- Aéroport Lyon-Saint Exupéry
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Lyon-Saint Exupéry Code AITA Code OACI LYS LFLL Localisation Pays France Ville desservie Lyon Coordonnées Altitude 250 m (821 ft) Géolocalisation sur la carte : France
Pistes Direction Longueur Surface 18R/36L 4 000 m (13 123 ft) hydrocarboné 18L/36R 2 670 m (8 760 ft) hydrocarboné Informations aéronautiques Nom cartographique L. SAINT EXUPERY Type d'aéroport civil Gestionnaire Aéroports de Lyon Site web gestionnaire Consulter Cartes SIA VAC - IAC - ARR/DEP Catégories Aéroports • Aéroports français modifier L'aéroport Lyon-Saint Exupéry (code AITA : LYS • code OACI : LFLL) anciennement dénommé Aéroport de Lyon-Satolas, est un aéroport français situé sur la commune de Colombier-Saugnieu à 25 km à l'est de Lyon, dans le département du Rhône.
Avec 7,98 millions de passagers traités en 2010, il se classe comme le quatrième aéroport français derrière ceux de Paris-Charles-de-Gaulle, Paris-Orly et Nice Côte d'Azur. Sa gestion est assurée par la société Aéroports de Lyon.
Sommaire
Présentation générale et historique[1],[2]
Informations détaillées sur la géographie
L'aéroport s'étend sur une superficie de 2 000 hectares, dont 900 hectares de réserves foncières[3]. Il est situé sur les communes de Colombier-Saugnieu (majoritairement), Pusignan, Genas et Saint-Bonnet-de-Mure.
Histoire
La décision de construire un nouvel aéroport est prise à la fin des années 1960, afin de pallier la saturation progressive de l'aéroport de Lyon-Bron. En effet, celui-ci, situé en milieu urbain, ne possédait pas de possibilité d'extension et ses pistes trop courtes étaient inadaptées à l'accueil de vols long-courrier. Par ailleurs, la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon souhaitait doter la région Rhône-Alpes d'un aéroport à la mesure de son développement et de ses ambitions internationales.
À cet effet, des études préliminaires sont entreprises dès 1965 pour rechercher un site capable d'accueillir ce futur aéroport, alors même que sa réalisation n'est pas encore décidée. L'emplacement doit répondre à plusieurs critères : une proximité des grandes villes régionales, une faible urbanisation de la zone et de bonnes caractéristiques aéronautiques. La plaine de l'est lyonnais est rapidement retenue pour répondre à tous ces critères.
Conçu par Guillaume Gillet, les travaux du nouvel aéroport durent quatre ans et n'enregistrent aucun retard ni dépassement de budget. Il est inauguré le 12 avril 1975 par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing, le préfet de région Pierre Doueil et le président de la CCI de Lyon, Fernand Blanc. Les activités de l'aéroport de Lyon-Bron y sont transférées dans la nuit du 19 au 20 avril et l'aéroport accueille ce même jour son premier vol commercial, un Mercure de la compagnie Air Inter en provenance de Paris.
À l'origine, l'aéroport ne comporte qu'une seule piste longue de 4 000 m et 2 terminaux. La capacité de traitement est alors de 3 millions de passagers par an. Face à la croissance régulière de la fréquentation, un programme d'investissement est lancé en 1989 visant à doubler les capacités de l'aéroport. À cet effet, une nouvelle piste, longue de 2 670 m, entre en service en mai 1992 afin d'écouler les pointes de trafic.
En 1994 est inaugurée la gare TGV. Dessinée par l'architecte espagnol Santiago Calatrava, son architecture audacieuse et visible plusieurs kilomètres à la ronde évoque un oiseau prenant son envol. Vue du ciel, la nouvelle configuration de l'aéroport (terminaux, parkings et gare) fait immédiatement penser à une tête d'oiseau.
Le 24 octobre 1997, Air France ouvre un hub euro-régional, véritable plateforme de correspondances aérienne. À cette occasion, les terminaux sont réorganisés.
Le 29 juin 2000, l'aéroport est renommé Lyon-Saint-Exupéry, à l'occasion du centième anniversaire d'Antoine de Saint-Exupéry, né à Lyon[4].
En 2005, un rapport commandé par le gouvernement au groupe de travail des Conseillers au Commerce Extérieur (CCE) sur Saint-Exupéry critique violemment la gestion de l'aéroport, pointant du doigt son retard de développement par rapport à d'autres aéroports européens de taille comparable, le manque de compagnies régulières et à bas prix, l'insuffisance de la desserte ferroviaire (pas de TER allant jusqu'à l'aéroport) et de la signalisation routière, des dysfonctionnements internes (notamment la livraison des bagages au terminal 2), et un manque flagrant de cohérence de la politique commerciale de la plate-forme. Les conseillers accusent très clairement le directeur de l'aéroport d'alors, remercié quelques mois après[5].
Suite à ce rapport et au vote d'une nouvelle loi sur la gestion des aéroports français, la société Aéroports de Lyon, destinée à gérer les deux aéroports lyonnais et attirer des capitaux privés dans leur gestion est créée le 21 décembre 2006. La concession est cédée par la CCIL le 6 mars 2007, et la société est officiellement lancée le 9 mars. À cette occasion, la concession de l'aéroport est renouvelée jusqu'en 2047.
En 2009, Aéroports de Lyon a investi 13,5 millions d'euros pour la rénovation et l'agrandissement du terminal 1. Outre le remplacement du carrelage par de la moquette, le changement des couleurs, l'amélioration de la luminosité et de la circulation au sein de l'aérogare, ainsi que l'installation de sièges supplémentaires, la capacité du terminal a été augmentée de 500 000 pour être portée à 3 millions de passagers par an. De nouveaux commerces se sont en outre installés et un salon VIP doit ouvrir prochainement. Les travaux se sont terminés le 29 juin 2009[6].
Infrastructures liées
Aérogares
- 3 terminaux, pouvant accueillir 9,6 millions de passagers[7] :
- Terminal 1
- Terminal 2 et sa jetée dédiée au hub d'Air France
- Terminal 3, dédié aux compagnies à bas prix, notamment easyJet
Accès
Articles connexes : Gare de Lyon-Saint-Exupéry TGV et Rhônexpress.L'aéroport est situé à environ 25 km du centre de Lyon, 75 km de Saint-Étienne, 85 km de Chambéry et 90 km de Grenoble. Il est aisément accessible depuis l'ensemble de la région Rhône-Alpes par différents moyens de transports :
- en car, grâce aux navettes régulières Satobus depuis les principales villes de Rhône-Alpes : Grenoble (avec une fréquence horaire), Bourgoin-Jallieu, Bourg-en-Bresse via Ambérieu, Annecy via Aix-les-Bains et Chambéry. Des navettes sont également disponibles sur réservation pour Valence et Vienne. Lors de la saison hivernale, des navettes sont mises en service entre l'aéroport et les principales stations de sports d'hiver de la région, ainsi que quelques stations de la région PACA.
- en TGV, par la Gare de Lyon-Saint-Exupéry TGV. Elle est desservie par une vingtaine de TGV par jour en provenance ou à destination de Paris, offrant une relation avec les villes de Rhône-Alpes (Grenoble, Chambéry, Annecy, Aix-les-Bains, Modane, Valence, Montélimar), et de Provence (Orange (Vaucluse), Avignon, Arles et Miramas).
- Depuis le 9 août 2010, l'aéroport est relié au centre-ville de Lyon par la liaison Rhônexpress, une ligne de tramway express qui le relie à la gare de Lyon Part-Dieu en moins de 30 minutes grâce à un nombre réduit d'arrêts intermédiaires (Vaulx-en-Velin - La Soie et Meyzieu Z.I., en correspondance avec le métro et le tramway) et une vitesse de pointe en exploitation de 100 km/h. Cette ligne, concédée pour trente ans au consortium Rhônexpress et longue de 23 km, utilise en partie (sur 14,6 km) les infrastructures de la ligne T3, puis une plateforme indépendante sur les 7 derniers kilomètres. L'exploitation est indépendante du réseau de Transports en commun lyonnais et le service a donc un matériel et une tarification spécifiques.
Cette liaison est en service de 5 h à minuit et offre aux usagers une fréquence de 30 minutes de 5 h à 6 h et de 21 h à minuit et une fréquence de 15 minutes de 6 h à 21 h.
Infrastructures et équipements
Il est équipé de :
- 2 pistes parallèles équipées de l'ILS de catégorie III :
- Piste A, d'origine, 4 000 m x 45 m, orientation 18R/36L, utilisée préférentiellement pour les décollages
- Piste B, mise en service en mai 1992, 2 670 m x 45 m, orientation 18L/36R, utilisée préférentiellement pour les atterrissages
- 5 parkings et 2 déposes minutes
- une gare TGV avec 3 voies à quai (490 000 passagers en 2009).
Gestion
Article connexe : Aéroports de Lyon.À son ouverture en 1975, la gestion de l'aéroport est confiée à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lyon (CCIL), qui gère également celui de Lyon-Bron. La durée de la concession est fixée à 25 ans, soit jusqu'en 1990. Cette concession a été renouvelée à plusieurs reprises, la dernière fois le 21 mars 2001 pour une durée de 10 ans.
Le 20 avril 2005, une nouvelle loi sur la gestion des principaux aéroports français est promulguée. Paru au journal officiel le 21 avril 2005, elle prévoit la mise en place d'un nouveau régime de gestion des aéroports : ces derniers restent dans la compétence de l'État mais leur gestion est confiée à une société d'exploitation aéroportuaire.
À ce titre, la SASU Aéroports de Lyon est créée le 21 décembre 2006. Le 6 mars 2007, la CCIL cède sa concession de l'aéroport à la SASU.Quatre jours plus tard, le 10 mars 2007, la société Aéroports de Lyon est officiellement lancée et la concession renouvelée pour 40 ans, jusqu'en 2047. Elle est destinée à gérer les deux aéroports lyonnais (Lyon-Bron et Lyon-Saint Exupéry). Son capital est réparti entre l'État (60 %), la CCIL (25 %) et les trois collectivités territoriales à parts égales (5 % chacune ; Grand Lyon, le Conseil général du Rhône et le Conseil régional de Rhône-Alpes).
Le capital détenu par l'État pourra être progressivement cédé aux entreprises publiques ou privées à partir de 2013.
Statistiques
Année 2008[8]
En 2008, l'aéroport a traité plus de 7,9 millions de passagers (+ 8,2 % par rapport à 2007), son record absolu depuis sa création. Il se classe ainsi comme le quatrième aéroport français derrière ceux de Paris-Charles-de-Gaulle, Paris-Orly et Nice Côte d'Azur. Cette augmentation est en grande partie due à l'arrivée de la compagnie à bas coûts easyJet qui a ouvert en avril 2008 une base sur l'aéroport. Cette arrivée a permis de doubler la part du trafic low-cost par rapport à 2007, qui représente aujourd'hui 13,3 % du nombre de passagers.
Le trafic national représente 37,1 % du nombre de passagers (2 936 736 ; + 3,9 %), le trafic international 61,9 % (4 861 398 ; + 11,3 %) et le transit 1,6 % (125 929 ; - 1,1 %). Le nombre de mouvements d'avions s'est établi à 126 980, soit une quasi stabilité par rapport à 2007 (+ 0,3 %).
Concernant le transport de fret, il s'établit à 32 814,8 tonnes, en recul de 11,1 % par rapport à 2007.
Les 4 principales compagnies desservant l'aéroport en 2008 sont :
- Air France : 3 809 085 passagers (+ 2,6 %)
- EasyJet : 845 709 passagers (+ 186,7 %)
- Lufthansa : 433 047 passagers (- 3,1 %)
- British Airways : 232 009 passagers (- 9,1 %)
Les 5 principales destinations en 2008 sont :
- Paris : 574 687 passagers (+ 7.4 %) répartis comme suit :
- Charles-de-Gaulle : 464 116 passagers
- Orly : 110 533 passagers
- Le Bourget : 35 passagers
- Londres : 433 699 passagers répartis comme suit :
- Bordeaux : 387 324 passagers (+ 44.5 %)
- Toulouse : 352 331 passagers (+ 36.1 %)
- Francfort : 269 550 passagers (- 7.4 %)
Évolution du trafic passagers et fret
La fréquentation de l'aéroport n'a cessé d'augmenter depuis son ouverture en 1975, en ne traversant que peu « d'années noires » où le trafic était en recul. De nombreux caps ont été franchis : 2 millions de passagers en 1977, 3 millions en 1988, 4 millions en 1995, 5 millions en 1998, 6 millions en 2000, 7 millions en 2007.
Le tableau ci-dessous récapitule l'évolution du trafic passagers et fret avionné de ces dernières années[9].
Evolution du trafic passagers
(en nombre de passagers)Evolution du trafic fret avionné
(en tonnes)Année National International Transit Total Évolution Total Évolution 2010 2 864 867 4 936 982 177 379 7 979 228 + 3,4 % 37 206,7 + 14,1 % 2009 2 847 857 4 724 956 144 796 7 717 609[10] - 2,6 % 32 609,3 - 0,6 % 2008 2 936 736 4 861 398 125 929 7 924 063 + 8,2 % 32 815 - 11,1 % 2007 2 826 549 4 367 025 127 378 7 320 952 + 8,4 % 36 899 - 9,6 % 2006 2 708 484 3 956 083 87 766 6 752 333 + 2,9 % 40 840 + 5,4 % 2005 2 593 645 3 869 040 98 680 6 561 365 + 5,3 % 38 732 + 10,0 % 2004 2 544 546 3 581 626 102 440 6 228 612 + 4,9 % 35 228 - 0,8 % 2003 2 504 221 3 355 754 79 920 5 939 895 + 2,8 % 35 484 + 0,0 % 2002 2 468 484 3 257 278 42 462 5 778 224 - 5,4 % 35 341 + 18,1 % 2001 2 644 629 3 414 339 49 639 6 108 607 + 1,5 % 29 928 - 13,4 % 2000 2 594 862 3 338 555 87 644 6 021 061 + 9,5 % 34 918 + 27,4 % 1999 2 486 599 2 929 672 84 277 5 500 548 - 27 409 - Projets en cours ou en étude
Développement de la base easyJet
La compagnie à bas coûts easyJet a ouvert le 4 avril 2008 sa vingtième base européenne (la troisième française) sur l'aéroport en basant 2 Airbus A319. Elle a ainsi ouvert une dizaine de lignes au départ de Lyon, notamment vers plusieurs villes françaises comme Toulouse et Bordeaux, mettant fin au monopole d'Air France[11].
Forte du succès rencontré, puisque les résultats se sont révélés meilleurs que les prévisions, la compagnie a décidé d'affecter à partir de l'hiver 2009-2010 un troisième Airbus A319 sur l'aéroport et d'ouvrir 3 nouvelles lignes vers Nantes, Bruxelles et Édimbourg[12]. Le 30 juin 2010, la compagnie Easyjet a annoncé l'arrivée d'un quatrième Airbus A319 sur l'aéroport à compter de novembre 2010. Parallèlement à l'arrivée de ce nouvel avion, Easyjet mettra en place 6 nouvelles destinations régulières (Brest et Nice en France, Agadir, Berlin, Milan et Prague) et 2 destinations saisonnières (Liverpool et Bristol à partir de décembre 2010). Easyjet souhaite ainsi atteindre le chiffre d'1,5 million de passagers sur l'aéroport de Lyon en 2010[13].
Augmentation de la capacité
Avec ses 3 terminaux, l'aéroport a une capacité de traitement d'environ 9,6 millions de passagers[7]. À la fin de l'année 2007, c'est-à-dire avant l'apparition de la crise mondiale en septembre 2008, les prévisions de trafic prévoyaient un trafic de l'ordre 10 millions de passagers à l'horizon 2012 et d'environ 15 millions de passagers vers 2020.
Afin d'accueillir cette hausse attendue du trafic, des projets d'extension de l'aéroport sont actuellement à l'étude pour porter la capacité d'accueil à 11 millions de passagers en 2012 et 15 millions en 2020, avec notamment :
- l'agrandissement du Terminal 1, par construction d'une extension sur le Sud de l'aérogare actuelle
- la reconstruction du Terminal 3 en prolongement de l'extension prévue du Terminal 1. L'ouverture au public du nouveau Terminal 3 a eu lieu le 15 novembre 2011.
- la construction d'une jetée dédiée au low-cost en connexion avec le Terminal 3. La construction de ce « satellite d'embarquement », actée depuis fin 2009, devrait être opérationnelle au début de 2012 après 2 ans de travaux. Cet aménagement devrait permettre d'atteindre une capacité de 4 millions de passagers pour le Terminal 3.
Ces nouvelles constructions, établies en grande partie sur des parking d'avions, nécessiteront le déplacement d'une partie des stationnements des avions fret. Parallèlement, une importante extension de la zone fret est programmée[réf. nécessaire].
Voir aussi
- Liste des aéroports de France.
- Météo France effectue des radiosondages en lâchant des ballons-sondes depuis Lyon-Saint-Exupéry. Ils sont régulièrement récupérés par les chasseurs de radiosondes.
Liens externes
Notes et références
- (fr) Aéroports de Lyon, « Historique de l'aéroport ». Consulté le 12 septembre 2009
- (fr) Bibliothèque municipale de Lyon, « Histoire et actualité de l’aéroport Lyon-Saint Exupéry », 2008. Consulté le 12 septembre 2009
- http://www.lyon.aeroport.fr/index.php?module=cms&desc=default&action=get&id=321
- Antoine de Saint-Exupéry furent inaugurées à Lyon par Jean-Jack Queyranne, alors secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer. Bertrand Picard, auteur du premier tour du monde en ballon, était également présent ainsi que le pilote de chasse Hervé de Saint-Exupéry. Le jour de la cérémonie, le 29 juin 2000, ce dernier survola l’aéroport aux commandes d’un Mirage 2000 en compagnie de la Patrouille de France (sources : quotidien La Provence du 25 juin 2000). Six jours avant le changement de nom de l’aéroport, plusieurs expositions consacrées à la mémoire d'
- 2 février 2007 Le Progrès du vendredi
- (fr) Quotidien Le Progrès, « Saint-Exupéry : le terminal T1 refait à neuf », 30 juin 2009. Consulté le 15 septembre 2009
- http://www.aeroport.fr/les-aeroports-de-l-uaf/lyon-saint-exupery.php
- décembre 2008, disponible sur http://www.lyon.aeroport.fr Rapport mensuel de
- http://www.lyon.aeroport.fr Rapports d'activités de l'aéroport disponibles sur
- Statistiques de l'aéroport dans le rapport mensuel de décembre 2009 sur le site officiel. Consulté le 19 janvier 2010
- (fr) easyJet, « easyJet ouvre à Lyon sa vingtième base européenne », 4 avril 2008. Consulté le 16 septembre 2009
- (fr) easyJet, « Joyeux anniversaire ! Un an et 1 000 000 passagers pour easyJet à Lyon », 17 avril 2009. Consulté le 16 septembre 2009
- http://www.tourmag.com/Easyjet-va-ouvrir-8-nouvelles-lignes-cet-hiver-a-Lyon-Saint-Exupery_a39480.html
Catégories :- Aéroport de Rhône-Alpes
- Transport à Lyon
- 3 terminaux, pouvant accueillir 9,6 millions de passagers[7] :
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