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Organisation internationale de la francophonie
Organisation internationale
de la Francophonie
Devise : Égalité, Complémentarité, SolidaritéCréation 20 mars 1970 Siège Paris Langue(s) Français Membre(s) 56 États et gouvernements Secrétaire général Abdou Diouf Personne(s) clé(s) Léopold Sédar Senghor
Habib Bourguiba
Hamani Diori
Norodom SihanoukSite web http://www.francophonie.org/ L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est une institution dont les membres (des États ou gouvernements participants) partagent ou ont en commun la langue française et certaines valeurs (comme, notamment, la diversité culturelle, la paix, la gouvernance démocratique, la consolidation de l'État de droit, la protection de l'environnement). Elle regroupe une cinquantaine de pays (membres de plein exercice et associés), principalement issus d'anciens protectorats ou colonies Françaises et une dizaine d’États observateurs, soit plus de 750 millions d’habitants répartis sur les cinq continents.
Le 20 mars de chaque année est célébrée dans le monde la « Journée internationale de la Francophonie ».
Abdou Diouf, ancien président du Sénégal, en est le secrétaire général depuis le IXe Sommet de la Francophonie d’octobre 2002, à Beyrouth, où il a été élu pour quatre ans, succédant ainsi à Boutros Boutros-Ghali. Il a été réélu, le 29 septembre 2006, pour un second mandat par le XIe Sommet de la Francophonie (Bucarest, Roumanie).
Elle s’appuie sur quatre opérateurs directs (l' Agence universitaire de la francophonie, TV5, l’ Université Senghor d'Alexandrie, l’ Association internationale des maires francophones) et une assemblée consultative. Elle coopère avec de nombreuses associations comme l’AFAL, la FIPF, l’UPF, ADIFLOR, etc.
L’OIF veut contribuer à la prévention des conflits au sein de l’espace francophone, favoriser la consolidation de l’État de droit et de la démocratie, et agir pour la promotion et l’effectivité des droits de l’Homme dans l’espace francophone. Elle a la volonté de promouvoir la diversité culturelle. Elle est au service de l’éducation et intervient à toutes les étapes de la formation. Elle est aussi au service de l’économie et du développement.
Sommaire
Fonctionnement
L’Organisation internationale de la Francophonie compte 56 États et gouvernements membres et 14 observateurs.
C’est le Sommet de la Francophonie qui constitue la plus haute instance de l’OIF, il se tient tous les 2 ans. (Ouagadougou, Burkina Faso en 2004, Bucarest, Roumanie en 2006 et Québec, Canada en 2008).
L’Organisation internationale de la Francophonie repose sur 5 acteurs (un opérateur principal et 4 opérateurs directs) :
- L’Agence intergouvernementale de la Francophonie (AIF) qui gère notamment des programmes de coopération dans les domaines de l’éducation et de la culture ; le budget et les activités de l’AIF sont décidés lors des Conférences ministérielles de la Francophonie.
- L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) ; fondée en 1961, elle rassemble des établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans le monde.
- L’Université Senghor d'Alexandrie (Égypte), créée par le Sommet de Dakar (Sénégal, 1989) ; l’enseignement s’y fait en langue française, elle a été reconnue d’utilité publique internationale.
- L’Association internationale des maires francophones (AIMF) regroupe 156 capitales et métropoles de 46 pays francophones, s’intéresse aux problématiques d’urbanisme et de gestion municipale.
- TV5 est la seule chaîne de télévision en langue française disponible dans le monde entier ou presque.
Il existe par ailleurs d’autres organismes de la Francophonie tels que le Conseil international des radios-télévisions d’expression française (CIRTEF) ou le Comité international des Jeux de la Francophonie (CIJF).
L’organisation de la Francophonie pourrait constituer un moyen de mettre en commun le patrimoine francophone, mais dans la pratique cet effort est laissé à l’initiative individuelle des éditeurs. Ceux-ci, pour le moment, concentrent surtout leurs efforts aux échanges entre la France et le Québec.
Sommet des chefs d’État et de gouvernement
Article détaillé : Sommet de la Francophonie.Le sommet de la Francophonie, instance suprême de la Francophonie multilatérale, la Conférence des chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage, se réunit en principe tous les deux ans afin de définir les grandes orientations politiques de la Francophonie.
Après Versailles en 1986, Ville de Québec en 1987, Dakar en 1989, Paris en 1991, Île Maurice en 1994, Cotonou en 1995, Hanoï en 1997, Moncton en 1999, Beyrouth en 2002, Ouagadougou en 2004, Bucarest en 2006, ville de Québec en 2008, le prochain sommet se déroulera à Madagascar en 2010.
Conseil permanent de la Francophonie
Article détaillé : Conférence ministérielle de la Francophonie.Outre la conférence des ministres chargés de la Francophonie, existent la Conférence des ministres francophones de l’éducation nationale des pays ayant le français en partage (CONFEMEN) et la Conférence des ministres francophones de la Jeunesse et des Sports des pays d’expression française (CONFEJES). Le Conseil permanent regroupe des personnalités renommées de différents domaines.
Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF)
Article détaillé : Assemblée parlementaire de la Francophonie.Cette assemblée rassemble des représentants des parlements nationaux.
Comité international des Jeux de la Francophonie (CIJF)
Le CIJF veille à la mise en place des Jeux de la Francophonie.
Niamey, capitale du Niger, a accueilli la 5e édition du 7 au 17 décembre 2005 (voir [2]).
Les opérateurs de la Francophonie
Les opérateurs directs de la Francophonie se composent d’un opérateur principal, l’Organisation International de la Francophonie (OIF), et de quatre opérateurs directs qui sont :
- l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF)
- TV5Monde
- l'Université Senghor d'Alexandrie
- l'Association internationale des maires francophones (AIMF).
l'Organisation internationale de la Francophonie
Fondée en 1970, sous le nom d’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), cette organisation intergouvernementale est chargée d’intensifier la coopération culturelle et technique entre ses membres, elle intervient comme opérateur principal de la Francophonie dans les domaines suivants : éducation et formation (à l’exception de l’enseignement supérieur), sciences et techniques (à l’exception de la recherche), agriculture, culture et communication (à l’exception de la télévision), droit (à l’exception de la démocratie locale), environnement et énergie. Les domaines exclus précédemment sont de la compétence des autres opérateurs directs.
Cette organisation est alliée au Forum Francophone des Affaires[1], seule organisation économique qui lui est associée. Ce forum fédère les acteurs économiques de ces pays. Au point d’intersection des domaines politiques et économiques, le FFA facilite le développement des relations et des échanges entre acteurs économiques publics et privés.
Agence universitaire de la Francophonie (AUF)
Agence universitaire de la Francophonie Adresse C.P. 400, Côte-des-Neiges,
Montréal, Québec,
H3S 2S7, CanadaTéléphone +1 (514) 343 6630 Site http://www.auf.org Article détaillé : Agence universitaire de la Francophonie.Créée en 1961, l’Agence universitaire de la Francophonie (anciennement « Association des universités partiellement ou entièrement de langue française ») est une institution multilatérale qui soutient la coopération et la solidarité entre les institutions universitaires travaillant en français, prioritairement avec les pays francophones d’Afrique, du Monde arabe, d’Asie du Sud-Est, d’Europe centrale et orientale et des Antilles. Elle contribue également au développement de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Plus de 500 établissements (universités publiques et privées, instituts d’enseignement supérieur, centres ou institutions de recherche, réseaux institutionnels et réseaux d’administrateurs liés à la vie universitaire), répartis dans les pays appartenant à l’OIF et au-delà, sont membres de l’AUF. À ces membres, il convient d’ajouter un réseau de plus de 350 départements d’études françaises d’établissements universitaires du monde entier. L’ensemble de ces établissements constitue un réseau unique de partenaires que l’AUF fédère et anime à travers ses huit programmes d’actions et de soutien.
L’AUF est présente dans plus de 40 pays, à travers ses bureaux régionaux, ses centres d’accès à l’information, ses campus numériques ou ses instituts de formation. Son siège se trouve à l’Université de Montréal au Canada.
Depuis 1989, l’Agence est un opérateur direct de l’OIF et elle participe, grâce au soutien des états et gouvernements ayant le français en partage, à la construction et à la consolidation d’un espace scientifique en français.
TV5
TV5MONDE Adresse 131, avenue de Wagram,
75805 Paris Cedex 15,
FranceTéléphone +33 (0)1 44 18 55 55 Site http://www.tv5.org Article détaillé : TV5MONDE.Créée en 1984, la télévision internationale francophone TV5 rassemble des chaînes européennes de langue française (France Télévisions, l’INA, ARTE France, RFO, la RTBF pour la Belgique et la TSR pour la Suisse), ainsi que le consortium de télévision Radio-Canada et Télé-Québec, avec le CIRTEF (Conseil international des radios-télévisions d’expression française).
Diffusant 24 heures quotidiennes dans le monde entier (son audience est estimée à plus de 180 millions de foyers), elle a pour mission de développer des programmes régionaux répondant aux attentes de publics diversifiés.
Université Senghor d'Alexandrie
Association internationale des maires francophones (AIMF)
Association internationale des maires francophones Adresse 9 rue des Halles,
75001 Paris,
FranceTéléphone +33 (0)1 44 88 22 88 Télécopie +33 (0)1 40 39 06 62 Courriel sp@aimf.asso.fr Site http://www.aimf.asso.fr Article détaillé : Association internationale des maires francophones.Fondée en 1979, l’AIMF devient un opérateur direct de la Francophonie lors du Sommet de Cotonou en 1995. Elle a pour mission d’établir entre les maires et les responsables des capitales et des métropoles partiellement ou totalement francophones une coopération étroite dans tous les domaines de l’activité municipale (gestion des collectivités locales, élaboration de programmes d’informatisation, formation du personnel).
Son président actuel est Bertrand Delanoë, maire de Paris (élu président de l’AIMF en 2001).
Membres de l’Organisation internationale de la Francophonie[2]
L’organisation internationale de la Francophonie compte, en 2008, 56 États et gouvernements membres (dont 3 membres associés) et 14 observateurs, répartis en 7 régions du monde. Parlé par 220 millions de locuteurs francophones réels dans le monde (évaluation Organisation mondiale de la Francophonie : 2007)[3], le français a statut de langue officielle, seul ou avec d’autres langues, dans 32 États et gouvernements membres de l’OIF.
Europe
Amérique et Caraïbes
- Canada, gouvernement fédéral
- du Nouveau-Brunswick
- et Québec
- Dominique
- Haïti
- Sainte-Lucie
Afrique du Nord
et Moyen-OrientAsie et Pacifique
Afrique de l’Ouest
Afrique centrale
Afrique de l’Est
et Océan IndienNotes :
- La classification par région est celle publiée officiellement par l’Organisation internationale de la Francophonie.
- (a) : membre associé.
- (o) : membre observateur.
Cas particuliers au sein des pays membres
Cas de la Belgique
La Belgique est représentée dans l'OIF par le gouvernement fédéral et le gouvernement de la Communauté française de Belgique, ces deux gouvernements y ayant chacun le statut de « membres». Néanmoins, la Communauté française a l'exclusivité de la participation belge dans certains domaines, comme par exemple, la représentation parlementaire belge au sein de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie.[4] Les délégations belges sont composées de membres du Parlement de la Communauté Française (ou Communauté Wallonie-Bruxelles) et de membres francophones de la Chambre des Représentants et du Sénat : «L'Assemblée générale de la Section de l'APF de la Belgique/Communauté française/Wallonie-Bruxelles est composée de tous les membres du Parlement de la Communauté française ainsi que des membres de la Chambre et du Sénat appartenant au groupe linguistique français de ces deux Assemblées.» dans les statuts de la section de la Belgique/Communauté française/Wallonie-Bruxelles de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie[5].
La Région wallonne prend indirectement part à la délégation de la Communauté française[6] mais n'est reconnu comme membre de l'organisation car la plupart des membres du gouvernement de la CFB sont membres du gouvernement wallon.[7] Cette synergie entre les gouvernements communautaire et régional existe depuis le 26 novembre 1996 par la signature d'un accord de coopération.[8] La communauté francophone rassemble les communes francophones de la Région wallonne et les communes bilingues de la région de Bruxelles-Capitale. Toutefois, des francophones vivent également en Région flamande sans y être représentés.
Cas du Canada
Les gouvernements du Québec (depuis 1971) et du Nouveau-Brunswick (depuis 1977) ont le statut de « gouvernements participants » au sein de l'OIF et de son prédécesseur, l'Agence de coopération culturelle et technique.
Une entente entre les gouvernements du Québec et du Canada est intervenue le 7 novembre 1985 afin de préciser les modalités de la participation des deux ordres de gouvernement aux délibérations des Sommets de la Francophonie. L'entente, qui balise la participation du Québec et du Canada aux sommets, a été étendue au gouvernement du Nouveau-Brunswick.
Les autres provinces et territoires canadiens sont représentés par la participation du gouvernement fédéral.
Cas de la France
La France est très influente par la participation de ses associations et organisations non-gouvernementales ou de certains organismes d’État au plan culturel et scientifique qui disposent d’une autonomie de fonctionnement assez large pour leur permettre de travailler dans des domaines de coopération internationale (telles les universités et bibliothèques).
Le statut des collectivités française d’outre-mer disposant d’un gouvernement propre leur permet d’adhérer directement à certaines organisations internationales et d’être parties à certains traités, ce qui leur permettrait d’adhérer directement à l’organisation. Toutefois, ce mouvement est freiné par l’opposition des souverainistes qui y verraient une reconnaissance par le gouvernement français de leur plus grande autonomie. Certains pays français d’outre-mer (et même certains départements d’outre-mer) sont pourtant déjà parties de certains traités internationaux reconnus par la France, notamment en matière de coopération régionale (notamment économique, environnementale ou judiciaire), et tous collaborent largement par leurs structures locales culturelles, de recherche et d’enseignement.
Communautés francophones de pays non membres
Cas des États-Unis
Les États-Unis n’ont pas de langue officielle définie constitutionnellement au plan fédéral, bien que l’anglais soit prédominant et requis dans nombre d’actes de la vie civile, à l’exception de certains États ou comtés où les communautés francophones sont davantage présentes. L’enseignement des langues ne revêt pas de caractère obligatoire pour les résidents même si l’apprentissage de l’anglais est aujourd’hui une condition nécessaire pour l’obtention de la citoyenneté américaine (ces règles dépendent toutefois de l’État de résidence, où d’autres langues sont aussi utilisées localement telles l’espagnol ou l’allemand, et sont officiellement unilingues ou bilingues).
Le droit à l’expression dans sa langue maternelle est cependant reconnu par le droit de recourir aux interprètes, notamment dans les actes judiciaires. Les textes de loi historiques ne sont pas tous rédigés en anglais, et que ceux-ci restent à l’appréciation des juges, l’usage de la jurisprudence étant souvent plus fréquent et fort que les lois.
L’État de Louisiane admet dans sa Constitution le droit à l’usage du français dans les actes civils, y compris pour l’acquisition de citoyenneté (dans d’autres États, l’espagnol est aussi admis, et est même presque obligatoire à Porto Rico). La communauté francophone est également importante en Californie et à New York. La question de l’adhésion à la Francophonie des États de Louisiane, ainsi que du Maine et du Vermont (où les francophones sont nombreux) y est discutée, mais pose problème car de nombreuses autres communautés linguistiques coexistent dans tous les États, et la charte de la Francophonie pose des problèmes liés au conflit d’intérêt avec la politique fédérale à laquelle sont soumis tous les États. Il est à noter que la Louisiane était représentée au sommet de Québec (2008) en qualité d'invité spécial.
Dans les faits, seul Porto Rico possède un statut officiel approuvé constitutionnellement pour une autre langue que l’anglais, car celui-ci dispose d’une autonomie plus large. Pour les autres États, le gouvernement fédéral met un veto à l’adhésion des États à des communautés linguistiques reconnues, car les États-Unis sont formés d’une mosaïque de nombreuses langues (y compris aborigènes) qui dès lors voudraient toutes obtenir un statut spécial pour leur reconnaissance. De fait, la situation actuelle conduit au statu quo, et aucun État, ni le gouvernement fédéral n’a pour l’instant émis le souhait officiel d’adhérer à la Francophonie, pas même à titre d’observateur.
Cas de l’Algérie
L’Algérie est le deuxième pays francophone au monde après la France. Il subsiste également une difficulté relative à son indépendance conflictuelle avec la France. Pour l'Algérie, la langue française est un héritage culturel du colonialisme et par conséquent, elle n'accepte aucun protectorat français sur cet héritage ou l'utilisation de cette langue à des fins protectorales, bien que l’OIF soit totalement indépendante du gouvernement français, dont le poids dans les décisions est pourtant faible face aux autres pays francophones africains tous présents dans l’organisation. Toutefois, l Algérie a participé au sommet de la Francophonie au Québec en 2008, en tant qu'invité d'honneur.
Cas d’Israël
Article détaillé : Israël et la francophonie.Cas de l'Amapa
On estime à environ 20 000 le nombre de locuteurs du Créole Amapa, à base française, dans la région de la capitale Macapa, témoignage d'une ancienne présence française dans la région, le territoire ayant souvent été disputé entre la France et le Brésil.
L'État brésilien de l'Amapa a rendu en 1999 obligatoire l'enseignement du Français dans les écoles publiques, suite à une loi fédérale de 1998 obligeant les écoles publiques du pays à enseigner au moins une langue étrangère.[3]
Le choix de l'Amapa pour le français s'explique par une volonté de rapprochement avec la Guyane française, limitrophe, voire même d'une volonté de désenclavement, vu l'isolement pour des raisons géographiques de cet état par rapport au reste du Brésil.
Cas du Saint-Siège
Le Saint-Siège est officiellement désigné comme un État francophone auprès des instances internationales. Il emploie le français comme langue diplomatique officielle.
Cas de l'Italie
Le français est une des deux langues officielles dans la Vallée d'Aoste.
Voir aussi
- Université Senghor d'Alexandrie
- Association des Hautes juridictions de cassation des pays ayant en partage l’usage du Français (AHJUCAF)
Liens externes
- (fr) Site officiel
- (fr) Espace économique francophone, site spécialisé de l'Organisation internationale de la Francophonie
- (fr) La francophonie sur le site de la documentation française
- (fr) Wiki de la francophonie canadienne
- (fr) Cultures Urbaines Francophone
Notes et références
- ↑ http://www.ffa-int.org/forum-francophone-des-affaires
- ↑ http://www.francophonie.org/oif/pays/regions.cfm Liste des pays membres de la Francophonie par régions du monde
- ↑ 20mars.francophonie.org
- ↑ «Depuis 1984, la section de la Communauté française de Belgique y assure, de manière exclusive, la représentation parlementaire belge.» Francophonie et Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) sur le site officiel du Parlement de la Communauté française de Belgique.
- ↑ Statuts de la section de la Belgique/Communauté française/Wallonie-Bruxelles de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie sur le site officiel du Parlement de la Communauté française de Belgique.
- ↑ Françoise Massart-Piérard, Professeure à l'UCL, Unité de science politique et de relations internationales, L'apport de la Wallonie au fédéralisme - Wallonie et Francophonie internationale, le difficile apport au fédéralisme? in Philippe Destatte (directeur), L'idée fédéraliste dans les Etats-Nations Presses interuniversitaires européennes, Bruxelles, 1999, pp. 351-368. Cette spécialiste écrit :La Région wallonne est reconnue sur le plan international au sein de l' Organisation intergouvernementale de la Francophonie (termes de l'époque où l'article a été publié), par une convention d'avril 1994 signée par son Ministre-Président, le représentant de la Communauté Wallonie-Bruxelles et le Secrétaire de l'Agence. (p.359).
- ↑ Françoise Massart-Piérard: Lors des conférences ministérielles de la Francophonie (CMF), composées des ministres des affaires étrangères ou des Ministres responsables de la Francophonie de tous les États et gouvernements partenaires, la délégation de la Communauté française de Belgique est dirigée par le Ministre des Relations internationales des gouvernements de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne, op.cit.,p.360.
- ↑ "Cet accord jette les premières bases d'une coordination qui se concrétise aujourd'hui par un regroupement, au sein d'un même bâtiment et sous une seule autorité, des entités de la Région wallonne et de la Communauté française œuvrant sur la scène internationale." [1]
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