Mantes-la-Ville

Mantes-la-Ville
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48° 58′ 30″ N 1° 42′ 42″ E / 48.975, 1.71166666667

Mantes-la-Ville
L'hôtel de ville
L'hôtel de ville
Armoiries
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Canton Mantes-la-Ville
(chef-lieu)
Code commune 78362
Code postal 78711
Maire
Mandat en cours
Monique Brochot
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines
Site web mairie-manteslaville.fr
Démographie
Population 18 891 hab. (2008[1])
Densité 3 117 hab./km²
Gentilé Mantevillois
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 30″ Nord
       1° 42′ 42″ Est
/ 48.975, 1.71166666667
Altitudes mini. 17 m — maxi. 114 m
Superficie 6,06 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Mantes-la-Ville est une commune du département des Yvelines et de la région Île-de-France, située à 52 km environ à l'ouest de Paris.

Les habitants sont appelés les Mantevillois.

Sommaire

Géographie

Position de Mantes-la-Ville dans les Yvelines
Locator Dot.png

C’est une ville moyenne d’environ 20 000 habitants (surclassée 20 à 40 000 habitants), située dans les Yvelines au nord-ouest de Paris, au confluent de la Seine et de la Vaucouleurs (petit affluent de la rive gauche de la Seine).

Le territoire de Mantes-la-Ville est urbanisé mais dispose d'un parc le long de sa rivière et de hauts de collines arborés et agricoles. Il est séparé de celui de Mantes-la-Jolie par la ligne ferroviaire Paris-Mantes-Rouen et desservi par la gare de Mantes-Station, distante de quelques centaines de mètres seulement de celle de Mantes-la-Jolie. Il est traversé également par l'autoroute A13, et on y trouve aussi les deux échangeurs de Mantes-Sud et Mantes-Est. Pour limiter les nuisances, l'autoroute a été partiellement recouverte.

Climat

Le climat à Mantes-la-Ville est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 à 5 °C en hiver (janvier) et 14 à 25 °C en été (juillet)[2]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.


Héraldique

Armes de Mantes-la-Ville

Les armes de Mantes-la-Ville se blasonnent ainsi :

D'azur à la couronne dentée d'argent remplie de gueules, accostée et engrenant deux pignons dentés aussi d'argent, surmontés chacun d'une fleur de lis d'or, à la lyre du même, cordée de sable, enfermée dans la couronne dentée et brochant en issant de la partie supérieure de la couronne dentée, à la champagne ondée d'argent chargé d'un brochet d'azur.

Le blason de Mantes-la-Ville a été réalisé en 1961 seulement. La couronne dentée évoque les industries mécaniques ; la lyre rappelle que Mantes-la-Ville fut et demeure un centre de fabrication d'instruments de musique; les deux fleurs de lis rappellent les armes de de l’Île-de-France. En pointe, la champagne ondée chargée d’un brochet symbolise la Seine et se lieux de pêche et rappelle l’un des meubles emprunté aux armes de la famille Brochant de Villiers qui posséda les terres de Mantes-la-Ville de 1656 à la Révolution. Le cep de vigne et les gerbes de blé rappellent l’origine rurale de Mantes-la-Ville.

La devise « Urbs Artis Musicae » complète ce sens de la lyre dans l’écu

Histoire

L’origine du nom de Mantes viendrait du latin Medenta. Son étymologie ferait référence à la notion de « protection » : Mantes serait une protection avancée sur la Seine, et Mantes-la-Ville l’exploitation agricole située dans les environs de celle-ci, et l’alimentant. Il est à noter que les deux communes ont toujours été indépendantes l’une de l’autre.

Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, l’orthographe Mantelaville[réf. nécessaire] commence à se raréfier au profit de Mante-la-Ville qui se généralisera au XIXe siècle. Très rapidement, un "s" apparaîtra pour en arriver à l’orthographe actuelle Mantes-la-Ville.

Mantes-la-Ville fut le siège d'une usine de la Cellophane, spécialisée dans la fabrication de pellicules cellulosiques. Cette usine fut construite en 1926 en bord de Seine près de la ferme de Chantereine. La fabrication démarra effectivement en 1929, et s'arrêta le 6 juin 1940 à cause de l'invasion allemande. Elle fut gravement endommagée par les bombardements alliés en 1944, puis reprit son expansion jusqu'en 1976. C'est le second choc pétrolier et l'arrivée de matériaux concurrents qui précipitèrent sa fin. La production fut arrêtée définitivement en 1985 et l'usine complètement détruite en 1986.

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Mantes-la-Ville comptait 18 891 habitants (soit une diminution de 2 % par rapport à 1999). La commune occupait le 475e rang au niveau national, alors qu'elle était au 448e en 1999, et le 21e au niveau départemental sur 262 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Mantes-la-Ville depuis 1793.

Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[3], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.


Le maximum de la population a été atteint en 1999 avec 19 258 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 811 832 725 788 838 909 938 971 1 001
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 748 788 844 932 990 1 058 1 211 1 303 1 610
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 1 859 2 088 2 322 2 720 3 604 5 414 6 011 5 780 6 670
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 10 319 14 632 16 708 17 360 19 081 19 258 18 506 18 739 18 891
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[4], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[5],[6]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 48,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,6 %, 15 à 29 ans = 20 %, 30 à 44 ans = 21,6 %, 45 à 59 ans = 19,8 %, plus de 60 ans = 16 %) ;
  • 51,4 % de femmes (0 à 14 ans = 20,7 %, 15 à 29 ans = 21,2 %, 30 à 44 ans = 20 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 19,3 %).
Pyramide des âges à Mantes-la-Ville en 2007 en pourcentage[7]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90  ans ou +
1,0 
4,6 
75 à 89 ans
6,6 
11,1 
60 à 74 ans
11,7 
19,8 
45 à 59 ans
18,7 
21,6 
30 à 44 ans
20,0 
20,0 
15 à 29 ans
21,2 
22,6 
0 à 14 ans
20,7 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[8]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90  ans ou +
0,9 
4,3 
75 à 89 ans
6,6 
11,2 
60 à 74 ans
11,6 
20,3 
45 à 59 ans
20,7 
22,1 
30 à 44 ans
21,5 
19,9 
15 à 29 ans
18,9 
21,9 
0 à 14 ans
19,8 

Administration

Communauté d'agglomération
de Mantes-en-Yvelines

Mantes-la-Ville est l'une des douze communes de la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines.

Maires de Mantes-la-Ville

liste des maires de Mantes-le-Ville
Période Identité Étiquette Qualité
1878 1892 Daniel Constant-Gautier    
1892 1908 Charles Mallèvre    
1908 1919 Ulysse Morin    
1919 1932 Henri Dolnet    
1932 1935 Henri Mouletin    
1935 1941 Henri Feuille    
1941 1944 Gaston Genestre    
1945 1947 Prosper Lacroix    
1947 1953 Armand Gaillard    
1953 1973 Aimé Bergeal SFIO puis PS  
1973 1977 André Peulvast PS  
1977 1984 René Martin PCF  
1984 1989 Georges Godin    
1989 1995 Jean Boyer PS  
1995 2008 Annette Peulvast-Bergeal PS Enseignante
2008   Monique Brochot PS  

Transports et voies de communications

Réseau routier

Desserte ferroviaire

Bus

La commune est desservie par :

Communication

Logo de Mantes-la-Ville

Adopté en 1989, le logo de Mantes-la-Ville symbolise l’élan vers l’avenir comme le souligne le double « V » de ville et de vie. Le vert et le bleu, déjà présents dans le blason, sont traditionnellement associés aux espaces verts, aux cours d'eau (la Seine et la Vaucouleurs), en bref, à l’environnement. Quant à la note de musique, elle exprime la présence à Mantes-la-Ville d’entreprises célèbres dans la fabrication d'instruments de musique.

Économie

Mantes-la-Ville est le siège de deux facteurs d'instruments à vent de renommée mondiale : Buffet-Crampon pour les clarinettes, et Selmer pour les saxophones.

Une zone industrielle diversifiée s'est installée sur l'ancien site de la Cellophane.

Écologie

La ville Mantes-la-Ville remplace une grande partie du fioul domestique utilisé pour le chauffage de ses bâtiments par de la biomasse (des plaquettes de bois déchiqueté et des granulés). Elle réchauffe une partie de l'eau chaude sanitaire avec des panneaux solaire (pour les vestiaires du Stade Aimé Bergeal).

Une zone industrielle diversifiée s'est installée sur l'ancien site de la Cellophane.

Culture et patrimoine

L'Ensemble orchestral de Mantes-la-Ville, ou EOM, est né de l'initiative d'un groupe de musiciens qui créèrent en 1885 l'harmonie de Mantes-la-Ville. L'ensemble a pris son nouveau nom en 1990, sous la direction de Jean-Luc Fillon, directeur et chef d'orchestre depuis 1984, artiste poly-instrumentiste (hautbois, cor anglais, contrebasse) et compositeur au parcours original.

Patrimoine architectural

Église Saint-Étienne

Église Saint-Étienne.

La paroisse Saint-Étienne aurait été fondée en 974 par une comtesse de Houdan, mais les textes les plus anciens mentionnant l’existence de l’église Saint-Étienne de Mantes- la-Ville datent de 1238. De l’église initiale du XIIe siècle ne subsiste que la nef et quelques éléments de l’abside. L’église médiévale est remaniée et agrandie au XVIe siècle, pour aboutir à peu de choses près à l’édifice actuel.

La conception de l’église Saint-Étienne, qu’il s’agisse de l’architecture ou des matériaux utilisés, est typique de l’époque et de la région : il en est ainsi par exemple de la voûte de bois, voûte en berceau de style roman. L’arc en plein cintre et la croisée d’ogive du chœur témoignent quant à eux des prémices du gothique dans le Mantois. Quant au vitraux, réalisés par J. Gaudin et P. Potet, ils sont tout à fait contemporains de l’immédiat après guerre : ils diffusent une clarté colorée dans l’église depuis 1948.

Au cours des XIXe siècle et XXe siècle, l’église a subi plusieurs restaurations plus ou moins ponctuelles. Une grande campagne de restauration a eu lieu entre 1968 et 1981, dont l’objectif était de rendre à Saint-Étienne son état initial du XVIe siècle.

Tous les ajouts des XVIIe siècle, XVIIIe siècle et XIXe siècle ont été supprimés. Notamment, le porche qui précédait l’église, et qui tombait en ruine, a été supprimé, ainsi que la tribune qui, à l’intérieur de l’église, surplombait la nef. De même, la nef et le transept ont été réaménagés dans un souci d’authenticité.

L’église Saint-Étienne est le plus ancien témoin du patrimoine Mantevillois.

Ancienne usine Le Blan - Gringoire

Usine Le Blan - Gringoire.

C'est en 1920 que l'entreprise Le Blan, filature de coton installée dans la commune depuis 1916 fait construire cette usine par Fourre et Rhodes entre la rue de Dammartin (rue Camélinat aujourd'hui) et la rue des Neffetières (actuelle rue Louise Michel). En 1939, l'entreprise employait 504 personnes. Le bâtiment a bien résisté aux bombardements de la seconde guerre mondiale et, en 1944, les alliés installèrent trois batteries d'artillerie qui tirèrent sans interruption pendant deux jours. En 1947, 590 employés traitent dix tonnes de coton par jours. En 1959, le nombre d'employés est tombé à 300 et la filature ferme en 1961.

En septembre de la même année, la société Gringoire reprend l'usine et les salariés pour fabriquer des biscottes. La société ferme l'usine en 1974 qui est alors divisée entre AVIAC puis Sagem et un centre de formation des apprentis et diverses entreprises.

En 2009 la municipalité rachète l'usine pour la sauver d'un projet immobilier devant la détruire et la réhabiliter en maison des associations. Mais, après deux études évaluant le surcoût de la réhabilitation à deux millions d'euros, la municipalité a lancé un appel d'offre incluant la construction d'une maison des associations et la démolition de l'usine. Un collectif[9] de mantevillois s'est constitué pour tenter de sauver le bâtiment.

Patrimoine naturel

Carrière des Orgemonts

La carrière des Orgemonts

Au sud-ouest de Mantes-la-Ville, à l'extrémité nord-est du plateau de Soindres, la carrière est accessible à mi-côte de la rue des Orgemonts. Elle présente une falaise de dix à quatorze mètres de hauteur, constituée de couches géologiques formées au cours de l'ère quaternaire, essentiellement par dépôt de limons (particules fines calcaires et siliceuses) charriés par les vents pendant les périodes froides[10]. Entre ces couches s'intercalent des paléosols plus fins formés lors de périodes plus tempérés[11]. On trouve des dépôts similaires à Rosny, Rolleboise et Jouy Mauvoisin[11]. Des silex taillés ont été trouvés dans la carrière en 1898, mais dès 1869, le site attire l'attention de géologues qui l'étudieront à plusieurs reprises[11] :

  • 1869 : E. Belgrand.
  • 1898 : A. Laville, Bulletins de la Société d'anthropologie de Paris, Gisement de silex taillés dans les limons à briques de Mantes-la-Ville.
  • 1950 : F. Bordes.
  • 1964 : M. Ters, Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire, Les limons de Mantes-la-Ville.
  • 1983 : H. Vazard.

C'est la briquetterie Cauzard-Blanchard, implantée à Mantes-la-Ville en 1860[12] qui l'exploitera à partir de 1863[13] avant de prendre le nom de Tuilerie des Cordeliers en 1868[10],[14]. En 1899 un accident coutât la vie à deux ouvriers qui meurent ensevelis sous un éboulement dans la carrière (article du Journal de Mantes du 27 décembre 1899 consultable sur le Ky'osque)[10]. La société fût reprise entre les deux guerre par D. Ramazzina qui dû réduire la production par manque de charbon en 1939-1940. L'exploitation s'arrêta le 19 juillet 1944 avec la destruction de la maison du directeur lors d'un bombardement allié et les fours furent démolis en 1946[10],[15]. La commune de Mantes-la-Ville acquit les anciennes carrières en 1985 auprès de la société Rhône-Poulenc qui en était devenue propriétaire[10].

Personnalités liées à la commune

  • Alain Barrière - Auteur-compositeur-interprète ayant vécu à Mantes-la-Ville dans un moulin visible dans le jeu « du plus beau et du plus laid » ayant pour thème Dix maisons de vedettes diffusé le 12 mars 1972. Il fut également dirigeant et animateur du Club Athlétique de Mantes-la-Ville (C.A.M.V.) pour lequel il composa une « Chanson du C.A.M.V. » en 1971.
  • Jacques Boyer.
  • André Brochant de Villiers, géologue et minéralogiste français, né à Mantes-la-Ville le 6 août 1772.
  • Olivier Enguerrand, ministre et écrivain calviniste du XVIIe siècle.
  • Georges Auguste Charles Guibourg dit Georgius (° 1891 - † 1970) - Chanteur français, chansonnier et comédien natif de Mantes-la-Ville.
  • Rachida Khalil - Comédienne ayant vécu à Mantes-la-Ville.
  • Annette Peulvast-Bergeal - maire de Mantes-la-Ville de 1995 à 2008 et députée de la huitième circonscription des Yvelines de 1997 à 2002. Elle est connue pour son altercation avec Jean-Marie Le Pen le 30 mai 1997 qui valu à ce dernier d'être condamné à un an d'inéligibilité, 8 000 F d'amende et trois mois de prison avec sursis pour « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice de ses fonctions ».
  • Augustin Serre.

Jumelage

Drapeau de l'Allemagne Neunkirchen (Allemagne) depuis 1970


Notes et références

  1. Population de Mantes-la-Ville, à l'issue du recensement 2007 sur INSEE. Consulté le 31 octobre 2009
  2. Climat des Yvelines sur le site de Météo France
  3. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
  4. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 25 avril 2011
  5. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 25 avril 2011
  6. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 25 avril 2011
  7. Évolution et structure de la population à Mantes-la-Ville en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 25 avril 2011
  8. Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 25 avril 2011
  9. http://www.patrimoine-mantois.org/
  10. a, b, c, d et e La carrière des Orgemonts sur le site de la mairie de Mantes-la-Ville
  11. a, b et c Les loess des Orgemonts de Mantes la Ville sur le site des sciences de la vie et de la terre de l'académie de Versialles
  12. Industrie et urbanisation sur le site de la mairie de Mantes-la-Ville
  13. Tourisme en Mantois, Groupe de Recherche et d'Éditions Mantaises, 1996 
  14. Balade aux Enfers sur le site de la maison du tourisme du Mantois
  15. Un bref historique de la carrière des Orgemonts sur le site des sciences de la vie et de la terre de l'académie de Versialles

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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