Sarrigné

Sarrigné

47° 30′ 09″ N 0° 23′ 02″ W / 47.5025, -0.383888888889

Sarrigné
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Canton Angers-Trélazé
Code commune 49326
Code postal 49800
Maire
Mandat en cours
Catherine Pinon
2008 - 2014
Intercommunalité C.A. d'Angers Loire Métropole
Site web Le site du village de Sarrigné
Démographie
Population 817 hab. (2008[1])
Densité 275 hab./km²
Gentilé Sarrignéen, Sarrignéenne
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 09″ Nord
       0° 23′ 02″ Ouest
/ 47.5025, -0.383888888889
Altitudes mini. 22 m — maxi. 57 m
Superficie 2,97 km2

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Voir la carte administrative

Sarrigné est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire et la région Pays de la Loire.

Sommaire

Géographie

Localisation

Sarrigné est situé en limite du Baugeois à (20 km) à l'Est du centre d'Angers (15 km de la limite communale), à 20 minutes en voiture, et à 4 km du Plessis-Grammoire (Ouest), à 7 km de Corné (Sud-Est), à 4 km de Pellouailles-les-Vignes (Nord-Ouest), à 4 km de Bauné (Est) et à 4 km d'Andard (Sud).

Voies de communication

La D116 (Plessis-Grammoire / Bauné) traverse la commune dans sa partie centrale et le bourg d'Ouest en Est. Le bourg de Sarrigné s'est développé le long des principales voies de communication.
L’autoroute A11 dite l'Océane traverse la partie Nord du territoire de Sarrigné.

Les différentes voies de la commune sont : rue des Caves, allée des Cerisiers, allée de la Fontaine, rue Gaudin, allée Jouan, rue des Moulins, rue de la Paillette, allée du Peyrelleur, rue Saint Jean (rue principale), rue du Tertre, chemin de la Tuffière, rue de la Vallée. A ces voies se rajoutent des hameaux et des lotissements privés comme le Village du château construit en 1982 et comprenant quinze maisons.

Transports

La commune est desservie par les bus, par la ligne suburbaine n°30, et par des circuits scolaires (Venaiserie 1, direction Collège La Venaiserie, Mounier 2, direction Collège Emmanuel Mounier). Il existe également un circuit avec les communes voisines : IRIGOTaxi 3, avec des liaisons possibles entre Briollay, Soucelles, Villevêque, Pellouailles-les-Vignes, Sarrigné, Le Plessis-Grammoire et Saint-Sylvain-d'Anjou.

Lieux-dits

En dépendent, les lieux-dits : les Baugères, la Bédaudière, Beuzin (ou Bezain), le Bois-Jarry, le Bourg, la Brosse, le Buron, les Cures, les Dublières, l'Etang, la Gagnerie, le Grand-Clos, les Grandes-Derries, la Monpasière, le Moulin-Neuf, les Noues, les Oulas, la Paillette, la Perchaudière, le Petit-Bois, les Renardières, le Tertre, la Tuffière, la Varenne, Monpasière, le Pré, la Perchaudière-Sud, les Patissambons, les Plantes, le Mortier des Argoyaux, Pré de l'Epinay, le Bois Bougrand, Grand Champ, la Metairie de Mussee.

Relief, géologie et hydrographie

La superficie de la commune est de près de 3 km2 (297 hectares), dont 22 hectares en prés, 12 hectares en jardins et 37 hectares en bois et son altitude varie de 22 à 57 mètres.

Le terrain crétacé et le grès se montrent à l'Est de la commune.

Le ruisseau de l’Étang.

Climat

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelés rares et les étés ensoleillés.

Article détaillé : Climat du Maine-et-Loire.

Histoire

Formes anciennes du nom

Le nom du village à évolué dans l'Histoire, vers 1200-1264 Sarrigneium, puis vers 1320 Capella de Sarrigneio.

Préhistoire

Le Dr Gruet indique la découverte d'une hache en pierre polie.
Un terrassement effectué à l'emplacement de la salle des fêtes a permis de retrouver un souterrain aménagé médiéval ; la fouille a aussi conduit à la mise à jour de tombes gallo-romaines en pleine terre.

Féodalité

La terre, appartient primitivement aux Aménard, seigneurs de Daon, advint par le mariage de Jeanne A. à René de Fontaines, son fils, dont la fille Louise l'apporta, avec Bouillé-Ménard, Chivré et la Roche à Jacques de Bueil, 1468. En est seigneur René de Montortier, 1525, sieur de la Verrine, avocat à Angers, époux d'Antoinette Fleuriot, échevin d'Angers 1529; René de la Roussière, 1539-1553; Françoise de Montallais, veuve de Jean de Bueil, 1571; Anne de Bueil, femme de Jean d'Acigné, 1587-1618, veuve en 1621; Honorat d'Acigné 1626, comte de Grandbois dont l'épouse, Jeanne Jacqueline de Laval meurt le 5 juillet 1633; Gaspard de Daillon du Lude, baron de Briançon, évêque d'Albi, 1688; et les seigneurs de Briançon jusqu'à la Révolution; le dernier seigneur de Sarrigné fut Charles-François Lefebvre, marquis de l'Aubrière.

Le manoir, avec maison forte et pont-levis, joignait l'église et le chemin de Corné. Bail est consenti pour sept ans, le 24 octobre 1775, de "la maison nommée le Château", par le marquis de Laubrière à Jean Daburon, closier. Cette maison dite le Château, avec jardin, cour, fossés, 147 boisselées de terre et 6 quartiers de vigne sera lors de la Révolution mise sous séquestre national sur Charles Lefebvre, comte de Méral, fils du marquis de Laubrière. La mesure seigneuriale comptait le double de celle des Ponts-de-Cé.

La Révolution

L'assemblée électorale pour les États Généraux se tint le 8 mars 1789 devant Louis Thuau, syndic municipal. Le cahier de doléances est publié par Le Moy.
Le curé, Alexandre Beaufils, ne voulant pas avoir à prêter serment à la Constitution civile du clergé, démissionne et se retire à La Flèche. Son vicaire, Louis-Marie Bascher, refuse le serment ; il sera guillotiné à Angers le 3 novembre 1793.
Le temporel de la cure est vendu le 30 novembre 1791 à Ant. Chouteau et Jacq.-René Bougère d'Angers et la cure elle-même le 12 messidor an IV à Alexandre Beaufils, de La Flèche. Le presbytère fut acquis par l'ancien curé, Alexandre Beaufils, et revendu par lui à la Commune le 11 janvier 1823.
Le culte constitutionnel fut exercé par Jacques-Étienne-François Péteul du Boulay, installé le 28 décembre 1790, qui abdiqua toute fonction ecclésiastique le 21 ventôse an II mais reprit son poste et fut maintenu au Concordat.

XIXe siècle

Un différend opposa pendant une grande partie de l'année 1822 Bernard de Courtigis, maire de la Commune, des membres de son conseil d'une part, à M. Houdet, curé de la paroisse et des habitants, d'autre part. Cette querelle de personnes divisa la population de Sarrigné, et motiva la visite de l'évêque d'Angers qui trancha en faveur du desservant, et obtint la suspension, puis la révocation du maire par arrêté du ministre de l'Intérieur en date du 17 septembre 1822.

Période contemporaine

Électrification de la Commune en 1925.

Adduction d'eau potable en 1977.

Combat de certains habitants à travers une pétition pour obtenir l'ADSL, qui arrivera finalement le 7 octobre 2005 dans la Commune.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792,germinal an II Louis Thuau   Syndic de la municipalité,1788-1789
1792,germinal an II an IV,an VI Pierre Danjou    
an IV,an VI an VI,an VIII Pierre Busson   agent municipal
an VI,an VIII 10 messidor an VIII Pierre Hamelin   Agent municipal
10 messidor an VIII 15 avril 1820 Pierre Busson    
15 avril 1820 13 novembre 1831 Charles Alex. Bénard de Courtigis   Révoqué de ses fonctions par arrêté du ministre de l'Intérieur en date du 17 septembre 1822
13 novembre 1831 septembre 1843 Sulpice Caillault    
septembre 1843 14 février 1856 René Mahon    
14 février 1856 1868 Pierre Guépin    
1868 15 mai 1892 Pierre Colas    
15 mai 1892 19 mai 1912 Joseph Bescher    
19 mai 1912 25 mai 1925 Florent Dibon    
25 mai 1925 1935 Pierre Gautreau    
1935 1945 Georges Potier    
1945 1947 Gustave Logerais    
1947 1953 Ernest Saillant    
1953 1959 Georges Manceau    
1959 1965 Marcel Colin    
1965 1983 Marcel Grobois    
1983 1997 Joël Travais    
1997 2008 Michel Huet UMP  
2008   Catherine Pinon DVG  
Toutes les données ne sont pas encore connues.


La Commune adhère au S.I.V.M. de Brain-sur-l'Authion.

Le P.L.U. est géré par la Communauté d'Agglomération d'Angers Loire Métropole, dont Sarrigné fait partie.

Administration religieuse

Liste des curés successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1521 12 décembre 1544 Pierre Fradin   inhumé le 12 décembre 1544 dans l'église des Augustins d'Angers
12 décembre 1544 1567 Bruneau de Tartifume   donne son épitaphe
1567 1572 Jacques de Montortier   bachelier en droit canon
1572 1627 Guillaume Fradin    
1627 1629 René Chasteau    
1629 1630 Jean Esperon    
1630 1667 Jean Collebault    
1667 1685 Toussaint Dreux    
1685 1692 René Bouerre (ou Bohaire)   guéri de paralysie par l'intervention de Notre-Dame de la Réaie
1692 14 mai 1709 Jean Desmazières    
14 mai 1709 12 juillet 1730 André Marchand   meurt âgé de 52 ans
7 août 1730 1777 Urbain Delamotte    
1777 décembre 1790 Alexandre-François Beaufils    
décembre 1790 18 décembre 1821 Jacques-Étienne-François Péteul du Boulay   ancien curé constitutionnel maintenu en 1802
16 janvier 1822 28 février 1823 Jacques Houdet    
1er janvier 1826 27 mars 1830 Marie-François Mercier    
août 1830 11 novembre 1833 Pierre Chevreul    
7 janvier 1834 21 février 1847 Augustin Grandière    
12 mars 1847 25 septembre 1849 Camille Dunoyer    
25 septembre 1849 6 septembre 1891 Frédéric Haudet    
6 septembre 1891 20 janvier 1895 Pierre Aubry    
20 janvier 1895 septembre 1901 Pierre Mortier    
septembre 1901 avril 1907 Gustave Bachelier    
décembre 1912 octobre 1915 Joseph Bellanger    
octobre 1915 juin 1917 Joseph Blouin    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Depuis cette date, la paroisse est desservie par le curé du Plessis-Grammoire.

Les registres paroissiaux commencent en 1621, à la mairie, et 1669 aux Archives Départementales de Maine-et-Loire.

Il existait une école de charité.

La paroisse dépendait de l'Archidiaconé d'Angers, de l'Archiprêtré d'Andard, de l’Élection, des Aides, du Grenier à sel et du District d'Angers, en 1787.

Population et société

Démographie

Population sous l'Ancien Régime
Sous l'Ancien Régime la population était exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants il faut appliquer un coefficient multiplicateur d'environ 5.

Évolution démographique
(Source : Célestin Port[2])
1688 1700 1713 1720 1725 1732 1764 1789
60 feux 63 feux 71 feux 104 feux 52 feux 69 feux 72 feux 68 feux

Population depuis 1793
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Sarrigné depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 1793 avec 851 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 851 250 281 310 323 352 352 305 330
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 292 300 293 301 292 262 269 263 279
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 260 246 239 208 192 181 197 182 205
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2008 -
Population 229 232 213 481 635 743 810 817 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[3], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[4],[5]

Vie locale

Plusieurs sections sportives existent concernant le tennis de table, la boule de fort (cercle créé en 1901) et la gymnastique. La commune compte des terrains de sports, notamment pour le football (Stade Marcel Lesourd).
Il y a aussi deux sections théâtrales, une adulte et une enfant, et une bibliothèque communale. La bibliothèque est desservie par la bibliothèque départementale de prêt. La commune possède également une salle commune de loisirs, "Salle Michel Berger", inaugurée le 14 mars 1987.

Plusieurs manifestations ont lieu dans l'année comme "Les foulées de Sarrigné", course à pied de 10 km créée en 2001, qui attire un nombre croissant de participants de la région (400 coureurs adultes et 120 enfants en 2005). La Fête communale avait lieu lors de la Saint-Jean.

Sur la place principale du village on trouve une aire de pique-nique.

La présence d'une station d'épuration par Lagunage est à noter. On trouve également deux équipements pour le tri des ordures ménagères (TOM).


Enseignement
En 1819, une institutrice apprend à lire et à écrire aux jeunes filles. En 1821, la Commune a une école et la jeune femme qui est à sa tête est interdite, pour cause d'immoralité et d'incapacité, d'enseignement sans autorisation de l'Académie. En 1857, les sœurs de Sainte-Marie-la-Forêt ouvrent une école de filles.
Une maison avec dépendances, sise au bourg de Sarrigné, avait été acquise par les époux Normand-Busson pour servir à la tenue d'une école primaire de garçons et au logement de l'instituteur (16 juin 1842).
L'ancien bâtiment menaçant ruines, une école communale de garçons fut aménagés dans le même bâtiment que la mairie. Les travaux de construction furent adjugés le 29 février 1880 (architecte Beignet).

En 1952, la Commune possédait une école publique mixte à une classe. Après accord des autorités diocésaines, la municipalité décida d'aménager une seconde classe dans un local vacant de la cure (adjudication des travaux le 11 janvier 1953). Aux deux classes primaires existantes en 1975, on y adjoignit une troisième classe en 1981. L'école maternelle avec garderie date de 1980.

Aujourd'hui l'école publique se nomme "Le Cèdre Bleu". 124 élèves y sont scolarisés dans 5 classes. Les locaux de l'école ont été totalement rénovés en 2000 et 2001.

Économie

À trois lieues d'Angers, terres maigres et sablonneuses, pays de tuffes, mauvais fonds, 1/3 en terres à seigle, avoines et blé noir; quelques froment, orge, lin et chanvres; 1/3 en vignes de peu de valeur; il y a des arbres fruitiers surtout des noyers; ni prés ni pâtures; 1/3 en bois et landes et terres incultes; vendent à Angers fruits et denrées.

Une Commune rurale dépourvue d'industrie dont les actifs vont travailler, dans leur très grande majorité, à l'extérieur de la Commune, notamment à Angers et dans la Z.I. de Saint-Barthélémy-d'Anjou.

Professions représentées dans le village vers 1888 : Hongreurs (2), cabaretiers (4), charron (1), cordonnier (1), épiciers et tissus (3), forgerons (2), messager (1), meuniers (2), sabotier (1), propriétaires-cultivateurs (3), fermiers (6), etc.

En 1993, on recensait 3 exploitations qui pratiquaient la polyculture et l'élevage des bovins. Aujourd'hui, au niveau de l'agriculture, on compte à Sarrigné, un exploitant, mais de taille importante.

Un commerce, Le Relais de Sarrigné, fait fonction de supérette, tabac, Poste, Boulangerie, bar et presse (Courrier de l'Ouest et Ouest-France). Il diffuse aussi, des événements sportifs sur écran plat.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

Outre un logis seigneurial ayant servi de cure au siècle dernier, le bourg comprend plusieurs maisons du XVIIIe siècle.
Les maisons anciennes sont construites avec le tuffeau qui constitue une partie du sous-sol de la commune, ainsi parcourut de nombreux souterrains et d'un ruisseau: l'Étang.

L'ancien cimetière avait été vendu aux enchères pour en employer le produits à l'acquisition d'un nouveau cimetière (décret impérial du 8 janvier 1810).
Le monument aux morts a été érigé dans le cimetière communal (délibération du conseil municipal en date du 22 février 1922). (Guerre 1914-1918 : 14 morts).

La mairie actuelle a été bâtie par adjudication en date du 29 février 1880, sous la direction de l'architecte Beignet. En 1991, les façades de la mairie ont été entièrement rénovées.
Précédemment, la mairie - avec l'école des garçons - était installée dans un immeuble des époux Normand-Busson, acquis par la Commune, le 16 juin 1842, moyennant 3000 F. Cet immeuble fut aliéné le 12 octobre 1879.

Église Notre-Dame : Datant du XIe siècle. Reconstruite en 1350, pour les besoins de la population. Elle conserve son chœur à chevet plat du XIIe s. La nef, de même style, a été reconstruite, ainsi que le clocher-porche sans flèche, par l'architecte Beignet en 1874. Elle ne comporte pas de transept.
L'église n'était jusqu'au XIVe siècle, qu'une simple chapelle, fondée de 4 messes par semaine à la présentation alternative de l'abbé de la Boissière et des curés d'Andard et de Bauné. A l'entour vivaient 120 étagers, forcés, pour les offices religieux et pour les baptêmes, mariages ou sépultures, de se rendre aux églises de Bauné ou d'Andard. A la demande des présentateurs et sous la réserve de leurs droits respectifs, l'évêque Hugues Odart érigea la chapelle en église paroissiale par ordonnance du 19 février 1321.
Le presbytère avait été acquis par la Commune de l'abbé Beaufils, ancien curé de la paroisse (autorisation royale en date du 29 mai 1822), le 11 janvier 1823, moyennant 5000 F. Les travaux d'appropriation furent adjugés le 2 mai 1824.
Il fut aliéné aux enchères publiques en 1908: l'immeuble étant vacant depuis mars 1907, à la suite du départ du desservant.

Personnalités liées à la commune

Notes et Références

  1. Insee, Populations légales 2008 de la commune de Sarrigné. Consulté le 14 mai 2011.
  2. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine et Loire, 1876
  3. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 14 mai 2011
  4. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 14 mai 2011
  5. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 14 mai 2011

Voir aussi

Liens externes



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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Sarrigné de Wikipédia en français (auteurs)

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