- Schaerbeek
-
Schaerbeek
(nl) SchaarbeekGéographie Pays Belgique Région Bruxelles-Capitale Communauté Communauté française
Communauté flamandeArrondissement Bruxelles-Capitale Coordonnées Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers8,14 km² (2005)
1,81 %
0,00 %
97,06 %
1,13 %Données sociologiques Population
– Hommes
– Femmes
Densité121 232 (1er janvier 2008)
49,25 %
50,75 %
14 893 hab./km²Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +(1er janvier 2008)
24,73 %
64,21 %
11,06 %Étrangers 29,49 % (1er janvier 2008) Économie Taux de chômage 26,94 % (janvier 2009) Revenu annuel moyen 9 566 €/hab. (2005) Politique Bourgmestre Bernard Clerfayt (FDF) Majorité MR-Ecolo Sièges
MR
PS
Ecolo
cdH
Demol47
22
13
6
5
1Sections de commune Section Code postal Schaerbeek 1030 Autres informations Gentilé Schaerbeekois(e) Zone téléphonique 02 Code INS 21015 Site officiel www.schaerbeek.be modifier Schaerbeek [skaʀbeːk][1] (en néerlandais Schaarbeek) est l'une des 19 communes bilingues de la Région de Bruxelles-Capitale en Belgique.
Elle comptait, au 1er août 2009, 123 267 habitants (Schaerbeekois) pour une superficie de 8,14 km², soit 15 143 habitants/km2. Elle est située dans le nord-est de l'agglomération bruxelloise.
Schaerbeek est composée de nombreux quartiers souvent très populaires et cosmopolites. Elle compte quelques sites remarquables comme le parc Josaphat, l'hôtel communal construit en 1887 par Jules-Jacques Van Ysendijck, l'église royale Sainte-Marie, les Halles, la Maison des Arts, ainsi que de nombreuses maisons art nouveau et art déco particulièrement bien préservées (exemple : la Maison Autrique).
Elle est limitrophe des communes de Bruxelles-ville, Saint-Josse-ten-Noode, Evere, Etterbeek et Woluwe-Saint-Lambert. C'est la seule commune de la ville de Bruxelles à ne pas posséder d'armoiries. C'est pourquoi elle reste souvent apparentée à ses couleurs du drapeau « Blanc vert ».
Jacques Brel est né à Schaerbeek.
Sommaire
Histoire
Les premières activités humaines localisées à Schaerbeek ont été identifiées à l'âge de pierre par la découvertes d'outils en silex dans la vallée du Josaphat. En outre, des vestiges romains furent mis à jour lors de travaux de terrassement au XIXe siècle. On découvrit ainsi des vases et des poteries datant du règne d'Hadrien sous la chaussée de Haecht à l'emplacement de l'actuel lycée Emile max ainsi que des voutes attestant de l'existence d'un ouvrage de défense romain sous l'actuelle Sainte Marie place de la Reine [2]. Schaerbeek était au tournant de deux voie romaines secondaires dont l'une allait de Boulogne à Cologne et l'autre Bavay à Elewijt.
La première mention écrite de Schaerbeek est Scarenbecca en 1120 par l'évêque de Cambrai (France) dans un document ou il cite aussi Everna, sa voisine Evere pour l'administration et une partie des revenus des églises au chapitre de Soignies. Le territoire de la commune appartenait aux Duc de Brabant. Les ducs de Bourgogne Philippe le Bon et son fils possédaient en 1425 des terrains entre la chaussée de Louvain et l'actuelle rue de la consolation.
Jusqu'au début du XIXe siècle, Schaerbeek reste une petite bourgade où la population passe de 600 habitants en 1526 à 1 131 habitants en 1800 et 8 630 habitants en 1850.
A partir de 1819 avec la destruction des remparts côté Botanique et le prolongement de la rue royale vers la place de la Reine, la ville va progressivement s'urbaniser. En 1835, la création de la première voie ferrée au départ de l'allée verte, la construction de la gare du nord (place Rogier 1841 à 1846) puis la prolongation des voies vers Anvers vont définitivement lancer l'urbanisation dans le bas de Schaerbeek. La conjonction des prix abordables des terrains, de facilités en matières de services et de transport en commun vont favoriser le développement de la commune. En 1887, l'hôtel de ville est construit place Collignon et la population a gonflé jusqu'à 64 000 habitants en 1900.
La fin du XIXe voit la création de nouvelles avenues bourgeoises avenue Louis Bertrand et Paul Deschanel qui préfigurent la fracture sociale et géographique entre le haut et le bas de Schaerbeek.
Démographie
Schaerbeek est la deuxième commune la plus peuplée de la région de Bruxelles-Capitale, après Bruxelles-ville, et la septième commune de Belgique avec 123 861 habitants au 1er novembre 2009[3]. Au 1er décembre 2010, il y avait 126 763 habitants[4].
Les quartiers
La commune possède une cité-jardin d'intérêt située dans le quartier Terdelt. Elle dispose aussi d'un "quartier des Fleurs" en bordure du parc Josaphat, agrémenté d'alignements florifères de cerisiers du Japon, couvrant les rues d'un tapis rose au printemps.
La cité des fleurs doit aussi son nom au fait qu'y était autrefois pratiquée l'horticulture et que plusieurs rues portent aujourd'hui des noms de fleurs.Schaerbeek est composé de quartiers sociologiquement très différents :
- les quartiers de grand standing, tels que le quartier des Fleurs, les quartiers limitrophes à Woluwé-Saint-Lambert (avenue Herbert Hoover, etc) ou encore le quartier du Diamant
- les quartiers plus populaires, dont la chaussée de Haecht ou la Cage aux Ours, ainsi que le quartier "carré" proche de la gare du Nord, quartier de prostitution.
Malgré cela le contraste entre les quartiers n'est pas si grand et d'une rue à l'autre on peut croiser différentes cultures.
Principaux quartiers et places :
- Gare de Schaerbeek
- Gare du Nord
- Parc Josaphat traversé par le ruisseau Schaerbeek
- Quartier Helmet
- Quartier des Fleurs
- Quartier Terdelt
- Place des Bienfaiteurs
- Place Colonel Bremer
- Place des Carabiniers
- Place des Chasseurs Ardennais
- Place Dailly
- Place de Houffalize
- Place de Jamblinne de Meux
- Place Lehon
- Place Liedts
- Place Général Meiser
- Place de la Patrie
- Place du Pavillon
- Square Eugène Plasky
- Place Pogge
- Place Princesse Élisabeth
- Place de la Reine
- Square François Riga
- Place Eugène Verboekhoven, mieux connue sous l'appellation populaire Cage aux Ours
- Square Vergote
Sur le plan policier, Schaerbeek est divisée en 16 quartiers, chacun doté d'un ou deux agents de quartier, répartis entre quatre commissariats: 6 quartiers pour le commissariat 1 de la rue Rodenbach (carte), 6 pour le commissariat 3 de l'avenue de Roodebeek (carte), 4 pour le commissariat 4 situé à Saint-Josse, rue de Bériot (carte) et 3 pour le commissariat 5, au square Victoria Regina (ex-"Tour IBM") (carte).
Voir aussi Liste des rues de Schaerbeek.
Aires de jeu
Schaerbeek possède dix aires de jeu communales :
- avenue des Jardins
- avenue Raymond Foucart
- avenue Huart Hamoir
- plaine de jeu Voltaire
- complex sportif Terdelt (2 aires)
- parc Josaphat (2 aires)
- place de la Patrie
- place des Chasseurs Ardennais
Les bâtiments
Transport en commun
- SNCB :
- STIB :
- De Lijn : 126 - 127 - 128 - 129 - 190 - 212 - 213 - 214 - 230 - 231 - 232 - 233 - 235 - 240 - 241 - 242 - 243 - 245 - 246 - 250 - 251 - 260 - 270 - 271 - 272 - 318 - 351 - 358 - 410 - 460 - 461 - 462 - 471 - 526 - 554
Vie politique
Au cours des premières décennies de l'État belge, la politique schaerbeekoise est dominée par l'opposition classique entre catholiques et libéraux. En 1878, la majorité catholique cède la place à une majorité libérale. À la fin du XIXe siècle, Schaerbeek compte une importante population ouvrière et la commune voit la création de la première section du parti ouvrier belge dans la région bruxelloise. En 1896, ils font leur entrée dans le Collège au sein d'une majorité libérale-socialiste. Pendant l'entre-deux-guerres, le paysage politique schaerbeekois est fort morcelé, avec de nombreuses listes. Les années qui suivent la deuxième guerre mondiale voient un renversement d'alliance, les libéraux s'alliant aux catholiques. Les élections de 1970 voient une recomposition du paysage politique local, avec l'entrée en jeu du FDF.
Arrivée du FDF au pouvoir
Bastion du libéralisme, Schaerbeek a été conquise en 1970 par le Front démocratique des francophones (FDF), à l'époque nouveau parti régionaliste fondé en 1964, alors que les autres partis belges étaient encore officiellement « nationaux », et pluraliste.
Affaire des guichets de Schaerbeek
Sous cette direction francophone, la commune adopta une disposition des guichets de l’état civil avec quatre guichets pour les francophones, deux pour les étrangers et un pour les néerlandophones (représentant environ 12 % de la population).
Cette répartition était cependant illégale, et en 1976, le gouvernement somme la commune de réorganiser les guichets de manière qu’ils soient tous accessibles à tous les habitants. Le bourgmestre et le collège refusent de s’incliner, et le gouvernement délègue un commissaire spécial, le vicomte Ganshof Van der Mersch, chargé d'exécuter la décision du gouvernement (ce qu'il fit nuitamment accompagné de gendarmes après une tentative diurne qui s’était heurtée à un mur de militants du FDF).
Politique hostile aux immigrés
Au fil du temps, le bourgmestre FDF Roger Nols, à l'initiative de la mise sur pied du Conseil communal consultatif des immigrés en 1973, évolua vers des positions de plus en plus xénophobes, allant jusqu'à inviter Jean-Marie Le Pen à Schaerbeek dans les années 1980, à interdire les enseignes de magasin en d'autres langues que le français ou le néerlandais, à interdire les rassemblements vespéraux de plus de trois personnes sur la voie publique, à interdire les cours de religion musulmane dans les écoles communales, à bloquer l'inscription d'étrangers auprès de l'administration communale...
Pendant cette période, le PRL fera campagne commune avec la liste d'intérêts communaux NOLS (Nouvelles orientations des libertés schaerbeekoises). Le FDF finira par l'exclure, après qu'un de ses élus, Georges Verzin, eut claqué la porte du parti pour protester contre sa dérive raciste et mis sur pied une liste dissidente, IDS (Initiatives pour le développement de Schaerbeek). En 1999, alors qu'il n'était plus qu'un simple conseiller communal, Roger Nols passa au Front National et ne se représenta plus en 2000.
La fin du nolsisme — une politique d'apaisement et de reconstruction
En 1994, la liste Duriau (ex-nolsistes) s'allie au FDF (très anti-PRL au niveau local, comme à Etterbeek et à Koekelberg), à Ecolo, au PS et au PSC, rejetant dans l'opposition le PRL encore nolsiste et le Front national. En cours de législature, Francis Duriau s'affilie au FDF et un de ses échevins PSC passe au PRL.
En octobre 2000, pour la première fois, les ressortissants de pays membres de l'Union européenne peuvent s'inscrire en tant qu'électeurs : seuls 971 sur 11 498 électeurs potentiels accomplissent cette démarche, ils pèsent donc peu parmi les 54 262 électeurs inscrits. Pas moins de 11 listes se présentaient à ces élections, dont 7 complètes (47 candidats)[5]. Quelques petites listes incomplètes étaient également présentes[6].
Sur 47 sièges, la fédération PRL-FDF (actuel MR) remporte les élections avec 16 sièges, la Liste du Bourgmestre (LB) dirigée par le bourgmestre sortant Francis Duriau n'en récolte que 8. Mais l'animosité entre les deux chefs de file et concurrents au poste de bourgmestre aboutit à une large coalition arc-en-ciel réunissant le PRL-FDF-MCC d'une part, Ecolo (11 sièges, dont 1 Agalev) et le PS (5 sièges), rejetant dans l'opposition deux partis de la majorité sortante, la LB et le PSC (3 sièges, actuel CDH). La liste flamande d'extrême-droite Demol (4 élus, regroupant le Vlaams Blok et des transfuges du FN et du PRL) reste dans l'opposition.
Bernard Clerfayt est alors installé comme bourgmestre. Lors des négociations post-électorales sur la répartition des postes exécutifs (bourgmestre, échevins, président du CPAS), Ecolo désigne Tamimount Essaïdi (de parents marocains) comme candidate à un de ses quatre mandats, le PS désigne Alain Hutchinson, déjà secrétaire d'État régional, qui devra être remplacé par un échevin faisant fonction, Mohamed Lahlali (ancien étudiant marocain), ce qui provoque une polémique ; quant au MR, il installe lui aussi un échevin allochtone, Sait Köse (de parents turcs).
Bernard Clerfayt (MR-FDF) revêtit l'écharpe mayorale pour la mandature 2001-2006, dont les chantiers essentiels allaient être l'assainissement des finances publiques, la poursuite de la rénovation des quartiers anciens et l'amélioration de la sécurité.
A la veille des élections de 2006, la vice-première ministre socialiste Laurette Onkelinx annonce son débarquement dans la cité des Anes afin de ravir la maïorat au MR Bernard Clerfayt, pourtant crédité d'un bon bilan dans des circonstances difficiles (finances déficitaires, tension dans les quartiers, majorité très large et hétéroclite). La campagne électorale schaerbeekoise devient un enjeu national, traité par tous les grands médias du pays. Contre toute attente, le score donne la liste du bourgmestre sortant grand vainqueur des élections avec près de 42% des voix (contre 30% en 2000) pour 25% pour le Parti socialiste, conduit par Laurette Onkelinx (contre 11% en 2000). En termes de voix de préférences, Bernard Clerfayt remporte un score exceptionnel de 12 654 voix de préférence pour 5 083 seulement pour la vice-première ministre socialiste. Bien qu'un accord électoral secret fût signé entre le PS, le CDH et Ecolo, la chef de file écologiste, l'ancienne vice-première ministre Isabelle Durant, choisit de poursuivre sa collaboration avec la liste du Bourgmestre. L'actuelle majorité (janvier 2007 - janvier 2012) se compose du FDF (le bourgmestre + 3 échevins), du Parti réformateur libéral (4 échevins), d'Ecolo (2 échevins + présidence du Centre public d'action sociale), de Groen! (1 échevin). L'opposition est composée du Parti socialiste, du Centre démocrate humaniste et du groupe Demol (Vlaams Belang).
Le 20 mars 2008, Bernard Clerfayt quitte son poste de Bourgmestre pour devenir Secrétaire d'État au Gouvernement fédéral belge. La loi belge interdit de cumuler un poste de Bourgmestre et un poste de Secrétaire d'État, c'est donc Cécile Jodogne (6e sur la liste électorale MR) qui devient Bourgmestre en 2008[2].
Bourgmestres
Article détaillé : Liste des bourgmestres de Schaerbeek.Personnalités politiques
- Louis Bertrand (1856-1943)
- Paul Deschanel (1855-1922)
- Henri Jaspar (1870-1939)
- Marcel-Henri Jaspar (1901-1982)
Lieux culturels
- Centre culturel de Schaerbeek : 91-93 rue de Locht (direction : Najib El Akel)
- Maison des Arts : 147 Chaussée de Haecht (responsable : Jean-Pol Lozet)
Bibliothèques
Les cinq bibliothèques publiques schaerbeekoises :
- bibliothèque communale "Sésame / Helmet" : 200 boulevard Lambermont
- bibliothèque communale "Romain Rolland" : 10 square Hoedemaekers - 1140 Evere
- bibliothèque communale "1001 pages" : 1 place de la Reine
- bibliothèque communale "Thomas Owen" : 111 avenue de Roodebeek
- bibliothèque communale "Dailly" : 20 rue du Radium (Bibliothécaire dirigeant : Stéphane Dessicy)
Musées
- Musée schaerbeekois de la bière : 33-35 avenue Louis Bertrand
- Musée de l'Horloge en Faïence (Clockarium) : 163 boulevard Reyers
- Maison Autrique : 1re maison de Victor Horta à Bruxelles : 266 chaussée de Haecht
Théâtres
- La Balsamine (le site) : 1 avenue Félix Marchal (direction : Christian Machiels)
- Théâtre Océan Nord : 63-65 rue Vandeweyer (direction : Isabelle Pousseur)
- Halles de Schaerbeek (le site) : 22b rue Royale Sainte-Marie (direction : Fabienne Verstraeten)
- Théâtre 140 (le site) : 140 avenue Plasky (direction : Jo Dekmine)
- Magic Land Théâtre (le site) : 8-14 rue d'Hoogvorst (direction : Patrick Chaboud)
- Espace théâtral Scarabaeus : 19-27 rue Creuse (direction : Irène Chalkia)
- L'Os à moelle (le site): 153 avenue Émile Max (direction : Samuel Bernard)
Personnalités culturelles schaerbeekoises
En circulant à Schaerbeek, vous passerez devant des maisons ornées d'une plaque dorée sur laquelle vous lirez : " ici est né et décédé ... plus connu sous le nom de ...." Schaerbeek est et a été une commune de personnalités et d'artistes...
En voici quelques-uns:
- Jacques Brel (1929-1978), chanteur, est né et a vécu à Schaerbeek.
- Frank Andriat (1958-), écrivain
- Oscar Beek, groupe de musiciens
- Eugène de Bremaecker, (1879-1963), sculpteur
- Roger Camille, alias Kiko (1936-2006), auteur de bandes dessinées
- Joseph Cardijn, (1882-1967), cardinal, fondateur de la JOC en 1924
- Joseph Coosemans (1828-1904), peintre
- Defi-J, DJ qui a contribué, dans les années 1990, au premier album de hip-hop belge francophone (BRC : Brussels Rap Convention)
- Hyacinthe Devondel (1909-1976), architecte
- Agustín Goovaerts (1885-1939), architecte
- Gaston Dupray (1886-1976), acteur de cinéma né à Schaerbeek
- Georges Eekhoud (1854-1927)
- Henri Evenepoel (1872-1899), peintre
- Michel de Ghelderode (1898-1962), auteur, dramaturge et employé communal à Schaerbeek de 1923 à 1946
- Didier Groffier, (1912-1979), artiste peintre
- Jean Groffier, (1908- ), poète et écrivain
- Irène Hamoir (1906-1994), écrivain
- François Hemelsoet (1875-1947), architecte d'art nouveau
- Jean Hofman (1889-1966), artiste peintre
- Henri Jacobs (1864-1935), architecte d'art nouveau
- Frédéric Kiesel (1923-2007), poète, écrivain et journaliste
- Hubert Krains (1862-1934), écrivain
- Fadila Laanan (Née en 1967)
- Gustave Libeau (1877-1957), acteur, né à Schaerbeek
- Marcel Mariën (1920-1993), écrivain et éditeur des surréalistes
- Maurane (1960-), chanteuse
- Morton Max (1943-), artiste peintre et poète
- Paul Nyssens (1870-1954) Ingénieur, psychologue, éditeur, décédé à Schaerbeek.
- Thomas Owen (1904-2002), auteur de fantastique
- Pitcho (1976-), rappeur, slameur, dramaturge, il a créé la Skinfama en 2004, une école musicale réputée à Bruxelles
- Rival (1974-), rappeur, la Souterrain Production depuis 1995 ; son album De la rue à la scène reste un classique du hip hop belge et précurseur de la new school belge.
- Privat Livemont (1861-1936), peintre et affichiste d'art nouveau
- Herman Richir (1866-1942), peintre et lithographe
- Jean Roba (1930-2006), auteur de bandes dessinées, créateur de Boule et Bill
- François Schuiten (1956-), auteur de bandes dessinées
- Louis Scutenaire (1905-1987), écrivain surréaliste
- Léon Smet (1908-1989), artiste de music-hall (père de Johnny Hallyday)
- Roger Somville (1923-), peintre
- Christophe Soumillon (1981-), jockey
- Gustave Strauven (1878-1919), architecte d'art nouveau
- Georges Vandevoorde (1875-1964), sculpteur
- Famille Vandievoet, famille souche de Schaerbeek.
- Jules Vandievoet (1885-1947), peintre de théâtre à Luxembourg, issu d'une famille souche de Schaerbeek.
- Jacques Vandievoet dit Jacques Oriol, (1923-1993), poète, cousin de Jules Vandievoet, issu d'une famille souche de Schaerbeek
- Jacques Van Herp (1923-2004), auteur de science-fiction et de fantastique
- Paul Van Melle (1926-) poète, écrivain et critique littéraire.
- Eugène Verboeckhoven (1798-1881), peintre
- Jeanne de Vietinghoff (1875-1926), femme de lettres
- Marie Warnant (1979-), chanteuse
Folklore
- Kermesses en mars, juin et décembre dans le quartier de Helmet
- Grand cortège carnavalesque le Scharnaval le samedi 15 jours avant Pâques, de 13h30 à 17h00
- Fête de la cerise le dernier dimanche de juin au parc Josaphat
- Fête nationale (le 21 juillet) au parc Josaphat : nombreuses animations
Jumelages
- Houffalize (Belgique) depuis 1952
- Québec (ville) (Canada) depuis 1976
- Vicovu de Sus (Roumanie) depuis 1989
- Anyang (Chine) depuis 1985
- Prairie Village (États-Unis) depuis 2000
- Al-Hoceima (Maroc) depuis 2003
- Beyoğlu (Turquie) depuis 2004
- Quartier de Dardania (Pristina; Kosovo) depuis 1999[7]
Notes
- Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Louvain-la-Neuve, Peeters, 1994, p. 106
- http://www.schaerbeek.irisnet.be/culture_loisir/histoire_patrimoine/schaerbeek_son_histoire
- Rapport démographique schaerbeekois sur http://www.schaerbeek.irisnet.be/, Cellule statistique de la commune de Schaerbeek, février 2008. Consulté le 15 décembre 2008
- [1]
- Daniel Ducarme, président national du PRL-FDF, PS (dont au moins 3 candidats SP), conduite par le secrétaire d'État Alain Hutchinson, PSC. CLAIRE (Medecin du peuple et communiste, PTB-PVDA), DEMOL (extrême droite, Vlaams Blok), Ecolo (dont plusieurs candidats Agalev), Liste du Bourgmestre (candidats issus de l'ancienne mouvance nolsiste), le PRL-FDF (incluant au moins un MCC, un ex-PSC, deux ex-IDS), conduite par Bernard Clerfayt (FDF) et rejointe par
- FNB (2 candidats, extrême droite, scission du FN), Gauche Plurielle (12 candidats, dont 11 d'origine marocaine), PIC (17 candidats, menés par un élu sortant du Front National), Volksunie-ID21 (4 candidats).
- Ville de Schaerbeek: liste des jumelages
Liens externes
Catégories :- Commune de Bruxelles-Capitale
- Schaerbeek
Wikimedia Foundation. 2010.