Château de Noyers-sur-Serein

Château de Noyers-sur-Serein
Château de Noyers
Image illustrative de l'article Château de Noyers-sur-Serein
Tour en cours de restauration
Nom local Le vieux château
Période ou style Moyen Âge
Type Château fort
Début construction avant le XIe siècle
Propriétaire initial les seigneurs de Noyers
Destination initiale Ouvrage militaire,
siège d'une seigneurie.
Destination actuelle chantier de restauration
ouvert à la visite
Site web www.lepatrimoineoublie.fr
Coordonnées 47° 42′ 04″ N 3° 59′ 51″ E / 47.701111, 3.997547° 42′ 04″ Nord
       3° 59′ 51″ Est
/ 47.701111, 3.9975
  
Pays Drapeau de France France
Région Bourgogne
Département Yonne
Commune française Noyers

Géolocalisation sur la carte : Bourgogne

(Voir situation sur carte : Bourgogne)
Château de Noyers

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
Château de Noyers

Le château de Noyers-sur-Serein est une ancienne forteresse médiévale située à Noyers, dans l'actuel département de lYonne.

Édifié dès avant le XIe siècle par les seigneurs de Noyers, le château est agrandi et fortifié au début du XIIIe siècle par Hugues de Noyers, évêque d'Auxerre. Le personnage marquant de la lignée de cette famille puissante est sans conteste Miles X de Noyers, maréchal de France et conseiller du roi.

Le comté de Noyers passe ensuite pour un siècle aux ducs de Bourgogne et le château constitue lune des clés du duché.

Propriété du prince de Condé, chef du parti huguenot, Noyers devient pendant les guerres de religion lenjeu de combats et de sièges acharnés entre catholiques et protestants puis entre ligueurs et royalistes, avant dêtre détruit en 1599 par ordre du roi Henri IV.

Il ne subsiste que des ruines de ce qui fut, aux dires de lhistorien Ernest Petit, une « formidable forteresse, lune des plus considérables de toute la Bourgogne »[1].

Sommaire

Géographie

Le château est construit sur un éperon rocheux dominant assez largement un méandre marqué du Serein. Le site offre une configuration idéale pour la défense.

Histoire

Les Miles de Noyers

Cest dans la seconde moitié du XIe siècle que les seigneurs de Noyers commencent à faire parler deux. Quatre-vingt fiefs relèvent de leur château, bien situé sur un éperon barré dominant largement un méandre du Serein. Il ne ne compose alors que dun grand donjon carré et dune chapelle[2].

Sceau de Clérambaud de Noyers

Un siècle plus tard, Clérambaud de Noyers fait élever une muraille autour du donjon, avant daccompagner en 1190 le roi Philippe-Auguste à la croisade, il trouve la mort. Son frère Hugues de Noyers, évêque d'Auxerre et tuteur de son neveu Miles VII, agrandit le château et le fortifie de 1196 à 1206. Il fait construire un logis seigneurial, une triple enceinte, des souterrains et une chapelle. Il fait creuser de profonds fossés[1]. Il transforme ainsi lancien donjon en un vaste château moderne, conforme aux principes de larchitecture philippienne. Noyers est alors cité comme lun des plus beaux et riches châteaux de France[3]. Il se préoccupe également du village qui sest développé au pied du château, dans un méandre de la rivière, et le fait entourer d'une muraille[2].

En 1216 éclate la guerre de Succession de Champagne. Miles VII et son beau-frère Erard de Brienne, prétendant au comté de Champagne, senferment à Noyers avec leurs partisans. Ils soutiennent un siège victorieux de plusieurs mois contre la comtesse Blanche de Navarre[1].

Blason des Miles de Noyers

Noyers était jusqualors un franc-alleu noble, libre de tout hommage. Mais à la fin du XIIIe siècle, Miles X de Noyers cède au duc de Bourgogne Robert II la suzeraineté sur sa châtellenie, moyennant le versement de 7 000 livres tournois[4]. Noyers devient dès lors une place bourguignonne, à la frontière entre le duché et le comté de Champagne réuni depuis peu au domaine royal. Ce seigneur de Noyers est un personnage important de l'époque, fait maréchal de France par Philippe le Bel en 1303, gouverneur dArtois, conseiller de plusieurs rois de France, il participe aux batailles de Courtrai, de Mons-en-Pévèle, de Cassel et de Crécy.

À partir de 1337, les prétentions du roi Édouard III d'Angleterre sur la couronne de France déclenchent une longue succession de conflits entre la France et lAngleterre, la guerre de Cent Ans. En 1360, ayant échoué à prendre Reims, la ville du sacre, Édouard III conduit son armée dans une chevauchée à travers la Bourgogne. Jean de Noyers étant alors prisonnier des anglais depuis la bataille de Poitiers, Edouard III renonce à assiéger son château[5]. Il suit le Serein jusquà Guillon, quil occupe et il signe avec le duc de Bourgogne Philippe de Rouvre le traité des moutons d'or. Mais après le traité de Brétigny, Édouard licencie son armée de mercenaires, qui se livre alors au pillage des villes de Bourgogne, dont Noyers qui souffre beaucoup du passage de ces Grandes Compagnies[1].

À Pâques 1366, Miles XII, petit-fils du maréchal, reçoit dans son château le duc Philippe de Bourgogne, qui se rend de Paris à Avignon pour y rencontrer le pape Urbain V.

Cest à la mort de Miles XII que cette puissante famille s'éteint en 1370.

Au XVe siècle

Philippe le Bon, duc de Bourgogne

En 1419, la châtellenie de Noyers est achetée par la duchesse de Bourgogne Marguerite de Bavière, veuve de Jean sans Peur. Le château de Noyers navait pas traversé intact les décennies précédentes, autant à cause du manque dentretien que des troubles de la guerre de Cent Ans, comme le confirme un rapport établi à la demande de la duchesse. Dimportants travaux de remise en état sont alors entrepris jusquen 1429, réfection des maçonneries, travaux de charpente, couverture des tours. On procède également à des aménagements afin dinstaller de lartillerie : trois veuglaires, quatre canons dont un de très gros calibre[1].

Armoiries des ducs de Valois-Bourgogne

Pendant la guerre entre les Armagnacs et les Bourguignons, Noyers est lune des clefs de la Bourgogne, du côté de la Champagne[1]. En septembre 1343, Philippe le Bon, venu avec larmée ducale déloger dAvallon Jacques d'Espailly, dit Fortépice, en fait son quartier général. Lannée suivante Fortépice, à la tête dune troupe décorcheurs, tente en vain de semparer de Noyers et de Montréal[5].

En 1463, les troupes du roi Louis XI, en conflit avec le duc Charles le Téméraire, mettent le siège devant Noyers, sans résultat. En 1472, la menace française se précise aux frontières de la Bourgogne. Des renforts et de lartillerie sont envoyés à Noyers pour parer à toute attaque[5].

Mais les armes de Bourgogne ne flottent bientôt plus sur Noyers, car lÉtat bourguignon seffondre à la mort de son maître, Charles le Téméraire, lors de la bataille de Nancy en 1477. Noyers échoit alors en récompense à Charles dAmboise, comte de Brienne, qui a mené la conquête du duché de Bourgogne pour Louis XI[5].

Noyers passe en 1493 à la maison d'Autriche, à la suite du traité de Senlis qui compensait la rupture de fiançailles entre Marguerite dAutriche, petite-fille de Charles le Téméraire, et le roi Charles VIII[2].

Au XVIe siècle

En 1508, une clause du traité de Cambrai prévoit la remise de la châtellenie de Noyers à Jeanne de Hochberg, comtesse de Neuchâtel, en compensation de la perte de son Fort de Joux, pris par les troupes autrichiennes[6]. François Ier profite de la mort de Louis dOrléans-Longueville, époux de Jeanne de Hochberg, pour sapproprier Noyers en 1516. Il faut attendre le traité de Nice en 1538 pour que Jeanne entre en possession de lhéritage de son époux. Elle décède en 1543 ; son fils François dOrléans lui succède, mais meurt au château de Noyers en 1548. Sa veuve, Jacqueline de Rohan, gère les domaines comme tutrice de ses enfants Léonor et Françoise[7].

Héritière de Noyers, Françoise d'Orléans épouse le 8 novembre 1565 Louis de Bourbon, prince de Condé. La terre de Noyers est alors érigée en comté, et Louis de Bourbon devient 1er comte de Noyers[7].

Les guerres de religions

Article détaillé : Guerres de religion (France).

Dans la guerre de religion qui vient déclater en France, le nouveau maître de Noyers sest imposé à la tête du parti protestant, plus sans doute par opposition aux Guise que par ferveur religieuse. Les protestants sont alors présents dans de nombreuses villes de la région : Avallon, Cravant, Vézelay, Noyers possèdent des lieux de culte. La région est ravagée par les troupes protestantes de lamiral de Coligny et de son frère François dAndelot, depuis leur château de Tanlay, et par les troupes catholiques du maréchal de Saint-André et du comte de Tavannes[7]. Les violences des deux partis, renforcés de troupes étrangères, se répondent. Lédit d'Amboise, signé en 1563 par le prince de Condé et le connétable de Montmorency, ramène dans le royaume une paix passagère.

En Bourgogne, le prince de Condé partage sa résidence entre ses châteaux de Noyers et de Vallery, quil a reçu de la veuve du maréchal de Saint-André[8]. Après la deuxième guerre de religion à laquelle il a activement participé, Condé se réfugie à Noyers avec sa femme et ses enfants. Malgré la fragile paix de Longjumeau (1568), il craint pour sa sécurité et fait renforcer le château et la ville, dont la garnison sélève désormais à 200 hommes. Pourtant, les protestants sont en pays amis dans le tonnerrois, entre les châteaux dAncy-le-Franc, de Noyers et de Tanlay, quoccupent les Coligny[7].

Blason du prince de Condé

Ses craintes sont pourtant fondées puisquen juillet 1568, le comte de Tavannes, gouverneur de Bourgogne, reçoit de la cour lordre darrêter les chefs protestants, avec le soutien de quatorze compagnies dinfanterie. Toutefois, lordre nest pas signé du roi mais de Catherine de Médicis, et Tavannes se décide à avertir Condé de ce qui se trame. Le 23 août 1568, Condé et les Coligny, accompagnés de leurs familles, fuient la Bourgogne pour La Rochelle, place-forte qui leur est acquise[7].

Ayant reçu du roi lordre de semparer de Noyers, Tavannes met le siège et fait donner son artillerie qui perce rapidement trois brèches dans les murailles médiévales. La garnison doit capituler le 2 novembre 1568. Le château est saccagé et son riche mobilier dispersé, malgré les clauses de lacte de capitulation. Une compagnie est laissée en garnison et peu de temps après, les protestants sen emparent. Mais quelques semaines plus tard, à la fin de lannée 1568, ils doivent se rendre au maréchal de Cossé, qui ne laisse quune faible garnison[7].

Au début de lannée 1569, la guerre reprend et le 13 mars a lieu la bataille de Jarnac. Laffrontement tourne mal et Condé, blessé et son cheval tué sous lui, se rend lorsquil est abattu par un capitaine du duc dAnjou. Le premier prince de Condé, premier comte de Noyers, chef de larmée huguenote, meurt à 39 ans.

Le château de Noyers est resté sous la garde dun capitaine et dune petite garnison de 25 hommes. Mais la peste se déclare dans la ville et la garnison déserte. Avertis, les huguenots sinstallent dans le château en août. Le roi Charles IX décide alors den finir et donne lordre de démanteler la forteresse. Une armée royale se dirige vers Noyers, prend le château, le pille et le ruine, une partie de la garnison est massacrée par la population[7].

La Ligue

En 1589, le roi Henri III meurt assassiné. Son cousin Henri de Navare lui succède sous le nom dHenri IV. Mais une partie importante des catholiques refuse de reconnaitre sa légitimité. La guerre civile noppose désormais plus les catholiques et les protestants, mais le parti royaliste et ceux qui sont hostiles à Henri IV, organisés autour de la Ligue.

Noyers est alors entre les mains dun capitaine et dune garnison royalistes. En février 1590, ils sont délogés par des ligueurs venus de Chablis. En 1591, ce qui subsiste du château est assiégé par Charles de Choiseul-Praslin, lieutenant du roi en Champagne, mais cest le maréchal dAumont qui parvient à prendre Noyers[7].

François de la Magdelaine, gouverneur de Noyers

En 1592, François de la Magdelaine, seigneur de Ragny, nommé gouverneur de la ville et du château par le roi, est assiégé par Jean de Saulx, fils du gouverneur de Tavannes. Mais ce que le farouche ligueur ne peut faire par la force, Antoine Duprat, baron de Vitteaux, lobtient par la ruse. Avec son lieutenant Villeferry, il sintroduit par surprise dans Noyers. Il renforce les défenses de la ville et du château, puis confie Noyers à Villeferry et à une garnison importante. François de la Magdelaine tente de reprendre la place, mais il échoue avec de lourdes pertes[7].

Lannée suivante, excédés par la cruauté du baron de Vitteaux et les exactions de ses hommes, les habitants de Noyers profitent de son absence pour semparer de Villeferry et se rendre maîtres de la place. Ils appellent à leur secours le sire de Ragny et des seigneurs du voisinage. Mais le baron accourt et donne lassaut au château, quil parvient à reprendre par traitrise. Une trêve sinstalle entre le château, aux mains des ligueurs, et la ville, aux royalistes[7].

Le 17 mai 1595, veille de la Pentecôte, vers 5 h du matin quelques soldats du château parviennent par ruse à sintroduire dans la ville, à poignarder les gardes de lune des portes et à louvrir à une troupe de ligueurs venus dAvallon et des alentours. La ville est prise et pillée[7].

On disait alors :

« Dieu nous garde du feu, de l'eau
et du baron de Vitteaux[1] »

Toutefois, assiégé par les troupes du maréchal de Biron[1], Antoine Duprat, baron de Vitteaux, se soumet à Henri IV le 6 juillet 1595. Il accepte de remettre le château et la ville entre les mains du roi sous un délai de deux ans, moyennant le versement dune forte indemnité et la possibilité demporter les canons et les munitions présents dans le château[7].

Rentré en possession de Noyers, le roi remet la cité à la princesse de Condé et à son fils Charles de Bourbon-Soissons. Mais il prend la précaution dordonner par un édit de mars 1599 que le château soit rasé. En effet, le roi nentend pas que la forteresse de Noyers permette une nouvelle révolte contre le pouvoir royal[7]. La même année, le château de Montréal subit un sort identique. Pour récompenser François de la Magdelaine de sa fidélité, le roi érige ses terres de Ragny en marquisat et lui remet la châtellenie de Montréal.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles

Dorénavant, sans demeure digne du rang de ses puissants propriétaires, le comté de Noyers représente essentiellement pour eux une source de revenus.

Pourtant en 1611, un capitaine de la ville et du château continue à être nommé. C'est François Estiennot, écuyer, maître d'hôtel du roi, seigneur de Vassy (sous-Pisy, 89) qui remplit cette fonction. Il en sera aussi, par la suite, gouverneur[9].

En 1612, Louis de Bourbon-Soisson succède à son père. Il meurt en 1641 à la bataille de la Marfée. Il laisse toutefois un héritier : son fils naturel Louis Henri de Bourbon, âgé dun an seulement. En 1694, celui-ci épouse Angélique de Montmorency-Luxembourg, fille du maréchal de Luxembourg, qui lui donne deux filles. Lainée épouse en 1710 Charles Philippe dAlbert, quatrième duc de Luynes, en apportant le comté de Noyers et dautres seigneurie importantes à la maison de Luynes[4].

Malgré la destruction du château sur les ordres dHenri IV, on voyait encore des tours entières et des grands pans de murs. En 1785 et en 1788-1789, Louis-Joseph-Charles-Amable d'Albert de Luynes en autorise la démolition afin de construire un mur le long du Serein, pour donner un travail à la population la plus pauvre[4].

Cest lui qui vend le comté de Noyers et ses dépendances en 1789-1790[4].

Le château de nos jours

vue actuelle des ruines du château de Noyers-sur-Serein

Après des siècles d'abandon, le site du vieux château est un lieu peu accessible, boisé, avec quelques "moignons" de maçonnerie noyés sous la végétation, quasiment oublié des nucériens (habitants de Noyers). Depuis les travaux dErnest Petit dans la seconde moitié du XIXe siècle, le château des sires de Noyers est resté largement méconnu des historiens eux-mêmes[10].

Pourtant, en 1998, un groupe de passionnés fonde lassociation Le patrimoine oublié afin de réhabiliter le site et le faire connaître au grand public. Cest le début de travaux de grande ampleur afin de dégager, de fouiller et de restaurer deux tours et un tronçon de courtine. Des chemins daccès et de visite ainsi quune signalétique ont été mis en place pour présenter lensemble du site aux visiteurs. Depuis 2000, des recherches documentaires ont également été menées en archives afin de mieux connaître lhistoire du château de Noyers[11].

Architecture

Essai de reconstitution du château à la fin du XIIe siècle, par Charles Mignard

La forteresse était établie sur un plateau en forme de triangle, dont deux des côtés dominent la rivière. Elle touchait la ville de Noyers par la pointe sud et communiquait avec elle par un châtelet avec pont-levis, la porte de Venoise. Elle était défendue du côté nord, le moins escarpé, par une grande enceinte avec remparts et tours (les Grands Vergiers), puis par un large fossé creusé dans le roc et par une muraille renforcée de cinq tours[12].

Derrière sétendait la basse-cour, avec le logement des hommes d'armes et une chapelle. Enfin, séparé par un double fossé, le château proprement dit, avec la cour dhonneur surmontée dun gros donjon carré du XIe siècle, une citerne, une chapelle, un logis seigneurial[12].

On accédait au château en traversant des ouvrages avancés avec pont-levis, puis en longeant la fortification par des lices comprises entre les deux enceintes, avant daccéder à la cour dhonneur[12].

Noyers était donc une place-forte considérable profitant dun site naturellement défensif, avec une triple enceinte, plusieurs larges fossés, plus de vingt tours, des châtelets avec pont-levis.

Plan de Noyers par Ernest Petit
Plan du château par Ernest Petit

Sources

Notes et références de l'article

  1. a, b, c, d, e, f, g et h Ernest Petit, « Les sires de Noyers », dans Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Année 1874, 28e volume [texte intégral] 
  2. a, b et c Le Guide des châteaux de France : YONNE, Hermé (ISBN 2-86665-028-X) 
  3. Mérimée
  4. a, b, c et d M. Guérard, « Noyers et ses anciens seigneurs », dans Annuaire historique du département de lYonne, Année 1854 
  5. a, b, c et d Ernest Petit, Avallon et lAvallonnais - étude historique, 1867 (réimpr. librairie Voillot, Avallon, 1991) 
  6. Ernest Petit, « Noyers au XVIe siècle - Les Condé à Noyers », dans Annuaire historique du département de lYonne, Année 1881 
  7. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m E. Maillot, « Les guerres de religion à Noyers et dans les environs », dans Bulletin de la Société dÉtudes dAvallon, Années 1890 à 1893 
  8. Ambroise Challe, Histoire des guerres du Calvinisme et de la Ligue, 1863 (réimpr. Mégariotis Reprints, Genève, 1978) 
  9. Philippe Henrion,"Nouvelles données sur les origines de dom Claude Estiennot de la Serrée, collaborateur et ami de Mabillon", dans Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, 137e volumes, 2005, p. 279-283, ou aux archives du château de Vassy sous Pisy (89).
  10. Fabrice Cayot, « Noyers-sur-Serein (Yonne). Le château. », dans Bulletin du centre détudes médiévales dAuxerre [En ligne], no 9, 2005 [texte intégral (page consultée le 14 novembre 2009)] 
  11. Fabrice Cayot, « Une monographie dun château bourguignon disparupour quoi faire ? », dans Bulletin du centre détudes médiévales dAuxerre [En ligne], no 12, 2008 [texte intégral (page consultée le 14 novembre 2009)] 
  12. a, b et c Charles Mignard, Abbé Alexandre Parat, « Le château monumental de Noyers », dans Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Année 1916 - 70e volume 

Voir aussi

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