'un arrêté de reconnaissance de catastrophe naturelle suite aux inondations de décembre 1999[1].
Situation
Maumusson est située à 10 km au nord-est d'Ancenis. Les communes limitrophes sont Bonnœuvre, Pannecé, Pouillé-les-Côteaux, La Roche-Blanche, La Rouxière, Belligné en Loire-Atlantique, Freigné en Maine-et-Loire.
Selon le classement établi par l’Insee en 1999, Maumusson était une commune rurale non polarisée (cf. Communes de la Loire-Atlantique).
Toponymie
Maumusson viendrait de l'association de l'ancien français mau, issu du latin « malus », signifiant « mauvais », et du mot gaulois musson signifiant « passage à travers une haie ». Le nom de la commune signifierait donc « mauvaise musse », « mauvais passage »[M 1].
Histoire
Origines
Les traces de l'activité humaine de la préhistoire et de l'antiquité n'ont pas été révélées sur le territoire de la commune. Il semble, d'après des photos aériennes prises peu avant 2004, que se situait à La Besnière une ferme gauloise. Pendant la période gallo-romaine une voie de communication parcourait le nord du territoire de la commune. L'existence de la paroisse de Maumusson est attestée pour la première fois en 1104 dans une charte de l'évêque de Nantes Guérech II de Cornouaille. Celui-ci confirme que Maumusson dépend de l'abbaye Saint-Florent de Saumur[M 2]. Maumusson fait partie du duché de Bretagne jusqu'en 1532 avant d'être intégrée au royaume de France par le traité d'union de la Bretagne à la France.
Moyen Âge et Temps modernes
Au Moyen Âge le territoire de la paroisse est divisée en plusieurs petites seigneuries, la plus importante étant celle de La Motte. Seuls les nobles de cette terre portaient le nom de seigneurs de Maumusson. Ils exercent les droits de haute, moyenne et basse justice[F 1]. En 1658 la marquise de Sévigné séjourne à La Motte, de même que, en 1661, les mousquetaires du roi commandés par le capitaine d'Artagnan, en route pour accompagner Louis XIV qui va présider la session des États de Bretagne. À cette occasion, les mousquetaire arrêtent Nicolas Fouquet devant la cathédrale de Nantes[M 3]. La seigneurie de La Motte relève de celle de la Motte-Glain. En 1701 elle est réunie à celle de Saint-Herblon. Ainsi se forme le marquisat de Châteaufromont. La seigneurie de La Motte passe sous dépendance de Saint-Mars-la-Jaille lorsque la famille de la Ferronnays en devient propriétaire en 1740[F 1].
Révolution et chouannerie
La Révolution a marqué la commune. La population refuse la constitution civile du clergé. En révolte contre le gouvernement républicain, plusieurs Maumussonnais sont tués. Le prêtre est fusillé. Menés par Jean Terrien dit Cœur de lion, les Chouans combattent les Républicains, tuant plusieurs soldats[M 3] au cours de nombreux combats[F 1].
Depuis le XIXe siècle
Durant les Cent-Jours, quelques royalistes sont tués à Maumusson. En 1872 une partie du territoire de La Rouxière est cédé à Maumusson[F 1]. Cette portion de territoire, appelée « la queue de poêle » couvre 174 hectares et est peuplée de 78 habitants[M 3]. Lors de la Première Guerre mondiale, 53 Maumussonnais sont « morts pour la France »[M 4], et trois lors de la Seconde Guerre mondiale[M 5].
L'économie de la commune est toujours basée sur l'agriculture et l'élevage au XXIe siècle[F 1]. Entre 1950 et 2000 le nombre d'exploitations agricoles à Maumusson a été divisé par trois : 113 en 1950, 103 en 1970, 80 en 1980 et 30 en 2000[M 6]. La mécanisation est apparue de manière progressive : la première faucheuse en 1920, le premier tracteur en 1944, la première moissonneuse-batteuse en 1956, la première trayeuse en 1960 et la première salle de traite en 1980[M 7]. Maumusson subit l'exode rural jusqu'au début du XXIe siècle[F 1], la tendance démographique s'inversant après 2005.
Administration
Maumusson est située dans le canton de Saint-Mars-la-Jaille, arrondissement d'Ancenis, dans le département de la Loire-Atlantique. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le Conseil municipal est constitué de quinze membres en 2011.
Liste des maires
Liste des maires successifs[M 8] Période Identité Étiquette Qualité 1870 1901 Théophile Lambourg 1901 1919 Jean Dupont 1919 1925 Joseph du Gasset 1925 1931 Jacques Bory 1931 1935 Auguste Joubert 1935 1945 René Bory 1945 1947 Joseph Livenais 1947 1965 Joseph Legendre 1965 1983 Maurice Goizet 1983 1995 Francaire Bory mars 1995 mars 2008 Jean-Paul Trimoreau mars 2008 André Guillet retraité Toutes les données ne sont pas encore connues. Intercommunalité
Maumusson est membre de la communauté de communes du Pays d'Ancenis, qui est constituée de vingt-neuf communes regroupées autour d'Ancenis. La commune est représentée au conseil intercommunal par le maire et deux élus communautaires[2].
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Maumusson comptait 990 habitants (soit une augmentation de 22 % par rapport à 1999). La commune occupait le 9 566e rang au niveau national, alors qu'elle était au 10 354e en 1999, et le 191e au niveau départemental sur 221 communes.
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Maumusson depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Maumusson, cela correspond à 2008, 2013, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc. ) sont des estimations[3],[4],[N 1].
Le maximum de la population a été atteint en 1886 avec 1 431 habitants.
Histogramme Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,3 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (20,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,6 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 50,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,2 %, 15 à 29 ans = 20,8 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 17,6 %) ;
- 49,4 % de femmes (0 à 14 ans = 22,3 %, 15 à 29 ans = 18,4 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 17,8 %, plus de 60 ans = 21,1 %).
Économie
Au 1er janvier 2009 l'Insee recensait 25 entreprises dans la commune, dont trois dans l'industrie, neuf dans la construction et treize dans le commerce, les transports et les services divers. Selon la même source, il y avait cette année-là 140 emplois à Maumusson, et 6,2 % des actifs étaient au chômage[7].
L'agriculture est un domaine important de l'activité économique maumussonnaise. La superficie totale des exploitations est passée de 2 069 ha en 1988 à 2 119 ha en 2000, le nombre d'exploitations passant de 61 à 42 dans cette période. Le nombre d'exploitations pratiquant l'élevage bovin est passé de 54 à 35 entre 1988 et 2000, pour un nombre de tête équivalent (2 960 en 2000). Par contre l'élevage de la volaille a nettement progressé. Alors que 48 élevages disposaient de 19 438 bêtes en 1988, les 20 existantes en 2000 en comptaient 33 020[7]. Entre 1988 et 2000, l'unité de travail annuel a été divisée par deux, passant de 94 à 53[7].
Équipements et services
Santé
Il n'y a pas de médecin à Maumusson, les plus proches sont situés à Belligné et Saint-Mars-la-Jaille. Les infirmiers les plus proches se trouvent à Belligné et à La Roche-Blanche. Un centre hospitalier est installé à Ancenis.
Enseignement
Maumusson dépend de l'académie de Nantes. Il n'y a pas d'école publique dans la commune. L'école privée Sainte-Marie fait partie réseau de l'enseignement catholique[10]. Le collège le proche se trouve à Saint-Mars-la-Jaille, et les lycées se situent à Ancenis[11].
Vie sociale
Manifestations culturelles et festivités
En mai 2011 est organisé le 7e festival de musique[12], baptisé Festival « ô mauvais buisson », qui a accueilli en 2010 le groupe Elmer Food Beat[13] et qui pour l'édition 2011 accueille Mademoiselle K[14]. De nombreuses autres manifestations se déroulent tout au long de l'année[12] : repas conviviaux, randonnées, spectacles, manifestations sportives, etc.
Associations
La plus ancienne association de la commune est la Société de jeu de boules, fondée en 1938. En 1956, sous l'impulsion de l'abbé Emriau, vicaire instituteur, l'Association sportive maumussonnaise est créée, autour de la pratique du football. En 2004 la mairie recensait 22 associations sportives, culturelles, d'anciens combattants, de supporters, de pêche[M 9].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul porte un écusson sculpté au-dessus de son portail central qui atteste de sa date de construction : 1614. Construite pour remplacer une chapelle sur commande d'Étienne Raoul de la Guibougère, seigneur de La Motte, elle comporte une nef et une tour fortifiée. L'édifice est agrandi au XIXe siècle. Une flèche octogonale est placée sur la tour. L'église est de type style roman. Les douze vitraux datent du XIXe siècle. Le retable date des XVIIe et XVIIIe siècles, la peinture centrale, œuvre de Joseph Gouëzou peinte au milieu du XIXe siècle, représente le martyr du recteur de Maumusson lors de la Révolution, l'abbé Bouvier, qui eut le poignet tranchés avant d'être fusillé. Ce religieux est inhumé dans l'église en 1795, sa pierre tombale est située dans le chœur [F 2].
Les Basses-Chapellières ou Les Chapellières est le nom d'une demeure en tuffeau construit entre le début du XVIIe siècle et le XVIIIe siècle. À l'une de ses extrémité se trouve un pigeonnier couvert d'un toit en ardoise en forme de casque, élément architectural qui vaut à la bâtisse d'être localement baptisée « château ». Propriété du député Jacques Defermon, la maison est utilisée par les Chouans conduits par Jean Terrien, qui utilise notamment la fameuse « tour » comme cachette[F 3].
Le château de La Motte visible au XXIe siècle date de 1840, année au cours de laquelle la famille Bory entreprend une reconstruction. Seule la cave témoigne du château-fort avec tours et douves construit au début du XVIIe siècle par Étienne Raoul de la Guibourgère. Dans cette demeure a séjourné la marquise de Sévigné, invité par la propriétaire d'alors, son amie Mme de la Troche[F 3].
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de la Loire-Atlantique.Blasonnement Tiercé en pairle renversé : au premier, d'hermine plain ; au deuxième, de sinople au cerf d'or passant ; au troisième, de gueules à la clef d'or et l'épée d'argent garnie aussi d'or passées en sautoir. (Une autre version, donnée dans Maumusson, un siècle d'histoire : Tiercé en pairle renversé, à dextre semé d'hermines de sables sur fond d'argent, à senestre de sinople au cerf d'or passant, en pointe de gueules à la clé d'or passée en sautoir à une épée à la poignée d'or et lame d'argent[M 1].)Commentaires : L'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par Olivier Cruau (délibération municipale du 7 juillet 1989).
Le cerf évoque le bois de Maumusson et la couleur verte l'agriculture. La clef de saint Pierre et l'épée de saint Paul, les deux patrons de la paroisse, sont sur fond rouge, le sang des martyr de la Révolution[M 1].Maumusson dans la culture
Légende
Les fées Mainberthes sont des fées bienfaisantes qui soulagent les personnes malades de leur labeur. Elles se réfugient dans des grottes ou sous des blocs de pierre, sur des points élevés proches d'un ruisseau, dans des lieux à l'écart. La Roche aux Mainberthes est supposée être un de ces lieux. La légende, lorsqu'elle était véhiculée lors des veillées, avait l'avantage de dissuader les enfants de se risquer à aller dans des endroits dangereux[F 1].
Littérature
En 1987, l'écrivain et journaliste Pierre Péan a publié un ouvrage historique, Les Chapellières[15], du nom du château des Basses-Chapellières à Maumusson. Le thème de l'ouvrage est le croisement des destins du propriétaire, Jacques Defermon, juriste membre de la Convention et de l'Assemblée constituante puis conseiller financier et ministre d'état de Napoléon Ier, et de Jean Terrien, fils d'un métayer de Defermon installé à Issé et ancien séminariste, devenu chef chouan[M 10].
Personnalités liées à la commune
- Jacques Defermon (1752-1831), juriste membre de la Convention et de l'Assemblée constituante puis conseiller financier et ministre d'état de Napoléon Ier, propriétaire du château des Basses-Chapelières.
- Jean Terrien (1766-1855), né à Maumusson, chef chouan.
- Pierre-Joseph Thomas (1861-1939), né à Maumusson, religieux, fondateur de la première caisse rurale du Pays nantais.
- Pierre Péan, né en 1938, journaliste et écrivain, auteur d'un livre sur les Maumussonnais Jacques Defermon et Jean Terrien.
Notes et références
Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, 1999 (voir en bibliographie).
- p. 1127
- p. 1128
- p. 1129
Collectif, Maumusson, un siècle d'histoire, Mairie de Maumusson, 2004 (voir en bibliographie).
- p. 14
- p. 15
- p. 16
- p. 41
- p. 43
- p. 71
- p. 73
- p. 27
- p. 161
- p. 22
Autres références.
- Maumusson sur Portail de la prévention des risques majeurs, 2 juillet 2007. Consulté le 2 mars 2011
- Maumusson sur Communauté de commune du Pays d'Ancenis. Consulté le 2 mars 2011
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V des « opérations de recensement »
- Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 16 juillet 2011
- Maumusson 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 16 juillet 2011
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 16 juillet 2011
- Évolution et structure de la population sur Résultats du recensement de la population - 2008. Consulté le 16 juillet 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 16 juillet 2011
- Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2008 sur insee.fr. Consulté le 16 juillet 2011
- Les écoles de l'académie sur Académie de Nantes. Consulté le 2 mars 2011
- Annuaire des établissements sur Académie de Nantes. Consulté le 2 mars 2011
- Actualités de Maumusson sur Communauté de communes du Pays d'Ancenis. Consulté le 2 mars 2011
- Festival ô mauvais buisson 2010 sur Circuits arts. Consulté le 2 mars 2011
- Festival ô mauvais buisson 2011 sur Circuits arts. Consulté le 2 mars 2011
- Pierre Péan, Les Chapellières : une terre, deux destins croisés en pays chouan, Paris, Albin Michel, 1987, 359 p. (ISBN 978-2-226-02835-8)
Voir aussi
Bibliographie
: Ouvrage utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, 1999, 1383 p. (ISBN 978-2-84234-040-7) (LCCN 00357670), p. 1127-1129
- Collectif, Maumusson, un siècle d'histoire, Maumusson, Mairie de Maumusson, 2004, 212 p. (consultable à la bibliothèque Jacques Demy à Nantes, cote 944.167 MAU)
- Pierre Péan, Les Chapellières : une terre, deux destins croisés en pays chouan, Paris, Albin Michel, 1987, 359 p. (ISBN 978-2-226-02835-8)
Articles connexes
Liens externes
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