Apolo7

Apolo7

Réseau de bus Apolo7

Apolo7
Citaro au depot.jpg
Situation Île-de-France
Type Autobus
Entrée en service 1997
Longueur du réseau ?
Lignes 5
Fréquentation 16 000 voyages/jour[1].
Propriétaire SITBCCE
Exploitant STBC
Lignes du réseau Apolo7 A B C D E
Réseaux connexes Bus Parisien

Le réseau de bus Apolo7 (Apolo7) a été créé en Septembre 1997 à l’issue de la restructuration du réseau des Transports Urbains Chellois et est géré, aujourd'hui, par la Société des Transports du Bassin Chellois.

Sommaire

Hier

À la fin des années 1930, l'intérieur de Chelles, deux services d'autobus privés relient la gare aux quartiers éloignés : « l'autobus des Coudreaux et l'autobus du Pin ».

Les Transports Urbains Chellois

Après la Seconde Guerre mondiale, Chelles se préoccupe des transports entre le centre-ville et les quartiers périphériques. La « Société des transports urbains chellois » (TUC) exploite alors cinq lignes d'autobus, reliant la mairie à la gare du Chénay-Gagny, à la Noue-Brossard, aux Pissottes, à Bel-Air, à la Madeleine, aux Coudreaux, au Rêve, à la Chantereine, et à la Villeneuve.

Le réseau des Transports Urbains Chellois se développa ensuite durant un peu moins d'une trentaine d'années, suivant le développement de la ville, créations des zones industrielles de la Tuilerie et de la Trentaine, et l'accroissement démographique...

Dégradation de la situation.

Mais c'est à partir de 1993 que la situation commença à se dégrader : la Société des Transports Urbains Chellois était désormais déficitaire. Une situation qui au fil des mois s'est conjuguée par une détérioration du climat social au sein de l'entreprise[2]:

Le déficit financier des TUC se traduisit précisément par une détérioration de la qualité des véhicules : Les années ont passé et la majorité des cars a atteint la limite d'âge, plus de dix alors que la moyenne autorisée est de sept années même très bien entretenus, des pannes successives, provoquant ainsi des retards et le mécontentement des passages. Ces véhicules ne présentaient plus les garanties de confort, ni de sécurité optimale. De plus, trois véhicules manquaient pour assurer la desserte des lignes existantes. Ce furent l'origine principale de la multiplication des conflits sociaux[3].

Et ce fut le conflit social de fin 1996 qui sonnera la fin de la crise : le personnel faisait grève pour obtenir du matériel plus récent, en plus d'un juste salaire. Ainsi, c'est au terme d'un long bras de fer (plus de trois semaines de conflit) que la situation commencera à s'améliorer : plusieurs véhicules d'occasion furent achetés. Certes d'occasion, mais le renouvellement du parc était en cours à la satisfaction générale. Les revendications salariales furent également entendues et le travail reprit progressivement le 6 novembre 1996[3].

De plus, les arrêts n'étaient pas ou très mal matérialisés, les dessertes de certains quartiers étaient très mal assurées et les horaires peu ou pas respectés. Les quelque quatre mille lycéens de la cité scolaire (Lycée Gaston Bachelard et Louis Lumière) de l'époque étaient souvent contraints de faire de l'auto-stop[4].

État du réseau à la veille de sa restructuration[5].

À la veille de la mise en service du réseau rénové, ce dernier était composée de neuf lignes :

Lignes TUC de 1 à 5 Lignes TUC de 6 à 9
061-001 Circulaire faisant la boucle du quartier des Abbesses au départ de la Gare de Chelles 061-006 Circulaire faisant Gare de Chelles, Mont Chalâts, Chantereine, Rond Point des Sciences, Chemin de la Guette, Rue du Tir, Centre-Ville de Chelles
061-002 Gare de Chelles ↔ Chelles Rond-Point des Sciences via Quatre Routes 061-007 Chelles Gare Routière RERChelles Centre Commercial Chelles 2 via Mont-Châlats
061-003 Gare de Chelles ↔ Chelles Madeleine ↔ Chelles Rond-Point des Sciences[6] 061-0013A Chelles Gare Routière RERCourtry via Rue du Tir
061-004 Chelles Gare Routière RERChelles Centre Commercial Chelles 2Chelles Place Henrion 061-0013B Chelles Gare Routière RERClaye-Souilly Mairie via Le Pin et Villevaudé
061-005 Chelles Gare Routière RERChelles Grande Prairie ↔ Chelles La Trentaine ↔ Vaires-sur-Marne Paul Algis ↔ Vaires Gare SNCF

Des TUC à Apolo7

"Aux grands maux, les grands remèdes"

Pour arriver à la fin du conflit de trois semaines, d'âpres négociations ont été menées tant du côté des chauffeurs en grève que de la ville de Chelles et de la société Transdev dont dépendait les TUC et de la RATP pour aboutir le 14 novembre 1996, à un protocole d'accord entre tous les partenaires[3] :

Sous le regard attentif du Syndicat des transports parisiens (STP) et à l'initiative de la Ville et des maires du bassin de transport, Transdev et la RATP mirent en place un partenariat bipartite, afin de remettre de l'ordre dans les transports en commun et permettre le développement du réseau TUC en améliorant la qualité. D'un côté, Chelles et les communes voisines s'organisèrent par l'intermédiaire d'une structure intercommunale : le Syndicat Intercommunal des Transports du Bassin Chellois et des Communes Environnantes, déléguant ainsi (et encore aujourd'hui d'ailleurs) leurs compétences en matière de transport public. De l'autre, la RATP et Transdev constituent une société commune que sera appelée la Société des Transports du Bassin Chellois.

Sans ces accords et la mise en place du syndicat intercommunal, qui doit obtenir une aide financière de la région du département et du Syndicat des transports parisiens (STP), la situation aurait perduré ou pire encore, la Ville de Chelles aurait pu se trouver dépourvue de tout mode de transports en commun. En effet, les TUC étaient en grande difficulté financière, proches de la faillite, et le règlement imposé par le STP ne permettait pas un rachat pour et simple des lignes existantes. Dans tous les cas, les Transports Urbains Chellois restaient propriétaires de leur réseau même s'ils décidaient de cesser son exploitation[4].

Fin 1996, un pré-calendrier d'exécution fut établi : constitution du syndicat intercommunal, réalisation des études et concertation afin de déterminer le projet le plus adapté à la situation, création de la société d'exploitation (STBC) au cours du premier trimestre 1997, adoption du nouveau réseau par le syndicat (SITBCCE) et le STP au plus tard, le 30 juin 1997 pour une mise en application à la rentrée scolaire[3].

Apolo 7

Pour accéder à l'historique de l'une des quatre lignes, cliquez sur le lien correspondant ci-dessous et rendez vous dans la partie "Histoire":

Lancement du réseau Apolo7

Plan du réseau Apolo7 en septembre 1997[4]

Le nouveau réseau issue de la restructuration des Transports Urbains Chellois sera appelé Apolo7, ce nom a été trouvé en 1997, à l’occasion d’un concours organisé dans une école de Chelles[7].

C'est au début du mois de septembre 1997 que les Transports Urbains Chellois, après plus de trente ans d'existence, laissèrent place au tout nouveau réseau Apolo7 :
Les onze lignes TUC numérotées furent remplacées par les lignes A, B, C, D, E et F du nouveau réseau APOLO7. Si les cinq premières concernant Chelles, elles suffisent à assurer la couverture de la ville mais avec une offre inférieure de 15 %.

Ce tout nouveau réseau fut élaboré en peu de temps : neuf mois seulement au lieu des deux années qu'exige normalement ce type de restructuration, ce qui occasionna quelques dysfonctionnements. Mais l'urgence de la restructuration excusa le mauvais départ et des ajustements furent rapidement effectués[4]. Pour exemple, la signature de la convention définitive n'est intervenue que le 3 septembre 1997[8]. De plus, les changements furent très importants : Outre la modification des habitudes des usagers, la simplification du nombre des lignes fut beaucoup de mécontents, même s'il n'y eut aucune suppression pure et simple de desserte.

Par exemple, pour le même trajet, direct auparavant, le voyageur a du subir une correspondance : l'exemple type était le "Spécial scolaire des Arcades", même s'il ne touchait que vingt-cinq des mille huit cents cartes scolaires distribuées, qui se traduisit par une intégration dans la nouvelle ligne C : le trajet direct est alors devenu un peu plus tortueux avec par conséquent, un allongement de leur temps de transport, limité toutefois à dix minutes[4].

Mais, aux Coudreaux, les habitants se plaignent des suppressions de lignes et de l'allongement de la durée du trajet entre les Coudreaux et le Centre-Ville Chellois qui atteint aujourd'hui trente-cinq minutes. Les habitants se plaignaient des bus souvent bondés, les personnes âgées du quartier devaient prendre l'habitude de parcourir une distance plus importante pour rejoindre l'arrêt le plus proche de leur domicile. Ces dysfonctionnements existaient également à Chantereine et au Mont-Chalâts[2].
Ces inconvénients, indubitablement gênants, ont été toutefois contrebalancés par une amélioration du service proposé[4].

Ce nouveau réseau s'est accompagné de la poursuite du renouvellement d'un tiers du parc roulant issu des Transports Urbains Chellois, de l'aménagement des points d'arrêts (installations de poteaux de signalisation), l'information aux usagers qui développera progressivement et de l'adaptation de certains horaires, comme dit précédemment[4].

Réseau Apolo7 1.0

Comme dit précédemment, c'est un nouveau réseau nommé Apolo7 qui fut mis en service en Septembre 1997. Ce premier réseau était alors composé de six lignes :

Ligne Anciennement[5] Dessertes principales
Ligne A TUC 061-001/006 Chelles Gare Routière RERChelles Cité Scolaire ↔ Chelles Rond-Point des Sciences
Ligne B TUC 061-0013A Chelles Gare Routière RERCourtry Lamartine ↔ Chelles Gare Routière RER
Ligne C TUC 061-004 Chelles Gare Routière RERChelles Centre Commercial Chelles 2Chelles Place Henrion
Ligne D TUC 061-005 Chelles Gare Routière RERChelles Grande Prairie ↔ Chelles La Trentaine ↔ Vaires-sur-Marne Paul Algis ↔ Vaires Gare SNCF
Ligne E TUC 061-0013B Chelles Gare Routière RERClaye-Souilly Mairie
Ligne F Ligne TUC/Europe Autocar Vaires Gare SNCF > Brou-sur-Chantereine Clinique > Brou-sur-Chantereine Jean Jaurès > Vaires Gare SNCF

Particularités du réseau.

  • La ligne A avait la charge de desservir la Cité Scolaire et Jéhan de Chelles en permanence. D'ailleurs, ce que Bernard Garnier, alors adjoint au maire de Chelles chargé du dossier, avait mis en avant lors de la mise en avant des difficultés de lancement, c'est que la fréquence des bus a été augmenté : un passage tous les dix minutes en heure de pointe et toutes les trente minutes en heure creuse, un nouveauté mise en service notamment pour la desserte des établissements scolaires[2]. Il faisait allusion ainsi à la nouvelle ligne A. La ligne A dessert alors la totalité des quartiers de la ville. Ainsi, elle assure depuis sa création, une desserte circulaire du quartier des Abbesses au départ de la gare.
  • La ligne B était destinée à relier la gare de Chelles à Courtry. Il desservit brièvement le quartier des Coudreaux à travers deux sens distincts parce que le passage dans la rue Delambre posait des problèmes de stationnement et de proximités des écoles. La desserte nouvelle mise en place est toujours en place aujourd'hui[4].
  • La ligne C était la seule ligne du réseau à desservir le Centre Commercial Chelles 2. La girouette des bus affichaient alors "Place Henrion via Chelles2" ou "Gare Routière via Chelles 2" selon le sens. Les dimanches et fêtes, seule la ligne A fonctionnant, en cas d'ouverture exceptionnelle de Chelles 2, seule la ligne (BUS) RATP 113 desservait le lieu à raison d'un bus par heure. Elle dessert le quartier de Grande Prairie pour la desserte du collège Weczerka, aux heures scolaires.
  • La ligne D reliait la gare de Chelles à celle de Vaires avec des horaires qui étaient été calés par rapport aux besoins des entreprises de la zone d'activités de la Trentaine. La ligne effectuait en complément la desserte du quartier de Grande Prairie ainsi que du secteur sud de Vaires-sur-Marne. Ainsi la desserte de Vaires-sur-Marne par le réseau n'était limitée qu'aux heures de pointe. Aux heures scolaires, des bus reliaient Vaires-sur-Marne à la Cité Scolaire via Brou-sur-Chantereine et le lycée Jéhan de Chelles. À ses débuts, la ligne ne desservait ni la Cité EDF, ni le collège Goscinny est en permanence, ce qui changea quelques temps plus tard.
  • La ligne E reliait à ses tous débuts, la gare de Chelles à Claye-Souilly via Madeleine et via Chelles Les Coudreaux et Courtry. Ce deuxième itinéraire a été par la suite intégré dans la ligne B aux heures de pointe : ce sont les bus express qui l'utilisent depuis. Ces bus relient Courtry à la gare de Chelles via le chemin du Sempin. Le premier itinéraire est celui que la ligne garda jusqu'à l'été 2005. Une déviation sera alors mise en service suite à la restructuration de 2005.
  • La ligne F était la seule ligne qui desservait la clinique de Brou, la ville de Brou-sur-Chantereine, à travers une circulaire. Elle était isolée du reste du réseau même si la ligne D était en correspondance en gare terminus de Vaires, puisque cette dernière ne circule qu'en heure de pointe, du lundi au vendredi. Aux heures scolaires, des bus étaient prolongés jusqu'au collège René Goscinny de Vaires-sur-Marne. Cette nouvelle ligne remplaçait une ancienne qui était gérée par le réseau de bus TUC, en pool avec la société Europe Autocar[5].

Le quartier de Chantereine (Chelles) était desservi grâce à deux lignes : la ligne A passait par la Place des Fêtes, c'est-à-dire par l'est du quartier alors que la ligne C passait par l'ouest. D'ailleurs, aujourd'hui, l'itinéraire est réutilisé par la ligne A version 2005.

En 1998, le réseau Apolo7 effectuait 2,8 millions de voyages par an[9].

De plus, jusqu'en Septembre 1999, tous les lignes desservaient le centre-ville chellois à travers une boucle centrée sur le parc du souvenir. À cet époque, l'arrêt "Mairie" des bus allant à la gare était observé à l'emplacement actuel du poteau TVF au bout de la rue René Sallé. D'ailleurs, ce poteau est du même type que celui utilisée par les lignes du temps des TUC. Les bus prenaient la rue Louis Eterlet et l'avenue de la Résistance où des arrêts "Poste" et "Marché" étaient observés. Ils tournaient à gauche sur le boulevard Chilpéric où se trouvait l'ancienne gare routière : elle était très petite. La suite du circuit est le même que celui utilisé actuellement. Mais c'est suite à la mise en place de nouveaux plans de circulation et de stationnement, afin de fluidifier le trafic et de privilégier les transports en commun que cette configuration évolua. C'est depuis lors que sur les rues Adolphe Besson et le boulevard Chilpéric, ils existent des voies en site propre[10].

Premier bilan trois ans après.

Après trois années de fonctionnement, un premier bilan fut effectué : Pierre Becquart, alors directeur de la Société des Transports du Bassin Chellois, expliqua qu'à la création de cette dernière, il fallait adapter l'offre à la demande des usagers, mettre en cohérence les horaires des bus avec ceux de la SNCF. Un travail d'ajustement des passages des bus avec les établissements scolaires, afin de faire correspondre aux heures principales d'entrée et de sortie des élèves des collèges et des lycées, fut effectué. Le réseau a été simplifié avec en plus un renouvellement du parc de véhicules. En 2000, la flotte était composée d'une trentaine de bus (contre 38 aujourd'hui). De plus, de véritables arrêts de bus, clairement identifiés ont été créé, et la nouvelle gare routière vient d'être livrée[10].
En 2000, 95 % des usagers empruntent les transports en commun aux heures de pointe et à cette période la journée, les trente véhicules dont la STBC disposait, étaient engagés sur le réseau. Quotidiennement, ce furent environ 10 000 voyageurs qui étaient transportés[11].

Poursuite des efforts.

Après avoir effectué un grand renouvellement du parc, un second a débuté en 2002 afin de renouveler à raison de 3 à 4 véhicules par an, le matériel roulant. Ces nouveaux bus mis en service sont désormais dotés de filtres à particules et de palettes escamotables pour l'accueil à leur bord de personnes à mobilité réduite[12].

Réseau Apolo7 2.0

Signalétique à un arrêt créé lors de cette restructuration

Objectifs.

Après la restructuration créatrice du réseau Apolo7 de 1997 qui devait optimiser l'offre de transport existant, une seconde eut lieu le 28 février 2005 afin de s'adapter aux besoins des usagers qui ont évolué en 8 ans. De plus, il y avait 4 millions de voyages par an en 2005, soit une augmentation de 40% par rapport à 1998[13] :

Ainsi, la restructuration du 28 février 2005 visait...[13]

  • l'adaptation aux modes de vie et aux nouveaux secteurs d'urbanisation : il fallait desservir le quartier de l'Aulnoy : en 1997, la majorité du quartier de l'Aulnoy n'existait pas encore, en 2005, elle était déjà assez urbanisée...
  • la prise en compte de l'évolution de la Carte scolaire (augmentation des effectifs du Lycée Jéhan de Chelles et création d'une nouvelle entrée pour le Lycée Lumière),
  • la gestion de l'impact de la Carte Imagine'R qui favorise les déplacements des jeunes,
  • la gestion de l'impact des 35 heures qui engendre de nouveaux modes de déplacements liés aux loisirs ou à la consommation.

C'est pourquoi, il a fallu améliorer la desserte du Centre commercial Chelles 2 : ainsi, il est désormais desservi par les lignes (BUS) Apolo7 A C D contre l'ancienne ligne C jusque là. (Il est toujours desservi par les lignes (BUS) RATP 113 211 comme c'est le cas depuis 1996.) Les lycées chellois, autrefois desservis par la ligne Apolo7 A en permanence, sont désormais desservis par les lignes A, C, D, toutes périodes. La ligne Apolo7 B ne les dessert qu'aux heures et périodes scolaires comme c'est déjà le cas[13]. La ligne Apolo7 E vint s'ajouter à partir du 4 juillet 2005, afin de pouvoir remplacer la ligne A, désormais déviée, mais sans avoir les fréquences qu'avait cette dernière et ainsi desservir systématiquement les lycées de Chelles[14].

Ce nouveau réseau dessert désormais tous les secteurs d'urbanisation avec deux cent cinquante points d'arrêt, soit un arrêt tous les quatre cents mètres en moyenne, destiné à être mis aux normes de manière à pouvoir accueillir les personnes à mobilité réduite. Tous seront également dotés d'abris voyageurs, de bans et d'une signalétique plus lisible. D'ailleurs, sur les deux cent cinquante arrêts, quatre-vingts avait déjà été traités à l'été 2005[13]. Sur les deux cent cinquante points d'arrêt, quarante et un furent le fruit de la restructuration : ils furent implantés notamment dans le quartier de l'Aulnoy où deux lignes la dessert désormais (lignes Apolo7 A C[15]. La nouvelle ligne C fait le lien entre les Cliniques de Brou et de Chelles... La desserte de la nouvelle entrée indépendante du lycée Lumière (côté Chelles2) sera effectuée à partir du 2 mai 2006 à travers un nouvel arrêt Lumière[16].

La restructuration.

Le nouveau réseau a été simplifié par rapport à celui de 1997 : la ligne F fusionna avec les nouvelles lignes Apolo7 C et Apolo7 D. Ainsi, le réseau était désormais composé de cinq lignes même si la ligne B ne subit aucune modification liée à cette restructuration :

Les points forts des nouvelles lignes...[17]

  • La nouvelle ligne Apolo7 A garde les mêmes terminus extrêmes mais...

Elle dessert désormais la place Henrion (auparavant, elle la contournait, la ligne C la desservant), toute seule le quartier de Chantereine, les lycées de Chelles. Ce furent surtout le nouveau quartier de l’Aulnoy avec ses quatre mille nouveaux habitants, en reprenant l'itinéraire de l'ancienne ligne C ainsi que le centre commercial Chelles 2, qui bénéficièrent de cette refonte. À l'occasion de la restructuration, la ligne A abandonna la couleur violette pour la couleur jaune.

  • La nouvelle ligne Apolo7 C relie désormais la gare de Chelles à Vaires Paul Algis :

Elle ne va plus à la place Henrion mais dessert toujours le centre commercial Chelles 2 : autrefois l'unique ligne du réseau à le faire, elle est désormais secondée par les lignes Apolo7 A D. Par la même occasion, la ligne devient structurante à vocation intercommunale et dessert désormais, en plus, le nouveau quartier de l’Aulnoy via le nouveau itinéraire de la RN34, aujourd'hui D934. Elle relie désormais sans correspondance la gare de Chelles à celle de Vaires ainsi que la clinique de Chelles à celle de Brou-sur-Chantereine. Elle absorba l'ancienne ligne D sur la totalité de son parcours : ainsi, la ligne C assure la desserte de la zone industrielle de la Trentaine aux heures de pointe. Elle remplace aussi la ligne F avec la nouvelle ligne Apolo7 D. À l'occasion de la restructuration, la ligne C abandonna la couleur jaune orangée pour la couleur bleue.

  • La nouvelle ligne Apolo7 D ne garde de son ancien parcours que le terminus de la gare de Vaires...

Ainsi, désormais, elle devient une ligne intercommunale qui permet essentiellement des déplacements de « loisirs » vocation loisirs car elle relie désormais la gare de Vaires à Villevaudé Marronniers via les communes de Vaires sur Marne, Brou-sur-Chantereine, Chelles, Courtry, Le Pin et Villevaudé. Elle dessert désormais les centres-villes des communes précédemment énoncées, le centre commercial Chelles 2, la clinique de Brou ainsi que les lycées de Chelles, tout au long de la journée maintenant. À l'occasion de la restructuration, la ligne D abandonna la couleur verte pour la couleur rouge.

Bilans.

Concernant la fréquentation, entre les derniers comptages de 2003 et ceux de novembre 2005, elle a augmenté de 10,4%. Ainsi, la restructuration a favorisé la fréquentation même si les spécialistes s'accordaient à dire cependant que le réseau donnait ses premiers signes de saturation notamment aux heures de pointe[15].

Afin de savoir ce que pensait les usagers des évolutions du réseau Apolo7, une enquête fut réalisée auprès des habitants du bassin de transport qu'ils soient usagers ou non et elle montre que globalement, les usagers sont satisfaits de l'offre de transports. Les usagers trouve le réseau Apolo7 bien, il obtient ainsi une note globale de 7,30 sur 10. Cependant, les usagers font part d'une fréquence insuffisante (39% des usagers) de passage des bus ainsi qu'un manque à certains moments de la journée (25%). Ils se plaignent aussi d'une offre de transport en semaine et en heure de pointe arrivant en limite de capacité, d'une insuffisante information et communication en cas de perturbation du réseau mais aussi en temps normal. Les non usagers connaissent peu ou pas Apolo7[15].

Il a été aussi avéré que c'était aux heures de pointe que les bus Apolo7 et les transports, en général, sont les moins confortables. Afin d'améliorer cette situation, il était évident qu'il fallait des moyens supplémentaires : recruter de nouveaux conducteurs et acheter des véhicules. Il a été aussi prévu que selon les prévisions de 2005, l'effort consenti serait équilibré à l'horizon 2010, alors que cet équilibre fut déjà atteint en 2006. Ainsi, des recettes complémentaires auxquelles s'ajoutent toujours les engagements du SITBCCE et de Marne et Chantereine, ce qui permet de développer encore le transport public local[18].

Il était aussi proposé de créer un service de transport en commun à la demande afin d'apporter des réponses attendues durant des tranches horaires marginales et des destinations non desservies :"Un supplément au supplément est en quelque sorte". Le président du SITBCCE s'est d'ailleurs engagé entre autres à améliorer les conditions de transport en heure de pointe et à étendre progressivement l'offre de transport en journée, en soirée et le week-end[18].

Ajustements principaux. La restructuration a apporté son lot d'ajustements, en voici des exemples :

  • Depuis le 29 août 2005, un nouvel arrêt Base Olympique a été créé entre les arrêts Pêcheurs et Cité EDF de la ligne Apolo7 C du réseau Apolo7 à l’intersection du quai du Port et du boulevard de la Marne. Ce nouvel arrêt facilite ainsi la desserte de la base de loisirs de Vaires pour les usagers de la ligne.
  • Depuis le 29 août 2005, l'itinéraire de la ligne Apolo7 B a changé entre les arrêts Pasteur et Stade à la demande de la commune de Courtry. Il en fut de même pour l'emplacement des arrêts Debussy et Stade a changé, le nouvel arrêt Debussy pour les lignes Apolo7 B D se situe au niveau de l’ancien arrêt Stade et ce dernier se trouve au nord du stade.
  • Depuis le 5 septembre 2005, l'emplacement de l’arrêt Dispensaire de la ligne Apolo7 C, en direction de la gare routière, a évolué : auparavant parallèle à celui vers Chelles 2, il a été déplacé au bout de la rue Gabriel Mortillet au niveau du rond Point du Mac Donald. Le déplacement de l'arrêt est lié à une erreur de tracé : l'arrêt Vergers de la ligne Apolo7 C vers la gare routière n'avait jamais réellement existé. Sa mise en commun avec celui de la ligne Apolo7 A fut ce qui provoqua l'évolution de l'arrêt Dispensaire.
  • Depuis l'été 2006, habituellement interrompus en juillet et août, les « semi directs » de la ligne Apolo7 B sont maintenus car ils sont forts appréciés par les usagers. En effet, ces courses permettent un trajet plus rapide vers la gare de Chelles[19].
  • Depuis la rentrée 2007, l'accueil de la clientèle "RézoPlus" a déménagé. Situé autrefois dans le marché, il se trouve désormais dans l'enceinte de la gare SNCF de Chelles Gournay (côté gare routière), place du grand jardin.

Prise en compte des suggestions[1].

En 2007, à l'occasion des dix ans du réseau, un nouveau bilan fut effectué : la fréquentation a progressé de 40% et les usagers bénéficient désormais d'une offre augmentée de 25 % par rapport à 1997.
C'est dans ce climat positif, que les suggestions faites par les usagers à l'occasion de l'enquête de 2006 commencèrent à être pris en compte : cela se traduisit par une augmentation du nombre de rotations sur les lignes Apolo7 A B C E à partir de mars 2007 grâce à la réception de deux nouveaux bus et à la création de cinq emplois de conducteurs de bus... Sur les lignes Apolo7 A B C, c'est principalement aux heures de pointe que ces deux nouveaux bus furent affectés.
Désormais, sur ces quatre lignes, ce furent vingt-huit courses supplémentaires qui furent créées : Vingt et une sur la ligne Apolo7 A entre 7 heures et 19 heures, ce qui se traduisit par un passage à trois bus par heure en moyenne en heure creuse et un passage toutes les dix minutes en moyenne aux heures de pointe dans le sens de la pointe, du lundi au vendredi. Les samedis, la fréquence de passage des bus a été doublé. La ligne Apolo7 B ne bénéficia que de cinq rotations supplémentaires aux heures de pointe du matin et du soir, la ligne Apolo7 C, seulement de deux aux heures de pointe du matin. La ligne Apolo7 E bénéficia quant à elle de quatre rotations supplémentaires, entre 10 heures et 16 heures, permettant aux habitants de Le Pin, Villevaudé et de Claye-Souilly de renforcer l'accessibilité au réseau ferroviaire de Paris-Est.

Forte de son succès, depuis 2007, la ligne Apolo7 D est maintenue en service durant la période estivale après avoir été prolongé jusqu’au hameau de Bordeaux, afin d’harmoniser les dessertes sur l’ensemble de la commune de Villevaudé notamment pour le public scolaire, depuis le 4 septembre 2006[19].

De plus, depuis septembre 2007, pour répondre mieux aux besoins de déplacement en dehors des heures traditionnelles notamment le soir et le week-end, un nouveau service, financé par la région via la STIF, complémentaire du réseau Apolo7 a été créé : il s'appelle Apolo+ et fonctionne en soirée du lundi au samedi de 20h à 23h et les dimanches et fêtes de 7h30 à 22h.

Depuis le 15 septembre 2009, Apolo7 expérimente un bus à énergie hybride, afin de permettre une moindre consommation de carburant, une moindre émission de CO2 et de bruit, tout en améliorant le confort[20].

Aujourd'hui

Logo du réseau Apolo7

Les cinq lignes

Le Réseau de bus Apolo7 (Apolo7) est exploité par la Société des Transports du Bassin Chellois. Il est composé de cinq lignes qui permettent d’effectuer seize milles voyages chaque jour[21] et qui desservent au total sept villes : Brou-sur-Chantereine , Chelles, Courtry, Vaires-sur-Marne , Claye-Souilly, Villevaudé et Le Pin), soit un territoire de 6 600 hectares pour 80 000 habitants. En une année, les trente-sept bus du réseau (chiffres début 2007) parcourent plus d'un million de kilomètres [1]. Apolo7 est aujourd'hui l'acronyme de Autobus POur assurer des Liaisons Optimales sur les 7 communes du bassin Chellois.

Le réseau fonctionne environ entre 5 h 30 et 22 h 30 du lundi au vendredi, entre 6 h et 22 h 30 les samedis et les dimanches et jours de fête entre 7 h 00 et 21 h 00 à travers la ligne A uniquement, cette fois. Le réseau ne fonctionnera pas le 1er mai 2010.

Quant aux fréquences, elles varient selon les lignes mais en matière générale, c'est en moyenne :

  • Du lundi au vendredi, dans le sens de la pointe, c'est un passage toutes les 10 à 20 minutes et en heure creuse, c'est un passage toutes les 15 à 30 minutes voire toutes les heures (Ligne Apolo7 D uniquement)
  • Les samedis, c'est un bus toutes les 30 minutes sur la ligne Apolo7 A mais toutes les heures sur les autres lignes.
  • Les dimanches, seule la ligne Apolo7 A fonctionne entre 7h20 et 14h00 ainsi qu'entre 16h30 et 21h00.

Le réseau aujourd'hui composé de plus de deux cent cinquante points d'arrêts[13], se décompose, comme dit précédemment, en cinq lignes couvrant l'ensemble du bassin chellois :

Ligne Terminus Service assuré
Apolo7 A Chelles Gare Routière RERChelles Rond-Point des Sciences Tous les jours même en soirée jusqu'à 22h30 sauf le dimanche, sur l'ensemble du parcours
Apolo7 B Chelles Gare Routière RERCourtry Stade ↔ Chelles Gare Routière RER Du lundi au samedi sauf en soirée sur l'ensemble du parcours
Apolo7 C Chelles Gare Routière RERVaires-sur-Marne Paul Algis Du lundi au samedi sauf en soirée sur le parcours via Chelles 2 sinon du lundi au vendredi aux heures de pointe sur le parcours via Trentaine
Apolo7 D Vaires Gare SNCF SquareVillevaudé Poitou Du lundi au samedi sur l'ensemble du parcours entre 10h00 et 20h30
Apolo7 E Chelles Gare Routière RERClaye-Souilly Mairie Du lundi au samedi sauf en soirée sur l'ensemble du parcours

Depuis décembre 2006, pour répondre à une demande accrue de service de nuit, des bus circulent la nuit, sous le nom de (N) N141 et relie la Gare de l'Est à celle de Meaux. Ainsi, les gares de Chelles et de Vaires qui seront reliées entre elles en une dizaine de minutes[22] mais aussi à Paris en 40/50 minutes.

Matériel roulant

Citaro aux couleurs du réseau.

Aujourd'hui, le parc roulant du réseau est composé de trente-huit véhicules et de deux dédiés à Apolo+, le service de transport à la demande[23]. Quand le parc était encore constitué de trente-sept véhicules, il y avait vingt-six bus standards et onze articulés[24].

Sur le réseau Apolo7, on peut trouver des Mercedes-Benz O405 entre autres, mais en majorité des Citaros standards et des Citaros G (articulés) parce qu'après la tranche de renouvellement du parc qui dura jusqu'en 2000[11], une nouvelle débuta en 2002 et est toujours en cours. Elle consiste en le remplacement des bus présents souvent d'occasion par des véhicules neufs au rythme de cinq par an par des nouveaux bus de type Citaro. Ils ont pour particularité d'être climatisés, respectueux de l’environnement en répondant aux normes Euro 4 (Euro 5 pour les véhicules livrés depuis 2007), dotés de filtre à particules, cet équipement réduit à la limite du mesurable, les rejets de carbone et d’hydrocarbure dans l’atmosphère, ainsi que de palettes escamotables pour pouvoir, à leur bord, accueillir les personnes à mobilité réduite[25]. Ce renouvellement devrait se terminer en 2010/2011, date à laquelle, il faudra songer à remplacer les premiers bus achetés en 2002 qui auront 8 ou 9 ans d'âge (selon les normes de qualité STIF, l'âge moyen de la flotte de bus ne doit pas dépasser 7 ans)[5].

La grande enquête diligentée en 2006 l'avait révélé, les usagers aspiraient à se sentir en sécurité dans les transports en commun : c'est pourquoi depuis la rentrée 2007, les bus d'Apolo7 sont équipés de caméras de surveillance[25], bien que les opérations de prévention auprès des collégiens portent leurs fruits réduisant ainsi nettement les actes de malveillance (dégradations,vandalisme) sur les lignes. Dans les bus simples, les caméras sont au nombre de 3 et le chauffeur dispose d’un écran de contrôle, dans les bus articulés, elles sont 4. Ils disposent aussi d'un système de géolocalisation qui permet d’intervenir très rapidement en cas de problème[26].
Ces deux systèmes ont un rôle préventif et dissuasif. Ils viennent compléter le dispositif existant qui comprend la présence d’agents de médiation, les actions de prévention menées auprès des scolaires et la fréquence des opérations de contrôle des titres de transport : de quoi rassurer conducteurs et voyageurs[27].

Dépôts

C'est le dépôt Sernam situé à Chelles (garage uniquement des articulés) en 2007.

En 2007, les trente-huit véhicules du réseau étaient remisés dans deux dépôts : En effet, les bus articulés se garaient dans le parking de l'ancienne SERNAM alors que les bus standards se garaient dans les entrepôts jouxtant les bureaux de la société exploitante (STBC). Aujourd'hui, le dépôt Mariette remplace celui de l'ancienne SERNAM.

Tarification et financement

La tarification appliquée sur le réseau est identique à celle des lignes de bus exploitées par la RATP, à l'exception des lignes Orlybus et Roissybus, ainsi que l'essentiel des lignes de tramway et accessible avec les mêmes abonnements. Un ticket t+ permet un trajet simple quelle que soit la distance avec une ou plusieurs correspondances possibles avec les lignes de bus et de tramway pendant une durée maximale de 1 h 30 entre la première et dernière validation, mais pas avec le métro ou le RER.

Le financement du fonctionnement du réseau, entretien, matériel et charges de personnel, est assuré par le SITBCCE et Marne-et-Chantereine. Cependant, les tarifs des billets et abonnements dont le montant est limité par décision politique ne couvrent pas les frais réels de transport. Le manque à gagner est compensé par l'autorité organisatrice, le STIF, présidé depuis 2005 par le président du Conseil régional d'Île-de-France et composé d'élus locaux. Il définit les conditions générales d'exploitation ainsi que la durée et la fréquence des services. L'équilibre financier du fonctionnement est assuré par une dotation globale annuelle de 3,5 milliards d'euros aux transporteurs de la région grâce au versement transport payé par les entreprises et aux contributions des collectivités publiques.

Demain

Ce seront, sur Apolo7, des dessertes plus nombreuses en journée, en soirée et le week-end. Des études sont actuellement réalisées pour progressivement atteindre les objectifs suivants afin d'augmenter l’amplitude des services de soirée sur les lignes Apolo7 A B C E jusqu’à 21 heures 30 ou 22 heures et de développer l’offre du dimanche et des jours fériés sur les lignes Apolo7 B C E[19], en cohérence avec l'évolution du service de transport à la demande Apolo+ qui a aussi vocation à être un service de soirée[5].

Annexes

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Articles connexes

Liens externes

Notes, sources et références

  1. a , b  et c Magazine "Chelles Contact" N°226 Avril 2007 - page 10
  2. a , b  et c Magazine "Chelles Contact" N°129 Novembre 1997 - Compte-rendu du Conseil Municipal de Chelles du 26 septembre 1997
  3. a , b , c  et d Magazine "Chelles Contact" N°121 Décembre 1996 - Dossier "Sur la route de la qualité" - page 19
  4. a , b , c , d , e , f , g  et h Magazine "Chelles Contact" N°128 Octobre 1997 - Enjeux "Améliorations à l'horizon" - page 11
  5. a , b , c , d  et e D'après la Direction des Transports et Déplacements - Communauté d'Agglomération Marne et Chantereine - Syndicat Intercommunal de Transport du Bassin Chellois et des Communes Environnantes
  6. Magazine "Chelles Contact" N°121 Décembre 1996 - Dossier "Sur la route de la qualité" - page 16
  7. Site Apolo7.fr "Historique"
  8. Magazine "Chelles Contact" N°128 Octobre 1997 - Enjeux "Une envie de qualité" - page 11
  9. Magazine "Chelles Contact" - N°219 Septembre 2006 - Dossier "Apolo 7 sur la bonne voie - Page 9
  10. a  et b Magazine "Chelles Contact" Novembre 2000 - Dossier "La meilleure façon de rouler page 18
  11. a  et b Magazine "Chelles Contact" Novembre 2000 - Dossier "La meilleure façon de rouler" page 19
  12. Magazine "Traverses" SITBCCE - Numéro spécial Mars 2007 "Apolo7 fête ses 10 ans" page 2
  13. a , b , c , d  et e Magazine "Chelles Contact" N°219 Septembre 2006 - page 10
  14. Article Apolo7.fr "Lignes D et E, les changements de l'été 2005 (à partir du 04 juillet)"
  15. a , b  et c Magazine "Chelles Contact" N°219 Septembre 2006 - page 11
  16. Article Apolo7.fr "Desserte du Lycée Lumière"
  17. Article Apolo7.fr "Les grandes nouveautés du réseau"
  18. a  et b Magazine "Chelles Contact" N°219 Septembre 2006 - page 12
  19. a , b  et c Site Chelles.fr - Actualités "Semaine de la mobilité du 16 au 22 septembre 2006"
  20. Article Apolo7.fr "Apolo7 expérimente un bus à énergie hybride"
  21. Site Apolo7.fr "Les lignes"
  22. Brochure Noctilien N141 - Horaires au 14 mai 2007
  23. Site Apolo7 : Qui sommes nous? / Les lignes
  24. "Le Guide du Transport 2008" Supplément gratuit avec l'édition du mercredi 27 août 2008 de "La Marne"
  25. a  et b Magazine "Chelles Contact" n°229 Juillet/Août 2007 page 8
  26. Magazine "Chelles Contact" n°226 - page 11
  27. Magazine "Traverses" SITBCCE - Numéro spécial Mars 2007 "Apolo7 fête ses 10 ans" page 3

Chelles Contact est le magazine mensuel de la ville de Chelles (77).

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