Sarcus

Sarcus

49° 41′ 11″ N 1° 52′ 18″ E / 49.6863888889, 1.87166666667

Sarcus
La Mairie école
La Mairie école
Administration
Pays France
Région Picardie
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Canton Grandvilliers
Code commune 60604
Code postal 60210
Maire
Mandat en cours
Xavier Boulnois
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie Verte
Démographie
Population 264 hab. (2007)
Densité 20 hab./km²
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 11″ Nord
       1° 52′ 18″ Est
/ 49.6863888889, 1.87166666667
Altitudes mini. 163 m — maxi. 214 m
Superficie 13,04 km2

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Sarcus est une commune française, située dans le département de l'Oise et la région Picardie.

Sommaire

Géographie

Sarcus est un village rural du plateau picard, canton de Grandvilliers, situé dans la partie nord-ouest de l'Oise, jouxtant le département de la Somme et desservi par l'ancienne route nationale 15bis. Il dépend de l'arrondissement de Beauvais, est à 34 km au nord du chef-lieu et à 13 km au sud-est d'Aumale.

Grande commune d'une superficie de 1304 hectares, soit 13 km2 et 4 ha, c'est un pays agricole, peu boisé. Un petit bocage (courtils, "cortis" en picard, et herbages) entoure les abords du village. Sarcus avait douze mares communales jusqu'en 1950. Seules deux ont été conservées : le Trou à Sable (Ch'Treu à Sabe), et la mare Manchonne (qui garde son nom picard). Les principaux bois, à l'est, sont le bois de Cerisois et le bois Liétaux. Au delà, la plaine domine, avec quelques bosquets, "boquets" ou "buquets" éparpillés. Le centre (la place, près de l'église) se trouve à 201 mètres au-dessus du niveau de la mer. C'est un plateau d'où part la vallée du ruisseau des Évoissons, "chés Voéssons". Cette vallée se dirige vers les communes d'Élencourt, Daméraucourt puis le département de la Somme.

La source de Sarcus est très intermittente. Elle ne coule que tous les dix ou douze ans. Elle a coulé pour la dernière fois en abondance au cours de l'hiver 2000-2001 et jusqu'au printemps 2001, inondant les routes, en partant du Fond de la Bucaille et Les Calais et passant par La Viéfville. D'après la tradition orale, à chaque fois que le ruisseau des Évoissons coule à Sarcus, il annonce des événements politiques graves en France ou dans le monde. Selon certains habitants, il semblerait que cela a été vérifié plusieurs fois[1].

Hameaux et écarts

Sarcus a plusieurs hameaux et écarts : La Basse-Bucaille, La Haute-Bucaille, La Chaussée ou "L'Keuchie" (en partie), Le hameau de Grasse, Haleine (en partie), Hayon, Le Moulin de Sarnois, Le Petit-Sarcus ou "Ch'Tiot-Sertchu", Le Moulin-Taillefer (inhabité aujourd'hui), La Viefville ou Viéville (cimetière), Le Wallon (se prononce "Oualon").

Toponymie

La toponymie est picarde mais elle a été francisée, surtout à partir du XIXe siècle. Pour Sarcus, on trouve écrites les variantes Sarchus, Sarquius aux XIIe et XIIIe siècles, Cercu en 1517, Sarcus-le-Grand au XVIIIe siècle. Le nom de la commune est Sertchu en picard. Il vient du bas-latin "sarcophagus", sarcophage, tombeau puis cercueil. Des sarcophages ont été trouvés au cimetière de La Viefville (prononcer Viéville). L'ancien village de Sarcus se trouvait autour de ce cimetière[2].

Histoire

Histoire des paysans et artisans

Au milieu du Moyen Âge, les paysans se regroupent autour du château fort en bois, à La Viefville. Le seigneur prélève sur les récoltes et l'élevage, mais il leur doit aide et assistance en cas d'attaque. À la fin du XIIe siècle, un nouveau château fort en pierre est construit à moins d'un kilomètre de la Viefville. Elle prend ce nom de "Vieille ville" à cette époque. Des chaumières en bois et torchis - matériaux utilisés jusqu'au début du XXe siècle - se construisent à proximité du nouveau château fort sur le plateau.

Dès la fin du Moyen Âge, et probablement avant, les paysans - hommes et femmes - exercent deux professions, l'une agricole, l'autre artisanale. L'hiver, pendant "chés courts-jours", ils peignent la laine, fabriquent des étoffes, préparent des serges, font des bas.

Au XVIIe siècle, ils travaillent à l'aiguille. Au XVIIIe siècle, ils ont des métiers à tisser. C'est cette deuxième profession de "serger" ou "tisserand" qu'ils déclarent au curé de la paroisse chargé d'écrire les actes officiels (baptême, mariage, décès). Une véritable industrie se pratique alors à Sarcus et dans tous les villages des environs. Elle est organisée en maîtrise et corps de métier en 1666 dans la région de Grandvilliers. Cette industrie se maintient à domicile, dans toutes les petites fermes, jusqu'au milieu du XIXe siècle. Des courtiers en tissus et grossistes achètent la production[3].

Histoire des quatre châteaux

Le centre de Sarcus se trouvait, à l'origine, à l'emplacement de La Viefville.

Le déplacement du village date très certainement de la fin du XIIe siècle, lorsque la motte féodale, fortification de bois construite le siècle précédent, entourée de murs en terre, a été abandonnée au profit d'un nouveau château fort en pierre, construit un peu plus loin sur le plateau[4]. On distingue toujours cette motte au-dessus de La Viefville. L'emplacement des murs en terre était encore visible dans les années 1950, dans l'herbage en contrebas, avant l'arasement du terrain transformé en terre de labour.

En même temps que le nouveau château fort de pierre sur le plateau, est construite l'église actuelle à proximité. Au cours des siècles, la paroisse s'étend - devient Sarcus-le-Grand - et les petites fermes s'étalent jusqu'à la Viefville. La dernière maison, face à La Viefville, est détruite au début du XXe siècle.

Le château est totalement transformé dans le goût de la Renaissance entre 1520 et 1525 par Jehan (ou Jean) de Sarcus (né vers 1478). Il avait combattu aux côtés de François Ier pendant les guerres d'Italie. Le château Renaissance a accueilli Louis XIII et Louis XIV. Malheureusement, ce superbe édifice est rasé en 1833-34 par son dernier propriétaire, le marquis de Grasse. La famille de Sarcus était partie s'installer au château de Bussy-Rabutin à la fin du XVIIIe siècle. Des vingt-deux arcades de la cour d'honneur du château de Sarcus, sept seront sauvées. Quatre se trouvent à Pouilly (Oise) et trois autres à Nogent-sur-Oise[5].

Le château du XIXe siècle, sur la place du village

Le château actuel a été construit au milieu du XIXe siècle par la famille Boulnois, devant les fondations de l'ancien château. Sarcus a donc connu quatre châteaux de styles différents en huit siècles ! Artisans et paysans, hobereaux et artistes oubliés ont contribué à cette longue histoire[6].

À la fin de la Première Guerre mondiale, le château actuel est la résidence du général Foch (du 7 avril au 5 juin 1918). Son état-major ne loge pas au château mais dans la propriété du Docteur Hémet, quelques centaines de mètres plus loin. "L'accord de Beauvais" a confié à Foch la direction stratégique des opérations sur le front occidental le 3 avril 1918[7].

Le picard et la tradition, vie culturelle

Le picard était la langue couramment parlée par les habitants de Sarcus jusque dans les années 1960.

Actuellement, des expressions ou tournures picardes sont encore employées dans la conversation en français, exemples : un tiot (un petit), chés herbages (les prés), du hour (du houx), un borne (une borne), un poute (une poutre), une noque (une gouttière), un boquillon (un bûcheron), un-ne badrèye ou badrée (une tarte, flan), roudrouiller (travailler en musardant), déwoigner (disjoindre), décraper (nettoyer), peut qu'manquer (de toutes façons), un-ne rude panche (un gros ventre), i nn'est ch'qu'i nn'est (c'est ainsi), nom dé zeu ! (juron), etc.

La tradition orale a transmis le blason populaire "Chés gueux glorieux d'Sertchu" (Les gueux glorieux de Sarcus), "glorieux" ayant le sens de "fier" en picard. Ce surnom (suplitchet) vient vraisemblablement du fait que Sarcus était une commune enviée par les habitants des paroisses voisines. Il y avait un château renommé, un notaire royal, un relais de poste et le pays était traversé par la route royale Beauvais / Saint-Valéry (ancienne voie romaine). Les paysans et artisans étaient actifs, la population importante (environ 900 habitants avant la Révolution).

Autre fait remarquable : le clocher de l'église, le plus haut de la région (42 mètres), se voit de très loin. Il a été construit en remplacement d'un autre plus petit, abattu en 1606 par une tempête. Sarcus avait une vie culturelle indépendante. Encore avant 1914, une chorale, en même temps petite troupe de théâtre, se produisait régulièrement. Dans les années 1920, les jeunes gens jouaient des opérettes réf[8].

Un gâteau traditionnel picard à Sarcus

Il existe un gâteau traditionnel picard. À l'origine, il n'est pas exclusif de Sarcus, mais sa recette s'est peut-être transmise là plus qu'ailleurs. On l'appelle "badrèye", "badrée", "tarte à l'badrèe" ou "flan à l'badrèe". C'est un flan qui était préparé avec uniquement les produits de la ferme à l'occasion des fêtes.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001   Xavier Boulnois SE Réélu pour le mandat 2008-2014[9]
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Sarcus compte 264 habitants (soit une stagnation par rapport à 1999). La commune occupe le 23 673e rang au niveau national, alors qu'elle était au 22 846e en 1999, et le 488e au niveau départemental sur 693 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Sarcus depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 1831 avec 790 habitants.

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 625 584 632 667 790 657 653 648 649
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 615 579 555 532 535 506 504 509 479
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 443 403 414 313 342 337 318 378 346
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 -
Population 351 274 272 200 212 262 258 264 -
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusqu'en 1962[10], base Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[11],[12]

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,3 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 51,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 27 %, 15 à 29 ans = 12,8 %, 30 à 44 ans = 18,4 %, 45 à 59 ans = 22,7 %, plus de 60 ans = 19,1 %) ;
  • 48,7 % de femmes (0 à 14 ans = 22,4 %, 15 à 29 ans = 12,7 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 14,9 %, plus de 60 ans = 26,1 %).
Pyramide des âges à Sarcus en 2007 en pourcentage[13]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,0 
90  ans ou +
0,7 
9,2 
75 à 89 ans
12,7 
9,9 
60 à 74 ans
12,7 
22,7 
45 à 59 ans
14,9 
18,4 
30 à 44 ans
23,9 
12,8 
15 à 29 ans
12,7 
27,0 
0 à 14 ans
22,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[14]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,2 
90  ans ou +
0,8 
4,5 
75 à 89 ans
7,1 
11,0 
60 à 74 ans
11,5 
21,1 
45 à 59 ans
20,7 
22,0 
30 à 44 ans
21,6 
20,0 
15 à 29 ans
18,5 
21,3 
0 à 14 ans
19,9 

Héraldique

Armes de Sarcus

Les armes de Sarcus se blasonnent ainsi :

De gueules au sautoir d’argent cantonné de quatre merlettes de même. Le blason se tient entre des tenants : deux anges, et il est surmonté d'une couronne de marquis. Il peut se voir complet au château de Bussy-Rabutin où les Sarcus se sont installés à la fin du XVIIIe siècle. Il apparaît également complet sur le fronton de la mairie-école de Sarcus[15].

Lieux et monuments

L'église Saint-Pierre et Saint-Paul
  • L'église Saint-Pierre et Saint-Paul, avec ses fonts baptismaux du XVIe siècle[16],
  • Notre-Dame de La Viefville.
  • La croix de La Viefville (XVIe siècle).
  • Les tombes des fusillés. Stèle du caporal Sylvestre Marchetti (inaugurée le 25 novembre 2010) et tombe du soldat Julien Lançon.
  • Le château et son jardin[17].
  • La mairie-école (inaugurée en 1910).
  • La fontaine Wanamaker.
  • La ferme manoir du Wallon, manoir du XVIIe siècle transformé en ferme aux XVIIIe et XIXe siècles[18].
  • La propriété dite "du Docteur Hémet" où logeait l'état-major de Foch en avril-mai 1918.
  • L'ancienne gare de Brombos-Sarcus. Située sur le territoire de Brombos, elle est à quatre kilomètres environ du centre de Sarcus. Elle est devenue une simple halte à la fin des années 1950. Elle était desservie jusque dans les années 2000 par deux paires d'omnibus quotidiens Beauvais-Abancourt ou Le Tréport, auxquelles s'ajoutait l'arrêt prestigieux (les jours de marché à Grandvilliers) de l'autorail direct Paris-Le Tréport. La halte a été supprimée sans aucun remplacement.

Les fusillés, oct. 1916, en ligne sur internet

  • L'histoire du caporal Sylvestre Marchetti et du soldat Julien Lançon et "Deux croix de bois à Sarcus"[19] ;
  • Cérémonies du 25 novembre 2010 à Sarcus et à Taglio-Isolaccio[20] ;
  • "Picardie - Fusillé pour l'exemple"[21].

Personnalités liées à la commune

La fontaine Wanamaker
  • Jean, seigneur de Sarcus (vers 1478 - 5 décembre 1537), capitaine-général des légionnaires de Picardie, conseiller du roi François Ier, défend en 1512 la ville de Thérouanne contre les Anglais, fait bâtir en 1523 le château de style Renaissance (Réf. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, 1840).
  • Baron Louis Jacques François Boulnois, Général du Premier Empire
  • Louis Maximilien Gellée, né à Sarcus en 1798, mort à Beauvais en 1854, prêtre philanthrope, "curé des pauvres" à Beauvais, candidat à la députation en 1848. La grande chapelle du cimetière de Beauvais a été édifiée par souscription publique, en 1856, pour lui servir de sépulture. Il est inhumé dans la crypte. Une rue de Beauvais porte son nom, côté portail nord de la cathédrale.
  • Rodman Wanamaker (1863-1928), homme d'affaires et philanthrope américain de Philadelphie, défenseur des Indiens, protecteur des arts, "citoyen honoraire et bienfaiteur de la commune de Sarcus", commandeur de la Légion d'honneur. Une rue du village porte son nom, ainsi qu'une fontaine érigée le 28 avril 1935, près de la mairie-école
    Il est notamment le donateur de cette mairie-école imposante, en brique et pierre avec fronton aux armes de Sarcus, inaugurée en 1910, et a financé l'adduction d'eau dans le village dans les années 1930. Il voulait ainsi honorer sa femme dont il était très amoureux, née Henry, et son beau-père originaire de Sarcus[22],[23].
  • François Beauvy, écrivain, lexicographe, né le 16 juin 1944 à Sarcus, auteur de romans, de nouvelles en picard et en français, d'essais littéraires et historiques, de dictionnaires, Docteur ès lettres de l'Université de Paris X - Nanterre. [24]
  • Christian Morel de Sarcus, écrivain français d'origine picarde né en 1962, qui a évoqué Sarcus dans un poème, "Brombos-Sarcus", du nom de la halte desservant le village sur la ligne S.N.C.F Paris-Le Tréport.

Notes et références

  1. François Beauvy, Dictionnaire picard des parlers et traditions du Beauvaisis, Amiens, Eklitra, 1990)
  2. Emile Lambert, Toponymie du département de l'Oise, Amiens, Musée de Picardie, 1963, p. 178
  3. Réf. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, 1840
  4. Bernard Petit, "Fouille de la motte féodale de Sarcus", dans Bulletin du GRECB n° 10 de 1988, p. 161-179
  5. Nogent-sur-Oise : Façade du château de Sarcus sur http://www.tourismecreil.fr. Consulté le 22 avril 2010
  6. François Beauvy, "Sarcus, ses châteaux et ses gueux glorieux", dans Le Bonhomme picard du 12 septembre 1991
  7. Maréchal Foch, Mémoires pour servir à l'histoire de la Guerre de 1914-1918, Paris, Lib. Plon, 1923, tome second, p. 38 et suivantes : "l'accord de Beauvais"
  8. François Beauvy, Pékavi, Grandvilliers et Amiens, Eklitra, 1985
  9. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
  10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 10 novembre 2010
  11. Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 10 novembre 2010
  12. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 10 novembre 2010
  13. Évolution et structure de la population à Sarcus en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 10 novembre 2010
  14. Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 10 novembre 2010
  15. Comte de Sarcus, "Généalogie de Sarcus depuis le 13e siècle", dans Notice historique et descriptive sur le château de Bussy-Rabutin, Dijon, imp. Tricault, 1854, p. 20-26)
  16. Fonts baptismaux (cuve baptismale à infusion) à Sarcus (60). sur http://www.patrimoine-de-france.org/, 1999. Consulté le 22 avril 2010
  17. Notice no IA60001484, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  18. Notice no PA00114986, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  19. article du Courrier picard du 11 Novembre 2003, page 40, cliquer le lien http://www.soldats-sarcus-francoisbeauvy.fr/index.html
  20. vidéos : http://corse.france3.fr/info/corse/retour-des-cendres-de-sylvestre-marchetti-en-corse-66083076.html
  21. France Soir du 26 novembre 2010, page 15, http://philippepeter.wordpress.com/2010/11/28/picardie-fusille-pour-lexemple/
  22. Réf. Archives départementales de l'Oise, série des dons et legs
  23. Arnaud Brasseur, « Sur les pas de Rodman Wanamaker en 1910 : Un siècle après son passage à Sarcus, la trace de Rodman Wanamaker est toujours visible dans le village », dans Le Bonhomme picard, 14 avril 2010, p. 9 .
  24. Dictionnaire des littératures française et étrangères, Paris, Ed. Larousse, 1985 et 1992, p. 1212.

Voir aussi

Bibliographie

  • A.-G. Houbigant, Notice sur le château de Sarcus tel qu'il devait être en 1550, Beauvais, dans Mémoires de la Société académique, tome IV, 1859, p. 158-220.
  • François Beauvy, Lexique picard de Sarcus, Grandvilliers et Amiens, imp. Sinet, collection Eklitra, 1981, 64 p.

On retrouve Sarcus dans d'autres ouvrages de François Beauvy. Certains sont indiqués ci-dessus dans les références.

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Sarcus de Wikipédia en français (auteurs)

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