Histoire du sport en France

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Histoire du sport en France

Sommaire

Des Gaulois aux Gallo-romains

La pratique sportive organisée est introduite dans l'Hexagone par les Romains et arènes, stades et hippodromes furent érigés en Gaule. Cette période gallo-romaine est marquée par la course de chars, sport roi de l'Antiquité[1] Parmi les monuments Gallo-romains dédiés au sport, citons les arènes de Nîmes ou les vestiges du cirque d'Arles.

Du tournoi aux joutes

Le tournoi s'impose comme l'activité la plus prisée dès le IXe siècle (Première mention de tournoi en 842). Cet authentique art martial était très violent et de nombreux morts et blessés étaient à déplorer. L'Église renouvelle ses interdits sept siècles durant, sans effets. Les rois de France publient également des interdictions, tel Saint Louis en 1260, mais la pratique perdure jusqu'à la fin du XVe siècle[2]. Cette activité ouverte à l'origine à tout homme robuste permettait d'obtenir le statut de chevalier. Certaines parties de tournois étaient en revanche strictement réservées aux chevaliers et militaires. D'autres variantes, un peu moins violentes, furent introduites à partir des XIIIe siècle et XIVe siècle : joute équestre (à ne pas confondre avec le tournoi) et pas d'armes, notamment. D'autres activités, qui permettent cette fois la participation de tous, découlent également des sports des chevaliers : la joute nautique en particulier, qui est pratiquée depuis au moins le XIIe siècle en France[3].

Jeu de paume : une passion française

Le peuple reste donc le plus souvent spectateur en matière de tournois et autres joutes équestres, mais ce n'est pas le cas du jeu de paume, qui s'impose comme le sport roi en France des XIIe siècle au XVIIIe siècle. Joué d'abord à mains nues, le battoir est inventé au XVe siècle, puis la raquette avec cordage en chanvre ou en boyau est introduite en 1505. Cette innovation se répand très rapidement, et dès 1510, les raquettes deviennent courantes[4]. Le jeu de paume, qui sera à l'origine du tennis et de la pelote basque notamment, fut une véritable passion française qui culmine aux XVe siècle et début du XVIe siècle. La France est couverte de terrains de jeu de paume, extérieurs ou couverts. Dans The View of France de Sir Robert Dallington (1561-1637), publié en 1604 suite à un séjour en France en 1598, ce maître d’école anglais nous apprend que la France est « un pays semé de jeux de paume, plus nombreux que les églises et des joueurs plus nombreux que les buveurs de bière en Angleterre. », avant de conclure : « Les Français naissent une raquette à la main ». Le 9 novembre 1527, par lettres patentes du roi de France, François Ier officialise le professionnalisme sportif, en jeu de paume notamment. Ce texte révolutionnaire met en effet sur le même plan les gains d’un joueur de paume et les fruits du travail : « tout ce qui se jouera au jeu de paume sera payé à celui qui gagnera comme une dette raisonnable et acquise par son travail ». Depuis bien longtemps déjà, paris et enjeux ont transformé de fait cette activité sportive en métier pour beaucoup. Louis XIII puis Louis XIV tentèrent de juguler cette passion française en limitant le nombre des terrains de jeu et en introduisant d'autres activités : le billard et le sport hippique au premier chef[5]. Au XVIIIe siècle, le jeu de paume connaît un lent déclin, mais innove pourtant en mettant sur pied le premier championnat du monde, tous sports confondus, en 1740. Vainqueur du tournoi, le Français Clergé est ainsi le premier champion du monde de l'histoire du sport[6].

L'apogée du jeu de paume coïncide avec la montée en puissance de l'humanisme dont les auteurs, de Rabelais à Mercurialis en passant par Montaigne, mettent sur le même plan éducation intellectuelle et éducation physique. Blaise Pascal utilisa même le jeu de paume dans ses démonstrations : « Qu'on ne me dise pas que je n'apporte rien. C'est la disposition des matières qui est nouvelle : quand on joue à la paume, c'est la même balle que l'on joue l'un et l'autre mais l'un de nous la place mieux. » (Pensées, publiées en 1670). Cette leçon sera très bien assimilée par les Britanniques qui découvrent au début du XVIIe siècle les joies et les vertus du sport. En revanche, la leçon est oubliée par les philosophes des Lumières et la France, jadis place forte du sport, s'en désintéresse.

Les autres sports de la France d'Ancien Régime

En 1534, Rabelais publie son Gargantua. Cet ouvrage est une mine d’information concernant les sports et jeux car l’éducation humaniste de Gargantua comprenait un solide programme sportif. Rabelais cite 218 sports et jeux ainsi que la dernière mention du jeu romain de la pila trigolaris[7].

Parmi les sports pratiqués avant la Révolution, citons le lutte, la soule, les barres, la crosse, le billard, le croquet, le cricket, le jeu de quilles, le tir à l'arc, l'escrime et le sport hippique. Le calcio florentin fut également pratiqué de manière exceptionnelle en France à l'occasion de visites de personnalités ou de mariages.

La Première mention en France du jeu de quilles date de 1318 tandis que celle du « criquet » (cricket) remonte à 1478 à Saint-Omer. Le « criquet » était le nom donné au bâton (wicket) qui servait de but. Ce sport reste très pratiqué dans l'Hexagone jusqu’au XVIIIe siècle.

De la Révolution aux années folles

Depuis les Lumières qui marquent en France la chute de la pratique, le sport est « ringardisé » par les intellectuels. Une commission sur l’enseignement de la gymnastique diligentée par le ministère de l’Instruction Publique signale ainsi en 1868 que « Depuis longtemps, on remarque que les élèves ne jouent plus, que les récréations se passent en promenades et conversations, surtout chez les élèves des classes supérieures, ce qui n'est pas fait pour les reposer des travaux intellectuels assidus »[8]. Les intellectuels qui avouent leur penchant pour le sport resteront ainsi l'exception jusqu'à l'extrême fin du XXe siècle. Citons pour l'exemple Albert Camus. La victoire de l'équipe de France de football à l'occasion de la Coupe du monde de football en 1998 modifia un peu la donne.

La Révolution n'était pourtant pas hostile au sport et organisa même des Olympiades de la République à Paris en 1796, 1797 et 1798. À cette occasion, les premiers chronométrages furent effectués en athlétisme tandis que pour la première fois également le système métrique fut utilisé dans des compétitions sportives[9].

Le sport le plus prisé en France durant les deux premiers tiers du XIXe siècle est le sport hippique. Les courses de chevaux passionnent les foules et les hippodromes qui sortent alors de terre illustrent parfaitement ce fait. Nombre de courses prestigieuses sont d'ailleurs créées à cette période : Prix du Jockey Club (1836), Prix de Diane (1843) ou Grand Steeple-Chase de Paris (1874). À la fin du siècle, le cyclisme s'impose comme le sport le plus populaire. La petite reine permet la mise en place dès les années 1870 de compétitions professionnelles suivies par des médias spécialisés. Le cyclisme n'innove toutefois pas dans ces domaines car il existait déjà une presse spécialisée suivant le sport hippique en France dès les années 1820. Les jockeys étaient des professionnels, tout comme les joueurs de paume, cités plus haut, ou les rameurs d'aviron. Ces derniers disputent un championnat professionnel sur la Seine depuis les années 1830. Les courses à pied sont également dotées de prix en espèces dès 1853[10]. Pendant trois décennies, les coureurs professionnels français s'affublent de surnoms comme « Cerf Volant », « L’homme éclair » ou « l’homme vapeur ». Ainsi, le professionnalisme, déjà pratiqué par les Grecs et les Romains, fait partie intégrante du sport français avant la montée au créneau des opposants à ce système. Au milieu des années 1880, Georges de Saint-Clair et Ernest Demay lancent une campagne de « purification » de l'athlétisme français et obtiennent l'interdiction de ces courses professionnelles. En réaction à la politique de « purification » de l'athlétisme français menée depuis le milieu des années 1880 par l'interdiction de courses dotées de prix en espèces, l'Union des Sociétés Professionnelles d'Athlétisme est créée à Paris[10]. Une fédération du même type se créé à Paris dans la foulée concernant la natation[10]. L'Union des sociétés françaises de sports athlétiques, fédération omnisports fondée le 20 novembre 1887 par les clubs parisiens du Racing club de France et du Stade français, met particulièrement en avant sa volonté de lutter contre la professionnalisation du sport. L'USFSA qui est à l'origine de la création de la FIFA et de la rénovation des Jeux olympiques impose cette vision comme modèle pour longtemps. L'USFSA ne survit pas à la Première Guerre mondiale et le football franchit le pas du professionnalisme en 1932 en France. Il sera imité, plus tard, par le rugby à XIII, hockey sur glace, basket-ball, handball, volley-ball et même le rugby à XV, qui fut pourtant, un siècle durant le chantre de l'amateurisme en France. Les femmes ont également un statut professionnel en basket-ball, handball et volley-ball.

Le sport contre l'éducation physique dans la IIIème République

Voir :

La politique sportive du Front populaire (1936-1938)

Dès 1907, l'Union sportive du parti socialiste se donne pour mission de « donner aux jeunes gens des distractions saines et agréables »[11]. Dans cette ligne, Léo Lagrange, sous-secrétaire d'État chargé de l'organisation des sports et des loisirs à 36 ans, œuvra pour le développement du sport de masse. Dès le 13 juin 1936, Léo Lagrange précise dans Le Figaro : « Ma politique générale, en ce qui concerne le sport, s'inspirera d'un classement ainsi conçu : le sport spectaculaire et le sport d'assainissement, si je puis dire. Le sport d'assainissement aura toute ma sollicitude. »[12] De très nombreux scandales sportifs marquèrent en effet les années 1930, et la gauche dénonça très souvent les « combines » avant son élection. Toutefois, Léo Lagrange ne remet pas en cause l'existence du sport professionnel : « Il ne peut s'agir pour moi de rayer d'un trait de plume le sport professionnel »[13].

De fait, la politique de Léo Lagrange a trois objectifs : rattraper les retards en matière de sport scolaire, démilitariser le sport et tenir la comparaison en compétition face aux états totalitaires encadrant le pays[14]. Le brevet sportif populaire est créé en 1937 tandis que l'Office du sport scolaire et universitaire (OSSU) voit le jour l'année suivante.

La politique sportive du Régime de Vichy (1940-1944)

Dans la politique sportive et éducative de la Révolution nationale de Vichy (Loi du 20 décembre 1940 et Décret d'application du 19 novembre 1941) on retrouve les mêmes aspirations au sport de masse prôné par le Front populaire ainsi qu'une haine du sport professionnel. Et dès le 4 octobre 1940, les décisions tombent :
- abolition du sport professionnel avec effet immédiat pour le tennis, rugby à XIII et lutte,
- délai de trois ans accordé au football, cyclisme, boxe et pelote basque[15].,
- interdiction et regroupement de fédérations: rugby à XIII avec rugby à XV, badminton, tennis de table, jeu de paume avec tennis,
- interdiction des fédérations: FSGT, UFOLEP, USEP, ... et des compétitions cylistes féminines, de football féminin nocives[16],
- saisie des biens des fédérations interdites et transferts de ceux-ci au Conseil national des sports. Joseph Pascot tient un rôle important dans ces décisions. C'est lui qui fustige le rugby à XIII lors d'un discours prononcé au Capitole de Toulouse le 17 octobre 1940[17].

Deux ministres symbolisent la politique sportive de Vichy : l'ancien joueur de tennis Jean Borotra et l'ex-joueur de rugby à XV Joseph Pascot, mieux connu pendant la guerre sous le nom de colonel Pascot. Jugé insuffisamment « européen » par le gouvernement allemand, Jean Borotra est arrêté le 22 novembre 1942 après avoir été remplacé à la tête du commissariat au sport par le colonel Pascot le 18 avril 1942. Beaucoup plus docile aux directives de Berlin et de Vichy, Pascot abolit le professionnalisme suite aux décisions prises en 1940 en nationalisant notamment le secteur professionnel du football français[18]. Les clubs ne sont plus autorisés à utiliser des joueurs évoluant avec un statut professionnel et Pascot met en place un championnat national opposant des sélections régionales (Championnat de France de football 1943-1944). C'est le commissariat des sports qui rémunère les joueurs. Cette compétition ne dure qu'une saison et la Libération y met fin. Ulcérés par cette dépossession, les anciens clubs professionnels français forment à la Libération une Ligue afin de mieux protéger leurs intérêts à l'avenir.

L'après guerre (1945-1950)

La Libération met fin aux expériences sportives vichystes, mais le sport français sort marqué par le conflit. Déçu par le manque de protection de la FFF, les clubs professionnels de football se forment en Ligue dès la fin 1944 . Un bras de fer s'engage alors entre la Ligue et la Fédération. La FFF reconnaît finalement la Ligue en 1945, mais cette dernière reste sous l'autorité de la FFF. Puis ils constituent, via une association loi 1901, le « Groupement des clubs autorisés à utiliser des joueurs professionnels » (association déclarée le 12 mars 1946).

En dehors de l'Alsace-Lorraine, le handball d'origine allemande était inconnu en France avant la guerre. Ce sport devient obligatoire à l'école en 1941 permettant ainsi son implantation sur l'ensemble du territoire. À l'inverse, le rugby à XIII, interdit fin 1940 en 1942, retrouve dès fin septembre 1944, quoique avec quelques difficultés, ses droits d'exister. Bouc émissaire de l'ensemble du sport professionnel français fin 1940, sa fédération "Ligue Française de Rugby à XIII" doit, fin avril 1949, se convertit à l'amateurisme sous l'appellation de Fédération Française de Jeu à XIII et la pratique du rugby à XIII semi-professionnel ou professionnel doit être réalisée sous l'égide et le contrôle d'une nouvelle association loi 1901 Ligue de Rugby à XIII mais les dirigeants fédéraux ne créeront pas la "Ligue de Rugby à XIII". La conséquence est que pendant 42 ans et 2 mois, le rugby à XIII sera dénommé Jeu à XIII ; par ailleurs cette modification du statut de la fédération nationale de rugby à XIII peut être interprétée comme destinée à empêcher les treizistes de demander réparations, comme la loi du 2 octobre 1943 le prévoyait. Il faut attendre un arrêt de la Cour de cassation le 4 juin 1993 pour voir la fédération treiziste retrouver définitivement le nom originel de son sport : le rugby à XIII, ceci après que la Cour d'appel de Paris et tribunaux de son ressort l'ont aussi confirmé dans son arrêt du 25 juin 1991. Rien à signaler en revanche concernant le dédommagement de la spoliation de 1942[19]...

Malgré ces problèmes, le sport français retrouve ses habitudes. Le championnat de France professionnel retrouve son visage normal dès la saison 1945-1946 tandis que le Tour de France 1947, le premier de l'après-guerre, connaît un succès populaire considérable.

La presse sportive retrouve également ses repères après les interdictions des titres comme L'Auto ou Football sont remplacés par L'Équipe et France Football.

Des années 1950 à nos jours

Les années 1960 marqueront un tournant du sport français et constitueront son originalité enviée par les plus grandes nations sportives. Suite à la Bérésina des Jeux de Rome (5 médailles, 0 en or, 25ème nation), le général de Gaulle ne peut rester de marbre... L'état créée un corps de techniciens spécialisés pour le monde sportif : les Conseillers Techniques Sportifs. Ces cadres techniques recrutés par l'État sont placés auprès des Fédérations pour entraîner, développer, former... Un atout considérable qui permettra de replacer la France en son rang...

La bataille entre sport professionnel et sport amateur reste vive en France. Il faut attendre les années 1990 et la professionnalisation des Jeux olympiques (1992) et du sport symbole de l'amateurisme, le rugby à XV (1995) pour voir ce débat vieux d'un siècle prendre fin dans l'Hexagone. La professionnalisation du sport français est toujours en cours avec l'adoption de ce statut par le handball, le basket-ball ou le volley-ball dans les années 1990. Toutefois, certaines disciplines comme le football féminin ne bénéficient pas encore de ce statut alors que les basketteuses ou volleyeuses y ont droit.

Le média qui s'impose durant cette période est la télévision. Football, rugby à XV et cyclisme restent longtemps les plus diffusés, mais depuis le début des années 1980, des sports comme le tennis ou le sport automobile profitent également de nombreuses heures d'antenne. La multiplication des chaînes et la création de chaînes thématiques permettent désormais la diffusion de très nombreuses disciplines.

Notes

  1. Decker Wolfgang et Thuillier Jean-Paul, Le sport dans l'Antiquité, Paris, Picard, 2004, p.178
  2. Favier Jean, Dictionnaire de la France médiévale, Paris, Fayard, 1993, p.923
  3. Bertonèche Patrick, Joutes nautiques en France des origines à nos jours, Douarnenez, Le Chasse-Marée/ArMen, 1998, p.21
  4. Mehl Jean-Michel, Les jeux au royaume de France du XIIIe au XVIe siècle, version abrégée d'une thèse d'État d'Histoire soutenue en octobre 1988, Paris, Fayard, 1990, p.37
  5. Paris Historique, N°67 du 2e semestre 1993, numéro consacré au "Jeu de paume parisiens", p.3
  6. Matthews Peter et Morrison Ian, The Guinness Encyclopedia of Sports Results & Results, Londres, Guiness Books, 1987, p.251
  7. Mehl Jean-Michel, Les jeux au royaume de France du XIIIe au début du XVIe siècle, Paris, Fayard, 1990, recense les 218 sports et jeux pratiqués par Gargantua (p.493-495)
  8. Rapport Hillairet, 1868
  9. Arvin-Bérod Alain, Les enfants d’Olympie, Paris, CERF, 1996, p.27-40
  10. a, b et c Terret Thierry (s.d.), Histoire des sports, Paris, L'Harmattan, 1996, p.245
  11. Cacérès B., Allons au-devant de la vie, Paris, Maspero, 1981, p.80
  12. Cité par Dereymez Jean-William et Berthet Régine, « Front populaire, Vichy : deux politiques de la jeunesse et des sports? », in Jeux et sports dans l'histoire (tome 1 : associations et politiques), Paris, CTHS, 1992, p.235
  13. Dereymez Jean-William et Berthet Régine, op. cit., p.236
  14. Gay-Lascot J.-L., « Léo Lagrange et Jean Borotra. Convergences et divergences des deux politiques sportives (1936-1942) », in Jeux et sports dans l'histoire (tome 1 : associations et politiques), Paris, CTHS, 1992, p.243
  15. L'Auto du 4 octobre 1940
  16. (nocives)
  17. coll., Le sport et les Français pendant l'occupation, tome 1, Paris, L'Harmattan, 2002, p.235
  18. vichy et football
  19. coll., Le sport et les Français pendant l'occupation, tome 1, Paris, L'Harmattan, 2002, p.236-237

Articles liés

Bibliographie

  • Mehl Jean-Michel, Les jeux au royaume de France du XIIIe au XVIe siècle, version abrégée d'une thèse d'État d'Histoire soutenue en octobre 1988, Paris, Fayard, 1990
  • Merdrignac Bernard , Le Sport au Moyen Âge, Didact-Histoire, Presses universitaires de Rennes, Rennes, 2002.
  • Arvin-Bérod Alain, Les enfants d'Olympie (1796-1896), Paris, CERF, 1996
  • Gleyse Jacques Archéologie de l'Education Physique au XXe siècle en France, Paris, PUF, 1995 rééd L'harmattan 2006.
  • Gleyse Jacques L'Instrumentalisation du corps, Paris, L'harmattan, 1997.
  • Gleyse Jacques L'Education Physique au XXe siècle en France. Approches historique et culturelle. Paris, Vigot, 1999.
  • Bui-Xuân Gilles & Gleyse Jacques L'Emergence de l'éducation physique. Georges Demenij et Georges Hébert. Paris, Hatier, 2002.
  • Freccero Renata La Fabrica dei corpi, Turin, Levrotto e Bella, 2002.
  • s.d. Terret Thierry, Histoire des sports, Paris, L'Harmattan, 1996
  • coll., Jeux et sports dans l'histoire (tome 1 : associations et politiques), Paris, CTHS, 1992
  • coll., Jeux et sports dans l'histoire (tome 2 : pratiques sportives), Paris, CTHS, 1992
  • Hubscher, L'histoire en mouvements, le sport dans la société française (XIXe-XXe siècle), Paris, Armand Colin, 1992
  • s.d. Arnaud P. et Camy J., La naissance du mouvement sportif associatif en France, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1986
  • Jusserand Jean-Jules, Les sports et jeux d'exercice dans l'ancienne France, Paris, 1901 (réed. Paris-Genève, Champion - Slatkine, 1986).
  • coll., Naissance du sport moderne, Lyon, La Manufacture, 1987

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