Haliaeetus leucocephalus

Haliaeetus leucocephalus

Pygargue à tête blanche

Comment lire une taxobox
Pygargue
à tête blanche
Haliaeetus leucocephalus
Haliaeetus leucocephalus
Classification classique
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Aves
Ordre Falconiformes
Famille Accipitridae
Genre Haliaeetus
Nom binominal
Haliaeetus leucocephalus
Linnaeus, 1766
Statut de conservation IUCN :

LC : Préoccupation mineure
Schéma montrant le risque d'extinction sur le classement de l'IUCN.

Statut CITES : Cites I.svg Annexe I,
Révision du 04/02/77
Répartition géographique
Distribution H. leucocephalus.png

     /   Hivernage
     /   Habitat annuel
     /   Nidification
     /   Migration

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Pygargue à tête blanche : jeune (à gauche) et adulte (à droite) Pygargue à tête blanche : jeune (à gauche) et adulte (à droite)
Pygargue à tête blanche : jeune (à gauche) et adulte (à droite)

Le pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus) est un rapace qui vit en Amérique du Nord. Malgré son nom anglais de Bald Eagle (« aigle chauve ») ou sa dénomination populaire d'« aigle à tête blanche », il ne s'agit pas d'un aigle mais d'un pygargue : il s'en distingue par son régime alimentaire, essentiellement composé de poissons, mais aussi par son bec massif et par le fait que ses pattes ne sont pas recouvertes de plumes jusqu'aux serres, l'un des caractères propres aux vrais aigles. Alors que l'aigle vit dans les massifs forestiers et les montagnes, le pygargue préfère les lacs, les rivières et les zones côtières, où il peut trouver sa nourriture. À ce titre, il est parfois nommé « aigle de mer ». Subdivisé en deux sous-espèces, il se rencontre de l'Alaska au nord du Mexique. Choisie comme emblème national par les États-Unis, l'espèce a été un temps menacée dans ce pays au XXe siècle, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui.

Sommaire

Description

Taille et poids

Le pygargue à tête blanche est un oiseau de grande taille : son corps mesure entre 71 et 96 centimètres pour un poids de 3 à 6,3 kilogrammes. L'espèce présente un dimorphisme sexuel car les femelles sont 25 % plus grandes que les mâles[1]. Aussi l'envergure maximale de l'oiseau varie de 168 centimètres pour le mâle à 244 pour la femelle[1]. De même, cette dernière pèse environ 5,8 kilogrammes et le mâle 4,1[2].

La taille varie également en fonction des régions : les plus petits spécimens vivent en Floride, au sud-est des États-Unis, où l'adulte mâle dépasse rarement les 2,3 kilogrammes pour une envergure de 1,8 mètres. Les pygargues à tête blanche les plus imposants se trouvent en Alaska, où les plus grands pèsent plus de 7,5 kilogrammes pour une envergure de plus de 2,4 mètres[3].

Plumage

On reconnaît facilement l'individu adulte à son plumage brun, sa tête et sa queue blanches, qu'il soit mâle ou femelle. Les jeunes sont complètement bruns sauf pour les pattes.

Les yeux et les pattes du pygargue à tête blanche sont d'un jaune vif, tout comme son bec, crochu[3] et massif. La queue de l'animal est moyennement longue et légèrement en forme de coin. Les pattes sont dépourvues de plumes. Les orteils sont courts et munis de puissantes serres qui permettent de saisir et d'immobiliser les proies, celle qui se trouve à l'arrière du talon étant utilisée pour les transpercer[4].

Le plumage du jeune est brun avec des taches blanches jusqu'à ce que l'individu atteigne sa maturité sexuelle, vers l'âge de quatre ou cinq ans[1][4]. On le distingue de l'aigle royal, également présent en Amérique du Nord, par son bec plus large, ses jambes dépourvues de plumes, ses ailes plates et son vol[5].

Taxonomie

En anglais, le pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus) porte le nom de Bald Eagle qui provient du mot piebald désignant un animal bicolore ou pie. Le nom scientifique vient du grec haliaetos repris par le latin (Haliaeetus) qui signifie « aigle de mer ». Leucocephalus veut dire « tête blanche » et vient du grec « λευκος » (leukos = « blanc ») et de « κεφαλη » (kephale= « tête »)[6],[7].

Le pygargue à tête blanche a été décrit par le naturaliste suédois Carl von Linné (1707-1778), dans son ouvrage Systema Naturae, sous le nom de Falco leucocephalus[8].

Deux sous-espèces de pygargue à tête blanche sont reconnues[1][9] :

Répartition et habitat

Un jeune pygargue à tête blanche en Alaska

Le pygargue à tête blanche vit généralement près des côtes maritimes, des cours d'eau, des lacs riches en poissons. Des études ont montré qu'il préfère les étendues d'eau d'une circonférence supérieure à 10 kilomètres[12].

Ce rapace a besoin de grands arbres (conifères ou feuillus) pour se percher et faire son nid. Il choisit des forêts dont la canopée couvre de 20 à 60 % et se trouvant près d'un point d'eau[12].

Le pygargue à tête blanche est sensible aux activités humaines et recherche les zones les plus sauvages. Selon les spécialistes, il vit à plus de 1,2 kilomètres des secteurs faiblement peuplés par l'Homme et à plus de 1,8 kilomètres des secteurs urbanisés ou moyennement occupés[12].

L'aire de répartition naturelle du pygargue à tête blanche couvre la plus grande partie de l'Amérique du Nord, du Mexique au sud, au Canada et à l'Alaska au nord, en passant par les États-Unis. C'est la seule espèce de pygargue présente sur le continent nord-américain. L'oiseau peut vivre dans des milieux naturels très divers, des bayous de Louisiane au désert de Sonora, jusqu'aux forêts du Québec et de la Nouvelle-Angleterre. Ceux qui occupent le nord du continent américain migrent, alors que les autres restent toute l'année sur leur territoire de chasse.

Les pygargues à tête blanche se rassemblent dans certains secteurs en hiver. Ainsi, de novembre à février, 1 000 à 2 000 oiseaux hivernent à Squamish, à mi-chemin entre Vancouver et Whistler. Ils se nourrissent de saumons dans les rivières Squamish et Cheakamus[13].

Éthologie

Pygargue en vol.

En vol, le pygargue à tête blanche utilise les courants ascendants pour se déplacer. Il peut atteindre facilement les vitesses de 56 kilomètres par heure en vol plané à 70 en vol battu. Il peut voler à environ 50 kilomètres par heure pour attraper un poisson[14]. Dans les régions septentrionales, l'oiseau migre vers les côtes ou vers le Sud au début de l'hiver, lorsque les lacs et les cours d'eau commencent à geler. Il choisit ses routes de migration en fonction des courants, des ascendances et des ressources en nourriture. Il se déplace alors pendant le jour pour profiter des courants produits par la chaleur du soleil[4].

Le pygargue à tête blanche émet un cri strident ponctué de sortes de grognements. Mais il ne produit pas le cri que l'on peut entendre dans les films, qui utilisent généralement celui de la Buse à queue rousse, pour renforcer l'effet dramatique.

Régime alimentaire

Pygargue à tête blanche sur le cadavre d'une baleine.
Alimentation

Le régime alimentaire du pygargue à tête blanche est varié et opportuniste, même s'il mange principalement du poisson. Sur le littoral nord-ouest du Pacifique, les truites et les saumons composent l'essentiel de son alimentation[15]. Localement, son régime peut toutefois s'écarter substantiellement du schéma général. Ainsi, en Colombie Britannique, les poissons n'entrent que pour 10 % dans son alimentation, alors que les invertébrés marins en représentent 45 % et les oiseaux 41 %[16]. Dans certaines situations, notamment en hiver, il peut se nourrir de charognes d'ongulés, de baleines ou de poissons. Il lui arrive de prendre sa nourriture dans les campings, sur les aires de pique-nique et dans les décharges. Quand il pêche, il n'entre pas dans l'eau comme le balbuzard pêcheur, mais recherche les poissons morts ou mourants ou des poissons de surface. En plein vol, il tend son cou en avant, puis le rejette en arrière jusqu’à toucher son dos. Il capture poissons volants et anguilles en les retenant à l’aide de ses puissantes serres. Le pygargue à tête blanche peut nager s'il est menacé et il arrive qu'il se noie ou qu'il meurre d'hypothermie.

Il peut aussi se nourrir d'oiseaux comme les grèbes, les pingouins, les mouettes, les canards, les foulques, les aigrettes et les oies ; il peut parfois s'attaquer à des proies plus importantes comme le Grand héron ou le cygne, mais aussi à des mammifères comme les lapins, les lièvres, les ratons laveurs, les rats musqués, les loutres de mer et les faons. Les reptiles, amphibiens et crustacés (en particulier les crabes) complètent le régime alimentaire du pygargue à tête blanche. Dans les colonies d'oiseaux de mer, il peut exercer sa prédation sur les adultes et les poussins, mais aussi sur les œufs[17].

Il utilise ses pattes aux serres acérées pour saisir et transporter ses proies. Lorsque la nourriture est insuffisante, le pygargue peut prendre la nourriture à d'autres prédateurs, comme le balbuzard pêcheur[18] ou bien attaquer des animaux comme le coyote, le renard, le vautour ou la corneille. Il peut lui-même être attaqué par l'aigle royal. En principe solitaires, les individus se rassemblent en groupes en hiver là où la nourriture est abondante. C’est notamment le cas pendant la migration des saumons.

Reproduction

Nid d'un pygargue à tête blanche.

Le pygargue à tête blanche peut se reproduire dès l'âge de quatre ans (quelques cas avec succès à trois ans) mais le plus souvent à partir de cinq ans : il retourne alors souvent à l'endroit où il est né (phénomène de philopatrie).

La saison de reproduction s'étend d'octobre à avril dans le sud de l'aire de répartition de l'espèce et d'avril à août dans le nord.

Les couples se reforment chaque année et exécutent une parade nuptiale spectaculaire. Ils s’accrochent tous les deux par les serres en tournoyant en plein ciel, se laissent tomber et se séparent juste avant de toucher le sol[19]. Les deux partenaires sont fidèles l'un à l'autre tout au long de leur vie. Ce lien cesse lorsque l'un meurt mais aussi si le couple ne peut se reproduire[20].

Mâle et femelle construisent ensemble le nid, posé sur le sol, accroché à une falaise ou installé sur un buisson ou dans un grand arbre (de préférence un pin dans une grande partie de l'aire de répartition), près d'une étendue d'eau. Le pygargue à tête blanche construit les plus grands nids d'Amérique du Nord : ils peuvent atteindre quatre mètres de hauteur, pour 2,5 mètres de largeur et peser jusqu'à une tonne[1], mais la dépression centrale n'atteint qu'une dizaine de centimètres. On a trouvé en Floride un nid de 6,1 mètres de hauteur, 2,9 mètres de largeur et pesant 2,7 tonnes[21]. Les rapaces peuvent aussi tout simplement ajouter à leur aire déjà installée des matériaux divers : verdures, lambeaux de peau, pelotes de réjection, branches... Le nid peut ainsi être regarni chaque année pendant une très longue période, près de 70 ans, avant de s’effondrer sous son poids.

Deux oisillons.

La femelle pond généralement deux œufs par an, parfois seulement un ou jusqu'à trois, rarement quatre. Les œufs, d'un blanc terne, mesurent en moyenne 7,3 centimètres sur 5,5 centimètres[14]. Ils peuvent constituer des proies faciles pour les mouettes, les grands corbeaux, pies, les ours noirs et les ratons laveurs. Le temps moyen d'incubation est de 35 jours. Les parents couvent à tour de rôle puis demeurent avec les oisillons, naissant couverts d'un duvet gris pâle, jusqu'à ce qu'ils aient quatre semaines. Le mâle et la femelle se relaient pour s'occuper de leur progéniture, améliorer le nid et chercher de la nourriture. Les oisillons quittent le nid vers l’âge de dix à treize semaines.

Le pygargue et les hommes

Statut et préservation

Pygargue à tête blanche

Le pygargue à tête blanche était une espèce commune dans toute l'Amérique du Nord avant d'être menacée par différents facteurs au milieu du XXe siècle. On attribua la fragilisation de la coquille des œufs à l'usage du pesticide DDT[22] et à la biomagnification. Si le DDT n'est pas mortel pour les adultes, il affecte néanmoins le métabolisme de l'oiseau, le rendant stérile ou incapable de produire des œufs viables[23]. Dans les années 1950, il ne restait plus que 412 couples de pygargues à tête blanche aux États-Unis, en dehors de l'Alaska. D'autres facteurs ont réduit la population des pygargues : la dégradation du milieu naturel, la chasse illégale, l'électrocution sur les lignes à haute tension, les collisions étaient les principales causes de mortalité de ces oiseaux. Ils étaient également affectés par la pollution au pétrole, au plomb et au mercure ainsi que par les intrusions humaines et des prédateurs[24].

Le pygargue à tête blanche a d'abord été protégé par le traité sur les oiseaux migrateurs de 1918, d'abord aux États-Unis et au Canada, avant que ce statut soit étendu à toute l'Amérique du Nord. Le Bald Eagle Protection Act de 1940, qui prenait également en compte l'aigle royal, interdisait leur capture à des fins commerciales et leur chasse[25]. Le pygargue à tête blanche fut déclaré espèce menacée par les États-Unis en 1967 ; des amendements à la loi de 1940 furent pris pour renforcer les restrictions commerciales et pour alourdir les peines envers les contrevenants[26]. En 1972, le DDT fut interdit aux États-Unis[27]. En 1989, le DDT fut complètement banni au Canada, après que son usage eut été strictement limité à la fin des années 1970[28].

Ces mesures eurent pour effet une augmentation du nombre de pygargues. Au début des années 1980, on estimait leur population à 100 000 oiseaux, entre 110 000 et 115 000 en 1992[1], avec une forte concentration en Alaska (40 000 à 50 000 individus) et en Colombie Britannique (20 000 à 30 000)[1].

Aujourd'hui, la population s'est stabilisée et le pygargue à tête blanche a été retiré de la liste des espèces en danger par le gouvernement américain. Le 12 juillet 1995, l'U.S. Fish and Wildlife Service le classait sur la liste des espèces en danger. Le 6 juillet 1999, les spécialistes proposèrent de l'enlever de cette liste[29], ce qui fut fait officiellement le 28 juin 2007. Le pygargue a aussi été classé dans la catégorie « préoccupation mineure » sur la liste rouge de l'UICN[30].

La population au Québec reste vulnérable même si l'espèce est en légère augmentation. La population y dépasserait cinq cent spécimens dont une centaine sur l'île d'Anticosti et le reste principalement en Outaouais[31].

Captivité

Pygargue en captivité.

Garder un pygargue en captivité est soumis à autorisation aux États-Unis. Seules les institutions publiques à vocation éducative sont autorisées à posséder cet oiseau. Elles montrent des animaux qui ont été blessés et qui ne peuvent survivre dans le milieu naturel. Les pygargues doivent être élevés dans des équipements adaptés et par des personnels expérimentés. Ils ne peuvent en aucun cas être utilisés pour la fauconnerie[32]. En règle générale, le pygargue n'est pas un oiseau facile à dresser du fait de sa nature timide, stressée et imprévisible. Il ne peut pas vivre longtemps en captivité et ne se reproduit pas, même dans les meilleures conditions[33]. Au Canada, une autorisation est aussi nécessaire pour la fauconnerie[34].

Le pygargue dans la culture amérindienne

Le pygargue à tête blanche était un oiseau sacré dans plusieurs cultures des Nord-Amérindiens qui utilisaient ses plumes pour les coiffes et les costumes religieux. Les aigles en général étaient considérés comme des messagers spirituels entre les dieux et les êtres humains[35]. Au cours des pow wows, plusieurs danseurs portaient les serres des oiseaux comme marque de prestige. Les plumes étaient employées dans les cérémonies sacrées, dans l'ornementation des vêtements d'apparât. Les Lakotas par exemple donnaient des plumes comme symbole honorifique aux personnes ayant réalisé un exploit. Aujourd'hui, elles peuvent être données à l'issue d'une cérémonie de remise de diplôme universitaire[36].

Pour les Pawnees, ces oiseaux étaient des symboles de fertilité parce que leurs nids sont aménagés en hauteur et parce qu'ils protègent farouchement leurs petits[37]. Les Kwakwaka'wakw éparpillaient des plumes pour accueillir des invités de marque[38]. Chez les tribus des Grandes Plaines, pendant la danse du Soleil, on émettait des sifflements en soufflant dans un os d'aigle. Aux États-Unis, la loi précise que seuls les membres d'une tribu amérindienne reconnue par le gouvernement fédéral peuvent obtenir des plumes de pygargue à tête blanche ou d'aigle royal pour des usages spirituels et religieux.

Symbole des États-Unis

Le pygargue à tête blanche est l'oiseau national des États-Unis. Il est l'un des symboles les plus connus du pays et apparaît sur la plupart des sceaux officiels, y compris sur celui du Président américain (image). Il a été choisi le 20 juin 1782 par le Congrès continental : il est représenté tenant des flèches et une branche d'olivier entre ses serres[39].


En 1784, après la guerre d'indépendance, le savant et philosophe Benjamin Franklin écrivit de Paris une lettre célèbre à sa fille critiquant ce choix et proposant de remplacer le pygargue par le dindon sauvage qui, selon lui, représentait mieux les qualités américaines[40]. Il estimait en effet que le rapace était un oiseau de mauvaise moralité (a Bird of bad moral character), et trop paresseux pour pêcher lui-même (too lazy to fish for himself), survivant seulement en dérobant les prises du balbuzard. Il préférait le dindon sauvage, qui était à ses yeux un oiseau bien plus respectable (a much more respectable Bird), un peu vaniteux et ridicule mais courageux (a little vain & silly [but] a Bird of Courage)[39].

Le pygargue à tête blanche apparaît sur plusieurs pièces de monnaie comme le quarter (25 cents), la pièce de 1 dollar et sur plusieurs monnaies commémoratives, ainsi que sur de nombreux timbres d'usage courant.

Entre 1916 et 1945, le drapeau présidentiel montrait le rapace la tête tournée vers sa gauche , ce qui donna lieu à la légende urbaine : l'oiseau regarderait vers le rameau d'olivier en temps de paix et vers les flèches en temps de guerre[41].

L'aigle "Sam" a été choisi en 1984 pour devenir la mascotte des Jeux olympiques d'été de Los Angeles. Dessiné par Robert Moore et ses associés des Productions Walt Disney, "Sam" prit une apparence très sympathique et joviale afin de plaire aux enfants.

Annexes

Bibliographie

  • Pamela J. Dell, The Bald Eagle, Compass Point Books, 2006, (ISBN 0756514592)
  • Mac Priebe, Jennifer Priebe, The Bald Eagle: Endangered No More, Mindfull Publishing, 2000, (ISBN 0966955188)
  • Stan Tekiela, Majestic Eagles: Compelling Facts and Images of the Bald Eagle, Adventure Publications, 2007, (ISBN 1591932009)
  • Art Wolfe, Bald Eagles: Their Life & Behavior in North America, Crown Pub, 1999, (ISBN 0517597470)
  • Crow killer / par Scott Phillips ; traduction Stéphanie Benson. Saint-Macaire : l'Ours polar, 2005, 56 p. (ISBN 2-9524118-1-6)

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu d’une traduction de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Bald Eagle ».
  1. a , b , c , d , e , f , g  et h del Hoyo, J., Elliott, A., & Sargatal, J., Handbook of the Birds of the World, 1994, Vol. 2, Lynx Edicions, Barcelona (ISBN 8487334156).
  2. D.M. Bird, The Bird Almanac: A Guide to Essential Facts and Figures of the World's Birds, Firefly Books, Ontario, 2004, (ISBN 1552979259)
  3. a  et b Bald Eagle, Haliaeetus leucocephalus, Cornell Lab of Ornithology. Consulté le 21-06-2007
  4. a , b  et c Harris, « Bald Eagle Haliaeetus leucocephalus », University of Michigan Museum of Geology. Consulté le 21-06-2007
  5. D. Sibley, The Sibley Guide to Birds, National Audubon Society, 2000, (ISBN 0679451226)
  6. Joshua Dietz, « What's in a Name », Smithsonian National Zoological Park. Consulté le 19-08-2007
  7. Henry George Liddell, Robert Scott, A Greek-English Lexicon, (Abridged Edition), Oxford University Press, 1980, (ISBN 0199102074)
  8. Carolus Linnaeus, Systema naturae per regna tria naturae, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis. Tomus I. Editio decima, reformata, Holmiae, (Laurentii Salvii), 1766, p.824, [lire en ligne]
  9. Haliaeetus leucocephalus, Integrated Taxonomic Information System. Consulté le 21-06-2007
  10. a  et b Bald Eagle Haliaeetus leucocephalus, The Pacific Wildlife Foundation. Consulté le 27-06-2007
  11. a  et b N. L. Brown, « Bald Eagle Haliaeetus leucocephalus », Endangered Species Recovery Program. Consulté le 20-08-2007
  12. a , b  et c WILDLIFE SPECIES: Haliaeetus leucocephalus, USDA Forest Service. Consulté le 21-06-2007
  13. Hope Rutledge, « Where to View Bald Eagles ». Consulté le 20-08-2007
  14. a  et b John K. Terres, The Audubon Society Encyclopedia of North American Birds, New York, Knopf, 1980, (ISBN 0394466519), p.477
  15. David W. Daum, « Bald Eagle », Alaska Department of Fish & Game. Consulté le 15-08-2007
  16. (en) Vermeer, K. & Morgan, K.H. (1989). Nesting populations, nest sites, and prey remains of bald eagles in Barkley Sound, British Columbia. Northwestern Naturalist, 70 : 21-26. résumé en ligne
  17. (en) WHite, A.J., Heath, J.P. & Gisborne, B. (2006). Seasonal timing of bald eagle attendance and influence on activity budgets of glaucous-winged gulls in Barkley Sound, British Columbia. Waterbids 29 (4) : 497-500. résumé en ligne
  18. (en) D.G. Jord, G. Lingle, Kleptoparasitism « by Bald Eagles wintering in South-Central Nebraska », dans Journal of Field Ornithology, volume 59, 1998, p.183-188, [lire en ligne]
  19. Bald Eagle (Haliaeetus leucocephalus), Michigan Department of Natural Resources. Consulté le 24-04-2007
  20. R.F. Stocek, « Bald Eagle », Canadian Wildlife Service. Consulté le 19-08-2007
  21. L. Erickson, Bald Eagle Journey North, 2007, [About Bald Eagle Nests lire en ligne]
  22. Leslie Brown, Birds of Prey: Their biology and ecology, Hamlyn, 1976, (ISBN 0600313069), p.226
  23. J. Bull, J. Farrand Jr, Audubon Society Field Guide to North American Birds:Eastern Region, New York, 1987, Alfred A. Knopf, (ISBN 0394414055), p.468-9
  24. Steven Milloy, « Bald Eagle », Fox News, 06-07-2006, [lire en ligne]
  25. Bald Eagle Protection Act of 1940, 07-06-2007, US Fish and Wildlife Service. Consulté le 27-06-2007
  26. U.S. Fish and Wildlife Service - Act Summaries, 14-11-2005, U.S. Fish and Wildlife Service. Consulté le 27-07-2007
  27. DDT Ban Takes Effect, 31-12-1972, United States Environmental Protection Agency. Consulté le 22-08-2007
  28. Jorge Barrera, « Agent Orange has left deadly legacy Fight continues to ban pesticides and herbicides across Canada », 04-07-2005. Consulté le 22-08-2007
  29. Species Profile: Bald eagle (Haliaeetus leucocephalus), U.S. Fish & Wildlife Service. Consulté le 27-06-2007
  30. The IUCN Red List of Threatened Species, IUCN. Consulté le 05-09-2007
  31. (fr)Pygargue sur grandquebec.com
  32. Eagle Exhibition Permits, US Fish and Wildlife Service. Consulté le 26-08-2007
  33. John R. Maestrelli, Stanley N. Wiemeyer, « Breeding Bald Eagles in Captivity », dans The Wilson Bulletin, vol.87, mars 1975, [lire en ligne]
  34. Fish and Wildlife Conservation Act, 1997, Ministry of Attorney General. Consulté le 24-08-2007
  35. (en)Julie Collier, « The Sacred Messengers », Mashantucket Pequot Museum. Consulté le 20-05-2007
  36. David Melmer, « Bald eagles may come off threatened list », 11-06-2007, Indian Country Today. Consulté le 23-08-2007
  37. Bald Eagle population recovery and The Endangered Species Act, US Fish&Wildlife Services. Consulté le 13-08-2007
  38. Steven C.Brown, Lloyd J. Averill, « Sun Dogs and Eagle Down », University of Washington Press. Consulté le 23-08-2007
  39. a  et b Original Design of the Great Seal of the United States (1782), National Archives. Consulté le 19-08-2007
  40. Bernard Cottret, La Révolution américaine : La quête du bonheur 1763-1787, Paris, Perrin, 2003, ISBN 2-262-01821-9, p.265
  41. Barbara Mikkelson, David P. Mikkelson, « A Turn of the Head », snopes.com
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