- Modern style
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Art nouveau
L'Art nouveau est un mouvement artistique de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, également appelé selon les pays : Tiffany (d'après Louis Comfort Tiffany aux États-Unis), Jugendstil (en Allemagne), Sezessionstil (en Autriche), Nieuwe Kunst (aux Pays-Bas), Stile Liberty (en Italie), Modernismo (en Espagne), Style sapin (en Suisse), Style Moderne (en Russie), ou Modern Style (en Grande-Bretagne), bien que la plupart de ces styles se différencient légèrement les uns des autres. En France, l'Art nouveau était également appelé par ses détracteurs le style nouille en raison des formes en arabesques caractéristiques, ou encore le style métro, à cause des bouches de métro parisiennes réalisées en 1900 par Hector Guimard.
Sommaire
Débuts
Les fondements théoriques de l'Art nouveau apparaissent en Grande-Bretagne, avec l'émergence de la mouvance Arts & Crafts et les thèses de William Morris, John Ruskin. Ennemis des dérives de l'industrialisation et de l'assèchement créatif qu'elle entraîne, ils prônent un retour à l'esprit des guildes médiévales, à l'étude du motif naturel, à l'emploi de formes épurées : la régénération de la société ne se fera que par la vérité des formes qui l'entourent et dont elle use.
En France, le propos est plus ou moins moraliste et plus rationnel : Eugène Viollet-le-Duc ne rejette pas le matériau moderne (le fer notamment), mais veut au contraire l'afficher en lui donnant une fonction ornementale et esthétique, à la manière des structures gothiques du Moyen Âge. Paradoxalement connu comme le chef de file du mouvement Néo-gothique, Viollet-le-Duc sera l'inspirateur de nombreux architectes de l'Art nouveau. Certaines de ses œuvres, notamment ses fresques peintes au château de Roquetaillade (1850), sont de parfaits exemples du lien de filiation entre le mouvement Néogothique et l'Art nouveau.
C'est ainsi qu'en 1893 est érigé à Bruxelles, par Victor Horta, l'hôtel Tassel, considéré comme le tout premier édifice Art nouveau, où la fluidité des espaces fait écho aux courbes végétales qui investissent ferronneries, mosaïques, fresques et vitraux – éléments tant structures qu'ornements, dans la plus parfaite ligne d'Eugène Viollet-le-Duc.
L'expression « Art nouveau » est employée pour la première fois par Edmond Picard en 1894 dans la revue belge L'Art moderne pour qualifier la production artistique d'Henry van de Velde. Elle passe en France, lorsque, le 26 décembre 1895, elle devient l'enseigne de la galerie d'art de Siegfried Bing, sise 22, rue de Provence à Paris. Y exposent de grands noms des mouvances symbolistes et Art nouveau : outre van de Velde, citons Munch, Rodin, Tiffany ou encore Toulouse-Lautrec. Empruntant une voie plus solitaire, Hector Guimard fait figure de génie prolifique et isolé, créant son propre univers, le « style Guimard ».
Mais c'est Nancy qui va se constituer le plus bel ensemble d'Art nouveau français, lorsque, ne souhaitant pas rester sous administration allemande après l'annexion de l'Alsace et de la Moselle en 1870, beaucoup de Lorrains-annexés passent en Lorraine française. L'Art nouveau y devient le moyen d'expression d'un régionalisme revendiqué. Émile Gallé, Daum Frères, Jacques Grüber et bien d'autres, donnent une assise au mouvement en créant l'École de Nancy.
Ces créateurs authentiques sont vite rattrapés par le succès d'une mode dont ils sont (involontairement) les inspirateurs, et qui triomphe à l'Exposition universelle de Paris en 1900, notamment dans une bimbeloterie envahissante (dénoncée par Bing et van de Velde) qui ternira pendant longtemps la mémoire de l'Art nouveau.
Objectifs
L'Art nouveau est le fait d'une génération d'artistes qui sortent de leur tour d'ivoire pour prendre en main le décor de la vie et couper avec l'exploitation des styles du passé afin de proposer une alternative à un historicisme officiel qui empêche le renouveau des formes.
C'est dans cette optique que les anciens matériaux comme le bois, la pierre ont été élégamment mariés avec les nouveaux comme l'acier, le verre. Pour chacun d'eux, des artistes ont poussé leurs recherches à l'extrême pour en tirer le meilleur. C'est ainsi que les pâtes de verres multicouches, les rampes d'escalier à entrelacs de ferronneries, les meubles aux ondulations de bois ont permis de mettre l'art à disposition de tous pour un coût abordable tout en gardant une volonté d'innovation formelle, inspirée de la nature. Cet art est tout de même lié à de nombreux mécènes et se propage dans un milieu élitiste bourgeois.
En effet, les motifs habituellement représentés sont des fleurs, des plantes, des arbres, des insectes ou des animaux, ce qui permettait non seulement de faire entrer le beau dans les habitations mais aussi de faire prendre conscience de l'esthétique dans la nature.
L'utilisation de l'acier a aussi permis l'évolution architecturale des immeubles de plus en plus hauts pour réaliser enfin des gratte-ciel.
L'art nouveau inspire bien sûr l'architecture de nombreux immeubles parisiens mais surtout celle, parfois très soignée, de nombreuses villas anciennes en meulière, construites pour la plupart au début du XXe siècle et que l'on peut découvrir lors de balades en banlieue parisienne, notamment dans les villes de banlieue du Val de Marne, de l'Essonne et de Seine saint Denis. Elles se caractérisent par leurs audaces en fer forgé, leurs décors de briques et de faïence, leurs pignons et parfois leurs petites tours. C'est dans ces banlieues que des architectes français expérimentent de nouveaux matériaux et de nouveaux styles inaugurant l'Art nouveau qui, par opposition à l'académisme, se veut total.
Avant même la Première Guerre mondiale, l'Art nouveau évolue vers un style plus géométrique, caractéristique du mouvement artistique qui prendra la relève : l'Art déco (1920-1940).
Mobilier
La conception du meuble de l'Art nouveau fit revivre l'artisanat : il est le style du concepteur individuel, remettant en son centre le travail de l'artiste et éloignant celui de la machine. L'innovation majeure dans le domaine de la décoration intérieure se situe dans la recherche d’unité. Toutefois, le style n’échappe pas à certains parallèles avec la tradition, en particulier gothique, rococo et baroque ; le gothique servit ainsi de modèle théorique, le rococo d’exemple dans l’application de l’asymétrie et le baroque de source d’inspiration en matière de conception plastique des formes. De son côté, l’art coloré du Japon, par son traitement hautement linéaire des volumes, contribua également massivement à l’émancipation de l’Art nouveau de l’asservissement à la symétrie des ordres grecs.
Le bois prenait des formes étranges et le métal, à l’imitation des entrelacements fluides de la nature, devint tortueux. En effet, en fin compte, le style est très largement basé sur l’observation de la nature, non seulement en ce qui concerne l’ornement mais aussi d’un point de vue structurel. Des lignes vitales, sensuelles et ondoyantes, irriguent la structure et en prennent possession. Chaises et tables semblent être modelées dans une matière à la mollesse caractéristique. Partout où cela est possible, la ligne droite est bannie et les divisions structurelles sont cachées au bénéfice de la ligne continue et du mouvement. Les plus belles réussites de l’Art nouveau, au rythme linéaire marqué, relèvent clairement d’une harmonie qui les rapproche de l’ébénisterie du XVIIIe siècle.
En France, l’Art nouveau se déclina en deux écoles, l’une à Paris autour de Samuel Bing et son magasin, la deuxième à Nancy sous la conduite d’Emile Gallé (1846-1904). C’est à Nancy que les affinités entre rococo et Art nouveau apparaissent de la manière la plus convaincante. Moins fascinant mais faisant partie des personnalités artistiques les plus en vue de l’époque, Louis Majorelle (1859-1926) est clairement le deuxième chef de file du courant Art nouveau à Nancy. Le point fort de Gallé était les travaux d’incrustation, variant beaucoup les motifs, allant du végétal aux inscriptions littéraires à contenu symbolique. Typique pour la production de ce maître est la transformation d’éléments structurels en tiges ou en branches se terminant en fleurs. Contrastant avec l’école de Nancy, l’Art nouveau parisien est plus léger, plus raffiné et austère. Les motifs d’inspiration naturelle présentent un degré de stylisation plus grand, parfois même une certaine abstraction, et apparaissent de manière marginale.
Joaillerie
L’art de la joaillerie a été revitalisé par l’art nouveau, la principale source d’inspiration étant la nature. Cette rénovation fut complétée par la virtuosité atteinte dans le travail de l’émail et des nouveaux matériaux tels que l’opale et autres pierres semi-précieuses. L’intérêt généralisé porté à l’Art japonais et l’enthousiasme grandissant vers les différentes techniques de la transformation du métal, jouèrent un rôle considérable dans les nouvelles approches artistiques et les thèmes d’ornementation.
Durant les deux siècles précédents, la joaillerie fine s’était centrée sur les pierres précieuses, particulièrement sur les diamants. La préoccupation du joaillier consistait principalement à former un cadre adapté, afin que la pierre resplendisse. Avec l’Art nouveau, un nouveau type de joaillerie voit le jour, motivée et dirigée par le concept du dessin artistique, ne donnant plus l’importance centrale du bijou à la pierre sertie.
Les joailliers de Paris et Bruxelles furent les principaux instigateurs de ce revirement, donnant un nouveau souffle qui se traduira rapidement par une large renommée du style Art nouveau. Les critiques français contemporains étaient unanimes : l’art de la joaillerie traversait une transformation radicale, et le joaillier et maître verrier René Lalique se trouvait en son centre. Lalique glorifia la nature dans ses créations, amplifiant son répertoire pour y intégrer des éléments peu conventionnels, – citons les libellules et herbes - inspirés par les dessins de l’art japonais.
Les joailliers désiraient se démarquer tout en inscrivant ce nouveau style dans une tradition, puisant leur inspiration dans la Renaissance, pensons notamment aux bijoux en or émaillé et sculpté. Dans la majorité des créations émaillées, les pierres précieuses cédèrent leur place prédominante, les diamants étant relégués à un rôle subsidiaire en combinaison à des matériaux moins habituels comme le verre modelé, l’ivoire et la corne. La perception du métier de joaillier évolue, considéré par ses créations comme artiste et non plus comme artisan.
Peinture
Louis Guingot, peintre résolument art nouveau, mais malheureusement méconnu, était membre du mouvement de l'École de Nancy. Il utilisait une technique de peinture à la colle très originale. Citons également Henri Bellery-Desfontaines, Jules Chéret, Georges de Feure, Victor Prouvé et Théophile Alexandre Steinlen, tous artistes peintres qui se dédièrent tout autant à la peinture, à la lithographie et à l'affiche, refusant la séparation entre arts nobles et arts mineurs : la peinture devient un élément du décor.
En Suisse, l'on peut aussi citer le nom de André Evard.
Arts graphiques
Des couvertures de livres aux illustrations de revues, des affiches publicitaires aux panneaux décoratifs, de la typographie de presse aux cartes postales, l’Art nouveau a laissé sa trace. Des nombreux auteurs qui s’y adonnèrent, le plus influent est sans conteste le tchèque Alfons Mucha. Ses créations gagnèrent une renommée internationale, grâce à la délicatesse de ses dessins qui incluaient le plus souvent la figure féminine comme figure centrale, enveloppée par des arabesques d’éléments naturels. Son style, principalement utilisé dans les œuvres à caractère commercial fut imité par les illustrateurs de son époque.
Citons également Aubrey Beardsley comme un des plus originaux artistes art nouveau, ses illustrations en noir et blanc projetant un style très personnel lui valurent l’admiration de ses contemporains, malgré l’irrévérence et la polémique déliée par les thèmes qu’il choisit d’illustrer.
D’autres affichistes célèbres sont Charles Rennie Mackintosh (membre du mouvement Arts and Crafts), Privat Livemont, Koloman Moser et Franz von Stuck.
Quelques œuvres architecturales majeures
- les bouches du métropolitain (métro) de la ville de Paris par Hector Guimard
- l'hôtel Tassel par Victor Horta à Bruxelles en 1893
- l'hôtel Hankar de Paul Hankar à Bruxelles
- la maison Cauchie de Paul Cauchie à Bruxelles
- la Maison dorée à Charleroi, avec des sgraffites de Gabriel van Dievoet
- la maison Delune de Léon Delune à Bruxelles
- la Sagrada Família d'Antoni Gaudí, à Barcelone, encore en cours de construction
- les affiches d'Alfons Mucha
- la villa Majorelle à Nancy de Henri Sauvage
- l'hôtel du Parc (ex hôtel Métropole) de Plombières-les-Bains
- le théâtre municipal de Tunis par Jean-Émile Resplandy construit en 1902.
- le Palais de la Sécession à Vienne par Joseph Maria Olbrich en 1898.
- La pharmacie Lesage à Douvres-la-Délivrande.
- Le restaurant La Fermette Marbeuf 1900 à Paris
- L'agence centrale de la Société Générale à Paris par Jacques Hermant en 1912.
L'Art nouveau a également laissé de nombreuses œuvres dans les villes de Nancy et Bruxelles qui furent des centres de développement de ce mouvement. Il est également intéressant de noter que Rīga contient la plus grande concentration d'Art nouveau en Europe.
Principaux représentants
L'Art nouveau est surtout un mouvement répandu en Europe mais il existe aussi quelques développements aux États-Unis.
Voici les principaux pôles et intervenants de l'Art nouveau à travers le monde :
En Grande-Bretagne, où l'Art nouveau a ses racines, Charles R. Ashbee, William Bradley, William Morris, John Ruskin à Londres, Glasgow forment les précurseurs. Il se développe ensuite à Glasgow avec Charles Rennie Mackintosh et son épouse Margaret MacDonald Mackintosh, qui ont formé avec la sœur de Margaret, Frances Mac Donald et Herbert MacNair, le collectif de l'« École de Glasgow » (Glasgow School) connu sous le nom « The Four » (Les Quatre).
En Belgique, Victor Horta inaugure les premiers édifices de l'Art nouveau ; il est suivi par Paul Hankar, Ernest Blerot, Paul Cauchie, Gustave Strauven, Paul Saintenoy, Léon Delune, , Philippe Wolfers, Jules Brunfaut, Gabriel van Dievoet, Gustave Serrurier-Bovy Victor Rousseau et bien d'autres. L'intellectuel du mouvement, Henry van de Velde, développera son art en Allemagne.
En France, outre Hector Guimard, Paris s'enorgueillit de personnalités comme René Lalique, Eugène Gaillard, Edgar Brandt ou Samuel Bing. Mais l'ensemble le plus cohérent est constitué par les membres de l'École de Nancy tels que les Frères Daum, Émile Gallé, Jacques Grüber, Louis Majorelle, Eugène Vallin… et bien d'autres, moins connus, comme Antonin Barthélemy, Octave Gelin, etc.
Aux États-Unis, Louis Sullivan, Louis Comfort Tiffany à New York et Chicago.
Alfons Mucha pour la Tchécoslovaquie (Prague).
Jan Toorop et H.P. Berlage pour la Hollande.
Ernesto Basile, Raimondo D'Aronco, Giuseppe Sommaruga, Carlo Bugatti, Giuseppe Brega pour l'Italie.
Antoni Gaudí pour l'Espagne, surtout à Barcelone.
L'Allemagne est représentée par August Endel, Hermann Obrist, et Josef Maria Olbrich à Munich, Berlin et Darmstadt.
L'Autriche par Gustav Klimt et Otto Wagner à Vienne.
En Lettonie (Rīga) et en Russie (Petrograd), Mikhaïl Eisenstein, architecte et père du cinéaste Sergueï Eisenstein
Dans les pays nordiques, la Norvège a eu les toiles d'Edvard Munch à Ålesund ou Trondheim et la Finlande, Eliel Saarinen.
Seul centre de création Art nouveau en Suisse, l'École d'art de La Chaux-de-Fonds est représentée par le Style sapin et également par le peintre et décorateur André Evard. La première réalisation dans ce pays, la maison Sandreuter à Bâle, est l´œuvre de Flora Steiger-Crawford.
Bibliographie
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- Franco Borsi, Bruxelles, capitale de l'Art nouveau, Éditions Marc Vokar, 1971
- Franco Borsi, Paolo Portoghesi, Victor Horta, Éditions Marc Vokar, 1977
- Maurice Culot, Anne-Marie Pirlot, Art nouveau, Bruxelles, AAM, 2005, pp. 16, 35, 90, 91.
- Alice Delvaille et Philippe Chavanne, L'Art nouveau dans le Namurois et en Brabant Wallon, Alleur, 2006.
- Françoise Dierkens, Jos Vandenbreeden, Art nouveau en Belgique : Architecture et Intérieurs, Éditions Racine, 1991
- Pierre du Bois de Dunilac, Les mythologies de la Belle Epoque : La Chaux-de-Fonds, André Evard et l'Art Nouveau, Lausanne, 1975, W.Suter, 1975, 34 p.
- Éric Hennaut, Walter Schudel, Jos Vandenbreeden, Linda Van Santvoort, Liliane Liesens, Marie Demanet, Les Sgraffites à Bruxelles, Fondation Roi Baudouin, Bruxelles, 1994, pp. 9, 57, 63, 64, 65, 66, 67, 69, arrière de couverture.
- Éric Hennaut, Liliane Liesens, L'avant-garde belge. Architecture 1880-1900, Bruges, 1995, Stichting Sint-Jan et Archives d'Architecture Moderne, pp. 36, 37,
- Éric Hennaut, Maurice Culot, La façade Art Nouveau à Bruxelles, Bruxelles, 2005, AAM, pp. 42, 45, 47.
- Sylvain Mikus, "Octave Gelin, un architecte entre Art nouveau et Art déco", Etudes Marnaises, Société d'Agriculture, Commerce, Sciences et Arts de la Marne, 2009.
- Benoît Schoonbroodt, Artistes belges de l'Art nouveau (1890-1914), publié aux éditions Racine, Bruxelles, 2008, pp. 38-39, 80-85.
Voir aussi
Liens internes
- Belle Époque
- Art nouveau en Belgique
- Deutscher Werkbund
- École de Nancy
- Modernismo (Art nouveau en Espagne)
- Sezession
- Maxim's
- Maison dorée à Charleroi
- Réseau Art Nouveau Network
- Jugendstil
- Victor Prouvé
- Octave Gelin
Liens externes
-
l'Art nouveau sur Commons
- lartnouveau.com – Des artistes et leurs œuvres
- art.nouveau.free.fr – Biographies et nombreuses photographies
- szecesszio.com – L'Art nouveau en Hongrie
- Entrées du métro de Paris – L'œuvre universellement connue d'Hector Guimard
- Nombreuses photos d'Art nouveau en France – Le blog de référence, par le célèbre Mateur de nouilles !
- Des chardons sous le balcon – Actualités, billets d'humeur, expositions, découvertes : le blog d'un amoureux de l'Art nouveau.
- artquid.com – Photographies de mobilier
- [1] - Fermette Marbeuf 1900 -Restaurant entierement Art nouveau-
- Route européenne de l′Art nouveau
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