- Santiniketan Park Association
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- N. B. Cet article se réfère à la « Santiniketan Park Association » (Association du parc Santiniketan), alias « The Family » (La Famille), établie en Australie. Son contenu ne doit pas être confondu avec d'autres mouvances homonymiques, telles que : « The Family[note 1] » (USA – Abraham Vereide), « The Family[note 2] » (USA – Charles Manson), « Family[note 3] » (USA – Moïse-David), etc.
La Santiniketan Park Association (Association du parc Santiniketan)[1] – alias La Famille[2],[note 1],[note 2],[note 3], voire la grande Fraternité blanche[4],[note 4] – se réfère à une mouvance New Age controversée, originaire d’Australie, fondée par un professeur de yoga : Anne Hamilton-Byrne[5],[note 5],[note 6].Sommaire
Prémisses
Dans le courant de l’année 1964, un physicien et écrivain britannique – le Dr Raynor Johnson – initie plusieurs réunions informelles, orientées vers des thématiques à caractère religieux et philosophique ; la présidence en est assurée par Anne Hamilton-Byrne[5] ; les rencontres se déroulent dans l’enceinte baptisée Santiniketan[9],[note 7], sise à Ferny Creek (en), en banlieue est de Melbourne, dans les monts Dandenong.
Par la suite, les participants sont conviés à une série de conférences hebdomadaires, au « Centre de formation pour adultes[10] » de Melbourne ; les sujets traités sont axés sur un fil conducteur : « le macrocosme et le microcosme ».
En 1968, le groupe acquiert une propriété adjacente, qu’il nomme : « Parc Santiniketan[11] » ; c’est là qu’il est choisi d’ériger une salle de réunion annexe, baptisée : « Loge Santiniketan[12],[13] ».
L'association ainsi formée se compose de membres, dont la plupart proviennent de la classe moyenne ; il semble toutefois qu'au moins un quart du groupe soit constitué de personnes issues du milieu médical (notamment des infirmières) ; nombre d’entre elles ont d’ailleurs été recrutées par l’entremise du Dr Raynor Johnson ; celui-ci les a ensuite orientées vers des cours de hatha yoga dispensés par Anne Hamilton-Byrne[5],[14]. Les membres du cercle vivent dans la banlieue alentour, dans la région des monts Dandenong ; ils se réunissent trois fois par semaine, à raison de chaque mardi, jeudi et dimanche soir ; les rencontres sont alternativement organisées dans différents espaces :
- l’enceinte de la « Loge Santiniketan » ;
- la « villa Crowther », sise à Olinda (Victoria) (en) ;
- une résidence annexe, appelée : « Loge blanche[15] ».
Newhaven
Vers la fin des années 1960-70, l’hôpital Newhaven de Kew (Victoria) (en) appartient à une institution privée ; il s’agit d’un hôpital psychiatrique, détenu et géré par Marion Villimek, elle-même membre de « Santiniketan » ; une grande partie de son personnel médical – dont des psychiatres – y est également affiliée[16],[17],[18].
À Newhaven, un grand nombre de patients est traité par le biais de drogues hallucinogènes, dérivées du LSD[19]. L'hôpital s’évertue à recruter de nouveaux membres potentiels parmi les patients, en sus de servir à leur administrer du LSD ; le tout est orchestré par des psychiatres subordonnés à la mouvance « Santiniketan » ; y figurent, entre autres : le Dr John Mackay et le Dr Howard Whitaker[20]. À la fin des années 1960, l'un des membres fondateurs de l'Association administre du LSD à certains patients ; en outre, il leur impose diverses formes de thérapies par électrochocs ; il leur fait également subir deux lobotomies et leucotomies[21].
Bien que l'hôpital psychiatrique ait été fermé en 1992, une nouvelle enquête est néanmoins ordonnée au cours de la même année, à dessein d’investiguer plus exhaustivement, quant aux circonstances ayant présidé au décès suspect d’un patient traité, en 1975, à l’hôpital Newhaven ; en effet, de nouvelles allégations laisseraient entendre que sa mort pourrait être imputable aux effets secondaires induits par un coma artificiel[22],[23]. L'enquête recueille des témoignages liés à l’administration d’électrochocs, le recours au LSD, ainsi que d'autres pratiques en cours à Newhaven ; toutefois, aucune preuve ne semble en mesure de corroborer un quelconque rapport de cause à effet avec la cure de sommeil (artificiellement induite) potentiellement incriminée[24].
L’hôpital de Newhaven rouvrira plus tard, mais en qualité de « maison de repos[25] » ; sa vocation intrinsèque se situe désormais aux antipodes de feues ses pratiques initiales.
Kia Lama
De 1968 et 1975, Anne Hamilton-Byrne prend, sous son aile : quatorze nourrissons et enfants en bas âge. Certains sont les enfants naturels des membres de la secte ; d'autres sont le fruit d’adoptions irrégulières, arrangées par les avocats, médecins et travailleurs sociaux qui, étant affiliés à la secte, sont en mesure de contourner les processus légaux traditionnellement en vigueur. L'identité des enfants a été sciemment modifiée, par le biais de faux certificats de naissance ; tous les enfants sont affublés du même nom de famille : « Hamilton-Byrne » ; ils sont habillés de façon identique ; leurs cheveux sont même tous teints en un même blond uniforme[26].
Les enfants sont maintenus en isolement forcés : ils sont scolarisés à domicile[27], dans l’enceinte même de Kia Lama[28] ; on leur fait croire qu’Anne Hamilton-Byrne est leur mère biologique ; on leur présente les autres adultes du groupe comme étant leurs « oncles » et « tantes[16] » ; ils vivent reclus, voire en vase clos ; ils se voient refuser l'accès à la quasi-totalité du monde extérieur ; ils sont soumis à une discipline de fer, dont l’application comporte de fréquents châtiments corporels, associés à la privation systématique de nourriture[29].
Les enfants sont la plupart du temps abrutis par les neuroleptiques qui leur sont prescrits d’office : Anatensol, Diazepam, Haloperidol, Largactil, Mogadon, Seresta®, Stelazine, Tegretol ou Tofranil[16]. Au stade embryonnaire de l’adolescence, on les force à absorber du LSD, puis on les confine à l’isolement, dans une pièce obscure, dépourvue de lumière ; les seules visites qu’ils reçoivent sont celles d’Anne Hamilton-Byrne ou, alternativement, de l'un des psychiatres de la secte[16],[30].
Mémoires d’une rescapée
Quelques enfants ont réussi à s'échapper, parmi lesquels figurent Sarah Hamilton-Byrne, qui n’est autre que l’une des filles « adoptives » d’Anne Hamilton-Byrne ; Sarah a écrit un ouvrage, relatant son enfance houleuse[16] ; elle y affirme, entre autres allégations, que les enfants ont été « volés » à leurs naissances[16] ; elle prétend également que sa mère biologique serait venue se délester d'un bébé, puis que les membres de l'establishment médical de Melbourne et de Geelong auraient pris part à un processus manipulatoire, au cours duquel nombre de femmes auraient appris que leurs bébés n’auraient prétendument pas survécu à l’accouchement, alors que, en réalité, ils auraient été enlevés à leurs mères biologiques, à dessein d’être secrètement confiés « aux bons soins » d’Anne Hamilton-Byrne[31].
Préceptes religieux
L’Association du parc Santinikean[1] enseigne un mélange syncrétique de christianisme, d’hindouisme et d'autres sources orientales et occidentales diverses ; la trame initiale en est principalement axée sur le principe fondateur que les vérités spirituelles relèveraient de l’universalité[32]. Les enfants sont astreints à étudier les principaux textes afférents aux religions susnommées, ainsi que d’autres écrits annexes, dont certains émanent de divers gourous en vogue : Sri Chinmoy, Meher Baba, Rajneesh, etc.[16] Le cénacle justifie ses intermittences sous le couvert allégué d’appartenir à une élite : celle de n’être autre que la réincarnation des douze apôtres christiques[33].
Siddha Yoga
A une époque de sa vie, Anne Hamilton-Byrne a développé un lien particulier avec le Siddha Yoga ; elle est ointe de l’initiation dite shaktipat (en), directement octroyée par Swami Muktananda ; elle adopte un nom sanscrit : Ma Yoga Shakti.
De 1979 et 1981, elle invite quelques uns des enfants à demeurer dans l’ashram de Swami Muktananda, à South Fallsburg (en) (New York), dans les Catskill Mountains ; elle fait également l’acquisition d’une propriété avoisinante, qu’elle établit comme base stratégique de sa doctrine aux États-Unis[16]. Cependant, elle s’avèrera déçue par certains arcanes clés, liés aux concepts structurels, enseignements et pratiques de l'ashram ; elle encouragera ainsi d'autres aspirants à se départir de tout lien formel avec le siddha-yoga. [34].
Intervention des forces de l’ordre
Le 14 août 1987, une descente de police, menée dans la résidence Kia Lama, a pour mission de délivrer les enfants qui y sont encore séquestrés[note 8].
Durant les six années suivantes, Anne Hamilton-Byrne et son mari William choisissent de vivre en exil, loin de l'Australie.
Une enquête internationale – conjointement menée par l'Australie, les USA, et le Royaume-Uni – aboutit, en juin 1993, à leurs arrestations respectives, grâce à la collaboration du FBI ; ils sont interpellés dans une ville située non loin de South Fallsburg (en), dans les Catskills[36].
Ils sont dès lors extradés vers l’Australie, puis accusés de complot, fraude et parjure, par addenda délictueux subordonnés aux enregistrements frauduleux de trois naissances[note 9] consignées – par leurs entremises tutélaires – dans les Registres d’état-civil australiens[37]. Elizabeth Whitaker (épouse du médecin psychiatre Howard Whitaker) est leur co-défenderesse[38]. Les Hamilton-Byrnes plaident coupable pour un seul chef d’inculpation : rédaction de fausses déclarations de naissance[39] ; ils sont condamnés à payer une indemnité de $5000 AUD à chacune des victimes ; les poursuites contre le Dr Whitaker sont abandonnées. Quant au mari de la fondatrice de La Famille, il écope d’une amende symbolique[40],[41],[16].
Actualités
En 2010, Julian Assange a révélé que sa mère – alors qu'il était âgé de 8 ans – avait été mariée à un membre de la Santiniketan Park Association[42].
12 décembre 2010 : au cours d’une émission hebdomadaire – « Mise au Point[6] » – diffusée par la Télévision Suisse Romande, Julian Assange évoque son enfance, ainsi que les constantes pérégrinations qui l’ont amené – lui-même, sa mère et son demi-frère – à devoir fuir ce qu’il appelle : « La secte d’Anne Hamilton-Byrne[7],[6],[note 6],[43] ».
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article en anglais intitulé « Santiniketan Park Association » (voir la liste des auteurs)
NB : À l’exception de quelques notes additionnelles, assorties à la présente adaptation française, la majeure partie des références et liens figurant ci-dessous – bien que traduits en français – se réfèrent néanmoins, pour la plupart, à des écrits ou vidéos publiés en langue anglaise ; vos contributions et ajouts – en langue française – sont les bienvenus !
Notes
- L’Association du parc Santiniketan – alias La Famille[3] – n’est pas affiliée à d'autres mouvances du même nom, telles que : The Family (en français : « La Famille », soit un groupe intégriste chrétien, également connu sous les noms suivants : The Fellowship, The Fellowship Foundation et The International Foundation), fondée à Seattle (États-Unis), en 1935, par feu l’immigrant norvégien, prêcheur méthodiste et anti-communiste itinérant : Abraham Vereide (en) (1886 - 1969).
- l’Association du parc Santiniketan – alias La Famille – n'est non plus pas à mettre en équation avec une autre mouvance homonymique : La famille, de Charles Manson.
- L’appellation The Family ne désigne pas ici le mouvement spirituel controversé : Famille (en anglais : Family ) ex Enfants de Dieu) (Family (ex children of God) – également répertorié sous d’autres appellations telles que : Famille d’amour (« Family of Love ») et, désormais : Famille internationale (Family International) –, secte fondée par l’autoproclamé feu « prophète » David Brandt Berg (en) (décédé en 1978), connu de ses adeptes sous le nom de Moïse-David (Moses-David), voire MO.
- L’unité sémantique « fraternité blanche » (ou « grande fraternité blanche »), se retrouve dans plusieurs courants ésotériques : théosophie, voire Fraternité blanche universelle (fondée par Peter Deunov en Bulgarie en 1922), dont une nouvelle branche a été initiée en France par un disciple : Omraam Mikhaël Aïvanhov.
- 12 décembre 2010 : au cours d’une émission hebdomadaire – « Mise au Point[6] » – diffusée par la Télévision Suisse Romande, Julian Assange évoque son enfance, ainsi que les constantes pérégrinations qui l’ont amené – lui-même, sa mère et son demi-frère – à devoir fuir ce qu’il appelle : « La secte d’Anne Hamilton-Byrne[7],[6] ».
- Aux alentours du minutage 10:57 de cette interview télévisée[8], Julian Assange déclare : « Ma mère vivait avec le fils supposé d’Anne Hamilton-Byrne, de la secte du même nom, en Australie... on était en permanence pourchassés... sans doute à cause des problèmes liés au système de sécurité sociale... on devait souvent rapidement changer de ville... et, souvent même, changer de nom. »
- Santiniketan est le nom donné par le père de Rabindranath Tagore à une ville qu'il a créée en Inde et que son fils a rendue célèbre.
- Le 14 août 1987, un raid policier eut lieu contre le centre Kia Lama (propriété rurale, sise au bord du lac Eildon (en), en Australie), afin de procéder à la libération de plusieurs enfants qui avaient été enlevés à leur naissance, puis adoptés frauduleusement et séquestrés, voués à vivre en vase clos, en sus d'être victimes d'abus et de maltraitances[35],[13].
- L’enregistrement des trois naissances respectivement concernées avait été présenté comme étant l’apanage de « triplés ».
Références
- En anglais : « Santiniketan Park Association ».
- En anglais : « The Family ».
- En anglais : « The Family ».
- En anglais : « The Great White Brotherhood ».
- (en) [vidéo] Interview télévisée d’Anne Hamilton-Byrne : reportage (de la télévision australienne) consacré à la biographie d’Anne Hamilton-Byrne, au vu des maltraitances infligées aux enfants de « La Famille » ; magazine TV 60 minutes ; diffusé le 2 octobre 2009 ; journaliste vedette : Karl Stefanovic (en) (consulté le 15 décembre 2010).
- (fr) [vidéo] Mise au Point – WikiLeaks : qui est Julian Assange ? – tsr.ch, 12 décembre 2010 ; cf. → vers 10:23 de l’enregistrement.
- En anglais : « Anne Hamilton-Byrne’s cult ».
- vidéo] Mise au Point – WikiLeaks : qui est Julian Assange ? – tsr.ch, 12 décembre 2010 ; cf. → vers 10:57 de l’enregistrement. [
- Lire Shanti-Niketan qui, en sanscrit, signifie : « Demeure de la paix ».
- En anglais : « Council of Adult Education ».
- En anglais : « Santiniketan Park ».
- En anglais : « Santiniketan Lodge ».
- (en) Australie – Cour suprême de Victoria (en) (1999) : arrêté Kibby – cf. registraire des titres et autres –> Kibby v. Registrar of Titles and Another [1999] ».
- (en) The Family : think big productions.
- En anglais : « White Lodge ».
- Invisible, inaudible, inexistante : ma vie d’enfant prisonnière au sein de la secte d'Anne Hamilton-Byrne », par Sarah Hamilton-Byrne [1995] – Penguin Books: Ringwood ISBN 0-14-017434-6 – un extrait de ce livre peut être consulté en ligne (en anglais), via le site consacré aux adeptes ayant choisi d’abandonner tout enseignement ou pratique liée au Siddha Yoga. «
- Enquête du coroner sur une mort suspecte, survenue dans l'hôpital d’une secte » – The Age, 13 mars 1992. «
- (en) [PDF] Middleton W. (2007) : « Reconstruire le passé : traumatisme, mémoire et thérapie » ; document d'information destiné aux séminaires ; « Trauma, dissociation et psychose : métaphore, stratégie et réalité » ; Centre Delphi, en collaboration avec L'Institut Cannan et l’unité hospitalière de traumatisme et de dissociation de l’hôpital Belmont (Sydney) : 4 au 5 mai 2007, cf. p. 97.
- Elias, D. (1992) : « Enquête et sondage sur l’approche psychiatrique liée à l'échangisme, tel que pratiqué au cours des sixties ; The Age, 14 Mars 1992.
- Hamilton-Byrne, S. (1995b) : « Hiérarchie et organisation au sein des sectes » ; Les sceptiques australiens – The Skeptic (en), 15 (3), p. 26.
- Cour suprême du Victoria (1999) Ibid.
- En anglais : « Deep sleep therapy (en) ».
- (en) Deep Sleep Therapy and brainwashing researcher : Dr. William Sargant : « Les recherches – sur le coma artificiel et le lavage de cerveau – fomentées par le Dr William Sargant » ; article rédigé par David Pescovitz – 17 août 2009.
- Aucune preuve – permettant d’attester de quelconques pratiques liées à l’induction délibérée d’un coma artificiel – n’a pu être expurgée par les enquêteurs » : The Age, 25 août 1992. «
- En anglais : « nursing home (en) ».
- Sinnott, NH (1997) : Décryptage anamnestique d'une secte dévastatrice The Skeptic (en) 17 (2), p. 45.
- En anglais : « homeschooling (en) ».
- Kia Lama est une propriété rurale, qualifiée de UPTOP (sic), sise à Taylor Bay, au bord du lac Eildon (en), non loin de la ville d’Eildon (Victoria) (en).
- Middleton, W. (2007) Ibid., page 96.
- Middleton, W. (2007) Ibid. p.97.
- (en) The Spirit of Things : Australian Broadcasting Corporation (ABC), 7 septembre 2000.
- Raynor Johnson (1972) : « Le chemin spirituel » (Hodder & Stoughton: London) – ISBN 0-340-15852-2
- Hamilton-Byrne, S. (1995b) Ibid. p. 27
- Cf. extrait des notes consignées par Stan Trout dans : « Quitter toute pratique liée au Siddha Yoga ».
- Elias, D. & Ryle, G. (1994) : « Les enfants prisonniers de la secte recouvrent la liberté, certes... mais quel avenir peut-il leur être encore offert ? » – The Age, 23 Septembre 1994.
- Les leaders d’une secte australienne ont été écroués » : The Sun-Herald (en), 5 Juin 1993. «
- The Age, 17 août 1993.
- Une accusation de complot à trois visages » : The Age, 16 Novembre 1993 «
- Le gourou de la secte enregistre trois bébés comme étant les siens » : The Age, 23 Septembre 1994. «
- The Age, 27 Septembre 1994.
- La Famille d’origine, qui aspirait tellement à prier en choeur, a finalement été dissoute » : The Age, 11 juin 1993. «
- Qui est Julian Assange ?, par Flavien Hamon – lexpress.fr : article publié le 23 août 2010 ; mis à jour le 30 novembre 2010 ; consulté le 21 décembre 2010
- L’homme derrière WikiLeaks, par Monique Crépault – synchro-blogue.com – 24 juin 2010.
Annexes
Liens externes
NB : Pour l’heure, les liens externes existent essentiellement en langue anglaise ; vos contributions et ajouts – en langue française – sont les bienvenus !
- (en) [vidéo] Interview télévisée d’Anne Hamilton-Byrne – reportage (de la télévision australienne) consacré à la biographie d’Anne Hamilton-Byrne, au vu des maltraitances infligées aux enfants de « La Famille » ; magazine TV 60 minutes du 2 octobre 2009, présenté par Karl Stefanovic (en) – consulté le 15 décembre 2010.
- (en) Campbell, James : The Family Cult's Secrets Exposed, The Sunday Herald Sun (en) (16 août 2009). Consulté le 4 septembre 2009.
- (en) Why I see Anne : « Pourquoi j’ai décidé de revoir Anne », par le Dr Sarah Moore/Hamilton-Byrne.
- (en) Brief story of road to overcoming the Family : « Brève incursion dans le parcours restaurateur qui m’a permis de surmonter les traumatismes de La Famille », par Ben Shenton (anciennement connu sous le nom de : Ben Hamilton-Byrne).
- (en) Deep Sleep Therapy and brainwashing researcher : Dr. William Sargant : « Les recherches – sur le coma artificiel et le lavage de cerveau – fomentées par le Dr William Sargant » ; article rédigé par David Pescovitz – 17 août 2009.
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