- Forêt de Rambouillet
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Forêt de Rambouillet
Une futaie au nord est du massif forestier.Localisation Coordonnées Pays France Géographie Superficie 22 000 ha[1] Longueur 35 km Largeur 15 km Altitude 110-180 m[1] Compléments Statut domaniale et privée Géolocalisation sur la carte : France
modifier La forêt de Rambouillet ou forêt d’Yveline, située dans le sud du département des Yvelines, est un des principaux massifs forestiers d'Île-de-France. Il s'agit d'un espace boisé de 200 km², dont 14 550 ha de forêt domaniale, qui s'étend sur le territoire de 29 communes. Le peuplement est constitué principalement de chênes, à hauteur de 68 %, et de résineux (pin sylvestre et pin laricio) pour 25 %. Ce massif comporte des étangs, des zones rocheuses, des étendues de sable, des vallons et des cascades. Une partie de la forêt se trouve dans le parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse.
La forêt de Rambouillet faisait autrefois partie d'un ensemble plus vaste, la « forêt de l'Yveline ». Après les défrichements du Moyen Âge il ne subsiste plus que des massifs forestiers disjoints. La forêt de Rambouillet, une des reliques de ce vaste ensemble, est progressivement aménagée pour les chasses royales du XVIe au XVIIIe. De cette époque date la création du réseau de routes en étoile, la constitution d'un ensemble homogène et la plantation des futaies. La forêt de Rambouillet, qui a hérité de son passé royal de nombreux aménagements, est actuellement en termes de fréquentation au deuxième rang des forêts d'Île-de-France, après la forêt de Fontainebleau.
Sommaire
Histoire
Le massif forestier de Rambouillet est une relique d'une antique forêt beaucoup plus étendue, la « forêt de l'Yveline », qui ceinturait Paris jusqu'à la Seine au nord, et comprenait les forêts de Laye, de Fontainebleau, d'Orléans et de Dreux. Le nom d’Yveline aurait pour origine étymologique le mot celtique ioline qui signifie « abondant en eau ». La forêt d’Yveline reste pratiquement intacte jusqu'au début du Moyen Âge : à cette époque les défrichements se multiplient sous l'impulsion des communautés religieuses. En 1202 la forêt devient la propriété des comte de Montfort. Ceux-ci organisent l'exploitation rationnelle de la forêt et de nombreux métiers en relation avec la coupe des bois apparaissent à cette époque dans la région comme les tonneliers et les charbonniers. La guerre de Cent Ans permet à la forêt de se reconstituer en partie. Le mariage d'Anne de Bretagne, héritière des Montfort, avec Charles VIII donne aux rois de France la propriété du massif forestier. Ceux-ci l'utilisent pour la chasse. En 1384 la forêt d'Yveline devient la propriété de la famille d'Angennes. Au XVIe siècle les défrichements font disparaitre la forêt d'Yveline dont il ne subsiste plus que des massifs forestiers isolés les uns des autres[2].
Une partie du massif forestier, qui correspond aujourd'hui la forêt de Rambouillet, est transformé pour les chasses royales : un réseau de routes en étoile, facilitant la pratique de la chasse à courre, se met en place à partir de Henri IV et est achevé sous Louis XIV. Le Roi achète des parcelles pour former un ensemble homogène qui préfigure la forêt domaniale actuelle. L’ordonnance de Colbert de 1669 impose un plan de gestion de la forêt et la création de futaies pour satisfaire les besoins de la Marine Royale. Au XVIIe siècle des rigoles et une suite d'étangs (dits « étangs de Hollande ») sont creusés pour former une succession de plans d'eau s'alimentant les uns les autres par écoulement gravitaire, afin de remplir les bassins et les fontaines du château de Versailles. Près de 15 000 hectares de terrains marécageux assainis par ces travaux peuvent être mis en culture[2].
La disparition de l'autorité royale sous la Révolution française entraîne, comme partout ailleurs dans le domaine royal, la multiplication des coupes sauvages. Le code forestier de 1827 rétablit un régime de coupes réglementées. Dans le cadre des reboisements opérés à cette époque les plantations de pin sylvestre se multiplient. La surexploitation de la forêt, liée à la l'utilisation du bois pour le chauffage, diminue progressivement. Le sol humide est drainé grâce à la création de fossés. Des enclos sont mis en place pour limiter les dégâts provoqués par la multiplication des lapins ; ce fléau sera endigué bien plus tard, en 1957, par une épidémie de myxomatose qui, en décimant les populations de lapin, favorisera la régénération de la forêt. En 1892 un premier plan d'aménagement de la forêt est rédigé. Il sera amendé plusieurs fois au cours du siècle suivant, la dernière fois après la tempête de 1999. La taillis sous futaie est abandonné après la Seconde Guerre mondiale au profit de la futaie, entérinant le fait que les sous-bois ne sont plus exploités pour le chauffage domestique. Au XXe siècle la forêt devient un espace de loisirs apprécié et fréquenté ; des équipements dédiés aux promeneurs et aux cyclistes sont aménagés à compter des années 1970 et les aménagements créés au cours de son histoire sont mis en valeur ; la chasse se maintient mais est pratiquée désormais par des catégories de population plus larges[2].
Géographie
Le massif forestier de Rambouillet est de grande taille (22 000 hectares) mais forme un ensemble discontinu. Il s'étend sur environ 35 kilomètres entre Orgerus et Béhoust au nord et Rochefort-en-Yvelines au sud et sur environ 15 kilomètres d'est en ouest. Il est entrecoupé de clairières et de zones cultivées, englobant plusieurs villages, et traversé selon une direction nord-est - sud-ouest par un important axe de communication emprunté par la route nationale 10 et par la ligne ferroviaire Paris-Chartres, le long duquel l'urbanisation s'est développée. Il est entouré par la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines au nord, et par les régions naturelles de la Beauce au sud et au sud-ouest, du Hurepoix à l'est et du Drouais et du Mantois à l'ouest et au nord-ouest. La partie orientale de la forêt se trouve dans le parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse dont elle constitue 40 % du territoire.
La forêt de Rambouillet s'inscrit dans un territoire géologique parcouru par un axe tectonique ouest-nord-ouest est-sud-est dont on retrouve la trace au sol dans l'orientation des étangs de Hollande et des Vaux de Cernay. La forêt occupe l'extrémité nord du plateau de Beauce qui est fortement attaqué à l'approche de la Seine par de nombreuses vallées. Le massif forestier se déploie dans sa partie occidentale sur un plateau d'une altitude moyenne de 160 mètres (point culminant à 174 mètres) au relief découpé par l'érosion tandis que dans le secteur oriental, le relief est plus varié. La forêt occupe les sols les plus acides et les plus pauvres qui ont été délaissés par l'agriculture. Le massif forestier comporte trois sous-ensembles principaux : le massif de Saint-Léger au nord, la forêt de Rambouillet située en son sud qui est séparée par la RN10 de la forêt d'Yvelines à l'est caractérisée par un relief plus vallonné comportant de nombreuses zones humides[3].
Le climat du massif forestier est très proche du climat moyen rencontré en Ile-de-France. Il est de type océanique dégradé avec des vents dominants de secteur sud-ouest. À Rambouillet on relève une température annuelle moyenne de 10,2° inférieure de 0,5° à celle de la ville voisine de Trappes : la différence est imputée au microclimat induit par la forêt. Les précipitation moyennes à Rambouillet étaient de 635 mm entre 1951 et 1980 mais pour les dernières décennies les chiffres sont en croissance régulière (+15% sur Trappes) sans que l'on puisse déterminer s'il s'agit d'une tendance figée. De même il a été observé une croissance de la température moyenne de 2 °C depuis les années 1960 qui a déjà une influence sur la flore avec l'apparition d'espèces plus méridionales dans le massif[3].
Hydrographie
Le massif de Rambouillet est parfois qualifié de « château d'eau des Yvelines » car de nombreux cours d'eau y prennent naissance et s'écoulent dans toutes les directions, bien que tous soient tributaires de la Seine. Ce sont notamment la Vesgre, vers l'ouest, et la Drouette, vers le sud (avec son affluent la Guéville), toutes deux affluents de l'Eure, l'Yvette, vers l'est, et divers ruisseaux rejoignant les bassins de la Mauldre et de la Vaucouleurs vers le nord.
Cette réserve d'eau a été exploitée dès le XVIIe siècle par l'aménagement de rigoles et d'un réseau linéaire d'étangs (dits « étangs de Hollande ») formant une succession de plans d'eau communicant les uns avec les autres par écoulement gravitaire et destinés à alimenter les bassins et les fontaines du château de Versailles. Ces étangs sont aujourd'hui aussi devenu un abri ou milieu de substitution pour de nombreuses espèces de zones humides, l'une des plus riche de la région. Ils sont gérés par un syndicat mixte (SMAGER)[4].
Le massif forestier
Le massif forestier est coupé à peu près en deux par une large bande de terrains centrée sur la Nationale 10 : la partie occidentale est constituée essentiellement par la forêt domaniale gérée par l’Office national des forêts (ONF) qui totalise une superficie de 13 825 hectares. La forêt privée (10 627 hectares), beaucoup plus fragmentée, est prépondérante dans la partie orientale. Une faible fraction de la forêt (3%) est détenue par les communes, les départements et d'autres collectivités et établissements publics. Dans la forêt domaniale l'essence principale est le chêne à hauteur de 68 % (données de 2005) qui est représenté par 3 variétés : le chêne pédonculé, le chêne sessile et enfin le chêne rouge introduit dans les années 1970 dans un but ornemental. Les conifères (pin sylvestre et pin laricio), qui représentent 25 % des plantations, ont été introduits à la fin du XIXe siècle et après la Seconde Guerre mondiale sur les sols les plus pauvres (sables). Ils ont été particulièrement touchés par la tempête de 1999. Le châtaignier se substitue au chêne sur certaines parcelles (2,3 %) tandis que le hêtre (1,7 %), représenté par des arbres de grande taille, se trouve mélangé avec le chêne[2].
Le mélange futaie de feuillus et taillis domine avec 58 % de la superficie, devant la futaie de conifères (25 %), la futaie de feuillus (8 %), la futaie mixte (9 %) et les taillis (2 %). La forêt privée, dont l'inventaire est plus difficile à établir, est composée des mêmes essences avec une présence moins forte des conifères (futaie de conifères 8 % et futaie mixte 4 %) et une proportion plus importante des taillis (13 %) [2].
La faune
Pratiquement tous les mammifères qui peuvent se rencontrer normalement à ces latitudes sont présents dans la forêt de Rambouillet mais le cerf constitue l'animal emblématique du lieu. On trouve, selon la richesse du milieu naturel, de 2 à 4 cervidés pour 100 hectares de forêt. Le sanglier est également très présent comme l'indique le nombre de bêtes abattues sur la seule forêt domaniale (200-300 par an pour les années 1995-2000 mais 700 par an en 2002-2004). Le troisième grand mammifère présent est le chevreuil. Les prédateurs naturels de ces grands animaux, le loup et le lynx, ont disparu. Pour limiter la pression des populations sur leur milieu naturel, des plans de chasse sont organisés périodiquement [2].
Les petits mammifères qui sont les plus fréquents dans la forêt sont le lièvre, le lapin, le blaireau européen, le renard, la belette, la fouine, la martre, le putois, le lerot, le loir, le mulot sylvestre, le campagnol roussâtre, la musaraigne, la taupe, l'écureuil et le hérisson. De nombreuses espèces d'oiseau profitent des différents biotopes offerts par le massif forestier dont un certain nombre d'espèces protégées au niveau européen comme le pic noir, la pie-grièche écorcheur, le pic mar, le blongios nain, l'engoulevent d'Europe et la bondrée apivore[2]. Dix-neuf espèces de chauve-souris sont représentées dont une espèce forestière, le murin de Bechstein, est particulièrement présente[3] .
La forêt de Rambouillet abrite toutes les espèces de reptile courantes en Ile-de-France. Le lézard vert, le lézard des murailles, le lézard des souches et le lézard vivipare, la couleuvre coronelle lisse et la couleuvre à collier et enfin l'orvet. Les amphibiens présents sont les triton ponctué, triton palmé, triton crêté, triton marbré, le crapaud commun, la grenouille rousse, la grenouille agile, la rainette et le groupe des grenouilles vertes. Parmi les insectes on trouve de nombreuses espèces de libellules dont la leste dryade, le sympretum noir, la grande aeschne, le sympetrum jaune d'or et l'agrion nain (Ischnura pumilio), de nombreuses espèces de papillons dont deux d'intérêt communautaire (annexe II de la directive de la CEE) - l'écaille chinée et le damier de la succise - plusieurs espèces de coléoptères protégées dont deux relevant de la même directive communautaire - le grand capricorne et le lucane cerf-volant[2].
Plusieurs espèces animales introduites accidentellement ont une incidence parfois négative sur les populations indigènes. Ce sont la tortue de Floride relâchée dans certains étangs, le ragondin qui est apparu dans le département des Yvelines il y a quelques années, le rat musqué présent depuis plus longtemps, le wallaby de Bennett probablement échappé de la réserve zoologique de Sauvage à Émancé qui se maintient dans le sud du massif, le faisan de Colchide peut-être à l’origine de l’absence de vipères, la bernache du Canada dont la population est en expansion continue, l'écrevisse américaine et la perche soleil prédateurs qui concurrencent les espèces indigènes et la coccinelle asiatique[3].
Les aménagements
La forêt est parcourue par des allées rectilignes, se recoupant en étoiles, qui ont été tracées autrefois pour les besoins de la chasse à courre. Les équipements destinés à l'accueil du public, concentrés essentiellement dans la forêt domaniale qui est la partie du massif forestier la plus fréquentée, ont été mis en place dans les années 1970 avec l'aide financière des collectivités locales. Dans la partie gérée par l'ONF, ces équipements comprennent principalement un réseau de sentiers de grandes et petites randonnées de 92 km, 60 km de pistes cyclables, 3 sentiers de découvertes de la nature et 57 sites touristiques d'accueil aménagés (table-bancs, panneaux d'information). Les sommières et layons, créés pour l'entretien de la forêt, sont ouverts aux cavaliers[2].
La forêt domaniale de Rambouillet inclut également le parc du château de Rambouillet (domaine de chasse présidentiel) d'une superficie de 600 hectares et l'espace Rambouillet sur 250 hectares qui regroupe 3 parcs animaliers : la forêt des cerfs est un sentier pédestre d'observation qui permet aux visiteurs d'observer ces animaux, la forêt des aigles permet d'observer plusieurs espèces de rapaces en vol libre et la forêt sauvage qui permet d'observer librement les animaux grâce à un sentier aménagé à cet effet[2].
Fréquentation
La forêt de Rambouillet reçoit environ 11 millions de visiteurs annuels (chiffres 1998-99), ce qui la place au deuxième rang des forêts d’Île-de-France, après la forêt de Fontainebleau, en termes de fréquentation[5]. Les visites sont particulièrement concentrées sur certains sites : les étangs de Hollande, les Vaux de Cernay, la Sablière du Pont Grandval, les rochers d'Angennes, les étangs situés dans la forêt et certains carrefours comme celui de Pecqueuse et celui du Comte de Toulouse[2].
La chasse à Rambouillet est un héritage de son passé royal mais répond aujourd'hui à la nécessité d'éviter la prolifération des grands animaux dont la population n'est plus régulée par des prédateurs et de contenir le nombre d'animaux nuisibles (renard, ...). Différents types de chasse sont pratiquées : la chasse à courre se déroule sur l'ouest du massif forestier avec un nombre de prises annuelles contingenté à 30 cerfs. Des chasses en battue sont organisées par l'ONF. Les plans de chasse recensés sur une année portent sur 145 chevreuils, près de 300 cerfs, une dizaine de daims et plusieurs centaines de sangliers[2].
Les mesures de protection du massif forestier
Le classement en forêt de protection
Le massif de Rambouillet est classé « forêt de protection » par décret en Conseil d'État le 11 septembre 2009[6]. Le périmètre de classement englobe la forêt domaniale, au centre, et la forêt privée en périphérie, soit une surface ainsi protégée de 25 250 hectares. La forêt de Rambouillet est ainsi, par sa superficie, la deuxième forêt de protection depuis que ce statut a été créé en 1922[7].
Les sites Natura 2000
Trois sites Natura 2000 concernent la forêt de Rambouillet[2] :
- Le site « Forêt de Rambouillet » d'une superficie de 1 983 hectares protège plusieurs sites caractérisés par une flore originale comme les vieilles chênaies acidophiles des plaines sablonneuses à Quercus robur[8].
- Le site « Tourbières et prairies tourbeuses de la forêt d’Yveline » (820 ha) protège des plusieurs milieux tourbeux abritant par ailleurs des espèces végétales protégées[9],
- Le site « Massif de Rambouillet et zones humides proches » qui protège 17 110 hectares et qui recoupe en grande partie les deux autres sites[10].
Risques pour les promeneurs
En raison de populations relativement denses de cerfs et de chevreuils, et en l'absence de leurs régulations par des prédateurs sauvages (loups, lynx... ont disparu depuis plus d'un siècle) les visiteurs et forestiers peuvent être exposés au risque d'être piqués par une tique. Plusieurs espèces de tiques peuvent véhiculer diverses maladies dites maladies à tiques, dont la maladie de Lyme qui semble en pleine expansion depuis la fin du XXe siècle[11]. Il est donc recommandé de limiter le risque de piqûres de tiques en restant dans les chemins, en rentrant le bas de pantalon dans les chaussettes et en pulvérisant éventuellement un répulsif à base de DEET sur le pantalon. Au retour, il faut s'inspecter et se faire inspecter en recherchant d'éventuelles tiques déjà accrochées, et le cas échéant les enlever, si possible avec un tire-tique ou outil similaire.
Galerie
Notes et références
- ISBN 9782067117532), p. 351. Île-de-France, Chartres, Chantilly, Senlis - Volume 13 de Guide de tourisme, Michelin, 2006 (
- Une « forêt de protection » à Rambouillet Procès Verbal d'état des lieux Dossier de classement », avril 2007 Direction départementale de l'équipement et de l'agriculture des Yvelines, «
- Diagnostic territorial du Parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse », avril 2008 [PDF] Institut d'aménagement et d'urbanisme d'Ile de France, «
- Conseil général des Ponts et Chaussées - Audit technique du programme de travaux du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Etangs et Rigoles - SMAGER - du château de Versailles, juillet 2005 [PDF]
- La fréquentation des forêts publiques en Ile de France », juillet 2000, p. 33 [PDF] Bruno MARESCA (CREDOC), «
- Site de la DDEA des Yvelines sur le classement en forêt de protection du massif de Rambouillet
- Une forêt de protection à Rambouillet, Procès Verbal d'état des lieux, DDEA, préfecture de Yvelines [PDF]
- Site Natura 2000 Forêt de Rambouillet
- Site Natura 2000 Tourbières et prairies tourbeuses de la forêt d'Yveline
- Site Natura 2000 Massif de Rambouillet et zones humides proches
- Pichon B, Mousson L, Figureau C, Rodhain F, Pérez-EID C. Density of deer in relation to the prevalence of Borrelia burgdorferi s.l. in Ixodes ricinus nymphs in Rambouillet forest, France. Exp. Appl. Acarol. 1999;23:267-275.
Voir aussi
Articles connexes
- Étangs de Hollande
- Forêt
- Liste des principales forêts de France
- Liste des forêts des Yvelines
- Espace Rambouillet
- Château de Rambouillet
Liens externes
Bibliographie
- La Forêt de Rambouillet de Jean-Pierre Hervet et Patrick Mérienne, éd. Ouest-France, coll. Tourisme-Guides, 112 p., 1996 (ISBN 2737319412)
- VTT, n° 6 : Forêt de Rambouillet, guide Arfaz, coll. VTT, 2002 (ISBN 2847440003)
- La Forêt de Rambouillet en VTT, guide ONF, coll. Les Parcours VTT Évasion, 1994 (ASIN B00008D6BH)
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