- Béjaïa
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Béjaïa Administration Nom algérien بجاية Nom kabyle (Vgayet ou Bgayet) Pays Algérie Wilaya Béjaïa Daïra Béjaïa Code ONS 0601 Code postal 06000 Président de l'APC Tahar Hanneche (FLN) (2007-2012) Budget 1,87 milliards de DA (2010)[1] Culture et démographie Population 177 988 hab. (2008[2]) Densité 1 481 hab./km2 Gentilé Bédjaoui (Bédjaouie) ou Bougiote. Géographie Coordonnées Superficie 120,22 km2 Localisation de la commune dans la wilaya de Béjaïa. Béjaïa (en arabe : بجاية ; en kabyle : Vgayet[3] ou Bgayet[4] et transcrit en tifinagh : ⵠⴳⴰⵢⴻⵝ), anciennement Bougie, est une commune algérienne située en bordure de la mer Méditerranée, à 180 km à l'est d'Alger, dans la wilaya de Béjaïa et la région de Kabylie. Elle est aussi souvent désignée sous son nom francisé de Bougie, nom officiel durant la période de la colonisation. Elle est le chef-lieu éponyme de la wilaya de Béjaïa et de la daïra de Béjaïa.
Connue à l'époque romaine sous le nom de Saldae, elle devient au Moyen Âge l'une des cités les plus prospères de la côte méditerranéenne, capitale de grandes dynasties musulmanes. D'abord connue en Europe grâce à la qualité de ses chandelles faites de cire d'abeille auxquelles elle a donné son nom, les bougies, Béjaïa a également joué un rôle important dans la diffusion des chiffres arabes en Occident.
Avec ses 177 988 habitants au dernier recensement de 2008, Béjaïa est en termes de population la plus grande ville de Kabylie. Elle est aussi, grâce à sa situation géographique, le plus important pôle industriel de la région, notamment par la concentration de nombreuses industries et la présence d'un des plus grands ports pétroliers et commerciaux de Méditerranée. Elle est dotée d'un aéroport international.
Les habitants de Béjaïa sont appelés les Bougiotes ou les Bédjaouis.
Sommaire
Géographie
Situation
La commune de Béjaïa est située au nord de la wilaya de Béjaïa, sur le littoral méditerranée ; elle est traversée par le fleuve de la Soummam. Elle est bordée au nord et à l'est par la mer Méditerranée et elle touche les communes de Toudja (à l'est), d'Oued Ghir (au sud) et de Boukhelifa et Tala Hamza (au sud-est).
Elle couvre une superficie de 12 022 hectares[5].
Béjaïa est située à 181 km à l'est de la capitale Alger, à 93 km à l'est de Tizi Ouzou, à 81,5 km au nord-est de Bordj Bou Arréridj, à 70 km au nord-ouest de Sétif et à 61 km à l'ouest de Jijel[Note 1].
Les coordonnées géographiques de la commune au point central de son chef-lieu valent respectivement 36° 45′ 00″ Nord et 5° 04′ 00″ Est.
Relief, géologie, hydrographie
Climat
Données climatiques à Béjaïa. mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 7,7 7,6 8,5 10,1 13,1 16,6 19,3 20,2 18,5 15,0 11,2 8,4 12,9 Température moyenne (°C) 12,1 12,3 13,1 14,7 17,6 21,0 24,0 24,8 23,2 19,7 15,8 12,7 17,6 Température maximale moyenne (°C) 16,4 16,8 17,7 19,3 22,0 25,3 28,7 29,3 27,8 24,3 20,3 16,9 22,1 Précipitations (mm) 99,7 85,9 100,4 70,7 41,2 16,2 5,8 13,0 40,4 89,5 99,7 135,0 767,5 Source : Hong Kong Observatory, statistiques de 1968 à 1990[6].Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 99.716.47.785.916.87.6100.417.78.570.719.310.141.222.013.116.225.316.65.828.719.313.029.320.240.427.818.589.524.315.099.720.311.2135.016.98.4Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Transports
Béjaïa dispose d'un aéroport situé à 5 km au sud de la ville. Béjaia dispose aussi d’un port pour voyageurs, qui se situe en plein centre ville à côté de la gare des trains, ainsi qu’une gare routière à l’entrée Est de la Ville au niveau des 4 chemins.
Lieux-dits, quartiers et hameaux
Outre son chef-lieu Béjaïa-ville, la commune de Béjaïa est composée des localités suivantes[7] : Dar Naceur, P.K. 17, Boukhiama, Ihaddaden, Targa Ouzemour, Ighil Ouazzoug, Bir Slam, Iriyahen Est, Aérodrome, Boulimat, Oued Saket, Oued Das et Amtik Tafat.
Urbanisme
Toponymie
Au XXe siècle, la ville était connue sous le nom de Bougie.
Histoire
Article détaillé : Histoire de Béjaïa.De par son histoire plus que millénaire, Béjaïa est l'une des plus anciennes villes d'Algérie. En -27/-26, l'empereur romain Auguste fonde la colonie Julia Augusta Saldensium Septimana Immunis à l'intention des vétérans de la Légion : Legio VII Claudia. Cette ville Numide est intégrée à la Maurétanie Césarienne en 42 de notre ère. Elle est mentionnée comme étant un siège épiscopal au Ve siècle.
Une inscription du second siècle qualifie Saldae de « Civitas Splendidissima ». Selon Léon Renier, cette inscription a été transportée au musée algérien du Louvre, à Paris. Plusieurs amphores, des mosaïques, des chapiteaux, des pièces de monnaies ont été découvertes en 2009 à proximité d'Ifenain Ilmathen[8].
Au cinquième siècle, prise par les Vandales de Genséric ou Geiseric la ville devient la capitale d'un puissant royaume germanique. Au bandes armées des Vandales, des Goths et des Alains, s'ajouteront les berbères de Maurétanie et de Numidie rejetant le dogme de la trinité pour former une redoutable armée dont la rigueur des armes est parvenue pour un temps à imposer un nouvel ordre en Méditerranée occidentale et affaiblir ce qui restait de l'Empire romain.
En 435, en vertu d'un Accord avec Rome l'autorisant à s'établir en Numidie, Genséric établit sa capitale à Saldae qu'il a auparavant prise d'assaut aux romains et y fait accoster les navires ayant servi au passage des Vandales par le détroit de Gibraltar. La ville est fortifiée et devient la base de lancement des projets expansionnistes du roi Vandale visant Hippone, Carthage et même Rome.
Au Moyen Âge, le port joue un rôle politique de premier plan. La dynastie berbère des Hammadides, en conflit avec celle des Almoravides et harcelée de toutes parts par les invasions des tribus Arabes des Banu Hilal (Hilaliens), décide de transférer sa capitale de Qall'a vers Bejaia (1090)[9].
La ville, qui est devenue l'une des cités les plus prospères de la côte méditerranéenne, a été prise par les Normands au temps du Roi Roger II de Sicile. Ses habitants parviennent à repousser une expédition génoise en 1136. Elle aura à soutenir une seconde attaque commanditée par Gènes en représailles au soutien des berbères de Bougie, de Constantine et de Bône à la ville de Mahdia en Tunisie lors de son siège pendant 61 jours par les Génois en 1390.
En 1152, elle est prise par les Almohades, dont un des deux fondateurs, Muhammad Ibn Tûmart a prêché le retour aux sources de l'Islam à partir de Mellala, localité située à 10 km de Béjaia. Des années auparavant, Le Mahdi (Messie ou guide) des Almohades aurait été chassée par les gens de Béjaïa auxquels il reprochait avec force leurs mœurs dissolues avant de repartir et rencontrer celui qui sera le Chef militaire suprême du mouvement Almohade, Abd al-Mumin.
La ville a connu un tel développement que selon Léon l'Africain, elle est peuplée de plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le Maghreb, du Levant, d'Europe et d'Asie. la population autochtone de la ville est composée essentiellement de Berbères des deux Kabylies et ceux de l'Atlas marocain, de Maures et de réfugiés Andalous.
À cette époque, Béjaïa était avec Tolède et Séville, le plus grand centre intellectuel du monde arabe, où résidaient des savants comme le chérif El-Idrissi, Abou Madyane (Sidi Boumedienne), Ibn Hammad, Ibn Battûta, le grand mystique Ibn Arabi, Sidi Bou-Saïd, Abd al-Haqq al-Ishbili et Abu Hamid al-Sarir. En 1202, Leonardo Fibonacci, mathématicien italien, en rapporta les « chiffres arabes » et la notation algébrique (dont certains attribuent l'introduction à Gerbert d'Aurillac). Ceci illustre les liens entre la vitalité commerciale des villes d'Italie de l'époque et la créativité scientifique et artistique de leurs membres.
Après la dislocation de l'Empire Almohade, Béjaïa devient Hafside. Mais dans les faits, c'est une principauté libre souvent en conflit armé avec Constantine. Le grand penseur maghrébin Ibn Khaldoun devient Grand Vizir (fonction équivalente à celle de Premier ministre) de Béjaïa pour le compte de son prince Abu Abdallah en 1365. Il y officiera également à la Mosquée de la Qaçba de la ville. Après la mort d'Abû `Abd Allâh en 1366, la ville de Bougie tombe entre les mains d'Abû al-`Abbâs, souverain hafside de Constantine. Le déclin de la dynastie Hafside entraîne celle de la ville.
Devenue une redoutable ville de corsaires au XIVe siècle, la ville est prise par l'Espagnol Pedro Navarro en 1510; malgré diverses tentatives de chasser l'espagnol, l'occupation dure jusqu'en 1555. La venue des Turcs Ottomans mettra une fin définitive à la présence espagnole et la ville restera tributaire de la Régence Ottomane d'Alger jusqu'en 1830.
Attaqués en 1513 par Arroudj ou Barberousse, les Espagnols résistèrent et se maintenirent dans la place jusqu'en 1555.
Continuellement bloquée par les autochtones, la garnison espagnole ne put résister longtemps, malgré la visite de l'Empereur Charles Quint en 1541.
C'est Salah Rais qui mettra le siège à la ville et obligera le gouverneur Espagnol Don Alphonso de Peralta à capituler.
Dans le cadre de la campagne d'Algérie (1830-1847), la France lance l’expédition de Bougie qui se termine avec la prise de cette ville le 29 septembre 1833 par l'armée du général Trézel.
La ville et sa région opposeront une farouche résistance à la présence coloniale française et divers soulèvements et insurrections souvent à l'instigation de marabouts comme Bou-Baghla mais surtout la grande révolte du seigneur de guerre Cheikh El Mokrani et de Cheikh Aheddad (1871) marqueront son histoire.
Le 8 mai 1945, une terrible répression conduite par les forces coloniales françaises à Kherrata, où la marine de guerre est mise à contribution pour le bombardement naval des côtes de la région de Béjaïa fera des milliers de victimes.
Après le déclenchement de la lutte armée en novembre 1954, le premier congrès constitutif de la résistance Algérienne unifiée (FLN-ALN) eut lieu à lfri (près d'Ighzer Amokrane): le fameux Congrès de la Soummam, constituera un tournant décisif dans la guerre d'Algérie et dont les textes inspirent encore aujourd'hui la destinée de ce pays.
Démographie
Pyramide des âges
Administration et politique
Protocole d'amitié et jumelage
Béjaïa a un protocole d'amitié avec :
Béjaïa est jumelée avec:
Économie
La ville de Béjaïa est un port de commerce international. Aujourd'hui la principale activité du port est l'exportation d'hydrocarbures. Cependant la ville de Béjaïa sert de marché local notamment aux produit locaux de l'artisanat, et des produits agricoles qui parfois sont exportés, Ainsi le port de Béjaïa est le plus important du pays en termes de volume d'activité derrière celui d'Alger[14]. Les ports de Béjaïa et de Djendjen (Jijel) ont été retenus par les autorités algériennes pour participer à la nouvelle initiative de l’Union européenne portant création des Autoroutes de la mer (AdM) dont le but est d'augmenter les échanges intermodaux entre les ports de la rive nord et sud de la méditerranée, comme c'est le cas notamment pour les ports de Marseille et du Caire. La ville de Béjaia bénéficie également d'une activité de port de pêche, c'est un des secteurs qui est amené à se développer dans le futur[15]. Il faut donc remarquer que malgré le peu d'atout naturel et l'enclavement de la ville, Béjaïa figure parmi les villes les plus dynamique de l'Algérie. Cependant les infrastructures restent insuffisantes et le développement de la ville en est tributaire .
La ville de Béjaia tire aussi profit de la production agricole de la région de Kabylie en ayant le rôle de marché local voire d'exportation des produits, avec l'oléiculture [16], la production de figues et l'apiculture . Au niveau national c'est aussi le siège de certaines entreprises agroalimentaires comme Ifri et des groupes comme Cevital s'y sont installés.
Au niveau de l'artisanat, la ville tire surtout profit de la production locale de vannerie, et de poterie .
La ville de Béjaïa essaye aussi d'exploiter son magnifique littoral méditerranéen et son patrimoine historique pour développer une activité touristique, cependant la majorité des touristes sont des algériens ou des immigrés originaires de la région[17].
Vie quotidienne
Culture
La ville a toujours été une ville déterminante pour le patrimoine musical très riche, et une ville appréciée des artistes algériens. En effet au début du siècle passé, il y eu création du conservatoire de musique andalouse par le Cheikh Sadek El Béjaoui qui sans conteste le premier chanteur algérien à obtenir un succès international. Cette école fut la source de plusieurs musiciens et chanteurs talentueux, à citer à titre d'exemple NGuib accompagnateur au banjo du chanteur Chaabi « El Hadj Mohamed El Anka », et bien d'autres chanteurs dont le succès est actuellement à la une, comme Djamel Allam ou encore ou Majidziri. Après le décès du maitre de la chanson andalouse, l'école est prise en charge par l'association "Ahbab El Cheikh Sadek El Bédjaoui" présidée actuellement par son fils. La musique à Béjaïa ne s'est pas arrêté là, puisqu'il y a eu émergence d'un courant musical plus populaire mêlant sonorités de chaâbi, de folklore kabyle, et la musique moderne, ce qui a rendu le patrimoine de la ville encore plus riche, à citer au chaâbi les chanteurs qui dominent sont "Hcinou Fadli", "Mourad Zidiri", en folklore kabyle "Abdelkader Bouhi", et à la musique moderne "Djamel Allam" qui bénéficie d'un succès international.
Le groupe azal est une formation composée de jeunes musiciens talentueux et ambitieux, qui on contribué au développement de la musique de la région en faisant intégrer modernité et tradition dans leurs activités. Avec un succès absolu dans le domaine artistique national, en tant que groupe accompagnateur, et avec l'estime de toutes les vedettes de la chanson algérienne; ce groupe se tourne actuellement vers le large public en préparant un album de fusion entre Folklore Kabyle, chaâbi, gnawi, et musiques occidentales.
En août, a lieu le festival annuel de la chanson engagée qui commémore la signature de la charte de la Soummam (août 1956), premier texte fondamental pour les institutions de l'Algérie moderne.
L'association Project'heurts anime, chaque année les Rencontres Cinématographiques de Béjaïa, en 2010 ca sera la 9e édition. c'est l'une des manifestations culturelles les plus régulières de ce nouveau millénaire.
Enseignement supérieur
Béjaïa est dotée d'une université baptisée au nom de Abderrahmane Mira un martyr de la guerre d'Algérie. L'université est créée en 1983 avec un effectif de 205 étudiants et 40 enseignants pour passer à 22 792 étudiants pour 698 enseignants en 2006. L'université se déploie sur deux principaux sites: Targa Ouzemmour et Aboudaou. Elle compte actuellement sept facultés :
- Faculté de Technologie
- Faculté des Lettres, des Sciences Humaines et du sport.
- Faculté de Droit
- Faculté des Sciences Économiques, des sciences de gestion et des sciences commerciales.
- Faculté de Médecine
- Faculté des Sciences Exactes
- Faculté de la Nature et de la Vie
Patrimoine
Patrimoine archéologique
Le patrimoine archéologique de Béjaïa comprend[18] :
- les restes de l'enceinte fortifiée de la Porte Fouka
- le Fort Moussa (dit Fort Barral)
- le Fort de la Casbah
- la Porte dorée ou la porte de la mer
- Citerne romaine
- Cippe Romain (pierre funéraire)
- le mihrab de la mosquée Ibn Toumert
Patrimoine naturel
- la Corniche
- le parc naturel de Gouraya
Culture locale et festivités
Tourisme
Personnalités
- Leonardo Fibonacci (1175-1250) y a fait une partie de son éducation et y a rapporté les chiffres arabes en Europe[réf. nécessaire].
- Mouloud Kacem Naît Belkacem
- Hammouche Mebrouk, journaliste né à Béjaïa (Bougie) en 1958
Mythes, légendes et anecdotes
- Le mot bougie est apparu dans la langue française au XIVe siècle. Tiré de Bugaya, cette ville d'Algérie qui fournissait une grande quantité de cire pour la fabrication des chandelles[19],[20]. La bougie comme telle fut développée au milieu du XIXe siècle, et se distingue de la chandelle par sa matière première et l'utilisation d'une mèche de coton tressé. Le tressage permet à la mèche de se courber et de se consumer : inutile alors de la moucher. La misérable chandelle disparaît alors, et la cire perd de son intérêt.
Galerie
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Statue du chahid Abdelkader Aïssaoui (précédemment stèle du soldat inconnu[21])
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
- Mouloud Gaïd, Histoire de Béjaïa et de sa région : Depuis l'antiquité jusqu'à 1954, Alger, Éditions Mimouni, 1991, 2e éd.
Sources, notes et références
Sources
- « Brèves de Béjaïa — Avec 187 milliards de centimes, la commune n’est pas si riche », dans Liberté, no 5342, 28 mars 2010, p. 9 (ISSN 1111-4290) [texte intégral (page consultée le 11 juin 2011)].
- Wilaya de Béjaïa : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion. Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- Gaya Hamimi, Grammaire et conjugaison amaziġ, L'Harmattan, 1997 (ISBN 978-2-7384-5406-5) [lire en ligne (page consultée le 12 avril 2011)], p. 23-24.
- Jeannine Verdès-Leroux, L'Algérie et la France, Paris, R. Laffont, 2009 (ISBN 978-2-221-10946-5) (LCCN 2009456425), p. 132.
- Service de la planification et de l'aménagement du territoire, La wilaya de Béjaïa en quelques chiffres, Wilaya de Béjaïa, 1988, p. 9.
- Climatological Information for Bejaia, Algeria sur www.hko.gov.hk. Consulté le 2 avril 2011.
- « Décret no 84-365 du 1er novembre 1984 fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes », dans Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, no 67, 19 décembre 1984, p. 1483 [texte intégral (page consultée le 13 mars 2011)].
- R. C., « Un riche site archéologique mis au jour à Béjaïa », dans La Tribune, no 4270, 3 et 4 juillet 2009, p. 17 [texte intégral (page consultée le 14 juin 2011)].
- Charles-André Julien, Histoire de l'Afrique du Nord. Des origines à 1830, éd. Payot, Paris, 1966, p. 104
- Communes de la wilaya de Béjaïa — Population résidente par âge, par sexe et par commune. Consulté le 11 juin 2011.
- Wilaya de Béjaïa — Population résidente par âge et par sexe. Consulté le 11 juin 2011.
- Les jumelages de Brest, Mairie-Brest.fr. Consulté le 4 juillet 2011.
- Fiche du jumelage avec Brest sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 4 juillet 2011.
- http://www.elwatan.com/?page=article_print&id_article=85152
- http://www.algerie-dz.com/article11403.html
- http://www.elmoudjahid.com/accueil/Nation/26666.html
- http://www.algerie-dz.com/article4979.html
- Liste des sites et monuments classés de Béjaïa sur le site du Ministère de la culture.
- « Bougie », d'après le TLFi (Trésor de la Langue Française sur Internet).
- Origine de la Bougie (Chandelle de Bougie) - Bgayet.net, 2007.
- La stèle du “Soldat inconnu” baptisée », depechedekabylie.com. Mis en ligne le 20 février 2008, consulté le 11 janvier 2010). F. L., «
Notes
- orthodromiques, dites aussi à vol d'oiseau Distances
Catégories :- Béjaïa
- Commune de la wilaya de Béjaïa
- Chef-lieu de wilaya d'Algérie
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