Guinée équatoriale

Guinée équatoriale

1°55′29″N 10°06′41″E / 1.92472, 10.11139

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República de Guinea Ecuatorial (es)
République de Guinée équatoriale (fr)
República da Guiné Equatorial (pt)
Drapeau de la Guinée équatoriale Armoiries de la Guinée équatoriale
(Drapeau de la Guinée équatoriale) (Armoiries de la Guinée équatoriale)
Devise nationale : Unidad, Paz, Justicia - Unité, Paix, Justice
carte
Langues officielles Espagnol, Français, Portugais[1]
Capitale Malabo
3°45′08″N 8°46′26″E / 3.75222, 8.77389
Plus grande ville Bata
Forme de l’État Dictature militaire
 - président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo
Superficie
 - Totale
 - Eau (%)
Classé 145e
28 051 km2
Négligeable
Population
 - Totale (2008)
 - Densité
Classé 158e
616 459 hab.
22 hab./km2
Indépendance
 - Date
de l'Espagne
12 octobre 1968
Gentilé Équato-Guinéens ou Guinéo-équatoriens
IDH (2007) 0.719 (moyen) ({{{IDH_rang}}})
Monnaie Franc CFA (XAF)
Fuseau horaire UTC +1
Hymne national Caminemos Pisando la Senda de Nuestra Inmensa Felicidad - Marchons sur le chemin de notre immense bonheur
Code ISO 3166-1 GNQ, GQ
Domaine internet .gq
Indicatif
téléphonique
+240


La Guinée équatoriale ou Guinée-Équatoriale, en forme longue la République de Guinée équatoriale et la République de Guinée-Équatoriale, en espagnol Guinea Ecuatorial et República de Guinea Ecuatorial, en portugais Guiné Equatorial et República da Guiné Equatorial, est un pays d'Afrique centrale. Elle est constituée de deux parties, l'une continentale, bordée par le Cameroun et le Gabon, l'autre insulaire avec l'île de Bioko (où se trouve la capitale Malabo) et l'île d'Annobón.

Sommaire

Toponymie

La typographie française prévoit, pour la graphie des noms d’unités administratives ou politiques, des traits d'union entre les différents éléments d’un nom composé et une capitale à tous les éléments (sauf articles). Il serait donc plus convenable d’écrire « Guinée-Équatoriale ».

Néanmoins, l'usage majoritaire est d'écrire Guinée équatoriale comme le font notamment la Liste annexée à l'arrêté du 4 novembre 1993, le Petit Larousse 2007 (et 2003), ou encore le Dictionnaire Hachette 2007.

Le Petit Robert des noms propres 2006 écrit cependant Guinée-Équatoriale et république de Guinée-Équatoriale (avec r minuscule).

Du temps de la colonisation, le pays constituait la Guinée espagnole.

Histoire

Préhistoire

Notre connaissance de la préhistoire de la Guinée équatoriale suit une subdivision géographique, l'île de Bioko d'une part, la province du Littoral entre Cameroun et Gabon d'autre part.

L'île de Bioko était toujours reliée au continent jusque 8000 av. J.-C. par un « pont » qui sera à partir de cette époque lentement immergé par la poursuite de la montée des eaux de l'Atlantique. Ce mouvement du niveau marin avait débuté vers 11000 av. J.-C. avec le réchauffement climatique de la fin du dernier Âge glaciaire. De ce fait, il est certain que ce territoire devait être habité par des populations nomades de chasseurs-collecteurs, à l'instar de ce qui est connu sur le continent actuel.

Les vestiges d'une présence humaine ont été découverts en fouille au site de Mossumu (province du Littoral) et datés de 30000 av. J.-C.. Il s'agit d'une industrie dite « Sangoenne », bien connue à cette époque à travers l'Afrique centrale. Quelques autres sites, de surface ou en affleurement stratigraphique, indiquent que l'Âge Moyen de la Pierre est bien représenté dans cette partie du pays. Par la suite, des vestiges, encore mal datés, illustrent autour de Bata et du Rio Muni la permanence de la présence de l'Homme, nomade, tailleur de pierre et chasseur-collecteur, jusque 3000 av. J.-C..

Sur l'île de Bioko, il s'agit d'une autre lecture ; celle-ci sera très certainement modifiée dans les années à venir avec l'installation de projets de recherches archéologiques. Trois gisements « pré-néolithiques » ont été recensés. Seul celui du séminaire de Banapa au sud de Malabo a été fouillé dans les années soixante par un anthropologue espagnol. Tout ce qui peut être dit est qu'il est antérieur à la « Tradition Timbabé » de Bioko, datée elle à partir de 2000 av. J.-C.. Il faut signaler que sur l'île d'Elobey Grande, des pierres taillées similaires à un Âge Récent de la Pierre ont été découvertes en surface. Ces trouvailles étayent l'idée d'une grande ancienneté de la présence humaine sur l'ensemble des îles équato-guinéennes avant qu'elles ne soient définitivement séparées du continent.

Enfin, l'expansion du mode de vie villageois en Afrique centrale implique dans sa modélisation, et avec le rapprochement des données de la linguistique, l'installation sur l'île de Bioko de villages dès 3500 av. J.-C.. Pour l'instant rien n'a été découvert pour vérifier cette hypothèse. La séquence archéologique de l'île, outre le pré-néolithique déjà mentionné, démarre avec la « Tradition Timbabé » connue sur treize points du littoral, peut-être dès 2000 av. J.-C.. Une continuité d'occupation de cette île est désormais bien attestée jusqu'à l'époque historique. À la suite du « Timbabé », on connait les Traditions « Carboneras », « Bolaopi », « Buela », et enfin « Balombe ». Cette dernière tradition est historique.

Sur le continent, entre Cameroun et Gabon, les données de fouilles restent lacunaires mais sont suffisantes pour affirmer que la séquence complète qui reste à découvrir sera dans les grandes lignes similaire à ce qui est connu au sud-Cameroun et dans la région de Libreville au Gabon.

Premiers contacts avec l'Europe

Les navigateurs portugais occupaient les îles de Príncipe et São Tomé depuis le milieu du XVe siècle et c’est de là, entre 1469 et 1474, qu’ils explorèrent la zone du golfe de Guinée.

Le 1er janvier 1471, João de Santarém et Pedro de Escobar débarquèrent sur une île qu’ils appelèrent « Ilha do Ano Bom » (de la bonne année) et qui devait conserver le nom hispanisé d’Annobón jusqu’à aujourd’hui. En 1474 un autre Portugais, Fernão do Pó, découvre dans le golfe du Biafra une île qu’il nomme « Formosa » (la belle), mais qui portera finalement son nom (en espagnol, « Fernando Póo »). Ces deux îles, avec celle de Corisco, furent longtemps utilisées comme embarcadères pour les esclaves.

Le climat et les maladies décimèrent de nombreux Espagnols, membres des expéditions successives envoyées sur place à partir de 1830.

Avec les traités de San Ildefonso et du Pardo (1777 et 1778), le Portugal livra à l’Espagne les îles de Fernando Póo, Annobón et de Corisco, en échange de la colonia del Sacramento, dans l'Amérique du Sud. Dans le même temps, l’Espagne se voyait accorder la liberté de commercer sur les côtes guinéennes depuis le delta du Niger jusqu’au cap Lopez, situé au Gabon actuel. En cette année 1778, une expédition partit de Montevideo pour prendre possession de ces territoires ; mais après le débarquement à Fernando Póo (actuelle Bioko), les membres de l’expédition furent touchés par de graves maladies qui provoquèrent une mutinerie et l’échec du voyage. Durant de nombreuses années, les îles furent donc isolées de la métropole, à l’exception de quelques navires de Buenos Aires ou de Montevideo qui y faisaient escale.

Occupation britannique (1827-1845)

En 1827, l’Espagne autorise la colonisation de l’île par les Britanniques. Santa Isabel, port et cité principale de l’île de Bioko, prend alors le nom de Port Clarence. C’est là qu’est constitué un tribunal destiné à réprimer le trafic d’esclaves.

À partir de 1832 de nombreux espagnols, voyageurs, scientifiques ou officiels visitent l’île, qui est finalement revendiquée à nouveau par l’Espagne en 1845, année au cours de laquelle Nicolás de Manterola y débarque le premier missionnaire.

Retour de l’Espagne (1845-1968)

En 1856, l’Espagne fonde officiellement la Guinée espagnole, initialement réduite au domaine maritime des côtes guinéennes, et son île principale. En 1858 est envoyé le premier gouverneur général de l’île, cette dernière bénéficiant un an plus tard du statut de colonie espagnole.

Cependant, le domaine de plus de 800 000 km2 laissé en Guinée par le Portugal à l’Espagne par les traités de San Ildefonso (1777) et du Pardo (1778) est plus ou moins abandonné, et l’Espagne rencontre bien des difficultés pour faire admettre ses droits de propriété auprès des autres puissances européennes qui viennent s'y installer : la France au Gabon, l'Allemagne au Cameroun et la Grande-Bretagne au Nigeria.

L’Espagne envoie un géographe, Manuel Iradier y Bulfy, qui s’emploie à partir de 1884 à réannexer les territoires du Rio Muni, en passant des traités avec les chefs locaux.

La conférence de Berlin de 1884-1885 sur le « partage de l’Afrique » tourne au désavantage de l’Espagne, qui ne se voit octroyer que 180 000 km2, sans compter les dépossessions dont elle fait l’objet sur le terrain de la part de la France.

Face à ses récriminations, une commission franco-espagnole est créée, qui aboutit au traité de Paris du 27 juin 1900 qui ne laisse à l’Espagne qu’un territoire de 26 000 km2, correspondant au Rio Muni, partie continentale de l'actuelle République de Guinée Équatoriale.

Indépendance

En 1958 est créé un gouvernement autonome. Dix ans plus tard, en 1968, l’ancienne dépendance autonome de Guinée espagnole accède à une indépendance pleine et entière et prend le nom de Guinée équatoriale.

Politique

La Guinée équatoriale est une république de type présidentiel. Le président actuel est Teodoro Obiang Nguema, neveu de Francisco Macías Nguema, le précédent potentat. Le pouvoir législatif est exercé par l'Assemblée nationale.

Le fonctionnement des institutions est très familial, puisque tous les postes à responsabilité sont détenus par des membres de la famille du président, issu de Mongomo (ethnie Fang). Ce pays est souvent qualifié de « démocrature » (dictature sous des oripeaux démocratiques) puisqu'il existe une « opposition légale » contrôlée par la présidence et que l'opposition réelle est réfugiée en Espagne. Son chef, Severino Moto Nsa, a déjà été condamné à plus de 100 ans de prison par contumace, accusé par le président d'avoir participé à la tentative de coup d’État lancée en 1997 contre lui.

Arrivé au pouvoir le 3 août 1979 suite à un coup d'État, Teodoro Obiang Nguema est régulièrement reconduit par lui-même à la tête du pouvoir :

1982 : nommé chef d'État pour 7 ans par le conseil militaire

1989 : élu avec 99,99 % des voix comme candidat unique

1996 : élu avec 97 % des voix comme candidat unique, dans un scrutin officiellement multipartite

2003 : élu avec 97,1 % des voix dans un scrutin multipartite (5 candidats autorisés).

Manuel Ruben N’dongo, un opposant équato-guinéen en exil à Paris, qui dirige le collectif des partis démocratiques d’opposition résume ainsi l'exercice du pouvoir : « Le pouvoir est aujourd’hui entre les mains d’une dizaine de personnes, toutes proches de la famille du président. Vous avez d’un côté le président Obiang, sous l’influence de sa femme dont la volonté manifeste est de propulser à tout prix son fils au sommet de l’État. De l’autre côté, Armengol et le général Mba Nguema, les frères du président, qui considèrent Teodorin comme incapable, voire dangereux »

Subdivisions

Géographie

La Guinée équatoriale

Bioko

Cette province comprend les anciennes îles de Fernando Póo et d'Annobón ou Pagalú. Elle a une superficie totale de 2 034 km², dont 2 017 correspondent à l'île de Bioko elle-même et 17 km² au territoire d'Annobón.

L'île de Bioko

Article détaillé : Bioko.

Nommée « Isla de Fernando Póo » durant la colonisation espagnole, en l'honneur du marin portugais qui la découvrit, elle se trouve au fond du golfe de Guinée, dans la baie du Biafra, à 33 kilomètres de la côte africaine, en face du Cameroun. L'aventurier Stanley l'avait surnommée la « perle de l'Atlantique ».

Elle a la forme d'un rectangle irrégulier, mesurant 76 kilomètres du Nord au Sud, avec une largeur moyenne de 35 km. À ses angles se trouvent Punta Hermosa (Nord), Punta Europa (Nord-Ouest), Punta Santiago (Sud-Est) et Punta Sagre (Sud-Ouest).

L'île d'Annobón

Article détaillé : Annobón.

Elle est de forme ovale, de 17 km de long et se trouve à 640 kilomètres du Gabon. Elle est d'origine volcanique et ne compte que 5 800 habitants. Elle fut découverte en 1471 par les Portugais, le jour de l'an, d'où son nom (Anno Bon), et fut cédée en 1778 à l'Espagne.

Économie

La Guinée équatoriale est l'un des pays les moins avancés au monde[2].

Démographie

Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.

Culture

Article détaillé : Culture de la Guinée équatoriale.
Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
1er janvier Jour de l'an Año Nuevo Interdiction de circuler
8 mars Journée internationale des droits des femmes Día de la Mujer
(fête mobile) Vendredi Saint Viernes Santo
1er mai Fête du travail Fiesta del Trabajo
25 mai Jour de l'Afrique Día de África
5 juin Anniversaire du président Cumpleaños del Presidente
(fête mobile) Corpus Christi Corpus Christi
3 août Fête des forces armées Fiesta de las Fuerzas Armadas Anniversaire du coup d'État de 1979
15 août Assomption Assompsión
12 octobre Fête nationale Fiesta Nacional
17 novembre Sainte-Isabelle Santa Isabel
10 décembre Journée des droits de l'homme Día de los Derechos del Hombre
25 décembre Noël Navidad Interdiction de circuler

Langues officielles

La loi constitutionnelle No 1/1998 du 21 janvier 1998, modifiant l'article 4 de la Loi fondamentale, établit que « les langues officielles de la République de Guinée équatoriale sont l'espagnol et le français » et que « les langues autochtones sont reconnues comme faisant partie intégrante de la culture nationale »[3].

En juillet 2007, le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a annoncé la décision du gouvernement d'adopter le portugais comme troisième langue du pays, ceci pour devenir membre plein de la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP). Cela n'est cependant pas encore le cas en juillet 2010 quand la Guinée équatoriale dépose sa demande formelle d'adhésion[4].

En réalité, 96% de la population parle espagnol, mais les autres deux langues officielles permettent de bénéficier des aides économiques qu'offrent la Francophonie et la CPLP.

De même, depuis mars 2011, le gouvernement équato-Guinéen songe à faire de l'anglais sa quatrième langue officielle,(L'Anglais est parlé par plus de 15 000 personnes à Bioko, et surtout à Malabo (ex-Port Clarence, fondé par les Britanniques) afin de se rapprocher des États anglophones proches et plus riches (Nigeria, Ghana). Des négociations avec le Commonwealth sont déjà lancées, mais traînent en longueur.

Cas du français

Après son indépendance, l'espagnol était devenu la seule langue officielle de la Guinée équatoriale, malgré le fait que la majorité de la population parle le fang.

La Guinée équatoriale est enclavée entre deux pays francophones, le Cameroun et le Gabon, faisant eux-mêmes partie d'un grand espace dont le français est la langue officielle. De plus, la Guinée équatoriale est le seul pays hispanophone d'Afrique.

Le français a donc été adopté en 1997 comme seconde langue officielle du pays et la présidence utilise aussi bien le français que l'espagnol. Par conséquent, le français est devenu une langue d'apprentissage obligatoire dans le secondaire – bien que seulement 10 % des jeunes y accèdent – et il est de plus en plus utilisé dans le monde économique à côté de l'espagnol[5].

Aujourd'hui le développement de la langue française en Guinée Équatoriale est notamment défendu à travers le groupe d'amitié parlementaire France - Guinée Équatoriale de l'Assemblée nationale[6] présidé par le député Jacques Valax.

Fête nationale (12 octobre)

La fête nationale est l'évènement majeur de l'année en Guinée-Équatoriale. Il s'agit d'une manifestation tournante organisée chaque année dans une ville différente. Tout le pays est mis à contribution pour organiser l'évènement. La ville sélectionnée est ainsi rénovée pour accueillir le président, sa cour et les nombreux équato-guinéens venu prêter allégeance au président.

Codes

La Guinée équatoriale a pour codes :

Divers

Population : 486 060 habitants (en 2001). 0-14 ans : 42,56 % ; 15-64 ans : 53,68 % ; + 65 ans : 3,76 %
Superficie : 28,051 km²
Densité : 17 hab./km²
Frontières terrestres : 539 km (Gabon 350 km; Cameroun 189 km)
Littoral : 296 km
Extrémités d'altitude : 0 m > + 3 008 m
Espérance de vie des hommes : 52 ans (en 2001)
Espérance de vie des femmes : 56 ans (en 2001)
Taux de croissance de la population : 2,46 % (en 2001)
Taux de natalité : 37,72 ‰ (en 2001)
Taux de mortalité : 13,11 ‰ (en 2001)
Taux de mortalité infantile : 92,9 ‰ (en 2001)
Taux de fécondité : 4,9 enfants/femme (en 2001)
Taux de migration : 0 ‰ (en 2001)
Indépendance : 12 octobre 1968 (ancienne colonie espagnole)
Lignes de téléphone : 10000 (en 2005)
Téléphones portables : 20 000 (en 2004)
Postes de radio : 180 000 (en 1997)
Postes de télévision : 4 000 (en 1997)
Utilisateurs d'Internet : 8000 (en 2006)
Nombre de fournisseurs d'accès Internet : 1 (en 2000)
Routes : 2 880 km (0 km goudronnés) (en 2000)
Voies ferrées : 0 km
Voies navigables : 0 km
Nombre d'aéroports : 5 (les 5 avec des pistes goudronnées) (en 2007)

Notes et références

  1. statut du portugais pas encore formalisé
  2. (en) List of Least Developed Countries, ONU. Consulté le 7 mai 2009.
  3. Dispositions linguistiques des États souverains
  4. Voir la déclaration officielle clôturant la réunion des chefs d'état de la CPLP à Luanda le 23 juillet 2010 [1] mais le président a promulgué un décret quelques jours avant la conférence d'après le Diário de Notícias du 21 juillet 2010 [2] et le site « Guinea-Ecuatorial.net »[3].
  5. http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/afrique/guinee_equatoriale.htm
  6. Fiche du groupe sur le site de l'Assemblée nationale

Annexes

Bibliographie

  • 2009 - Malabo, le nouvel Eldorado pétrolier de l'Afrique, Samuel Denantes Teulade, Éditions l'Harmattan ISBN 2-296-09637-9
  • 2007 - Sagesse et initiation à travers les contes, mythes et légendes Fang, Bonaventure Mve Ondo, Éditions l'Harmattan ISBN 978-2-296-02870-8
  • 2007 - Aux sources de la culture Fang, Paul Mba Abessole, Éditions l'Harmattan ISBN 2-296-02055-0
  • 2005 - La Guinée Equatoriale convoitée et opprimée, Max Liniger-Goumaz, Éditions l'Harmattan ISBN 2-7475-9174-3
  • 2005 - Guinée Equatoriale Aujourd'hui, Jean-Claude Klotchkoff, Éditions Jaguar ISBN 2-86950-393-8
  • 2004 - Macias. Verdugo o victima. Nze Nfumu A., Herrero y Associados, 267p.
  • 2001 - Atlas de Guinée Equatoriale, A. Lerebours Pigeonnière & Coll., Éditions Jaguar, ISBN 2-86950-334-2
  • 2001 - Guinée équatoriale, traces…, Emmanuel Rioufol & Jean-Luc Le Bras, Éditions Sépia, ISBN 2-84280-051-6
  • 2000 - Guinée Equatoriale, Un Pays méconnu, Max Liniger-Goumaz, Éditions l'Harmattan ISBN 2-85802-132-5
  • 2000 - Guinée Equatoriale, 30 ans d'état délinquant Nguemiste, Max Liniger-Goumaz, Éditions l'Harmattan ISBN 2-7384-6965-5
  • 1999 - Guinée Equatoriale Aujourd'hui, Brigitte Helali, Éditions Jaguar ISBN 2-86950-314-8
  • 1993 - Carrero, la eminencia gris del regimen de Franco, Tussel J, Madrid, Grandes Temas de Hoy, 478p.
  • 1988 - Brève Histoire de la Guinée Équatoriale, Max Liniger-Goumaz
  • 1986 - Donde estas Guinea, Balboa Boneke J., Madrid, Damarys 54, 224p.
  • 1983 - De La Guinée Équatoriale Nguemiste. Éléments Pour Le Dossier De L'Afro-Facisme, Max Liniger-Goumaz
  • 1983 - De La Guinée Équatoriale Nguemiste, Max Liniger-Goumaz
  • 1982 - Guinée Équatoriale. De La Dictature Des Colons à La Dictature Des Colonels, Max Liniger-Goumaz, Les Éditions Du Temps
  • 1979 - La Guinée Équatoriale. Un Pays Méconnu, Max Liniger-Goumaz
  • 1979 - La Guinée Équatoriale, Max Liniger-Goumaz

Article connexe

Liens externes


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