- Nedroma
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Nédroma Ajouter une image
Administration Nom algérien ندرومة Pays Algérie Région Oranie Wilaya Tlemcen Daïra Nedroma Code ONS 1340 Code postal 13600 Préfixe tel. 043 Culture et démographie Population 32 498 hab. (2008[1]) Densité 2 321 hab./km2 Gentilé Nédromi(a) Géographie Coordonnées Altitude 650 m Superficie 14 km2 Localisation de la commune dans la wilaya de Tlemcen Nedroma ou Nadroma ( ندرومة en arabe) est une commune de la wilaya de Tlemcen en Algérie, située à proximité de la frontière marocaine, à environ 58 km au nord-ouest de Tlemcen.
Sommaire
Géographie
Situation
La ville de Nedroma est située au nord-ouest de la wilaya de Tlemcen. Elle est la capitale du massif des Trâra.
Relief et hydrographie
Nedroma est située à 650 m d’altitude, elle s’étale sur le versant nord du mont Fillaoucène, l’un des chainons de l’Atlas Tellien dans sa terminaison occidentale extrême.
Climat
Urbanisme
La ville a bien gardé son allure médiévale de cité d’Islam occidental avec au centre ouest, dominant de haut les maisons d’alentour, le minaret de la grande Mosquée. Une petite place « tarbia ou rectangle » ( التربيعة en arabe) autour de laquelle s’ouvrent un vieux bain maure, annexe de la mosquée, et les souks, dont les rues étroites aboutissent là - donne un peu d’air à cet édifice religieux et à ce quartier central qui a pris, lui aussi, le nom de la tarbia : « quartier de la tarbia ». D’autres mosquées plus petites et d’autres oratoires se trouvent dans les divers quartiers de la ville ; mais on ne les distingue guère des autres maisons, parce qu’elles n’ont pas de minaret ou seulement un minaret peu élevé, dominant à peine la mosquée. La principale de ces mosquées de quartier est le Djamâa Al Qaddarin, « la Mosquée des Potiers » qui serait selon les habitants, la plus ancienne Mosquée de Nédroma.
Le Djamâa Al Qaddarin est un oratoire, avec la Grande Mosquée où se fait la khotba du Vendredi ; elle se trouve dans le quartier des Béni Zid, au sud-est de la ville. Dans le quartier de Ras-ejjmâa, au sud-ouest, sont les oratoires de Sidi Bou Ali et de Lalla Alya ; ceux de Djamâa Al Haddadin, « Mosquée des forgerons », Djamâa Arraiya, Djamâa Sidi Syad, sont dans le quartier de Derbe essoq, qui se trouve au nord de la Grande Mosquée et de la ville.
Localités de la commune
En 1984, la commune de Nedroma est constituée à partir des localités suivantes[2] :
- Nedroma
- Khoriba
- Zaouiet El Yagoubi
- Djebabra
- Kaïba
- Dar Benfarès
- Ouled Daoud
- Sidi Daoud
- Ouled M'Hammed
- Stor
- Ouled Benhmiti
- Moulay Ahmed
- Ouled Ichou
- Mellala
- Alkehala
- Ouled Meftah
- Dar Benzerga
- El Assa
- Aïn Zebda
- Sidi Bouhadja
- Erouta
- Ouled Berahou
Histoire
Préhistoire
La proche région de Nédroma a été habitée à l’époque néolithique[3], ce dont témoigne la découverte en 1875 par G. Bleicher de haches polies dans les grottes de Boudghène.
Période des dynasties islamiques
Neroma est bâtie sur le revers de djebel Filaoussene par le fondateur de la dynastie almohade Abdelmoumen Ben Ali en 1150 sur les ruines d’une cité berbère[4].
Les princes héritiers de la dynastie zianide résidaient à Nedroma. Elle était un objet de conflit entre zianides et mérinides. La ville changeait d'alliance au gré de ses intérêts.
Nedroma a accueilli de nombreux immigrants andalous chassés par la reconquista. Elle était un important centre de textile au XVIe siècle [4].Aucune garnison ottomane n'était installée à Nedroma, l'autorité centrale se limitait à la récolte de l'impôt.
Monographie de la ville
L'influence andalouse commença au XIIe siècle, lorsque la Reconquête de la péninsule Ibérique débuta et la puissance almohade commença à décliner, suite à la bataille de Las Navas de Tolosa. La Reconquête achevée en 1492 par Isabelle la Catholique, fit refluer les Andalous sur l'Afrique du Nord, lesquels sont à l'origine de ces communautés andalouses, ainsi que leur savoir, art musical et poétique. Parmi eux, certains ont gardé les clés de leurs maisons abandonnées en Al-Andalus. Nedroma eut divers échanges avec l'Espagne musulmane et lui apporta aide militaire contre la Reconquista Chrétienne au travers des armées Almohades.
L'influence andalouse est aussi due à la deuxième vague de réfugiés Morisques venus d'Espagne, suite au décret d'expulsion des Morisques promulgué le 22 septembre 1609. Elle est parmi les rares cités qui ont su garder l'héritage andalous, comme en atteste cette chronique[5] de Guillermo Rittwagen, philologue hispano-arabe et célèbre critique Espagnol du début du XXe siècle:
« En el camino de Nemours a Marnia, a los mismos pies de los montes Filhausen, se levanta la ciudad desde donde envío estas líneas y que, no obstante ser argelina, conserva como ninguna su carácter morisco y es la verdadera metrópoli de los árabes andaluces expulsados de España. Había leído que muchas familias de Nedroma conservan aún las antiquísimas llaves de las casas y los títulos de las propiedades de sus antepasados en España, y que conservan porque tienen la esperanza de volver…Aquí he visto una llave antigua de la morada que los antepasados de la familia Hamed Belhad, de Córdoba, tuvieron cerca de Oued-El-Kevir [Guadalquivir). También he visto escrituras de adules [notarios árabes, y hasta descripciones minuciosas de terrenos donde los avariciosos moros habían guardado sus tesoros. Si, como es de creer, son auténticos todos estos documentos… »
— Guillermo Rittwagen, Article « Los árabes andaluces », chronique du 15 de mars 1905, parue dans El Español
. Traduction en français: « Sur le chemin de Nemours à Maghnia, aux pieds mêmes du mont Fillaoucène, se lève la cité d'où j'envoie ces lignes, et qui bien qu'elle soit algérienne, conserve son caractère morisque comme aucune et est la vraie métropole des Arabes andalous expulsés d'Espagne. J'avais lu que beaucoup de familles de Nedroma conservent encore les très anciennes clefs et les titres des propriétés de leurs ancêtres en Espagne, et qu'elles les conservent parce qu'elles ont l'espérance d'y retourner… Ici j'ai vu une clef ancienne de la maison que les aïeuls de la famille Hamed Belhad, de Cordoue, ont eue près de Oued-El-Kebir [ Guadalquivir. J'ai aussi vu des écritures de cadis [des notaires arabes, et jusqu'aux descriptions minutieuses de terrains où les morisques avaricieux avaient gardé leurs trésors. Si, comment ne pas croire, que tous ces documents sont authentiques… »
D'après Gilbet Grandguillaume[6]:
« Les merveilleuses médina du Maghreb, tout éclatantes de blancheur au soleil méditerranéen, étaient-elles simplement des reines de beauté, douées du pouvoir magique de rendre leur fils les plus intelligents, leurs filles les plus ravissantes, leurs vieillards les plus sages, et leurs murailles invulnérables aux assauts du temps. Leur secret n’était-il pas surtout qu’elles avaient reçu le pouvoir d’écrire et de nommer, de décider qui est noble, qui est pieux, qui est savant, et de voir ce pouvoir reconnu de tous ? Nédroma fut l’une d’entre elles et elle en conserva longtemps la marque dans son architecture, son langage, sa musique, ses traditions. Mais la dispersion de ses fils en Algérie et de par le monde montre qu’elle sut aller de l’avant. En 2002, il est frappant de constater combien l’Algérie nouvelle aurait gagné à s’inspirer de ce modèle. Ses enfants fréquentaient l’école française, mais ils allaient aussi apprendre l’arabe à la mosquée. Ainsi enracinés dans une solide tradition, ils n’eurent aucun complexe à prendre leur place dans un univers différent. Assez sûrs d’eux-mêmes pour échanger, assez rassurés sur leur personnalité pour la confronter à d’autres. Propulsée hors de ses enceintes, la vieille médina déteindrait-elle encore aujourd’hui le secret d’une identité algérienne ? »
Toponymie
L’origine du nom donné de la ville vient de l’étymologie Ned-Roma : semblable à Rome évoquée par Léon l’Africain. Selon une autre étymolohie, le nom viendrait de «Nadrou el ma» de l’arabe dialectale "نضروا الما " signifiant "regardez l'eau. Nédroma fut d’abord le nom d’une tribu, fraction de la famille de Koumya, de la souche des Béni Fâten. Au XIIe siècle le géographe Al Bakri donne une brève description de la ville de Nédroma, il l’a qualifie de « madina » (ville) et non de simple « Qarya » (village). Au temps d’Al Idrissi, au XIIe siècle, Nédroma est une ville florissante, entourée de murailles et son marché est important.
Économie
Tourisme
Nedroma dénombre plusieurs sites naturels et historiques tels que:
- La Grande mosquée de Nedroma, construite par les almoravides .
- Le site de Sidna Youcha[Quoi ?], à 12 km au nord de la ville.
Vie quotidienne
Le parler
Le parler de Nédroma est le nedromi.
Culture
Nedroma est parmi les villes en Algérie qui ont bien su maintenir les coutumes, les fêtes religieuses, et en général toutes les cérémonies publiques et privées dans leur cadre ancien, avec tout le pittoresque et la poésie qui se rattachent à la culture musulmane.
l'architecture à Nedroma est basée sur des matériaux humbles comme l’argile, la brique nue ou le stuc, et de la céramique artistique, Les structures sont masquées, entourées par une décoration abstraite, répétant à l’infini un motif géométrique ou végétal. Aussi, l’arabesque, décoration fondée sur un entrelacs de motifs végétaux stylisés. La calligraphie, considérée comme l’art par excellence, est souvent utilisée dans la décoration.
Plusieurs monuments[Lesquels ?] font référence en matière d'architecture hispano-mauresque.
Musique
Articles détaillés : Musique arabo-andalouse et Allaoui.Les genres musicaux les plus répandus à Nedroma sont le gharnati et le hawzi.
L'allaoui est également l'une des musiques ancestrales de Nedroma et sa région.
Sports
- ASBN : Amel Sarea Baladiate Nedroma
- Association Sportive de Nédroma
Jumelages
Patrimoine
Personnalités liées à la commune
Personnalités originaires de Nédroma- Sidi Benamar at trari fondateur de la Zaouïa qui porte son nom et maître du cheikh Kaddour Benachour Zerhouni
- Hamza Ben Rahal Cadi et prevot de la ville sous l'émir Abd el-Kader. Il est l'auteur d'un ouvrage sur l'histoire de Nedroma qui a été traduit par son fils Mhamed Benrahal, mais demeure , à ce jour, introuvable dans les deux langues, en Algérie.
- Mohamed Remaoun (1833-1919), mystique, poète et musicien.
- Kaddour Ben Achour Zerhouni (1850-1938), poète, musicien et mystique renommé ainsi qu'en témoigne le contenu de son diwan et l'attachement à ce jour de nombreux disciples à son enseignement spirituel.
- Mohamed Nekkache (1856-1942), premier médecin algérien. A soutenu sa thèse en 1880 à Paris.
- Mhamed Ben Rahal (1857-1928), premier bachelier algérien. Il a consacré sa grande culture et sa notoriété à défendre par la parole et l'écrit les droits civiques , politiques et culturels des Algériens auprès des plus hautes instances de la France.
- Mohammed El Bouanani, artisan dévoué de la renaissance de l'enseignement de la langue arabe à Nedroma en dépit des conditions difficiles prévalant sous l'occupation coloniale. L'Algérie lui doit la maîtrise de la langue arabe par ses très nombreux cadres qui ont eu à être ses élèves.
- Abdelaziz Bouteflika (1937°), ancien moudjahid et homme politique, il exerce les fonctions de président de la République algérienne démocratique et populaire depuis 1999.
- Abdellatif Rahal, ancien membre émérite du corps enseignant et homme politique. Il a été le premier ambassadeur accrédité par l'Algérie indépendante auprès d'un pays étranger et premier ambassadeur d'Algérie en France. Après avoir occupé plusieurs postes ministériels.
- Sid Ahmed Ghozali (1937°), ingénieur et homme politique . Il a occupé le poste de Premier Ministre de la République algérienne démocratique et populaire.
- Mohammed Benamar Zerhouni, homme politique et défenseur agissant de la langue arabe et du patrimoine poétique populaire. Il a été Ministre de la communication (1994-1995) et occupe, depuis 1999, le poste de Conseiller auprès du président Abdelaziz Bouteflika.
- Tahar Zerhouni ,après une riche carrière dans le secteur de l'éducation nationale, a occupé le poste de Secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Education Nationale.
- Yazid Zerhouni (1937°), homme politique algérien. Après avoir dirigé les services secrets algériens et occupé de nombreux postes d'ambassadeur, il est , depuis 2002, Ministre d'État , Ministre de l'intérieur et des collectivités locales.
- Elias Zerhouni (1951°), a été directeur du National Institutes of Health de 2002 à 2008
- Si Driss Benrahal, un des artisans des beaux jours de la musique arabo-andalouse à Nedroma.
- Mohammed Ramdani, Chef d'orchestre de musique arabo-andalouse.
- Miloud Taleb, Chef d'horchestre de musique arabo-andalouse.
- El Hadj Mohamed El Ghaffour (1930°), maître du hawzi et du gharnati, il fut un élève de Si Driss Benrahal.
Notes et références
- Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de Tlemcen, sur le site de l'ONS. [PDF]
- Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret n° 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya de Tlemcen, page 1500.
- Emile Janier,Regards sur le passé, Richesses de France n°18, Ed. Delmas, Bordeaux 1954
- Nedroma et les Trara,UNESCO
- http://www.alyamiah.com/cema/modules.php?name=News&file=print&sid=499
- http://grandguillaume.free.fr/liv_fr/index.htm
Voir aussi
Articles connexes
Lien externe
- (fr) Nedroma et les Trara
Bibliographie
Bibliographie sur Nédroma- Claude Maurice Robert, Nédroma Berceau de l’Empire Almohade[réf. incomplète]
- L’Algérie aujourd’hui, Volume 46, Jean Hureau, Publié par Éditions Jeune Afrique, 1974
- Albert Bensoussan, Classiques pour demain, Elisabeth Schousboë, Editions L’Harmattan, 1991
- Essai de bibliographie sélective et annotée sur l’islam maghrébin contemporain, Pessah Shinar, Centre de recherches et d’études sur les sociétés méditerranéennes, Éditions du Centre national de la recherche scientifique (Université du Michigan), 1983, p 351
- Gilbert Grandguillaume, L’évolution d’une médina. Brill, Leiden, 1976. Réédition Mémoire de la Méditerranée, 2003
- BEL, Alfred. Nédroma, métropole musulmane des Trara. Alger, 1934. (Bulletin de la Société de Géographie d'Alger et de l'Afrique du Nord, N° 140)
- Bel, Alfred, NEDROMA
- Bel, Alfred, Le Travail de la laine à Tlemcen. (Nédroma), 1913
- Boutemène, Yahia, La Zaouïa des Ouled Sidi Benamar près de Nédroma. Tlemcen, La Koutoubia, 1950
- Mohammed Bénamar, Djebbari, La vie culturelle Religieuse et politique à Nédroma a la fin de la période coloniale (1918-1954). Conférence, à Nédroma 1987
- BOUTEMENE, Yahia. La Zaouia des Ouled Sidi Benamar près de Nédroma
- Géniaux, Charles, Nédroma. Revue des Deux- Mondes, 1°Février 1922
- Canal, Joseph, Monographie de l'arrondissement de Tlemcen. NEDROMA et les Traras.1886, 1887, 1888, 1889, 1890, 1891,1892.
- Grand guillaume, Gilbert, Un aspect du bilinguisme à Nédroma (Algérie). Revue Tunisienne des Sciences Sociales, N°:26 (sept. 1971), p. 163-175
- BASSET, René. Nédromah et les Traras. Paris, Leroux, 1901.
- Grand guillaume, Gilbert, L'évolution des contacts culturels dans une Médina de l'ouest Algérien : Nédroma .Actes du premier congrès des cultures Méditerranéennes d'influence Arabo-Berbère
- Richesses de France, Tlemcen et sa région, Ed. Delmas, Bordeaux 1954
- JANIER, Emile. Industries indigènes de la région des Trara. Revue Africaine, 1944
- JANIER, Emile. Inscriptions arabes de Nédroma. Oran, L. Foulque, 1947. LEON L'AFRICAIN. Description de l'Afrique. Ed. Schaeffer, Paris, 1898
- DIDELON, Gaston. Monographie économique de la commune mixte de Nédroma
- Georges Marçais, Les villes d'art célèbres, Tlemcen, Ed. du Tell, Réédition de l'ouvrage paru en 1950 à la Librairie Renouard, H Laurens à Paris, Blida 2003
- LLABADOR, Francis. Nemours et son avenir commercial. Oran, Imp. Bagnoules, 1909
- ROHRBACHER, Julien. Monographie de Nédroma. Inédit. Bibl. du CHEAM, Paris, 1938
- MARÇAIS,Georges. La chaire de la grande mosquée de Nédroma. in Cinquante¬naire de la Faculté des Lettres d'Alger. Revue Africaine, 1932, p. 321-331
- MARCAIS,William. Le dialecte arabe parlé à Tlemcen. Paris, Leroux, 1902. MAUPRIX (de), M. Six mois chez les Traras. Paris, Le Tour du Monde, 1889
- PRENANT-THUMELIN, Marie-Anne. Nédroma 1954. Alger, 1967. Annales Algé¬riennes de Géographie, N° 4, 1967, p. 21-64
- SARI, Djilali. L'évolution récente de trois villes pré-coloniales : Mazouna, Nédroma, Al-Kalaa. Thèse inédite. Institut de Géographie, Alger, 1969
- SARI, Djilali. L'évolution récente d'une ville pré-coloniale en Algérie occidentale Nédroma. Tunis, 1968. Revue Tunisienne de Sciences Sociales N° 15, 1968, p.217 à 236
- SARI, Djilali. Nédroma 1966. Alger, 1967. Annales Algériennes de Géographie, N° 4, 1967, p. 64-71
- VIALATTE DE PEMILLE, Jean. L'émigration des Nédromis en France. Inédit. Bibliothèque du CHEAM, Paris (étude portant sur les années 1945-1950).DJEBBARI Mohammed Bénamar ,un parcours rude mais bien rempli(ANEP,OPU)
- Marçais, Georges, La chaire de la grande mosquée de Nédroma. In Cinquantenaire de la Faculté des Lettres d'Alger. Revue Africaine, 1932, p.321-331
- Prenant-Thumelin, Marie-Anne, Nédroma 1954. Alger, Annales Algériennes de Géographie, N°: 4, 1967, p.21 - 64
- Rachid, Bourouiba, Les inscriptions commémoratives des mosquées en Algérie. Thèse 3° cycle, Publications de la Bibliothèque Nationale. Alger, SNED 1979
- Rachid, Bourouiba, L'Architecture Militaire de l'Algérie Médiévale. Alger, SNED 1983
- Djilali, Sari, Les villes précoloniales de l'Algérie Occidentale.Nédroma, Mazouna, Kalàa. Alger. SNED 1960
- Agha Si Hamza Ben Rahal, Histoire de Nédroma. (Traduite par son fils Si M'Hamed Ben Rahal en 1857)
- Abdelouaheb, Serdoun, Nédroma: Les mutations récentes d'une ville précoloniale de l'extrême nord ouest Algérien. Mémoire de fin d'études 1981/1982
- Noreddine, Malki, Nédroma et sa région Au XVI Siècle (16 ème) conférence, à Nédroma 1987
- Denis, Grandet, Architecture et urbanisme Islamiques. 1988
- Actes de la table ronde organisée par le CRIDSH en Décembre 1983. Sur NEDROMA
- Abdelkader, Djeghloul, Huit études sur L'Algérie. Alger, SNED, 1986
- Anissa, Barkat (née Derrar), Guerre de libération Nationale (région Nédroma) 1977
- Mohammed, Ben Rahal, (de Nédroma) Contribution au recueil des Monnaies (Almohades), Bulletin de la S.G.A. Oran tome VIII 1888, pages 241
- Mohammed, Ben Rahal, (de Nédroma) A travers des Béni Snassen. Oran 1889
- Le sous-Filaoucen Revue scolaire mensuelle, n°:04, première année Ecole de Garçons, Nédroma ,1949
- Azzeddine Midoun, Nédroma: Résumé Chronologique. Nédroma, 1987
- Amar Dhina, Grandes Figures de L'ISLAM: Abd Al mumin Ibn Ali Le plus grand Qalife Maghrébin. 1986
- Claude Maurice Robert, Nédroma Berceau de l'Empire Almohade
- Anciens plans de la ville de Nédroma (Ancienne Ville), 16 novembre 1883, 8 avril 1888, 1890,…
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