- 300 (film)
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300
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Données clés Titre original 300 Réalisation Zack Snyder Scénario Frank Miller (comics), Michael Gordon, Kurt Johnstad, Zack Snyder Acteurs principaux Gerard Butler
Michael Fassbender
Lena HeadeyPays d’origine États-Unis Genre Film de guerre Sortie 2006 Durée 115 minutes Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
300 est un film de guerre anglo-américano-écossais réalisé par Zack Snyder et sorti en 2007. Tiré du roman graphique de Frank Miller, 300, il donne une vision fantastique de la bataille des Thermopyles en -480. Le film a été tourné en grande partie à l'aide de la technique d'incrustation afin de restituer l'imagerie de la bande dessinée de Frank Miller.
Dans les semaines qui ont précédé et suivi sa sortie, le film a soulevé une controverse portant sur la représentation des Perses dans le contexte international des tensions entre les États-Unis et l'Iran. Malgré cette controverse et des critiques partagés, le film a été un très grand succès commercial.
Sommaire
Synopsis
Léonidas est devenu roi de Sparte à la suite des épreuves rituelles spartiates dont il a triomphé. Il apprend d'un messager que le roi perse Xerxès envisage d'envahir la Grèce et de soumettre sa cité mais refuse de négocier un quelconque arrangement. Contre l'avis des éphores corrompus, il part à la rencontre de l'ennemi avec les 300 meilleurs soldats de sa cité et choisit de combattre l'armée perse dans le passage étroit et rocheux des Thermopyles. Face à l'armée gigantesque conduite par le roi Xerxès en personne, la résistance est héroïque mais désespérée. Pendant ce temps, à Sparte, la reine Gorgô, l'épouse de Léonidas, doit faire face aux machinations de Théron, un politicien qui cherche à faire destituer Léonidas de son titre pour être allé à l'encontre des oracles.
Fiche technique
Sauf mention contraire, cette fiche est établie à partir du générique du film.
- Titre : 300
- Réalisation : Zack Snyder
- Scénario : Zack Snyder, Kurt Johnstad et Michael Gordon, d'après le roman graphique de Frank Miller et Lynn Varley
- Production : Gianni Nunnari, Mark Canton, Bernie Goldmann, Jeffrey Silver, Steve Barnett, Josette Perrotta, Wesley Coller, Silenn Thomas, Nathalie Peter-Contesse, Deborah Snyder, Frank Miller, Craig J. Flores, Thomas Tull, William Fay, Scott Mednick et Ben Waisbren
- Sociétés de production : Warner Bros. Pictures, Legendary Pictures, Virtual Studios, SODEC, Hollywood Gang Productions et Atmosphere Entertainment MM
- Musique : Tyler Bates
- Direction artistique : James Bissell
- Costumes : Michael Wilkinson
- Décors : Paul Hotte
- Récompense : Voir les récompenses
- Maquillage à effets spéciaux : Shaun Smith et Mark Rappaport
- Photographie : Larry Fong
- Montage : William Hoy
- Société d'effets spéciaux : Creature Effects Inc. (maquillage)
- Sociétés d'effets visuels : Hybride Technologies, Animal Logic, Hydraulx, Pixel Magic, Scanline VFX, Buzz Image, Screaming Death Monkey, At The Post, Lola Visual Effects, Technicolor Creative Services
- Budget : 65 000 000 $[1]
- Distributeur : Warner Bros. Pictures
- Format : Couleurs (Technicolor - Kodak - Fujifilm) - 2,35:1[2] - Dolby Digital / DTS / SDDS - 35 mm[2] - Filmé avec du matériel Panavision
- Genre : Péplum-guerre
- Durée : 112 min
- Pays d'origine : États-Unis et Canada ( Québec)
- Langue : Anglais
- Dates de sortie[3] :
- Classification :
- États-Unis : R Rated R for graphic battle sequences throughout, some sexuality and nudity
- France : Interdit aux moins de 12 ans
- Sortie DVD :
Distribution
- Gerard Butler (VF : Éric Hérson-Macarel[6] et VQ : Benoit Rousseau[7]) : Le roi Léonidas
- Lena Headey (VF : Rafaele Moutier[6] et VQ : Anne Bédard[7]) : La reine Gorgô
- Rodrigo Santoro (VF : Bernard Gabay[6] et VQ : Daniel Picard[7]) : Xerxès
- David Wenham (VF : Michel Papineschi[6] et VQ : Sébastien Dhavernas[7]) : Dilios
- Dominic West (VF : Jean-Pol Brissart[6] et VQ : Paul Sarrasin[7]) : Théron
- Michael Fassbender (VF : Axel Kiener[6] et VQ : Patrice Dubois[7]) : Stelios
- Vincent Regan (VF : Bruno Choël[6] et VQ : François Godin[7]) : Capitaine
- Andrew Tiernan (VF : Philippe Bozo[6] et VQ : Daniel Lesourd[7]) : Éphialtès
- Andrew Pleavin (VF : Pascal Monsegur[6] et VQ : Patrick Chouinard[7]) : Daxos
- Tom Wisdom (VQ : Hugolin Chevrette[7]) : Astinos
- Peter Mensah : Le messager
- Dennis St John : Le Spartiate chargé de vérifier l'apparence des nouveau-nés
Adaptation
Zack Snyder a réalisé le film courant 2006. Le film a recours aux mêmes procédés techniques que le film Sin City (adapté lui aussi d'une bande dessinée de Frank Miller), avec l'utilisation massive d'images de synthèse.
Même si toutes les scènes présentes dans la bande dessinée originale sont fidèlement reconstituées sur grand écran, le scénario a été complété de quelques personnages et scènes supplémentaires :
- dans la bande dessinée, Éphialtès, qui finit par trahir les Spartiates (et qui est une sorte de monstre difforme dans le film), tente de se suicider lorsque Léonidas refuse de faire de lui un guerrier. Dans le film, la scène fut tournée, mais coupée au montage.
- toutes les scènes se déroulant à Sparte qui impliquent la reine et montrent les intrigues politiques au sein de la cité ont été ajoutées pour renforcer l'unique rôle féminin.
- des éléments fantastiques et divers monstres ont été ajoutés.
Tournage
Le film a été presque entièrement tourné sur fond bleu et vert, aux Ice Storm Studios de Montréal[8]. Seule la scène de chevauchée des messagers au début du film, impossible à réaliser en studio, a été tournée en extérieur.
Près de 1 300 effets visuels ont été nécessaires, soit une moyenne d'un effet visuel par plan.
Les acteurs ont suivi un entraînement sportif intensif de plus de huit semaines avant le début du tournage.
Dans ce film, les acteurs Gerard Butler et Andrew Pleavin jouent à nouveau ensemble, cinq ans après leur collaboration dans Attila le Hun de Dick Lowry. Gerard Butler avait là encore le rôle principal, tandis qu'Andrew Pleavin interprétait Flavius Oreste, un fidèle général d'Attila.
Réception
Box-office
Le film a rapporté 456 068 181 $ dans le monde entier dont 210 614 939 $ rien que sur le territoire Américain[1]. Il a réalisé 1 661 288 entrées en France, 449 512 entrées au Québec et 150 062 entrées en Suisse[9].
Il détient le record de fréquentation en Grèce avec 325 000 spectateurs en 4 jours.
Box-office mondial par pays du film 300 (par ordre décroissant) Pays Box-office Pays Box-office Pays Box-office États-Unis 210 614 939 $ Brésil 11 207 791 $ Norvège 2 246 901 $ Royaume-Uni 27 994 700 $ Mexique 10 101 034 $ Belgique 2 216 126 $ Espagne 20 762 055 $ Russie 10 040 438 $ Venezuela 2 030 133 $ Corée du Sud 19 902 209 $ Turquie 4 861 226 $ Hong Kong 1 963 536 $ Italie 14 618 081 $ Argentine 4 587 738 $ Danemark 1 942 519 $ Allemagne 14 570 919 $ Pologne 3 091 535 $ Suisse 1 851 658 $ France 13 900 000 $ Inde 2 582 794 $ Nouvelle-Zélande 1 848 409 $ Japon 13 036 817 $ Pays-Bas 2 546 452 $ Thaïlande 1 806 471 $ Australie 12 304 031 $ Autriche 2 458 709 $ Philippines 1 671 166 $ Grèce 11 376 293 $ Taïwan 2 281 146 $ Colombie 1 662 904 $ Accueil critique
Le film recueille 60% de critiques positives, avec un score moyen de 6,1/10 et sur la base de 223 critiques collectées, sur le site internet Rotten Tomatoes[10]. Il obtient un score de 51/100, sur la base de 35 critiques, sur le site Metacritic[11]. En 2008, le magazine Empire l'a classé à la 337e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps[12].
En France, les critiques sont totalement divisés. Le Figaroscope évoque un défi relevé « avec intelligence et brio », L'Écran fantastique une « adaptation époustouflante de la bande dessinée éponyme », Paris Match « une œuvre d'une beauté visuelle à couper le souffle mais d'une violence inouïe », Ouest France « un délire de kitsch et de baroque d'une extrême sophistication », Première « un triomphe de direction artistique », Rolling Stone des scènes de bataille admirablement rendues et surréalistes mais des scènes intimistes inutiles et absurdes, Le Parisien « un bide artistique », L'Humanité une esthétique proche du fantastique plombée par des dialogues pompeux, Les Inrockuptibles un résultat « saisissant de laideur », Libération « un atroce film de propagande », et Positif un film sans scénario, ni personnages[13].
Controverse
Critiques iraniennes
Le film, bien que non diffusé en Iran, a soulevé des critiques de la part du gouvernement et des intellectuels Iraniens[14],[15],[16],[17],[18].
La critique porte sur le travestissement de la réalité, associé à une critique plus politique : celle de tenter de porter atteinte à l'image de l'Iran dans un contexte politique tendu entre ce pays et les États-Unis.
En effet, la représentation qui est faite des Perses à la période achéménide est fausse. Cette période est considérée comme un âge d'or dans l'histoire de l'Iran, avec en particulier l'écriture sur le Cylindre de Cyrus de ce qui est considéré comme la première charte des droits de l'homme. Dans le roman graphique dont est inspiré le film, les Perses sont dépeints comme une horde barbare, décadente, opposés aux nobles grecs. De manière générale, le film ne respecte ni les costumes ni les coiffures perses de l'époque achéménide.
D'un point de vue plus politique, Javad Shamghadri, conseiller culturel du président Mahmoud Ahmadinejad, a déclaré que les États-Unis essayaient de modifier la réalité historique afin d'humilier l'Iran, présentant l'empire comme une contrée barbare et stupide.
Le quotidien Āyande No a dit dans ses pages que « le film dépeint les Iraniens comme des démons sans culture, sans sentiments et sans humanité, qui ne pensent à rien d'autre qu'à attaquer les autres nations et à tuer », ce que le journal assimile à « un nouvel effort pour discréditer le peuple iranien et sa civilisation vis-à-vis de l'opinion publique internationale à un moment où les menaces américaines contre l'Iran s'intensifient »[19].
Autres critiques
D'autres critiques ont été émises sur divers aspects de ce film:
Le journal The Arab American News parle d'« une propagande guerrière irréfléchie » (mindless war propaganda)[20].
Ephraim Lytle, professeur d'histoire hellénique à l'Université de Toronto, écrit que « la manière dont le film idéalise sélectivement les Spartiates est troublante »[21], notamment sur les points suivants :
- Xerxès Ier est dépeint comme bisexuel.
- les Perses sont montrés sous un aspect monstrueux tandis que les Spartiates sont des hommes au physique avantageux (sauf le traître, un monstre difforme aussi). Les Éphores, qui s'opposent à l'action héroïque de Léonidas, sont eux aussi hideux.
L'idéalisation de certains éléments dans le film est également critiquée par Touraj Daryāi, professeur d'histoire antique à l'Université de Californie à Fullerton. Il critique le thème central du film, à savoir l'opposition entre le monde « libre » et « aimant la démocratie », représenté par les Spartiates, et le monde guerrier perse[22].
On peut ajouter que les Athéniens, que le film décrit comme des philosophes pédérastes, ont également joué un rôle majeur dans les guerres médiques, aspect qui est laissé dans l'ombre.
D'autres critiques s'attardent sur l'aspect fascisant du film. Pour Kyle Smith, du New York Post, « Le film aurait plu aux Jeunesses hitlériennes (Adolf's boys) ». Dana Stevens, dans Slate, compare 300 au film de propagande national-socialiste Der ewige Jude (Le Juif éternel[23]). Roger Moore, critique de cinéma à l'Orlando Sentinel, considère que le film correspond à la définition que donne Susan Sontag de l'art fasciste[24].
En réponse à ces critiques, le réalisateur, les producteurs du film et l'auteur de la bande dessinée ont souligné[réf. nécessaire] que cette adaptation cinématographique d'une bande dessinée n'est qu'une version heroic fantasy de la bataille des Thermopyles et qu'il n'y avait aucun aspect historique à retenir du film[25]. Dans une interview en mars 2007, Frank Miller, interrogé au sujet de la situation politique des États-Unis, fait remarquer que les États-Unis se comportent comme un empire en déclin, et que les grandes civilisations ne sont jamais conquises mais qu'elles se désagrègent de l'intérieur. Il affirme aussi que la guerre de l'empire américain contre l'Irak, tout comme la Seconde Guerre mondiale, s'inscrit dans une lutte contre un fascisme global[26].
Si le film ne présente évidemment pas les faits tels qu'ils ont du se dérouler, il n'invente pourtant rien. L'ensemble des traits présentés dans le film trouvent un écho dans les sources antiques. Hérodote pour la plupart, comme la scène des messagers précipités dans un puits: VII, 133-134, même s'il s'agit en réalité de la Première Guerre Médique, ou les flèches qui obscurcissent le ciel. Mais également Plutarque et Xénophon pour la vie quotidienne de Sparte: Plut, Vie de Lycurgue, pour la représentation de l'agogè et Xén, La république des Lacédémoniens, I, 7; XV, 1-10, pour la place des femmes à Sparte et pour la place de la corruption ; de manière plus discrète, on trouve également du Diodore de Sicile (scène des Spartiates professionnels face aux amateurs "hou, hou, hou") et du Polybe.
En outre, pour la représentation des perses, ils incarnaient pour le grec du Ve siècle, la notion d'hubris qui est le plus haut degré du vice car il s'agit de la défiance à l'égard des dieux. Il n'est donc pas incohérent qu'ils soient représentés comme des monstres vivant dans la débauche. D'autant que le terme hubris a donné en français le mot "hybride" qui signifie initialement "monstrueux".
Aussi, sans être fidèle à la réalité le film est probablement très proche de la manière dont les grecs des siècles suivants se représentaient la Sparte du temps de Léonidas.
Distinctions
Sauf mention contraire, cette liste provient d'informations de l'Internet Movie Database[27].
Récompenses
2007
- BMI Film & TV Award pour Tyler Bates
- Golden Trailer Award
- Meilleur film de l'année au Hollywood Film Festival pour Zack Snyder
- MTV Movie Award du meilleur combat pour Gerard Butler (contre Uber l'Immortel)
- Phoenix Film Critics Society Award des meilleurs effets speciaux
- Satellite Award des meilleurs effets spéciaux pour Chris Watts, Grant Freckelton, Derek Wentworth et Daniel Leduc
2008
- Saturn Awards :
- Meilleur film (action/aventure/thriller)
- Meilleur réalisation pour Zack Snyder
- Taurus World Stunt Award de la meilleure bataille pour Max White, Jon Valera, Daniel Hernandez, Ryan Watson, Matthew Rugetti, Tim Rigby, Jonathan Eusebio, Stéphane Julien, Mathieu Ledoux et Don Lew
Nominations
2007
- MTV Movie Awards :
- Meilleur film
- Meilleur acteur : Gerard Butler
- Meilleure révélation féminine : Lena Headey
- Meilleur méchant : Rodrigo Santoro
- National Movie Awards : Meilleur film (action/aventure)
- Satellite Awards :
- Meilleur film
- Meilleur son : Scott Hecker, Eric Norris, Chris Jenkins, Frank A. Montaño et Patrick Rousseau
- Teen Choice Awards :
- Meilleurs actrice de film d'action et d'aventure : Lena Headey
- Meilleur film d'action et d'aventure
- Meilleur combat : Spartes contre Perses
2008
- Saturn Awards :
- Meilleur acteur : Gerard Butler
- Meilleur acteur dans un second rôle : David Wenham
- Meilleure actrice dans un second rôle : Lena Headey
- Meilleur scénario : Michael Gordon, Zack Snyder et Kurt Johnstad
- Meilleurs costumes : Michael Wilkinson
- Meilleur maquillage : Shaun Smith, Mark Rappaport et Scott Wheeler
- Meilleurs effets spéciaux : Chris Watts, Grant Freckelton, Derek Wentworth et Daniel Leduc
- Meilleure musique : Tyler Bates
- Production Design Awards : Meilleurs direction artistique pour un film : James D. Bissell, Isabelle Guay, Nicolas Lepage et Jean-Pierre Paquet
- Cinema Audio Society Awards (en) : Meilleur son : Patrick Rousseau, Chris Jenkins et Frank A. Montaño
- Costume Designers Guild Awards : Meilleur costumes pour un film fantastique : Michael Wilkinson
- Empire Awards :
- Meilleur film fantastique
- Meilleur acteur : Gerard Butler
- People's Choice Awards : Film d'action favori
- Screen Actors Guild Awards : Meilleure performance de cascadeurs : Damon Caro, Richard Cetrone, Tim Connolly, Scott Cosgrove, Jared S. Eddo, Jonathan Eusebio, Tad Griffith, Dany Hernandez, David Leitch, Mike Mukatis, Tim Rigby et Matthew Rugetti
- Visual Effects Society Awards : Meilleure scène à effets spéciaux : Chris Watts, Gayle Busby et Kirsty Millar
Culture populaire
De nombreuses parodies de 300 ont vu le jour, généralement basées sur l'affiche du film ou les deux phrases emblématiques « This is Sparta! » et « Tonight, we dine in Hell! »[28]. Le film a été à l'origine d'un mème internet consistant à incruster la tête de Leonidas dans des images ou des vidéos accompagnées d'une version souvent modifiée de la phrase « This is Sparta! », notamment la musique techno Sparta Remix dont l'instrumental a été lui-même repris dans d'autres vidéos[29],[30]. D'autres médias ont également parodié le film, tel que le court-métrage United 300 qui a obtenu le Movie Spoof Award au MTV Movie Awards de 2007. 300 a également inspiré de nombreux sketches à la télévision, tels que dans l'émission Saturday Night Live, la série Robot Chicken, et dans G-Win !, un épisode de South Park. Des films parodiques ont également été réalisés : Spartatouille en 2008 et National Lampoon's 301: The Legend of Awesomest Maximus en 2009. Plusieurs allusions au film 300 existent dans le film Yes Man: Carl Allen loue cette vidéo, et plus tard rend visite à son ancien patron Norman, durant une fête costumée ayant pour thème 300.
Le film, et notamment ses citations, ont été reprises par les supporters des Spartans, surnom des équipes de sports de l'Université d'État du Michigan, avec le chant Spartans, what is your profession?[31].
Notes et références
- (en) Fiche du film sur Box Office Mojo.
- (en) Spécification technique du film sur IMDb.
- (en) Dates de sortie sur IMDb.
- (en) Fiche du DVD sur IMDb.
- Fiche du DVD sur Dvdfr.com.
- crédité sur la page technique liée à la version française du DVD Zone 2.
- 300 sur Doublage.qc.ca.
- Information visible dans le générique du film.
- 300 sur base de données Lumière. Consulté le 24 septembre 2011
- 300, Rotten Tomatoes
- 300, Metacritic
- (en) The 500 Greatest Movies of All Time, Empire. Consulté le 26 mars 2011
- Critiques presse 300, AlloCiné
- iranian.com: Peyvand Khorsandi, 300 movie petitions
- Review: '300' far from perfect - CNN.com
- article from Ghandchi
- article from an Iranian archeologist
- The battle epic 300 reviewed. - By Dana Stevens - Slate Magazine
- Nasser Karimi, « Iranians Outraged by `300' Movie », Guardian Unlimited, 13 mars 2007
- "300" is mindless war propaganda
- Sparta? No. This is madness, Toronto Star, 11 mars 2007
- Go tell the Spartans. How "300" misrepresents Persians in history, par Touraj Daryāi sur Iranian.com
- A Movie Only a Spartan Could Love Dana Stevens, Slate
- 300 as Fascist Art Orlando Sentinel 7 mars 2007
- Le roman graphique contient d'ailleurs l'avertissement suivant : « Ce livre est une pure fiction. »
- Transcription d'une interview de Frank Miller sur National Public Radio
- Liste des distinctions sur IMDb
- Les parodies de 300 arrivent, Scifi-universe.com, 28 mars 2007, (page consultée le 7 février 20010). David Q.,
- How To Explore Internet Memes, How to Split an Atom, 30 septembre 2007, (page consultée le 7 février 2010). Steve Spalding,
- Il mème un peu, beaucoup…, Écrans.fr, 13 avril 2008, (page consultée le 7 février 2010) Astrid Girardeau,
- "300" cheer shows unity, reflects Spartan history, The Stae News, 18 septembre 2007, (page consultée le 7 février 2010) Doug Charron,
Voir aussi
Articles connexes
- Guerres médiques
- Sparte
- Achéménides
- Personnages :
Liens externes
- (en) Site officiel du film
- (fr) Site officiel du film
- 300 sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- (fr) 300 sur AlloCiné
- (en) Site en réaction au film de Zack Snyder, présentant la Perse antique du point de vue d'artistes iraniens
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