Jean Baptiste Louis Philippe De Félix

Jean Baptiste Louis Philippe De Félix

Jean Baptiste Louis Philippe de Félix

Jean Baptiste Louis Philippe de Félix, comte de Saint-Maime, baron d'Empire, né le 21 décembre 1755 à Ollières (Var).

D'abord connu sous le nom de comte de Saint-Maime, il entra au service comme chevau-léger surnuméraire de la garde du roi, avec rang de sous-lieutenant le 16 décembre 1766, et passa avec ce grade dans le régiment mestre-de-camp général de cavalerie le 16 juillet 1769. Ayant obtenu le brevet de capitaine le 19 juin 1771, il fut nommé titulaire de ce grade le 5 mai 1772, et fut fait colonel du régiment de Soissonnais-Infanterie le 29 janvier 1775, à peine âgé de 19 ans.

Le 5 août suivant, le roi accorda au jeune colonel une pension annuelle et viagère de 760 livres, sur les fonds de l'extraordinaire des guerres, et le 9 novembre, il lui fit don, sur les mêmes fonds d'une gratification annuelle de 4 000 livres, qui fut convertie en pension viagère par brevet du 30 janvier 1778.

Un nouveau brevet du 1er avril 1779 confondit ces deux pensions en une seule de 4 760 livres.

Le comte de Saint-Maime servit au camp de Saint-Roch pendant l'hiver de 1779 à 1780, et fit les guerres de 1780 à 1783 inclusivement dans l'Amérique septentrionale, sous les ordres de Rochambeau. Les services qu'il rendit au siège d'York (Virginie), lui valurent, le 5 décembre 1781, une lettre de satisfaction de la part du ministre de la guerre, la croix de chevalier de Saint-Louis le 2 avril 1782, et une nouvelle pension viagère de 3 000 livres sur le trésor royal, par décision du 13 avril 1783.

Le 13 juin suivant, le ministre, en lui adressant encore des témoignages de satisfaction de la part du roi, lui donna l'assurance qu'il serait compris dans la promotion des brigadiers d'infanterie avec les colonels de 1772, et à son retour en France, il en reçut en effet le brevet, qui lui fut conféré par le roi le 8 janvier 1781. C'est à dater du 22 mai suivant que le comte de Saint-Maime prit le titre de comte du Muy, nom de la branche aînée de sa famille, et qui depuis la mort du maréchal du Muy, son oncle, devait s'étendre en la personne de Madame de Créqui.

Promu au grade de maréchal de camp le 9 mars 1778, il en exerça les fonctions pendant cette même année au camp de Saint-Omer, commandé par le prince de Condé, et à celui de Frascati, sous les ordres du maréchal de Broglie.

Lorsque la Révolution française éclata, le général du Muy, tout imbu des idées libérales qu'il avait puisées en Amérique, adopta franchement les principes de cette régénération de la société française. Chargé comme inspecteur général de la vérification des comptes des régiments, le 12 août 1790, il fut investi du commandement en chef du département du Finistère le 19 février 1791, et s'acquitta avec zèle et dévouement de la mission qui lui avait été confiée. Employé ensuite avec son grade dans la 8e division militaire, il fut nommé lieutenant-général le 6 février 1792, et fut pourvu du commandement de la 7e division militaire le 15 du même mois.

Quelques troubles ayant eu lieu dans le Midi vers cette époque, et le gouvernement craignant que le rassemblement de Marseillais qui s'était porté sur Aix avec de l'artillerie et y avait désarmé le régiment suisse d'Ernest, ne voulût marcher sur Avignon, prescrivit le 6 mars suivant au général du Muy, de se rendre immédiatement à son poste et d'établir son quartier général dans cette ville, et autorisa cet officier général à tirer des 8e, 9e et 19e divisions militaires toutes les troupes qui lui seraient nécessaires. Le général du Muy eut à peine le temps de se rendre à son poste ; par décision du 25 du même mois, le roi nomma Ludwig Wittgenstein au commandement de cette réunion de troupes, qui prit le nom d'armée du Midi.

Le général du Muy retourna dans sa division et fut chargé, au mois d'avril suivant, du commandement en chef des neuf départements qui devaient former l'armée des Pyrénées.

Mais bientôt après, le ministre de la guerre lui donna la mission délicate de ramener en Suisse le régiment d'Ernest, et il lui fut prescrit d'en prendre le commandement et de le conduire lui-même jusqu'à la frontière, où il le remettrait ensuite entre les mains de Diesbach, qui devait venir le recevoir.

Les instructions du ministre lui enjoignaient en outre de le ramener en France, ou, si cela ne se pouvait, d'empêcher au moins qu'il n'entrât au service d'aucune puissance ennemie, ainsi que le désir en avait déjà été manifesté par plusieurs ambassadeurs étrangers. Le général du Muy exécuta fidèlement les intentions du ministre et obtint que le régiment d'Ernest, devenu Watteville, ne serait engagé au service d'aucun souverain étranger.

Pendant le temps qu'il négociait cette affaire, le général Montesquiou, commandant en chef l'armée des Alpes, sous les ordres duquel avait été placé le général du Muy, signala son absence aux commissaires de l'Assemblée nationale, qui, sans en examiner les motifs, prononcèrent sa suspension et le remplacèrent dans le commandement qui lui avait été conféré.

Le ministre de la guerre adressa à l'Assemblée nationale uue réclamation conçue dans les termes suivants :

« Monsieur le président, j'ai appris avec peine que les commissaires de l'Assemblée nationale à l'armée du Midi ont destitué M. Félix du Muy, lieutenant-général, sous le prétexte qu'il était absent. Ils ignorent sans doute qu'il avait une mission particulière en Suisse. Par une dépêche que je reçois aujourd'hui, datée de Huningue, il m'apprend qu'il sera bientôt à Paris pour rendre compte de sa mission. Je prie l'Assemblée de regarder la destitution de cet officier comme une erreur involontaire et en conséquence non avenue.
« Servan. »

L'Assemblée fit droit à ces observations, et il ne fut donné aucune suite à l'arrêté des commissaires. Vers la fin de septembre, le général du Muy fut chargé du licenciement des régiments suisses de Vigier et de Steigner. Porté sur la liste des candidats pour le ministère de la guerre, il fut dénoncé à la Convention nationale, dans sa séance du 3 octobre 1792, par le représentant Chabot, comme ayant excité la guerre civile à Avignon. Cette accusation absurde, que démentaient d'ailleurs les faits et la conduite du général, fut cependant accueillie ; il fut rayé de la liste, et ce fut Pache qui fut nommé.

De retour à Paris, le général du Muy s'empressa de demander de l'activité, et il fut envoyé, au mois de mars 1793, à l'armée des Alpes, où il commanda le département du Mont-Blanc et l'avant-garde de l'armée dans la Tarentaise et la Maurienne.

Détaché au siège de Lyon, il prit le commandement en chef des troupes, le 23 août, en remplacement du général Kellermann, qui était parti pour s'opposer aux progrès des Piémontais.

Pendant la courte durée de son commandement, quelques affaires assez importantes eurent lieu, et le général du Muy trouva l'occasion de faire preuve de courage en entrant deux fois le premier dans les redoutes qui furent enlevées de vive force, et dans l'une desquelles il fut blessé d'un coup de feu. Tandis qu'il témoignait ainsi de son dévouement, un arrêté du 19 du même mois le suspendait de ses fonctions comme suspect. Indigné d'un pareil procédé, il réclama vivement contre un acte que ne motivaient ni ses antécédents, ni son patriotisme éprouvé; mais il ne put obtenir justice et fut même admis à prendre sa retraite par un arrêté du 7 pluviôse an III.

Cependant, à force de persévérance, il parvint enfin à se faire réintégrer, et, par arrêté du 25 ventôse suivant, le Comité de salut public décida qu'il serait employé comme commandant en chef les forces militaires destinées à agir dans les Indes occidentales.

Il se rendit aussitôt à Brest et fit tous les préparatifs convenables pour l'embarquement des troupes qui devaient faire partie de l'expédition. Il n'attendait plus que les derniers ordres, lorsqu'un nouvel arrêté du Comité de salut public, en date du 14 fructidor de la même année, vint lui conférer provisoirement le commandement de l'armée du Midi, qui devait être formée dans le département du Gard; mais cette dernière nomination fut annulée par la lettre suivante, qui lui fut adressée le 1er jour complémentaire an III :

Général, le Comité de salut public a reçu des renseignements qui lui prouvent la nécessité de revenir sur la mesure qu'il avait prise de vous envoyer dans le Midi pour y commander provisoirement en chef, jusqu'à l'arrivée du général Canclaux, les troupes destinées à contenir les malveillants. L'expédition de Saint-Domingue paraît être beaucoup moins reculée qu'elle ne le semblait d'abord, et comme vous y êtes destiné, il est essentiel que vous ne vous éloigniez pas. Vous voudrez bien, en conséquence, remettre au Comité les instructions qui vous avaient été données pour le commandement provisoire de l'armée du Midi, et regarder comme non avenu l'arrêté relatif à l'échange de vos chevaux de Brest, contre d'autres à prendre dans les dépôts de la République.
« Salut et fraternité
« Les membres du Comité de salut public, « Cambacérès, président ; Merlin de Douai, L.-M. Reveillère-Lepeaux, Letourneur (de la Manche), C. Berlier, Marec.»

L'expédition ayant été indéfiniment ajournée, le général du Muy, après être resté quelque temps encore à Brest, fut nommé le 15 germinal an IV, inspecteur général des troupes d'infanterie de l'armée de Sambre-et-Meuse. À son arrivée au quartier général, le général en chef lui confia le commandement du corps qui était dans le Hundsruck, et qui formait l'aile droite de l'armée.

Il remplissait ces fonctions, lorsque le nommé Alexandre, ancien commissaire des guerres à l'armée des Alpes, et en ce moment commissaire du gouvernement, celui-là même qui avait déjà été cause de la suspension du général en 1793, par sa dénonciation calomnieuse, renouvela ses attaques contre lui avec plus de perfidie. Il adressa le 25 vendémiaire an V, au ministre de la guerre, une lettre dans laquelle se trouvaient articulés quinze chefs d'accusation contre le général du Muy.

Ce tissu de mensonges présentait le général comme ayant pris des objets de toutenature dans les magasins de l'État pour les appliquer à son usage personnel, et l'accusait d'avoir échangé contre du numéraire les mandats qui lui avaient été délivrés pour ses frais de poste, d'avoir fait repeindre par réquisition sa voiture à Nuremberg, de s'être fait donner à Schwenfurth deux foudres de vin, d'avoir pris quelques boisseaux de braise à la manutention de Bonn, lors de son passage dans cette ville, etc. Imputations toutes aussi absurdes que mensongères, et qui cependant furent accueillies par le ministre de la guerre, mais avec une légèreté telle que, sans examiner le plus ou moins de fondement de la dénonciation dont le commissaire Alexandre se rendait coupable, il provoqua par un rapport l'arrêté dont le texte est ainsi conçu :

« Le Directoire exécutif arrête ce qui suit : Le général de division du Muy, employé comme inspecteur général près l'armée de Sambre-et-Meuse, est destitué de ses fonctions. Le ministre de la guerre fera examiner sa conduite et le traduira sur-le-champ par-devant un conseil de guerre, pour y être jugé sans délai d'après les pièces que le Directoire lui transmet et celles que l'examen de sa conduite pourra lui procurer.
« L.-M. REVEILLERE-LEPEAUX. »

Le général du Muy comparut donc devant un conseil de guerre tenu à Dusseldorf, le 13 nivôse an V, sous la présidence du général de division Desjardin; et l'adjudant-commandant Maurice Mathu, rapporteur, déclara à l'unanimité que cet officier général était pleinement déchargé des accusations portées contre lui, et que d'après les débats et les pièces produites, les dites accusations étaient fausses et calomnieuses.

Par arrêté du 7 pluviôse suivant, le Directoire exécutif réintégra le général du Muy dans son grade, et ordonna au ministre de la guerre de proposer sa mise en activité lorsque l'occasion s'en présenterait. Néanmoins il resta en disponibilité jusqu'au 24 prairial an VI, époque à laquelle il fut employé par le général en chef Napoléon Bonaparte à l'armée d'Orient.

Il s'embarqua, le 30 du même mois, sur le vaisseau le Guerrier, fit les campagnes des ans VI, VU et VIII en Égypte et en Syrie, et fut chargé de l'organisation des légions nautique et maltaise pendant son séjour en Afrique.

Rentré en France le 1er messidor an VIII, le premier Consul lui confia le commandement de la 21e division militaire (Poitiers), par décision du 21 vendémiaire an IX, et il en prit possession le 12 brumaire suivant.

L'état de sa santé exigeant qu'il fît usage des eaux, le ministre de la Guerre lui adressa l'autorisation nécessaire à cet effet le 16 floréal ; mais il ne voulut point en profiter, et voici en quels termes il faisait connaître le 26 du même mois les motifs qui l'empêchaient de s'absenter.

« Ce qui me retient plus encore au quartier général, c'est l'intention de m'unir par un vœu public et solennel au suffrage qui doit perpétuer la reconnaissance nationale envers le premier Consul en perpétuant son autorité. Quoiqu'un dévouement général assure à Bonaparte ce témoignage d'estime et de gratitude, je serais fâché que mon vœu et ma satisfaction personnelle ne servissent pas d'exemple dans un pays où m'a placé la confiance du gouvernement. »

Le 20 messidor de la même année, le premier Consul lui donna le commandement de la douzième division militaire (Nantes), et il se rendit immédiatement à son poste. Membre de la Légion d'honneur, le 19 frimaire an XII, il en fut créé commandeur le 25 prairial suivant, et fut désigné par l'Empereur pour faire partie du collège électoral du département du Jean Baptiste Louis Philippe de FélixVar, où il possédait de grandes propriétés. Le 21 ventôse an XIII, il fut appelé au commandement de la subdivision de Seine-et-Oise, faisant partie de la 1e division militaire.

Le général du Muy exerçait encore ces fonctions lorsque l'armée, rassemblée sur les côtes de l'Océan, fut dirigée à marches forcées contre l'Autriche qui voulait tenter de nouveau la chance des combats. Plein de patriotisme et de dévouement à l'Empereur, il demanda à être employé plus activement, et lui adressa à cet effet une supplique le 28 fructidor an XIII.

Cette demande n'eut pas le résultat qu'il s'en était promis ; mais le 23 novembre 1806, le major général, prince de Neufchâtel, lui expédia de Berlin l'ordre de se rendre sur-le-champ au quartier général de la Grande Armée. À son arrivée, il fut très bien accueilli par l'Empereur, qui le nomma gouverneur général de la Silésie. Pendant son séjour dans cette province, le général du Muy travailla avec une bienveillance infatigable à soulager les habitants des maux que la guerre lui avait fait souffrir ; il protégea leur industrie et leurs propriétés, et s'acquit, par sa conduite équitable, leur estime et leur reconnaissance.

Le 13 mai 1807, le général Kliest qui, mis en déroute la veille, avait rallié ses troupes, vint attaquer le prince Jérôme Bonaparte, et reprit sur les Bavarois le village de Canth. Il se disposait à poursuivre ce premier avantage, lorsque le général du Muy, sorti de Breslau à la tête d'environ 1 100 Français, dragons, chasseurs et hussards qui étaient venus pour se remonter en Silésie, tomba à l'improviste sur la colonne prussienne et la mit en déroute. 150 hussards à pied reprirent Canth de vive force et délivrèrent les prisonniers bavarois que l'ennemi avait faits le matin. Le général du Muy conserva son gouvernement jusqu'à la formation de l'armée du Rhin, vers la fin de 1808, époque à laquelle il fut créé baron de l'Empire.

Par décret du 9 novembre 1808, l'Empereur lui confia le commandement de la 7e division militaire (Grenoble), et le 14 avril 1809 il lui donna celui de la 8e division (Marseille), qu'il conserva pendant les premiers temps de la Restauration.

Louis XVIII le nomma grand officier de la Légion d'honneur le 29 juillet 1814, et commandeur de Saint-Louis le 23 août suivant. Mais s'étant rendu à Paris dans les premiers jours de décembre, il apprit que par décision royale du même mois il était admis à la retraite, et qu'il était remplacé dans le commandement de la 8e division par le général La poype.

Cette retraite, motivée sur son âge et sur l'ancienneté de ses services, quand l'officier appelé ait remplacer se trouvait dans les mêmes conditions que lui, le blessa profondément. Néanmoins, lors du débarquement de l'Empereur, au mois de mai 1815, on lui donna le commandement de la 18e compagnie de volontaires royaux dits Gardes du roi, composée d'officiers en non-activité. Ce retour tardif du pouvoir ne cicatrisa point la blessure faite à l'amour-propre du général, aussi, dès le 24 du même mois écrivait-il à l'Empereur une demande de réintégration dans ses anciennes fonctions de commandant de la 8e division militaire.

Mais l'Empereur en avait déjà disposé en faveur du maréchal Brune, et, d'ailleurs, le nombre d'officiers généraux portés sur le tableau d'activité et qui se trouvaient encore sans destination ne permettait pas de rappeler au service les généraux en retraite; il demeura dans sa position. A la seconde rentrée des Bourbons, le général du Muy fut nommé pair de France par ordonnance royale du 17 août 1815. Depuis lors, il prit part aux travaux de la Chambre et s'y fit remarquer par la sagesse de ses opinions et par les sentiments de patriotisme qui l'animaient. Il est mort à Paris le 6 juin 1820.

Source

« Jean Baptiste Louis Philippe de Félix », dans Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850, 1852 [détail de l’édition] (Wikisource)

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