- Borgworm
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Waremme
Waremme Géographie Pays Belgique Région Région wallonne Communauté Communauté française Province Province de Liège Arrondissement Waremme Coordonnées Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers31,04 km² (2005)
74,74 %
1,32 %
23,25 %
0,69 %Données sociologiques (source : statbel.fgov.be) Population
– Hommes
– Femmes
Densité14.306 (1er janvier 2008)
47,85 %
52,15 %
461 hab./km²Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +(1er janvier 2008)
19,10 %
61,34 %
19,57 %Étrangers 2,91 % (1er janvier 2008) Économie Taux de chômage 12,62 % (janvier 2009) Revenu annuel moyen 14.116 €/hab. (2005) Politique Bourgmestre Guy Coëme (PS) Majorité PS Sièges
PS
MR
CDH23
16
4
3Sections de commune Section Code postal Waremme
Bettincourt
Bleret
Bovenistier
Grand-Axhe
Lantremange
Oleye4300
4300
4300
4300
4300
4300
4300Autres informations Gentilé Waremmien, Waremmienne Zone téléphonique 019 Code INS 64074 Site officiel www.waremme.be Waremme (en néerlandais Borgworm, en wallon Wareme) est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne, chef-lieu d'arrondissement en province de Liège.
Sommaire
Géographie
La ville se situe sur le Geer dans une région lœssique, la Hesbaye (dont elle est la capitale), ce qui a favorisé l'agriculture (céréales et betterave sucrière) et le développement d'une industrie agro-alimentaire dans la région. Les surfaces agricoles occupent encore 70 % de la superficie[1]. Il s'agit de cultures en grande majorité. Les landes et les bois représentent moins de 1 %. C'est aussi un pôle commercial et scolaire pour la région (quelques 5 000 élèves en permanence) assurant aussi un attrait administratif, culturel et sportif.
La réserve naturelle
La réserve naturelle a été créée en 1980[2]. Sa superficie avoisine les 17 ha[2] et les digues extérieures et intérieures font plus de 3 kilomètres de longueur[2]. La réserve est constituée de cinq bassins de décantation de la râperie de Waremme, dont les activités ont aujourd’hui cessé. C’est un site relativement isolé et tranquille.
La végétation herbacée n’y manque pas d’intérêt. Elle est constituée principalement d’espèces rudérales, messicoles et hydrophiles.
Les bassins attirent l’attention par leur intérêt ornithologique. Ils constituent, en Hesbaye sèche, un îlot humide favorable à la concentration des oiseaux et les biotopes variés (vasières, eau libre, friches à herbes courtes, friches à herbes hautes, buissons…) attirent bon nombre de nicheurs que l’on ne trouve guère dans la région. Chaque année, en collaboration avec l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique, les membres de la Réserve procèdent à des baguages. Ceux-ci permettent d’une part d’observer les mouvements migratoires et d’autre part d’inventorier le petit monde ailé qui vit ou transite par Waremme.
Histoire
La ville est citée pour la première fois en 965 (Woromia) et comptait, vers 1215, 815 habitants. En 1078, la comtesse Ermengarde cède l'alleu au prince-évêque de Liège. Le document signale que la bourgade possède un château, cinq moulins et six brasseries. Le sort de la localité est dès lors lié à la principauté de Liège, jusqu'à la disparition de celle-ci en 1794.
Dès le XIVe siècle, Waremme possédait des fortifications, formant un carré de 400 m de côté, un marché, une halle et un hôpital. Sous le prince-évêque Thiébaut de Bar (1303-1316), on y bat monnaie et de nombreuses réunions importantes s'y tiennent. Durant cette période, la cité sera ravagée par la guerre des Awans et des Waroux.
Au XVIe siècle, la ville est une des vingt-et-une Bonnes Villes de la principauté, une ville fortifiée et un point d’appui indispensable au prince et de par sa situation géographique, non loin du duché de Brabant, ce qui lui valut d'être brûlée par le duc en 1213 et 1347, ainsi que par Charles le Téméraire en 1468.
En 1624, les récollets bâtissent un couvent à l'emplacement de l'hôpital, le couvent de sépulchrines ouvrira ses portes, lui, en 1638.
En 1748, la ville est en grande partie détruite par un incendie accidentel dans la nuit du 16 au 17 janvier. L'hôtel de ville a été perdu.
En 1792, les troupes françaises entrent dans la ville, les couvents sont fermés et en 1795, Waremme fait partie du département de l'Ourte.
En 1815, le gouvernement du Royaume des Pays-Bas fait de la cité un chef-lieu d'arrondissement, mais lui retire le titre de ville. Peu après la révolution belge de 1830, en 1838, la ligne de chemin de fer Liège-Bruxelles traverse la ville.
Durant la Première Guerre mondiale, Waremme est occupé par les Allemands, mais aucune action militaire ne s'y déroule.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Waremme est prise par les Allemands sans combat le 12 mai 1940 par le 35.Panzer-Regiment de la Wehrmacht, puis libérée le 7 septembre 1944 par le 113th Cavalary Group (3rd Armored Division) de l'armée du général Bradley, après un bombardement le 28 août par des chasseurs-bombardiers P38 "Lightning" du 479th Fighter Group de la 8th Air Force, bombardement qui détruit une cinquantaine de maisons au centre-ville et fait onze morts et de nombreux blessés parmi la population civile, qui comptait alors près de 7 000 habitants.
Autrefois, Waremme faisait partie des Bonnes Villes de la Principauté de Liège.
Blason
D'argent au château de gueules ouvert et ajouré d'argent, aux toits d'azur surmontés de drapeaux d'azur.
Ce blason, qui date de l'époque où la ville faisait partie de la Principauté de Liège, signifie que Waremme était une ville fortifiée.
À l'époque actuelle, il est évident qu'il n'est plus très représentatif de la ville de Waremme, qui ne possède aucun reste de ces fortifications. Cependant, on peut le retrouver sur divers bâtiments datant de l'ancienne principauté, notamment sur l’hôtel des Postes à Liège, mais aussi sur des bâtiments plus récents comme l'hôtel de ville de Waremme.
Personnages emblématiques liés à la ville de Waremme
Patrimoine
Les vicissitudes de l’histoire n’ont pas épargné le patrimoine architectural de Waremme. Il n’en reste pas moins un petit nombre de bâtiments de caractère qui constituent la mémoire de la petite cité hesbignonne.
Le château de Longchamps
Le château de Longchamps a le mérite d’être une des rares demeures d’importance de l'époque Premier Empire (1810) qui ait existé en Belgique, en un temps où dans l’ancien Pays de Liège, le style Louis XVI continuait sa carrière. Feu le baron Maurice de Sélys-Longchamps, grand amateur d’art, avait meublé ce château en harmonie avec l’époque de sa construction. Le corps de logis rectangulaire impose ses lignes horizontales. Un péristyle, des toitures cachées par un attique de treize fenêtres régulièrement percées le caractérisent. Un vaste parc a conservé à cette demeure le témoignage charmant de sa grandeur passée. Longchamps fut bâti pour Michel Laurent de Sélys (1759-1837), qui fut président de la nouvelle administration municipale de Liège en 1795, l’année de la réunion de la principauté de Liège à la France, et maire en 1800, sous le Consulat. De belles fêtes s’y tinrent au temps de l’Empereur. Michel Laurent de Sélys Longchamps avait épousé Marie Denise Gandolphe, née à Paris le 19 mars 1777 et décédée au château de Longchamps sous le Second Empire, le 28 octobre 1857. Marie Denise était fille de Mathieu Joseph Gandolphe et de Denise Jacqueline d’Aran des Castans. Elle résida souvent à Paris sous l’Empire. C’est elle, qui, dans un groupe en porcelaine de France conservé au château de Longchamps, figure sur les genoux de sa mère. On lui doit vraisemblablement l’acquisition d’une autre céramique ornant cette demeure une copie en terre cuite de l’hermaphrodite Borghèse, exécutée à Paris, datée de l’an X et signée de Henri-Joseph Rutxhiel (Lierneux, 1775 Paris, 1837), statuaire de l’Empire.
À l’intérieur, dès le vestibule, les lignes classiques s’imposent dans les encadrements de portes en marbre gris, les frontons triangulaires, les bronzes ciselés aux lignes grecques. La grande salle à manger porte des décors simulant des marbres citrons, couronnés d’une frise en camaïeu gris où jouent des amours, mutins et gracieux, relevant encore du style Louis XVI. Une niche, où s’abrite un Adonis dans une posture avantageuse, complète cet ensemble de qualité. Nous y trouvons un mobilier Empire : une console-desserte, une paire de crédences, deux fauteuils et des chaises. Dans le salon, ce sont plusieurs pièces d’un excellent mobilier, également premier Empire, exécuté à Paris et comprenant huit chaises, huit fauteuils et un divan. Un des types du fauteuil avec têtes de l’égyptienne rappelle les sièges remarquables de Fontainebleau. Une table-guéridon Louis XVI en invoque une autre, estampillée Dubois. Mentionnons enfin un lavabo-athénienne à décor, en bois doré.
À l’étage, des chambres sont parées de palmettes, de grecques et de colonnettes. On verra à Longchamps bien d’autres meubles, ainsi que des céramiques (particulièrement un bel ensemble de pièces en porcelaine française du premier quart du XIXe siècle), de l’argenterie et des tableaux. Les pièces d’une partie d’un service, dont le complément appartient à une autre branche Sélys, proviendraient d’après la tradition, du service donné par Napoléon Ier au général français Loison, qui habita le château de Chockier sous l’Empire. La baronne Michel de Sélys Longchamps veille avec bonheur sur la vaste résidence de l’ancien maire de Liège.
Autres vestiges
- Le vestige le plus ancien se dissimule au fond d’un couloir d’entrée, au n° 47 de la rue H. Stiernet. Il s’agirait de la porte d’accès de la brasserie de l’ancien couvent des Récollets. Cette baie conserve un bel encadrement de calcaire à mouluration gothique, de la première moitié du XVIe siècle. Un petit culot à tête humaine recevait à l’origine la retombée d’un larmier. Notons également un goulot d’évacuation des eaux, à droite du seuil.
- La maison située rue Visigath n° 16 présente une intéressante façade de la seconde moitié du XVIIIe siècle. De trois travées sur deux niveaux, elle est percée de baies en calcaire, à linteaux échancré et clé ourlée.
- De la fin du même siècle date la jolie chapelle Saint-Éloi, à l’angle de la rue Saint-Éloi et de la chaussée Romaine. Cette élégante construction octogonale, en briques blanchies et calcaire, est éclairée par des ouvertures ovales. À l’intérieur, le retable d’autel est rehaussé de rocailles.
- En dépit de l’ancienneté de son nom, la rue Porte de Liège s’est vue partiellement rebaptiser avenue Leburton. Au n° 6, l’élégante maison Lejeune-d’Anglure forme la toile de fond d’une bien jolie placette. Le double corps central néo-classique, de cinq travées sur deux niveaux, fut bâti vers 1790, tandis que les ailes plus basses datent du XIXe siècle. Remarquons les fenêtres rectangulaires soulignées par une corniche moulurée typiquement néo-classique. Devant la maison, l’arbre de la Liberté est parfois appelé arbre de l’Indépendance. Ce tilleul vénérable fut planté le 22 septembre 1797 pour commémorer l’instauration de la République française.
- Une intéressante maison du début du XIXe siècle se dresse à proximité, au n° 29 de l’avenue Leburton. La façade de cette belle demeure néo-classique, en briques et calcaire, est particulièrement soignée. De cinq travées sur deux niveaux et demi, elle est rythmée par des pilastres à refends. Les baies rectangulaires comportent des clés passantes ornées de triglyphes. Le soubassement en bel appareil de calcaire est percé de jours ovales.
- Le XIXe siècle dota également Waremme de plusieurs monuments dignes d’intérêt. La chapelle des Saints-Sauveurs-et-Donat, rue du Tumulus, également appelée chapelle Fleussu, date du milieu du siècle. Une anecdote s’y rattache. Le docteur Jean-François Xavier Fleussu, surpris par un violent orage, fit le vœu d’élever une chapelle à cet endroit, s’il en sortait sain et sauf. À sa mort, il fut enterré dans la chapelle élevée par ses soins. Son tombeau se voit toujours à l’intérieur. La chapelle, habillée d’une belle façade en calcaire de style néo-classique, est malheureusement dans un état pitoyable.
- Dans la rue J. Wauters se dressent les bâtiments de l’ancien Institut des filles de la Croix, fondé en 1866. La chapelle néo-gothique, heureusement préservée, apporte une note pittoresque bienvenue au centre de la ville. Les murs de briques sont scandés par des pilastres en tuffeau et soulignés d’une frise d’arceaux sous la corniche.
- Arrêtons-nous encore à deux monuments qui accentuent l’aspect urbain de Waremme. L’église Saint-Pierre est un vaste édifice néo-gothique, élevé de 1879 à 1881 sur des plans d’Eugène Halkin père. À l’intérieur, l’attention se porte surtout sur la Pietà polychrome du XVe siècle et sur les fonts baptismaux gothiques a malheureusement été en grande partie sacrifié. Notons au passage les anciennes dalles funéraires qui tapissent le porche.
Culture
Malgré l'attrait culturel de villes proches comme Liège et Huy, Waremme a, de tous temps, développé une vie culturelle intense via ses associations ou ses personnalités.
Le Centre culturel
Depuis 2001, un Centre culturel reconnu par la Communauté française de Belgique fédère les associations et offre une programmation dynamique et variée.
L'Académie de Musique et des Arts de la Parole
Une Académie forme plus de 1000 élèves en musique, Arts de la Parole et Danse.
L'Ensemble Instrumental Waremmien
Créé en 1906 par Joseph Wauters et dirigé par Armand Thoen (également fondateur de l'Académie de Musique de Waremme), l'Ensemble Instrumental Waremmien a fortement évolué. De la fanfare "les enfants du peuple", il est devenu un orchestre à vent et percussion (ou orchestre d'harmonie) et développe ses spectacles propres ("La Musique au Cinéma", "Paris à la folie"...) et anime, à la demande, les festivités waremmiennes. Aujourd'hui, l'orchestre est composé de 45 musiciens et est dirigé par Francis Lambert, diplômé en musicologie du Conservatoire National de Liège et de l'Université de Liège. Son répertoire est éclectique et s'adapte aux circonstances. Il est composé d'œuvres classiques, de musiques de films, de musiques latines... L'orchestre se produit en concert dans toute la Belgique et au-delà.
Sport
Le sport dans la ville de Waremme est en constante progression. Nombres de clubs grimpent plus qu'ils ne descendent les échelons respectifs de la hiérarchie de leur sport et ce depuis quelques années déjà. Waremme regroupe par ailleurs pas moins d'une quarantaine d'associations sportives. La plupart des clubs se produisent au Centre Sportif et Culturel Edmond Leburton, situé à environ 600 mètres du centre-ville. Enfin, une preuve supplémentaire de cet essor sportif est l'organisation annuelle du Bal du Sport qui récompense les sportifs ayant le mieux représenté les couleurs de la ville l'année écoulée.
Football
Le RS Waremme FC est le principal acteur sportif de la ville. Né en 1922 et porteur du matricule 190, ce club joue au stade Edmond-Leburton et évolue en 2e provinciale liégeoise (saison 2009-2010).
Jamais le club ne s'était trouvé dans une division aussi basse de toute son histoire. Après avoir échoué dans sa tentative de remonter directement en 1re provinciale l'an passé, Waremme a remanié son effectif pour y parvenir cette saison.
Football en salle
Le Cosmo DT Waremme évolue en 1ère provinciale liégeoise cette saison 2009-2010 tout comme l'année dernière.
Volley-ball
Le VBC Waremme est le club sportif le plus réputé de la ville par ses performances. Evoluant en 1re division nationale (la seconde division en importance derrière la division d'Honneur), ce club remplit à chaque match à domicile les gradins du Hall Omnisport Edmond-Leburton. Il a connu une évolution fulgurante depuis l'année 2003 grâce à Vincent Perin, son président, et Thierry Courtois, ancien joueur de division d'Honneur, qui fut son capitaine jusqu'à la saison 2005-2006.
Pour cette saison 2009-2010, l'équipe sera à nouveau entrainée par Koen Baeyens. L'objectif sera comme chaque année de tenter de décrocher le titre et la montée en division d'Honneur.
Basket-ball
L'ABC Waremme et son école de jeunes est un club sain et convivial. Son équipe première évolue en 1re provinciale liégeoise, soit la meilleure division atteinte par celui-ci depuis sa création. Elle fut entrainée durant la saison 2008-2009 par Thibault Wéry avec lequel elle a atteint le meilleur classement de son histoire soit 8e en 1re provinciale. Ce même entraineur sera toujours à la barre de l'équipe pour cette nouvelle saison 2009-2010.
Les équipes du club jouent au Hall omnisport Edmond-Leburton.
Tennis de table
Le TTC Waremme évolue en 3e provinciale liégeoise cette saison 2009-2010. En effet, suite à une belle 2e place obtenue l'année dernière en 4e provinciale, le club a gagné le droit de monter d'un cran.
Badminton
Le Badminton Union Waremme évolue cette saison 2009-2010 en 1e division LFBB (ce qui représente la 3e division en importance en Belgique). L'équipe est en effet parvenue à décrocher la montée la saison passée en remportant le titre en 2e division LFBB.
Rugby
Waremme Olympique XV est un nouveau club. Son équipe senior évolue en 2e division régionale. Il s'agit de la 5e et plus basse division en importance en Belgique.
Le club possède ses installations dans le village d'Oleye.
Tennis
Deux clubs, le Tennis Club Waremme et le Longchamps Tennis Club, évoluent à une centaine de mètres l'un de l'autre. La meilleure joueuse de la ville est Aurélie Ledoux classée B-15,1 et évoluant au TCW.
Jumelages
- Skopje (Macédoine) depuis 1975[3]
- Gérardmer (France) depuis le 23 avril 1978[3]. Un échange entre les jeunes du conseil communal de Waremme et celui de Gérardmer s'effectue depuis 1999. Une année, les jeunes Waremmiens s'y rendent tandis que l'année suivante, c'est l'inverse.
- Gallinaro (Italie) depuis le 12 septembre 1999[3]
Enseignement
Waremme est un véritable centre pour la scolarité dans la région. De nombreux élèves venus des quatre coins de la Hesbaye se retrouvent chaque jour sur les bancs des différentes écoles que comptent le centre et les villages faisant partie de la commune.
- Secondaire
- Enseignement Libre
- Collège et Institut Saint-Louis
- Institut Saint-Laurent
- Institut Notre-Dame
- Athénée Royal
- IPES de Hesbaye
- Site de Waremme I
- Site de Waremme II
- Enseignement Libre
- Primaire et maternelles
- Enseignement Libre
- Institut Saint-Louis
- Institut Notre-Dame
- Clair-Matin
- Grand-Axhe
- Athénée Royal
- Écoles communales de Waremme I
- Longchamps
- Tumulus
- Écoles communales de Waremme II
- Oleye
- Bettincourt
- Bovenistier
- Champanette
- Haute-Wegge
- Enseignement Libre
Transports en commun
SNCB (trains)
- IC E : [weekend] Knokke/Blankenberge - Bruxelles - Liège-Guillemins/Genk
- IC F : [semaine] Quiévrain - Bruxelles - Liège-Guillemins
- P : Welkenraedt - Bruxelles; Ans - Mouscron
- L : Liège-Guillemins - Waremme
TEC (bus wallons)
- 45 Waremme - Huy
- 45b Waremme - Haneffe - Verlaine
- 45c Waremme - Cité Hartenge - Bettincourt
- 83a Waremme - Geer - Hannut
- 84 Waremme - Momalle - Liège
- 84\2 Waremme - Pousset - Remicourt - Oreye - Thys - Crisnée
- 128 Waremme - Geer - Hannut
- 147 Waremme - Oreye
De Lijn (bus flamands)
Arrondissement
Article détaillé : Arrondissement administratif de Waremme.Waremme est le chef-lieu d'un des quatre arrondissements administratifs de la Province de Liège
Sites
Notes
- ↑ Waremme.be Waremme en quelques chiffres Consulté le 22 juin 2008.
- ↑ a , b et c Waremme.be La réserve naturelle de Waremme Consulté le 22 juin 2008
- ↑ a , b et c Waremme.be Jumelages. Consulté le 22 juin 2008.
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Catégorie : Ville de la province de Liège
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