Histoire des cathedrales en France

Histoire des cathedrales en France

Histoire des cathédrales en France

Cet article retrace l'histoire des cathédrales françaises.

Sommaire

Moyen Âge

Jusqu'à la fin du XIIe siècle, les cathédrales n'avaient pas les dimensions que nous leur connaissons aujourd'hui ; beaucoup d'églises abbatiales étaient beaucoup plus grandes (cf.Cluny). Jusqu'à cette époque, le morcellement féodal constituait un obstacle à la constitution civile des populations; l'influence des évêques était limitée par ces grands établissements religieux du XIe siècle. Propriétaires puissants, jouissant de privilèges étendus, seigneurs féodaux protégés par les papes, tenant en main l'éducation de la jeunesse et participant à toutes les décisions politiques, les abbés attiraient tout à eux : richesse et pouvoir, intelligence et activité. Lorsque les populations urbaines, instruites, enrichies, laissèrent paraître les premiers symptômes d'émancipation, s'érigèrent en communes, il y eut une réaction contre la féodalité monastique et séculière dont les évêques, appuyés par la monarchie, profitèrent avec autant de promptitude que d'intelligence. Ils comprirent que le moment était venu de reconquérir le pouvoir et l'influence que leur consentait l'Église, pouvoir concentré dans les établissements religieux. Ce que les abbayes purent faire pendant le XIe siècle, les évêques n'en auraient pas eu le pouvoir. Mais, au XIIe siècle, l'épiscopat entreprit de reconstruire ses cathédrales (l'essor des cathédrales est lié au renforcement du pouvoir des évêques); il trouva dans les populations un concours si énergique qu'il put vérifier la justesse de ses prévisions, comprendre que son temps était venu, et que l'activité développée par les établissements religieux, dont il avait d'ailleurs profité, allait lui venir en aide. Il est difficile aujourd'hui de donner une idée de l'empressement avec lequel les populations urbaines se mirent à élever des cathédrales. La foi avait certes son importance, mais il s'y joignait un instinct très juste d'unité et de constitution civile.

Les grandes cathédrales s'élevent à la fin du XIIe siècle à Sens Noyon, Laon, Reims, Amiens, Seine-Saint-Denis, Le Mans villes qui toutes avaient, les premières, donné le signal de l'affranchissement des communes; dans la ville-capitale de l'Île-de-France, centre du pouvoir monarchique, Paris; à Rouen, centre de la plus belle province conquise par Philippe Auguste; à Liège, capitale de la principauté de Liège.

L'alliance du clergé avec la monarchie ne tarda pas à inquiéter les barons ; saint Louis reconnut bientôt que le pouvoir royal ne faisait que changer de maître. En 1235, la noblesse de France et le roi s'assemblèrent à Saint-Denis pour limiter la puissance que les tribunaux ecclésiastiques s'étaient arrogée. En 1246, les barons rédigèrent un pacte d'union et nommèrent une commission des quatre plus puissants d'entre eux, pour décider dans quels cas le baronnage devait prendre fait et cause pour tout seigneur vexé par le clergé ; de plus, chaque seigneur s'était engagé à mettre en commun la centième partie de son revenu, afin de poursuivre activement le but de l'union.

Au milieu de ces dangers, par sa conduite à la fois ferme et prudente, le roi sut contenir les prétentions du clergé dans des limites favorables à son pouvoir, et faire prévaloir l'autorité monarchique sur la féodalité. À partir de cette époque nous voyons ces constructions se ralentir, ou s'achever à la hâte, à moins vaste échelle, et s'atrophier pour ainsi dire. Les quelques études des comptes montrent que les réserves faites par les évêques s'étaient épuisées, souvent en rachat d'immeubles autour des anciennes cathédrales, et dans le début de la construction de l'église. Celle-ci, n'étant plus alimentée que par des dons annuels et les excédents dégagés par les ressources du domaine de l'évêque, ralentissait donc.

À la fin du XIIIe siècle, les chantiers de ces vastes constructions tardivement sorties de terre n'arrivèrent pas à leur développement final ; ils s'arrêtèrent tout à coup ; si les cathédrales furent achevées, ce ne fut plus que par les efforts personnels d'évêques ou de chapitres qui employèrent leurs propres biens pour terminer ce que la foi et la fougue de toute une population avaient permis de commencer. Rares sont les cathédrales qui aient été finies telles qu'elles avaient été projetées ; et cela se comprend : la période pendant laquelle leur existence est pour ainsi dire un besoin impérieux, l'expression d'un désir irrésistible, est comprise entre les années 1180 et 1240. Soixante ans . Ce qui surprend aujourd'hui, c'est qu'en un temps aussi court on ait pu obtenir, sur un territoire aussi vaste, des résultats aussi surprenants ; car ce n'était pas seulement des manœuvres qu'il fallait trouver, mais des milliers d'artistes qui, la plupart, étaient des hommes dont le talent dans l'exécution des œuvres est pour nous aujourd'hui un sujet d'admiration.

En dehors du domaine royal, le mouvement n'existe pas, et ce n'est que plus tard, vers la fin du XIIIe siècle, lorsque la monarchie eut à peu près réuni toutes les provinces des Gaules à la Couronne, que l'on entreprend la reconstruction des cathédrales. C'est alors que quelques diocèses remplacent leurs vieux monuments par des constructions neuves élevées sur des plans sortis du domaine royal. Mais ce mouvement est restreint, timide, et il s'arrête bientôt par suite des difficultés politiques du XIVe siècle.

Cathédrale Notre Dame de Chartres

À la mort de Philippe-Auguste, en 1223, les principales cathédrales comprises dans le domaine royal étaient celles de Sens, de Paris, de Chartres, de Bourges, de Noyon, de Laon, de Soissons, de Meaux, d'Amiens, d'Arras, de Cambrai, de Rouen, d'Évreux, de Sées, de Bayeux, de Coutances, du Mans, d'Angers, de Poitiers, de Tours ; or tous ces diocèses avaient rebâti leurs cathédrales, dont les constructions étaient fort avancées. Si certains diocèses sont politiquement unis au domaine royal, et s'en reconnaissent vassaux, leurs cathédrales s'élèvent rapidement sur des plans nouveaux, comme celles de la France; les diocèses de Reims, de Châlons, de Troyes en Champagne, sont les premiers à suivre le mouvement. En Bourgogne, ceux d'Auxerre et de Nevers, les plus rapprochés du domaine royal, reconstruisent leurs cathédrales ; ceux d'Autun et de Langres, plus éloignés, conservent leurs anciennes églises élevées vers le milieu du XIIe siècle.

Dans la Guyenne, restée anglaise, excepté Bordeaux qui tente un effort vers 1225, Périgueux, Angoulême, Limoges, Tulle, Cahors, Agen, gardent leurs vieux monuments.

À la mort de Philippe le Bel, en 1314, le domaine royal s'est étendu : il a englobé la Champagne ; il possède le Languedoc, le marquisat de Provence ; il tient l'Auvergne et la Bourgogne parmi ses provinces. Montpellier, Carcassonne, Narbonne, Lyon, exécutent dans leurs cathédrales des travaux considérables et tentent de les renouveler. Clermont en Auvergne, cherche à suivre l'exemple. Les provinces anglaises et la Provence, seules, résistent.

À la mort de Charles V, en 1380, les Anglais ne possèdent plus que Bordeaux, le Cotentin et Calais ; mais la sève est épuisée : les cathédrales dont la reconstruction n'a pas été commencée pendant le XIIIe siècle demeurent ce qu'elle étaient ; celles restées inachevées se terminent avec peine.[1]

Types particuliers de cathédrales

  • Une primatiale est la cathédrale d'un primat, archevêque ayant une juridiction théorique sur plusieurs provinces ecclésiastiques.
  • Une concathédrale ou co-cathédrale est une église qui exerce en indivis avec une autre la fonction de cathédrale d'un diocèse. On n'en connait que peu d'exemples, celles de Sospel et de Forcalquier étant les plus connues. On peut ajouter celles de Malte (Saint-Jean à La Valette et Saint-Paul à Mdina) ainsi que la concathédrale du patriarcat latin de Jérusalem, exerçant sa fonction avec le Saint-Sépulcre, comme celle de Logroño dans La Rioja espagnole.
  • Une pro-cathédrale est une église assumant la fonction de cathédrale sans en avoir le titre canonique. Cet état de fait est dû à une indisponibilité de la cathédrale (en travaux voire en construction), indisponibilité qui peut se prolonger : en Corse la plupart des cathédrales a été ruinée au Xe siècle et remplacée par des pro-cathédrales qui sont restées sièges épiscopaux jusqu'à la Révolution sans jamais obtenir le titre de cathédrale.

Autour des cathédrales

Styles d'Europe

Voir Architecture occidentale du Moyen Âge au XIXe siècle. De nombreuses cathédrales ont plusieurs styles (roman et gothique, gothique et classicisme, classicisme et baroque...). Les architectes ont de nombreuses fois eu recours aux anciens styles (réparation d'anciennes cathédrales, fin de chantiers). Ces styles ne se résument évidemment pas seulement aux cathédrales et aux autres édifices religieux[2].

Construction

De nombreuses cathédrales ont été édifiés sur d'anciennes cathédrales, et des cathédrales commencées avec le style roman ont été achevées avec le style gothique.

Époque

La majorité des cathédrales a été érigée de 800 à 1600. Ainsi donc, la construction de la cathédrale d'Aix-la-Chapelle a débuté en 786 sur l’ordre de Charlemagne, celle de la cathédrale Notre-Dame de Paris en 1163, celle de la cathédrale Notre-Dame de Reims en 1211.

Quelques rares exceptions cependant : Cathédrale Notre-Dame-de-l'Annonciation de Nancy (XVIIIe), la cathédrale Notre-Dame de la Treille (XIXe), à Lille ainsi que la cathédrale d'Evry (XXe) (il est actuellement interdit de modifier des édifices d’architectures datant d’il y a plusieurs siècles sans autorisation spéciale).

Lieux

De nombreux édifices se sont succédé sur un même site, au gré des destructions accidentelles (incendies entre autres), de l'urbanisation croissante ou de la mode (cathédrale Notre-Dame de Paris, cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale Notre-Dame de Strasbourg). À Chartres, on est certain qu'un lieu de culte païen précédait la cathédrale.

Flèche

La flèche est un élément débutant comme une tour mais finissant par une pointe, les angles se rejoignant en raison de leur position faiblement penchée vers le centre. Ainsi, plus ils sont penchés, plus ils se rejoignent vite, et plus la flèche est basse. La flèche peut se trouver sur un clocher comme sur le toit d'une nef (généralement à la croisée du transept). Elle est éventuellement surmontée d'une pointe (comptée généralement avec la flèche).

Grâce à la flèche surmontant sa tour-lanterne, la cathédrale Notre-Dame de Rouen est la plus haute cathédrale de France.

Flèches sur tours

De nombreuses cathédrales gothiques (et même romanes) sont dotées de flèches au centre de la toiture de la nef (la cathédrale Notre-Dame de Paris est l'exemple typique).

Par contre, c’est en Allemagne que l’on trouvera le plus de grandes cathédrales dont la ou les flèche(s) sont sur la ou les tour(s), ce qui conduit à leurs tailles démesurées.

En revanche, en Allemagne, on ne trouvera que rarement de cathédrales sans flèches.

C’est ainsi qu'on représente souvent les cathédrales de France nues de flèches (et pour cause : Paris, Reims, Amiens, Laon, Toul, Tours, Soissons, Nantes, Orléans, Troyes, Lyon, Poitiers...), alors que les cathédrales d'Allemagne, avec des tours surmontées de flèches (Cathédrale de Cologne, Cathédrale d'Ulm). La cathédrale de Strasbourg a été édifiée dans le Saint-Empire romain germanique.

Néanmoins, certaines cathédrales françaises -souvent plus modestes en taille sans les flèches- portent des flèches. Citons la cathédrale de Bordeaux, la cathédrale de Chartres, la cathédrale de Clermont-Ferrand et la singulière -par sa façade- cathédrale de Coutances.

La nef

La nef est le couloir allant de l’entrée principale au transept (le couloir perpendiculaire formant la courte barre de la croix), avant le chœur dans lequel se trouve l’autel.
Les chaises ou les bancs se trouvent dans la nef centrale (on ignore généralement que de nombreux édifices ne conservaient ni chaises, ni bancs : l'office s'écoutait debout).

La cathédrale Saint-Pierre de Beauvais est remarquable par son absence de nef, l'édifice actuel ne comprend que le chœur, immense, seul construit et donc la plus haute élévation de France et du monde entier avec 48,5 m.

Les nefs les plus élevées de France sont celles des cathédrales d'Amiens (42,3 m) et de Metz (41 m).

Durée

Les chantiers des grandes cathédrales duraient en moyenne un siècle, mais la durée des constructions individuelles est très variée ; ainsi, la construction de la cathédrale de Reims prit-elle soixante-quatre ans, alors que celle de Strasbourg dura deux cent quatre-vingts trois ans. La construction la plus longue fut celle de la cathédrale d'Aix-la-Chapelle qui s'étendit sur environ mille deux cents ans. C'est la seule cathédrale dont la construction ait été entreprise au Moyen Âge pour s'achever de nos jours (sans compter l'entretien). Certaines cathédrales ont été remaniées à des périodes distinctes, séparées par de longues intervalles ; d'autres ont été dotées d'éléments supplémentaires alors que leur construction était achevée depuis longtemps.

Valeur

Au Moyen Âge, les cathédrales représentaient le pouvoir du clergé, mais aussi celle de la royauté. Les rois furent tout autant auteurs de constructions de cathédrales que l'Église. C'est pourquoi, à la Révolution française, châteaux et cathédrales furent endommagés.

Tailles

En France, la flèche de la cathédrale de Beauvais culmina à 153 mètres pendant 6 ans avant de s'effondrer en 1573. En Angleterre, l'ancienne cathédrale Saint-Paul de Londres afficha fièrement une tour de 150 mètres avant d'être détruite par un incendie. Dans ce même pays, la cathédrale de Lincoln posséda une tour-lanterne s'élevant à une hauteur de 160 mètres qui s'effondra en 1549.

Grâce à sa flèche dont le sommet pointe à 142 m du sol, la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg resta l'édifice le plus haut du monde de 1573 à 1874, date de l'achèvement de la flèche de l'église Saint-Nicolas de Hambourg (147 m). Depuis le XIXe siècle, les flèches des cathédrales allemandes d'Ulm et de Cologne la dépassent avec les hauteurs respectives de 161 mètres et 157 mètres. La cathédrale Notre-Dame de Rouen atteignit les 151 mètres en 1876, date de la fin de la construction de sa flèche.

Plus hautes cathédrales

Ces cathédrales sont ou étaient dotés de flèches.

  • La tour de la cathédrale de Strasbourg surmontée de la flèche mesure 100 mètres sans la flèche.

Cloches

Article détaillé : Cloche.

Vitraux

Détail d'un vitrail de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg

La Cathédrale Saint-Étienne de Metz possède la plus grande surface de vitraux de France (près de 6500 mètres carrés ce qui lui vaut le surnom de "Lanterne du Bon Dieu").

Notre-Dame de Reims (et la basilique Saint-Remi de Reims) possèdent les vitraux les plus anciens que l'on ait retrouvés.

Beffroi

Article détaillé : Beffroi.

Statues

  • La cathédrale Notre-Dame de Reims est incontestablement celle ayant le plus de statues et statuettes qui font un total de 2303 (l'intérieur est également décoré de nombreuses statues).

Travaux

  • La roue : des ouvriers faisaient tourner une roue actionnant un treuil, lui-même actionnant une poulie soulevant des pierres, des statues, à la manière d’une grue.

Position

La façade ouest est généralement la façade principale, frontale : traditionnellement, l'abside des cathédrales pointe vers l'est, côté où le soleil se lève, signe de résurrection et non vers Jérusalem comme on le croit parfois (par identification abusive aux mosquées dont le mihrab est tourné vers la Mecque). Exception notable du positionnement des portails qui sont exclusivement latéraux pour certaines cathédrales de plan roman-rhénan qui possèdent deux chœurs telle la cathédrale Notre-Dame de Verdun.

Leur localisation géographique est généralement le centre du cœur historique des villes puisqu'elles étaient durant tout le moyen-âge le symbole du pouvoir religieux, et à proximité des pouvoirs politiques (châteaux, hôtel de ville...) et économiques (halles, marchés...).

Appellation « Notre-Dame »

La plupart des cathédrales de France sont de rite catholique, et une majorité ont été bâties en l'honneur de la Vierge Marie, portant le nom de Notre-Dame: elles ont été construites majoritairement au Moyen Âge.

Cette appellation est devenue courante pour une cathédrale Notre-Dame, notamment pour celle de Paris.

Des cathédrales de couleur

Actuellement, toutes les cathédrales sont illuminées le soir, et sur beaucoup sont projetés des jeux de lumières.
En effet, les cathédrales romanes et gothiques étaient presque toutes peintes à l'image des monuments antiques. Les pigments ont disparu sauf exceptions remarquables (cf. Amiens).

Mais intéressons-nous aux couleurs naturelles :

Il existe plusieurs couleurs naturelles de cathédrales dues à la matière de la roche. En France, les cathédrales sont essentiellement faites de pierre calcaire -pierre blanche- (Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de Reims, Notre-Dame d'Amiens, Notre-Dame de Laon) ; mais il existe des cathédrales faites d'autres roches (de grès -roche brune- par exemple, comme la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg). Le Sud de la France voit également l'utilisation de la brique (Albi, Pamiers, etc.)

Les cathédrales étaient construites de pierre à disposition, de roche locale, ou du moins la plus proche, le transport de pierre étant autrefois une des étapes les plus coûteuses de la construction des cathédrales (ces édifices se trouvant au centre des villes et non dans la nature, près des roches, dans des collines ou des montagnes, contrairement à plusieurs châteaux forts).
Cependant, on dit que Paris se fit livrer plusieurs tonnes de pierre calcaire à partir de lieux plus ou moins éloignés (la capitale n'avait pas le choix !) par la Seine, afin de construire Notre-Dame.

Les couleurs principales sont les suivantes : nuances de blanc et de beige (préférée pour sa pureté), gris, ocre, rose, rouge, brun. Il s'agit évidemment de couleurs approchantes (blanchâtre, rosâtre…). Le grès est une roche de couleur très hétérogène dans un même endroit. Certaines pierres ou autres matériaux ont perdu leur couleur d'origine (soleil, pollution…).

Mais des gisements de rochers d'une autre couleur que celle que l'on trouve d'habitude dans la région furent découvertes dans des sites très délimités, ce qui fait qu'il existe également des cathédrales d'une autre pierre et couleur au beau milieu de régions où les cathédrales sont d'habitude d'une autre couleur.

Voir aussi

Notes et références

  1. Source : Viollet le Duc
  2. Châteaux d'aisance, palais, bâtiments politiques et universitaires, théâtres, opéras, bibliothèques, musées, monuments... et même un gratte-ciel : la Tribune Tower.

Liens internes

Bibliographie

TONAZZI, Pascal, Florilège de Notre-Dame de Paris, Éditions Arléa, Paris, 2007, ISBN 2-86959-795-9

Liens externes

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