Auzon (Haute-Loire)

Auzon (Haute-Loire)
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45° 23′ 33″ N 3° 22′ 21″ E / 45.3925, 3.3725

Auzon
Vue générale de la citadelle d'Auzon
Vue générale de la citadelle d'Auzon
Armoiries
Administration
Pays France
Région Auvergne
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Canton Auzon
Code commune 43016
Code postal 43390
Maire
Mandat en cours
Henri Doniol
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Auzon Communauté
Démographie
Population 933 hab. (2008)
Densité 55 hab./km²
Gentilé Auzonnais ou Alzoniens
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 33″ Nord
       3° 22′ 21″ Est
/ 45.3925, 3.3725
Altitudes mini. 400 m — maxi. 755 m
Superficie 16,96 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Auzon est une commune française, chef-lieu du canton d'Auzon, dans le département de la Haute-Loire et la région Auvergne. Le canton a une superficie de 155 km², son altitude s'étageant entre 400 et 1 100 mètres d'altitude, et est limitrophe du département du Puy-de-Dôme. Ses habitants sont les Auzonnais ou Alzoniens, ils portent le surnom de « mange-prunes ». Auzon fait partie de l'arrondissement de Brioude et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire. La devise du pays est « osons-toujours ». La fête patronale est le 10 août.

Sommaire

Géographie

Situation

Construite à environ 11 km de Brioude, la cité médiévale est située sur un piton rocheux difficile d’accès et s'élève à plus de 50 mètres au-dessus du niveau du fleuve. Elle domine secrètement la plaine de la Petite Limagne dans le bassin minier du Brivadois. Sur ce rocher, l'ancienne forteresse est le verrou de l'une des portes du Livradois-Forez, un accès menant sur les anciens carrefours routiers des plateaux de Saint-Germain-l'Herm et de la Chaise-Dieu. Auzon est la seule commune du parc naturel régional donnant un débouché sur l'Allier.

Auzon Communauté est desservie par l'autoroute Clermont Ferrand / Béziers - A 75 sorties 17 et 20, à 60 km de Clermont-Ferrand et 75 km du Puy.

Communes limitrophes du Puy-de-Dôme

Environnement

Les communes d'Agnat, Auzon, Champagnac-le-Vieux, Chassignolles et Saint-Vert adhèrent au parc naturel régional Livradois-Forez.

Natura 2000, en prenant compte les spécificités locales, a également l’ambition de concilier les activités humaines et les engagements pour la biodiversité en faisant appel aux principes d’un développement durable, fondés sur une synergie entre l’environnement, le social et l’économie.

La spécificité des milieux aquatiques a été évaluée par le Conseil supérieur de la pêche. Ce contexte piscicole est évalué en fonction de la qualité des cycles biologiques. Il est considéré comme très bon en amont sur le ruisseau de l'Auzon. Dans cette zone de l'Allier en revanche, la situation s’est dégradée et présente des altérations provoquées par la présence de matières azotées, des traces de nitrates et d'autres substances.

Faune, flore

Les espaces naturels de la commune sont en partie protégés car classés à l'inventaire des zones naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF de type 1 et 2). Elle abrite plusieurs espèces et habitats caractéristiques remarquables et rares, d'une valeur patrimoniale plus élevée que celle du milieu environnant.

Étymologie

La ville semble tirer son nom d'une racine hydronymique préceltique qui est semblable à celle d'Auzon ou Auzonne : Alz- > Auz-, Awz- désignant l'eau, une source ou un cours d'eau. Toutefois, toutes les formes anciennes d'Auzon semblent cohérentes pour dériver de la forme Also, qui pourrait également se rattacher aux formations celtiques d' ales + suffixe -o, qui seraient du même type qu' ales + ia, comme Alésia, signifiant « falaise » ou « hauteur ».

Les deux formes sont d'ailleurs en adéquation avec ce site : les ruisseaux superficiels (l'Auzon et Godarel), qui ont creusé le grand rocher du village pour rejoindre l'Allier, ont déterminé ensemble les facteurs primordiaux pour l'implantation humaine.

Histoire

Le Brivadois, ouvert sur le sud, au caractère méridional, est resté attaché aux valeurs romaines que les grandes invasions ne réussiront pas à gommer. Encore au moment des grands chantiers du XIIe siècle, l’art et l'architecture relèvent cette influence. Cette relation à l’antique est ici encore soulignée par le réemploi d'un élément gallo-romain conservé derrière un contrefort de l'église Saint-Laurent. Ce bloc de pierre est gravé d'une grande inscription en lettres latines, malheureusement fragmentaire et datée des trois premiers siècles après J.-C. Sa présence isolée dans le mur de l’édifice et les quelques éléments de mobilier archéologique sont autant d'indices d'un processus de romanisation et interroge sur l'évolution de ce milieu depuis l'Antiquité.

La ville doit sans doute sa naissance à sa position privilégiée, placée sur la marche du Livradois en contact avec la plaine et la montagne. Cette colline domine la rive droite de l'Allier, près d'un espace relativement peuplé et jouit de précieux atouts : des ressources minières, des produits forestiers, une position stratégique liée au contrôle de la rivière. Il serait cependant vain de vouloir expliquer le développement de la cité par ces seuls facteurs. Les éléments qui se sont montrés déterminants dépendaient du statut accordé aux communautés qui la peuplaient, éléments relevant de la puissance et du nombre des institutions qui se sont côtoyées sous l'influence de faits sociaux particuliers.

Moyen Âge

Face avant du coffret d'Auzon : Weland the Smith.

Durant les invasions, la région des antiques oppidum n'est que peu touchée par les vagues de raids normands. Le réseau d'anciens castrum déjà cités pendant les expéditions de Louis le Pieux ou précédemment décrits lors des premiers raids sous Pépin, ont encore réussi à jouer leurs rôles défensifs. Ces sites de hauteur, avantagés par des fortifications naturelles, ont pu profiter des individus migrants pour accroître la densité des populations environnantes.

Dès l'heure où de nouvelles constructions remplacent les anciennes forteresse publiques du haut Moyen Âge et que s'organise le réseau des forteresses vicomtales, apparaît dans une documentation écrite encore très fragmentaire une première citation du château d'Auzon. Datée de la fin du Xe siècle, cette mention précoce indiquant une forteresse dans une notice du cartulaire de l’abbaye de Sauxillanges suggèrerait, à l'instar du castrum de Vieille-Brioude, qu'ils firent déjà tous deux partie des plus anciennes forteresses secondaires du Brivadois. Malheureusement, l'absence de textes plus précis empêche d'en reconstituer plus précisément les origines.

Les changements socio-politiques de l'an mil ont sans doute motivé la restructuration du site carolingien. Un camp désormais habitable fut vraisemblablement édifié afin de regrouper des troupes qui pouvaient surveiller les voisins et organiser des opérations militaires. Autour de ce nouveau centre, une nouvelle hiérarchie nobiliaire se dessine. Ces hommes d'armes (milites) en quête de noblesse, proches des familles comtales et de leurs vassaux, prennent le nom de cette forteresse et définissent leurs droits comme héréditaires. L’influence des chevaliers s'était substituée à celle des vicaires (ou viguier) qui n’exerçaient plus leurs fonctions au nom du comte. Au XIe siècle, Hugues, vicaire d'Auzon est le lointain et dernier représentant des anciens vicomtes qui s'étaient substitués au cours du Xe siècle au pouvoir central défaillant.

Dans cette viguerie naissante se forge rapidement une nouvelle structure sociale déstabilisant l'ancienne organisation judiciaire. Ce château, bien qu'assurant toujours refuge et protection, devient une base d'exploitation. Il incarne à lui seul la totale autorité qu'exerce maintenant la caste des guerriers sur les humbles. Se dessine alors une nouvelle circonscription territoriale qui restera gravée pour longtemps dans la géographie historique du pays. Le premier chevalier du lignage des d’Auzon que nous livre la documentation au début du XIe siècle se nomme Bompar[1].

Les « acquisitions » progressives des « Auzon », à mesure que se tisse le maillage des relations de la noblesse féodo-vassalique, vont aboutir à la formation d'un vaste patrimoine : ils sont « chassés » sur la rive gauche de l'Allier, dans leur fief de Rilhac planté sur une terrasse alluviale, et possèdent les domaines de Sainte-Florine, Lempdes, Vergongheon, Lorlanges et Chabanne, qui ferment l'accès à la plaine de Brioude. Les familles de Papabeuf de Domeyrat et de Paulhac s'allient avec celle d'Auzon. Au XIIIe siècle, le terrier de la famille regroupe de nombreux domaines, droits et péages éclatés géographiquement entre La Chaise-Dieu et le Lembronnais, prés de Paulhaguet à Brioude, Nonette. Les "Auzon" posséderont également une seigneurie dans la Limagne clermontoise près de Montmorin.


Abbaye de la Chaise-Dieu

Époque royale

Terre d'Auvergne

Le sommet de la colline acquiert rapidement la physionomie d'un petit centre urbain.

Très tôt, Auzon possède une léproserie[2] liée à son l’hôpital[3], et constitue un centre religieux d'importance, jouissant du prestige de son titre de cité royale. C'est aussi un marché couvert dans une ville d'artisans pouvant répondre aux besoins de la région avoisinante.

  • La citadelle royale fortifiée du Livradois.

Depuis 1122, date de l'intervention en Auvergne de Louis VI affirmant son autorité sur les grands seigneurs de son domaine, ainsi que plus tardivement en réaction aux conflits opposant les partisans des deux branches de la famille comtale, la politique royale devient plus active et débouche à plusieurs reprises sur l'intervention de l'armée. Gui Dampierre sous les ordres de Philippe Auguste s’empare alors par la force d’une grande partie la vallée de l’Allier. La place forte passe définitivement dans le Domaine royal sous la tutelle des Capétiens. Le roi s’alliant avec l’évêque de Clermont, il corrige les vassaux rebelles et reconquiert l’Auvergne. Le renouveau de l'autorité monarchique permet d’affaiblir le pouvoir comtal et de minimiser l'hégémonie des acteurs du système féodal.

La terre royale d'Auvergne devient sénéchaussée en 1213.

Le roi établit le bailliage d'Auvergne et dans cette région intermédiaire, entre plaine, terres défrichées et grandes contrées sauvages, Auzon devient, dès avant 1319 le chef-lieu d'une prévôté. Afin de rendre justice et collecter l'impôt, l'administration royale, s'appuyant sur le château et sa prison, établit un centre administratif et décisionnel. Au vu du nombre de seigneuries dépendant de l'importante prévôté d'Auzon, le roi pense assurer l'ordre et la sécurité sur une partie de la Petite Limagne et faire participer les hauts plateaux du Livradois aux charges financières du royaume.

Vestige du château, le Logis à galeries avec son escalier à vis, XVIe.
  • La charte de franchise.

Ce mouvement politique qui marque tout l'Occident au XIIe siècle, amorce une nouvelle étape dans le développement de la citadelle d'Auzon. Avec le développement du commerce, une petite bourgeoisie prend de l’importance. Le système seigneurial est contraint de composer avec elle et lui accorde, ainsi qu'aux hommes du domaine sans doute, certains droits définis par écrit. Elle sera constituée au milieu du XIIIe siècle. Alphonse de Poitiers l'héritier des terres d'Auvergne et Bompar d'Auzon ratifieront cette charte. Ils accordent ainsi aux habitants leur franchise communale. Ceux-ci ont d'ores et déjà le droit d'élire leurs consuls afin être représentés. Les habitants sont maintenant aptes à intervenir sur des dispositions prises en vue de l'organisation de la cité, de la sauvegarde de leurs institutions et de leurs coutumes. C'est le germe de la « commune » d'Auzon, avec des valeurs « citoyennes » et un sentiment d’appartenance à une communauté. Cette charte suppose aussi une réorganisation des structures défensives existantes sur l'éperon au profit des habitants affranchis. le plan de la ville actuelle laisse toujours transparaître la ligne de fortification extérieure de l'enceinte qui séparait les vieilles murailles de la ville haute du faubourg populeux.

  • En 1271, Alphonse de Poitiers n'ayant aucun fils, la co-seigneurie revient après sa mort à la couronne de France.

Auzon est une terre d'apanage et s'inscrit parmi les possessions du Duché d'Auvergne. Aux côtés des fils du roi, non-héritiers du royaume de France, d'autres grandes familles aristocratiques auvergnates vont se succéder. À la fin du XIIIe siècle, la seigneurie d'Auzon est transmise par mariage à la maison de Montmorin. La famille d'Auzon s'alliera également avec celle des Montravel.

La Bonne Ville d'Auvergne

Au cours du XIVe siècle, Auzon bénéficie d'une reconnaissance du pouvoir. Sous protection immédiate du roi et sous sa tutelle administrative, la cité devient l'une des « treize bonnes villes » de Basse-Auvergne.
C'est une ville close et autonome avec une municipalité consulaire ; la communauté des habitants possède une milice et peut assurer sa défense. Nombre de ces bonnes villes comme Auzon, possédaient un rôle administratif et judiciaire. Elles se démarquaient par leur antiquité ou l'ancienneté de leurs privilèges, certaines par leur caractère commercial, l'un des plus important critères pour l'obtention de cette promotion.
Parmi ces nouveaux droits, la cité dispose, entre autres, de celui de présenter des députés aux "États d'Auvergne" à Issoire.
Auzon comme Langeac représentent un modèle de développement et participent étroitement à maintenir le dialogue entre le roi et le plat pays. La ville devient un réel contre-pouvoir profitant de ses privilèges, devant lesquels le roi se plie souvent sans discussions. En France, les bonnes villes avaient le droit de porter sur leur blason un chef de France, c’est-à-dire « d'azur semé de fleurs de lys d'or ». Une tapisserie héraldique située sur un arc triomphal de la collégiale Saint-Laurent illustre l'augmentation accordée à la ville.

  • 1412, le roi Charles VI, instaure un nouveau marché et plusieurs foires.

En 1410, les habitant d'Auzon expose au roi leur besoin d'établir un marché tous les mardis et également trois foires par ans. Ils proposent que la 1re soit organisée le 2 novembre, la seconde le 8 décembre, et une troisième le 25 avril. Cette requête nous permet d'avoir un bref descriptif de la ville d'alors, décrite comme riche et sûre, placée prés des grandes voies de circulation sans oublier son port et ses navires sur l'Allier. Une enquête est alors diligentée auprès des notables et propriétaires d'Auzon ainsi que dans les autres bonnes villes de la région afin d'estimer si cette démarche sera positif ou non pour la trésorerie du roi comme aux seigneurs voisins. Le droit de marché et de foire sera bien accordé sans que personne ne s'oppose. Cette décisions royales occupent une place importante dans l’économie de ville, concourent à sa prospérité et structurent son économie.

Arts et métiers

Les marchands et autres communautés arts et métiers de la ville d'Auzon

Avant le XVIIIe siècle, existaient à Auzon des corporations professionnelles regroupées par la Communauté des arts et métiers, ainsi qu'une communauté juive à la fin du XIIe siècle. La halle d'Auzon est alors un lieu d'échange marchand et de négoce ouvert sur l'extérieur. Ce système corporatif et cette communauté sont favorisés par la proximité de l'exercice du pouvoir, une impulsion royale qui décrit l'inspiration urbaine de la population.

Époque moderne

Les Montmorin

Montmorin
  • Avec l'union de Bompara d'Auzon et Hugues, une grande partie de la seigneurie et de l'ancien domaine des Auzon passe dans la maison de Montmorin.
  • En 1537, François de Montmorin-Saint-Hérem achète les bâtiments royaux et une grande partie de la seigneurie.
  • C'est avant la fin du XVIe siècle qu'apparaît également la première mention d'une école.

Les Polignac

Polignac
  • En 1557, la seigneurie passe dans la maison de Polignac.
  • En 1589, le château est pris par les Ligueurs de Randan.


Peyrenc de Moras

De Séverac

De Simiane

De Monchal

Époque contemporaine

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Henri Doniol DVD  
2008 2014 Henri Doniol[4] DVD  
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Population et société

Démographie

Évolution démographique
1650 1700 1710 1789 1820 1896 1921 1936 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
1138 1081 718 1247 1194 1601 1274 1156 942 1007 1071 1047 920 817 904 916
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Enseignement

école de chappes(commune d'auzon)

Santé

Vie associative

  • Athlétique Club Auzon, club de football (masculin et féminin)
  • Syndicat d'Initiatives du pays d'Auzon, place de la Barreyre.
  • Écomusée du pays d’Auzon
  • Musée de la Vespa
  • L'Espérance auzonnaise (batterie Fanfare)

Économie

Culture et patrimoine

Les parties hautes de la ville médiévale composent encore aujourd'hui un harmonieux patrimoine architectural : maisons anciennes et jardins suspendus, église et maisons romanes, monastère. La ville a également conservé en partie son mur d'enceinte et garde quelques ruines de son château fort.

Ici et dans tout le canton, de nombreux édifices sont inscrits au patrimoine des monuments historiques.

La ville est adhérente au réseau Villes et pays d'art et d'histoire.

Lieux et monuments

Au sommet de l'esplanade de « la ville haute » domine la collégiale Saint Laurent. Au XIIe siècle, sous l'influence casadéenne, le chapitre est nouvellement administré ainsi que l'édifice réaménagé. Ce petit monument se classe en Auvergne parmi les plus purs exemples de l’art roman de ce type. L’édifice de dimensions modestes est cependant remarquable avec son porche et ses chapiteaux, le chevet décoré de modillons sculptés d'animaux allégoriques se croisant avec des décors de végétaux et d'entrelacs. L'harmonie de l'ensemble architectural n'est pas altérée par les adjonctions gothiques.

  • Bâtiment Saint-Laurent, ancienne maison commune du chapitre.
  • Halle, réemploi roman.

Hameaux et lieux-dits

La liste ci-dessous concerne le cadastre actuel[5].

  • Boussac, anthroponyme gallo-romain, traces d'habitat du haut Moyen Âge.. Village construit sur un plateau géologique datable du Rupélien.
  • Chaniat
  • Chappes
  • Escolges, maison forte[6].
  • Les Granges
  • Grigues
  • Lugeac, anthroponyme gallo-romain.
  • Racolles
  • Rizolles
  • Vaureilles, anthroponyme gallo-romain.
  • Moulin Mazelet, Moulin Pagès, Moulin Ponsot
  • Le Bourguet, Granges montagne, Le Mazel, Les Tignaux, Leyreloup. Topo. Disp.
  • Croix des Chenilles, La Croix des Abris, Croix Chaniat
  • Lachenaux, Prachène, Langlade, Ronsières-Basses, Champ Dorat, Côte-Mave, Combe Maveine, Roche Douare, Combe Vaiat, Combe Sourde, Combe Sterne
  • Les Adraits, Combe Arnaud, Bagne-Chien, La Bareyre, Le Beau, La Benelette, Ravin de Bouliroux, La Borie, Les Bos, les Branches, Les Chambards, Les Combelles, Champs Moure, Champ Rouge, Les Chauds, La Chaume, Coste chareire, Les Chazeaux, La Côte de la Chèvre, Les Cigodes, La Couarde, Les Coustandes, Le Crapoux, Le Crouzet, La Croze, L'Enclos, L'Estrade, La Fricasse, La Fridière, Combe de Fort, Les Fossés, Les Gagnouvets (!), La Garde, Les Gardes, La Garde-Haute, La Garnasse, les Gavières, Le Geret, Les Giraudes[7], Les Gounets, L'Hôpital, Les Kiries, La Lette, Suc du Loup, Le Mauzat, La Mironette, Les Moulèdes, Les Parines, La Pierre, Les Places, Le Planet, Les Plots, Le ponceau, Le Portail, La Prade, Pré de la Salle, Les Quatre Cloches, La Ravelle, Combe de Ras, Les Ravins, Ravin de Ribeyrolle, Les Rioulx, Les Rivaux, Roche de Fir, Le Suc de Rochegrand, Les Roches, Les Rossignols, Les Roubines, Les Routis, La Sablières, Le Savet, Le Suquet, Combe Tanière, Les Testiares, La Tuilerie, Le Tet, Le Suc des Tronchères, La Valette, Les Verdiers, Les Vieilles Tuilleries, La Visade
  • Bois Laurent, bois de la Save
Le bassin minier vers 1700
  • Montaigut (Ancienne chapelle, ADHL), Moumoux, Corpommier, Riberole, Prachêne, Fontane, Pezario, Carcagnot, Recolles, Vepsins, Pissevy
  • Ruisseau du Gaudarel, ruisseau du Cé[8], ruisseau de Chastan, Garde, Estantol
  • Source de la Fridière, source de la Borie, source du Scay
  • Bastide de Chappes

Personnalités liées à la commune

Bibliographie

  • Pierre Cubizolles, Auzon, ville royale fortifiée. Une des treize « bonnes villes » d'Auvergne, Nonette, Créer, 2000, 462 p., ill. (ISBN 2-909797-56-2)

Notes et références

  1. Cartulaire de Sauxillanges, n° 679.
  2. « fondée au bord de l'Allier avant 1340 », cf. Le Diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Pierre Cubizolles, p.167.
  3. Cité dès 1391, Auzon : ville royale fortifiée : une des treize « bonnes villes » d'Auvergne, Pierre Cubizolles.
  4. Site de la préfecture de Haute-Loire - Liste des maires, consultée le 1er mai 2010
  5. Il serait fort utile de dresser ici la liste des noms de lieux provenant du cadastre napoléonien. Cette liste aurait comme intérêt d'aider les toponymistes et historiens qui s'intéressent à ce terroir.
  6. Dictionnaire des fiefs de Rémacle.
  7. Anthroponymes germanique, famille Giraud , Girandas(?) = Ger(gari)-Wald(waldan), Geraldus
  8. Latin Sabusus, sureau

Voir aussi

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Liens externes


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