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Grand-Sault
Grand-Sault Administration Pays Canada Province Nouveau-Brunswick Comté ou équivalent Victoria, Madawaska Statut municipal Ville Fondateur
Date de fondationMalécites
InconnueConstitution 1896 Maire
Mandat en coursMarcel Yvon Deschênes
2008-2012Site Web http://www.grandfalls.com/ Démographie Population 5 858 hab. (2006) Densité 324.3 hab./km2 Langue(s) officielle(s) Français, minorité anglaise Géographie Coordonnées
géographiquesAltitudes mini. 0 m — maxi. 45 m Superficie 18 06 km2 Fuseau horaire -4 Indicatif +1-506 Code géographique Grand-Sault (anglais : Grand Falls) est une ville canadienne située dans le comté de Victoria, au nord-ouest du Nouveau-Brunswick. La ville tire son nom de ses chutes d'eau.
Sommaire
Toponyme
Les Malécites appelaient l'endroit Chibunikabit, ce qui signifie endroit destructeur ou géant destructeur, probablement en référence à la légende selon laquelle une jeune malécite, Malabeam, conduit des Mohawks à leur perte dans les chutes. Les chutes furent appelées successivement le Grand Sault Saint-Jean Baptitste (1688), Checanekepeag (1689), Grand chutes de Saint-Jean (1762) puis Grand Sault. La ville porta le nom de Colebrook jusqu'en 1870, avant d'être renommée selon ses chutes d'eau[1]. Grand-Sault est avec Beaubassin-Est la seule municipalité au Nouveau-Brunswick ayant un nom officiellement bilingue, c'est-à-dire que le nom anglais Grand Falls peut être utilisé.
Géographie
Article connexe : Géographie du Nouveau-Brunswick.Géographie physique
Situation
Grand-Sault est situé dans la vallée du fleuve Saint-Jean, dans le sud du Madawaska, à 55 kilomètres à vol d'oiseau au sud-est d'Edmundston. La ville a une superficie de 18,06 km2.
Grand-Sault est établie dans un méandre du fleuve Saint-Jean faisant près d'un kilomètre de diamètre. La vallée du fleuve est très abrupte dans la région. Après le Grand Sault, haut de 23 mètres, s'étend la gorge, longue de 1,5 kilomètres et dont la profondeur atteint 70 mètres par endroits. Une centrale hydroélectrique est construite dans les chutes et un canal souterrain fait passer une partie du courant sous la ville. Dans le méandre, juste avant le Grand Sault, la Petite Rivière se jette en rive gauche du fleuve. Grand-Sault est situé dans les Appalaches. Le centre-ville est établi sur un plateau atteignant 160 mètres d'altitude. Les trois collines de la ville sont: la colline au sud-ouest (251 m), la colline Drummond (206 m) et la colline Waddell (150 m).
Le centre-ville s'étire le long de Broadway, dans le méandre. Le quartier du portage de Grand-Sault s'étend vers le sud, le long de la rue du Portage. Colebrook-Ouest, nommé ainsi d'après l'ancien nom de la ville, s'élève sur une colline à l'ouest. À l'est du centre-ville s'élève le quartier de la colline Drummond tandis qu'au nord se trouve le quartier de la colline Waddell. Encore plus à l'est se trouve Hennigar-Corner.
Grand-Sault est situé à la limite nord-ouest du comté de Victoria. La partie est de la ville, située sur la rive gauche du fleuve, est en fait dans le comté de Madawaska, à ne pas confondre avec la région éponyme. L'état américain du Maine, plus précisément le comté d'Aroostook, se trouve à l'ouest. Grand-Sault est limitrophe de Saint-André au nord, de la Paroisse de Drummond à l'est, de la Paroisse de Grand-Sault au sud, de Caswell à l'ouest et de Hamlin au nord-ouest.
Géologie
Climat
Faune et flore
Géographie humaine
Voies de communication et transport
Grand-Sault possède un aérodrome public, dont le code OACI est CCK3. Il possède une piste longue de 3 000 pieds.
Morphologie urbaine
Logement
La ville comptait 2475 logements privés en 2006, dont 2385 occupés par des résidents habituels. Parmi ces logements, 58,9% sont individuels, 4,4% sont jumelés, 4,8% sont en rangée, 8,6% sont des appartements ou duplex, 20,1% sont des immeubles de moins de 5 étages et 1,3% sont des immeubles de plus de 5 étages. Enfin, 1,9% des logements entrent dans la catégorie autres, tels que les maisons-mobiles. 66,5% des logements sont possédés alors que 33,5% sont loués. 75,7% ont été construits avant 1986 et 9,2% ont besoin de réparations majeures. Les logements comptent en moyenne 6,3 pièces et 0,4% des logements comptent plus d'une personne habitant par pièce. Les logements ont une valeur moyenne de 128 977 $, comparativement à 119 549 $ pour la province[2].
Histoire
Articles connexes : Histoire de l'Acadie et Histoire du Nouveau-Brunswick.Origines
On ne sait pas précisément quand les Malécites s'y sont établis, mais la présence d'un village est connue. Des haches, des lances, des pointes de flèche et des harpons en pierre ainsi que des débris de poterie grossière datant de plusieurs milliers d'année ont été découverts sur les lieux. Les Malécites étaient nomades et faisaient peu d'agriculture. Ils occupaient toute la vallée du fleuve Saint-Jean et étaient ennemis des Mohawks. Il faisaient partie de la confédération Wabanaki pour se défendre de ces derniers. La légende de Malabeanah, raconte que pour sauver son village du attaque des Mohawks qui la tenait captive, cette jeune Malécite se serait suicidée en dirigeant leur bateau directement dans les chutes d'eau. Les premiers contacts avec les européens se firent au XVIIe siècle. Ils étaient alliés des Français, même s'il y avait parfois des trappeurs qui s'aventuraient illégalement dans leur territoire.
Grand-Sault fut mentionné pour la première fois dans un livre intitulé État présent de l'Église de la colonie française de la Nouvelle-France. écrit par Monseigneur de Saint-Vallier, il raconte son voyage en Acadie en 1686. Il écrit: « Le 16 mai nous arrivâmes à un endroit appelé Grand Sault St-Jean-Baptiste. Ici la rivière tombe furieusement, d'une hauteur de 60 pieds, formant une immense cascade qu'un épais brouillard enveloppe, le tumulte des chutes avertit de loin les navigateurs descendants en canots. ». Il note aussi la présence de quelques colons français dans la région. En 1695, le territoire s'étendant entre Grand-Sault et Médoctec fut concédé en seigneurie au Sieur René D'Amours. Il s'occupa peu de son domaine seigneurial et demeurait plutôt près de Sainte-Anne-des-Pays-Bas. Des missionnaires Récollets visitèrent Grand-Sault en 1691 alors qu'Antoine de Lamothe-Cadillac mentionne, en 1693, la présence d'un fort. Ce dernier servait au ravitaillement des voyageurs, qui devinrent plus nombreux à partir de la Guerre de Sept Ans.
En 1763, l'Acadie passa totalement aux mains des Britanniques alors qu'une bonne partie de sa population avait été déportée par ces derniers. En 1783, les Loyalistes s'établirent en Acadie et la province du Nouveau-Brunswick fut créée l'année suivante pour les accueillir. Les Acadiens de Sainte-Anne-des-Pays-Bas et du bas de la vallée du fleuve furent ensuite expulsés de leur terres et en juin 1785, un groupe décida de s'établir plus au nord, à Grand-Sault et dans le reste du Madawaska et ceci avec l'accord des Malécites.
Fort Carleton
En 1791, Thomas Carleton, le gouverneur du Nouveau-Brunswick, fit construire un fort à Grand-Sault. Le Madawaska était alors disputé entre le Québec, le Nouveau-Brunswick et les États-Unis. La Guerre de 1812 démontra que les routes de la région n'étaient pas assez sûres et le gouvernement colonial du Nouveau-Brunswick décida, en 1875, de construire un chemin de Woodstock à Grand-Sault et d'améliorer l'accueil et la protection des voyageurs à Grand-Sault. En 1816, le gouvernement donna une subvention à deux colons pour qu'ils s'établissent entre Grand-Sault et Presque-Isle. En 1823, il y avait à Grand-Sault trois soldats ainsi que les familles des quatre frères Michaud, Isaac, David, Joseph et Dominique. Parmi les soldats qui résidèrent dans la village à l'époque figurent les sergents Waddell, Sterling et Watson. Seul Watson a des descendants dans la région. Le différent territorial culmina par la Guerre d'Aroostook en 1838 et le traité Webster-Ashburton, en 1842, donna Grand-Sault au Nouveau-Brunswick. En 1838, James Brown et George Hayward visitèrent Grand-Sault et y mentionnent la présence d'une scierie appartenant à John Caldwell où travaillent des Canadiens-français et des Acadiens. En 1840, le lieutenant Cavalie Mercer, un anglais stationné à Woodstock, fit les premières peintures de la ville. En 1842, Grand-Sault fut inclus dans le canton de Colebrook, nommé en l'honneur du gouverneur du Nouveau-Brunswick, William MacBean George Colebrooke. Le premier arpentage fut fait pour l'armée britannique en 1844 par l'adjoint Gordon, alors que le colonel Beckwith conçu le plan de la ville, avec les rues Front, Broadway, Sheriff, Chapel, Basin, Manse orientées ouest-est et croisées perpendiculairement par les rues Main, Pleasant, Court, Church et Victoria. L'arpentage se fit à partir d'un gros orme à l'ouest, qui a maintenant disparu. Les lots furent quant à eux divisés en 1847 par l'ingénieur C. Inches.
Établissement de la ville
Après la famille Michaud, les familles à s'établire dans les premières années de la ville furent les Amireau, Anderson, Beardsley, Blair, Brown, Clifford, Beckwith, Graham, Graven, Hammond, Hart, Kearney, Kirlin, Morrison, Munroe, Reed, Raymond, Russell et Thompson. Par la suite, la ville vu l'arrivée des Beaulieu, Bell, Bourgoin, Bradley, Burgess, Burpee, Caldwell, Costigan, Crozier, Curless, Curran, Currier, Cyr, Day, Dixon, Estabrook, Etsey, Forbes, Fraser, Glen, Hallett, Hienveu, Howard, Kelly, Kertson, Leclair, Leslie, Lynch, Martin, May, Mazerolle, McCluskey, McCormick, McLaughlin, McLeod, McMillan, McNamus, Merritt, Michaud, Muckler, Mulherin, O'Reagan, Parent, Petit, Poitras, Quigley, Rainsford, Ryan, Saint-Amand, Sirois, Soucie, Stroup, Taylor, Thibodeau, Vasseur, Wade, Watson, West et Wilson. Ces familles avaient donc des origines diverses, des Acadiens et des Canadiens-français, des immigrants britanniques, des Loyalistes, des soldats, des vétérans, etc.
La ville se développa à l'origine sur le bord du fleuve, surtout sur la rue Front. Elle devint également la première rue commerciale. Les maisons étaient à l'origine de mauvaise qualité et construites pièces sur pièces. La première maison ossature de bois fut construite en 1830. La date d'ouverture du premier commerce n'est pas connue mais la ville comptait plusieurs magasins et hôtels en 1860.
Chronologie municipale
Grand-Sault est l'une des trois villes de la province, avec Fredericton et Saint-Jean, à ne pas faire partie d'une paroisse civile plus grande et ne doit donc pas être confondu avec la paroisse de Grand-Sault, située au sud. La paroisse-ville de Grand-Sault fut créé en 1852 dans le comté de Victoria. La paroisse fut constituée en municipalité en 1896.
Démographie
Article connexe : Démographie du Nouveau-Brunswick.Il y avait 5 650 habitants en 2006, soit une baisse de 7,9% en 10 ans, répartis en 2 380 ménages. L'âge médian est de 43,1 ans, comparativement à 41,5 pour la province. 85,3% de la population est âgée de plus de 15 ans, comparativement à 83,8% pour la province. Les femmes représentent 52,3% de la population, comparativement à 51,3% pour la province. Chez les plus de 15 ans, 32,5% sont célibataires, 48,5% sont mariés, 4,1% sont séparés, 6,8% sont divorcés et 8,0% sont veufs[3],[2].
Les autochtones représentent 1,7% de la population[4] et 1,0% des habitants font partie d'une minorité visible[5]. Les immigrants représentent 2,4% de la population, 0,6% des habitants ne sont pas citoyens du Canada et 93,5% sont issus de familles établies au Canada depuis 3 générations ou plus[6].
La langue maternelle est le français chez 83,7% des habitants, l'anglais chez 15,5%, les deux langues chez 0,2% et une autre langue chez 0,63% de la population. 76,5% de la population peut communiquer dans les deux langues officielles, 12,1% sont unilingues francophones et 5,8% sont unilingues anglophones. Le français est parlé à la maison par 80,3% des gens, l'anglais par 18,3%, les deux langues par 1,1% et une langue non-officielle par 0,4%[7]. Le français est la langue de travail de 67,8% des employés, l'anglais de 21,8% et 10,3% des employés utilisent les deux langues[8].
38,0% des habitants âgés de plus de 15 ans possèdent un certificat, diplôme ou grade post-secondaire, comparativement à 44,6% pour la province[9].
Évolution démographique récente 1991 1996 2001 2006 6 083 6 133 5 858 5 650 Administration
Le conseil municipal est formé d'un maire et de 8 conseillers de quartier. La ville est en effet divisée en quartiers nord et sud pour des fins administratives.
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 2008 en cours Marcel Deschênes 2004 2008 Paul Duffie Avocat 2001 2004 Gérald Carroll 1992 2001 Marcel Deschênes 1987 1992 Ronald Ouellette 1986 1987 Paul Duffie Libéral Avocat Toutes les données ne sont pas encore connues. Économie
Article connexe : Économie du Canada.Urbanisation
Éducation
Grand-Sault possède trois écoles publiques francophones faisant partie du district scolaire 3. L'école Marie-Immaculée et l'école Sacré-Cœur accueillent les élèves de la maternelle à la 6e année, tandis que la Polyvalente Thomas-Albert accueille les élèves de la 7e à la 12e année. Cette dernière possède aussi une classe alternative. Les élèves anglophones disposent de l'école publique John Caldwell, qui offre le cours complet de la maternelle à la 12e année et offre un programme d'immersion en français. Cette école fait partie du district scolaire #14.
La ville dispose également d'une bibliothèque, possédant une vaste collection de livres, journaux, films et musique, en plus d'une importante collection généalogique des familles francophones de la région et du Québec.
La Bibliothèque publique de Grand-Sault
La Bibliothèque publique de Grand-Sault est inaugurée en 1949 dans un petit local situé sur le boulevard Broadway, ou se trouve actuellement le Dari Delight. Elle se relocalise ensuite dans l’édifice Lagacé, édifice qui abrite actuellement L.P. Godbout Assurances. En 1972, la bibliothèque change de locaux une troisième fois pour s’installer dans l’immeuble de la Commission d’Énergie, édifice qui abrite actuellement L.P. Durepos Assurances. Elle devient également une composante de la Bibliothèque Régionale du Haut-Saint-Jean. En 1983, la bibliothèque délaisse le boulevard Broadway pour aménager dans l’édifice Masonic sur la rue Sheriff.
Depuis janvier 1999, la Bibliothèque publique de Grand-Sault a pignon sur la rue Pleasant dans l’édifice municipal et elle fait toujours partie de la Région de bibliothèques du Haut-Saint-Jean, l’une des cinq régions du Service des bibliothèques publiques du Nouveau-Brunswick.
Santé
Grand-Sault possède un poste d'Ambulance Nouveau-Brunswick ainsi qu'un hôpital.
Autres services publics
La ville possède un poste de la Gendarmerie royale du Canada. Il est le siège du district 10, qui regroupe les comtés de Madawaska et de Victoria.
Grand-Sault possède sa propre police municipale ainsi qu'un service de pompiers.
Grand-Sault est le siège d'un tribunal de la Cour provinciale du Nouveau-Brunswick.
Médias
Grand-Sault doit compter sur des publications extérieures pour son information. L'Acadie Nouvelle, de Caraquet, est distribué quotidiennement alors que Le Madawaska, d'Edmundston, est hebdomadaire. Le Telegraph-Journal, de Saint-Jean, est le quotidien anglais. On compte aussi le Bugle-Observer, un tri-hebdomadaire, et le Carleton Free Press, un hebdomadaire, tous deux publiés à Woodstock.
La ville possède une station de radio anglophone, CIKX-FM, propriété d'Astral Média. Deux postes francophones d'Edmundston, CJEM-FM et CFAI-FM, possèdent un retransmetteur à Grand-Sault. Radio-Canada diffuse en français et en anglais partout au pays.
Sport
Un sentier suivant le trajet de l'ancien chemin de fer traverse la ville du nord au sud. Un autre sentier longe les gorges dans le centre-ville. Le club de golf Grand-Sault compte 18 trous. Il y a une marina en amont des chutes.
Parcs et jardins
Cimetières
Eau, énergie et communications
La centrale hydroélectrique de Grand-Sault, opérée par Énergie NB, a une capacité de 66 mégawatt avec ses 4 turbines[10]. Elle fonctionne depuis 1928.
Culture
Personnalités
- Gilles Bernier (1955-), homme d'affaires et homme politique, né à Grand-Sault ;
- Benoît Michaud (1902-1949), agriculteur, avocat, enseignant, juge, notaire et homme politique, né à Grand-Sault.
Architecture et monuments
Article connexe : Architecture acadienne.L'église All Saints est un église anglicane en bois de style néogothique. Construite en 1850, elle est la première église de la ville. Son architecture est fortement associée aux idées du Révérant Edward S. Medley et de son père l'évêque John Medley, qui souhaitaient un renouveau gothique pour toutes les églises anglicanes de la province.
Cimetière Assomption
Cimetière Assomption (rue du Portage)
Église de l'Assomption
Marché agricole
Fort Carleton
Monument Herby Corbin
Maison Kirkpatrick
Canon Krupp
Centre Malobiannah
Temple maçonnique
Ancien bureau de poste
Cimetière Pine Hill
Magasin Sénéchal
Monument « Sons of Martha »
Église Unie Saint Andrews
Le Broadway
Cimetière Union
Église baptiste unie
Festivals et événements
Le carnaval d'hiver, incluant une compétition d'iglous, est organisé vers la mi-février. Le Symposium d'arts visuels du nord-ouest du Nouveau-Brunswick et le Festival du Rire sont organisés au début mai. Le tirage de camions et tracteurs est organisé à la fin juin. Le Festival régional de la patate dure une semaine vers le début juillet. Le Festibière est organisé vers la fin septembre.
Voir aussi
Notes et références
- ↑ (en) Alan Rayburn, Georgaphical Names of New Brunswick, Énergie, Mines et Ressources Canada, Ottawa, 1975, p. 121.
- ↑ a et b Recensement Statistique Canada 2006: Familles et ménages
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Population
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Peuples autochtone
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Minorité visible
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Immigration et citoyenneté
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Langue
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Langue de travail
- ↑ Recensement Statistique Canada 2006: Scolarité
- ↑ (fr) Énergie NB, Carte du réseau [lire en ligne (page consultée le 20 novembre 2008)].
Bibliographie
- (fr) Collectif, Fleurs des champs aux parfums d’autrefois, 2008.
- (fr) Anita Lagacé, Grand-Sault hier et aujourd'hui, 1946.
- (fr) Thomas Albert, Histoire du Madawaska, Hurtubise, 1986.
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