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Michèle Mercier
Michèle Mercier (1939- )
Données clés Nom de naissance Jocelyne Yvonne Renée Mercier Naissance 1er janvier 1939
Nice, FranceNationalité Française Profession Actrice Écrivain Ballerine Chanteuse Films notables L'Aîné des Ferchaux
Angélique, marquise des anges
L'Appel de la forêtMichèle Mercier, de son nom patronymique Jocelyne Yvonne Renée Mercier, est une danseuse, actrice et chanteuse française principalement connue pour son rôle dans les films de la série Angélique, marquise des anges. A côté de cette série culte elle a à son actif une filmographie relativement abondante totalisant près d'une cinquantaine de films surtout français et italiens. Elle est une des actrices les plus connues du cinéma français et un sex symbol des années 60.
Sa vie personnelle a été émaillée par une suite d'infortunes sentimentales.
Sommaire
Biographie
Michèle Mercier est née le 1er janvier 1939 à Nice. Elle est la fille ainée d'un père français, pharmacien, et d'une mère italienne[1]. Petite, elle rêve de devenir une grande étoile de la danse et commence son apprentissage. À huit ans, elle entre à l'école de danse de l'opéra de Nice comme petit rat[1]. Mais, fille et petite-fille de pharmaciens propriétaires de laboratoires pharmaceutiques et cosmétiques, sa voie est tracée par avance: elle reprendra l'affaire familiale. C'est par un refus catégorique qu'elle s'oppose à ses parents.
Dès l'âge de 15 ans, elle interprète un petit rôle aux côtés de Maurice Chevalier dans le film J'avais 7 filles.
A 17 ans, Jocelyne Mercier part pour la capitale pour se joindre aux ballets de Roland Petit puis aux Ballets de la Tour Eiffel[1]. Son rêve se réalise sur les planches du théâtre des Champs-Elysées où elle danse Gosses de Paris chorégraphié par Pierre Lacotte sur une musique de Charles Aznavour. La compagnie disparait faute d'argent. Parallèlement, elle suit des cours d'art dramatique avec Solange Sicard. Après un séjour à Londres, elle commence une carrière d'actrice au théâtre[1]
Dans l'un de ses livres de souvenirs, Mercier parle de son premier amoureux, le mystique Giani Esposito, pour lequel elle refusa d'épouser le Shah d'Iran[2]. En 1959, elle rencontre le jeune assistant réalisateur André Smagghe en Italie, sur le plateau du film Les nuits de Lucrèce Borgia et l'épouse en 1961. Leur union ne durera pas. Smagghe sombre dans l'alcoolisme. Il est interné en raison de problèmes psychiatriques. Dès lors, tout divorce devient impossible. Ce n'est qu'au bout de nombreuses années de procédure et au prix d'une somme importante qu'elle verse à son mari, que Michèle Mercier obtient le divorce en 1967. Entre temps, Michèle est devenu un symbole sexuel mondial.
Michèle Mercier épouse Claude Bourillot[3] en secondes noces. La série des Angélique s'interrompt brutalement, pour des raisons à éclaircir. Lasse d'être assimilée au personnage du film, Mercier part avec son mari pour Hollywood où elle caresse l'espoir de devenir producteur. Elle y reste de 1973 à 1976 mais son ambition est un échec. Elle découvre que son mari est peu scrupuleux[4]. Ils divorcent en 1976 et Michèle Mercier rentre en Europe[1].
Seule, ruinée, elle retourne à Paris où, oubliée, elle revient vers le théâtre. C'est à Genève qu'elle rencontre un homme d'affaires. Elle se met en ménage avec lui et décide d'abandonner les tournages pour élever les deux enfants de ce dernier[1]. Au bout de deux années d'un bonheur sans nuage, son ami décède d'un cancer. Parce qu'ils n'étaient pas mariés, elle se retrouve financièrement dépourvue[1]. Quelque temps après, elle rencontre un prince romain et part vivre à Rome avec lui mais, trois ans plus tard, elle constate qu'il n'est plus amoureux d'elle. Déçue, Mercier rentre à Paris[1].
En 1999, après avoir été spoliée de plusieurs millions de francs par l'associé avec lequel elle avait monté une maison d'édition, l'actrice confesse à Nice Matin: « Je suis ruinée. Je vais devoir vendre une partie de mes tableaux, mes meubles, mes bijoux et les vêtements que portait Angélique dans ses films ».
Carrière cinématographique
En 1956, Michèle Mercier revient à Nice pour passer les fêtes de Noël chez ses parents et, par le plus pur des hasards, rencontre deux personnages qui vont beaucoup compter dans sa vie future : Denis de la Patellière et Michel Audiard qui lui proposent d'être Jeanne, la femme de chambre, auprès de Michèle Morgan et Daniel Gélin dans Retour de Manivelle, un film qui doit commencer dans quelques jours. Sa réponse est : « Non merci, je n'ai pas envie de faire de cinéma! Je suis danseuse et mon seul rêve est de danser! »
C'est sous la pression de son père, que cela amuse plus que sa fille de « la voir au moins une fois sur les écrans », que Michèle accepte par curiosité de tourner dans ce film. Elle vient d'avoir 18 ans et prend le prénom de Michèle en l'honneur de Michèle Morgan[1] (pour d'autres sources, ce serait plutôt en hommage à sa plus jeune sœur décédée d'une typhoïde à l'âge de cinq ans).
Dès lors, elle n'arrêtera plus de tourner.
Remarquée par Léonide Moguy, elle sera la vedette de son second film Donnez moi ma chance (1958). Le réalisateur Géza von Radványi lui propose un second rôle dans Mademoiselle Ange (1959), film dans lequel elle partage l'affiche avec Romy Schneider et Henri Vidal. Suit Tirez sur le pianiste (1960) dirigé par François Truffaut et dans lequel elle interprète le rôle d'une prostituée proche de Charles Aznavour. Robert Lamoureux en fait son personnage principal de La brune que voilà (au théâtre en 1958 puis à l'écran en 1960). En 1959, Hollywood la réclame mais elle revient très vite sur l'ancien continent où l'Italie fait rapidement d'elle une star ; elle y travaillera avec Mario Bava, Luigi Zampa, Dino Risi (Les Monstres, le film le plus célèbre de Mercier avec la série Angélique), Mario Monicelli...
Michèle Mercier enchaînera une cinquantaine de films dont une majorité en France, une vingtaine en Italie et quelques-uns au Royaume Uni. Elle joue en italien et en anglais, langues qu'elle maîtrise parfaitement et parle couramment. Elle est la partenaire de nombreux grands noms du cinéma comme Jean Gabin, Yves Montand, Jean-Claude Brialy, Jean-Louis Trintignant, Vittorio Gassman, Marcello Mastroianni, Bob Hope, Tony Curtis, Charles Bronson, Charlton Heston ; avec le premier elle tourne Le Tonnerre de Dieu, où elle devient sa fille adoptive, avec Jean-Paul Belmondo L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville, avec Jean Rochefort (avant les Angélique) Symphonie pour un massacre de Jacques Deray, avec Claude Rich Une Veuve en or d'Audiard...
Robert Hossein sera sept fois son partenaire dont quatre fois (il est en effet absent du deuxième épisode) dans les cinq films de la série culte des Angélique[5] qui désormais fait partie du patrimoine français et fait sauter l'audimat à chaque passage à la télévision : Angélique Marquise des Anges, Merveilleuse Angélique, Angélique et le Roy, Indomptable Angélique, Angélique et le Sultan. Elle fait corps avec son personnage dont elle dit « Dès l'instant où j'ai ouvert ces livres et commencé à les lire, j'ai su qu'Angélique était moi et que j'étais Angélique ». C'est pour cela qu'elle accepte, comme une débutante (elle a déjà plus de vingt film à son actif !), de se plier à des essais : au bout de deux jours, elle s'emporte et quitte le plateau, le regrettant aussitôt. Le lendemain elle apprend qu'elle est choisie[6]. Angélique sera, pour l'actrice, l'aboutissement et la fin d'une carrière. Enfermée dans ce rôle comme dans une prison dorée, son personnage lui colle littéralement à la peau. Elle ne parviendra jamais à s'en défaire aux yeux du public[7].
Un film comme Lady Hamilton ne confirme pas le statut international acquis grâce à Angélique. Les échecs consécutifs du film d'action Les Baroudeurs et de la comédie satirique Macédoine, que Mercier produit, participeront aussi à sa chute. C'est encore en 1970 qu'elle enregistre "La fille qui fait tchic ti tchic", une chanson de Serge Gainsbourg est un flop. Michèle Mercier disparaît pratiquement des écrans à partir de 1973. En 1991, elle confie son bon espoir de voir aboutir un de ses projets les plus chers : un film sur Diane de Poitiers. Le projet n'aboutira jamais. La même année elle est acclamée au festival de Cannes puis jurée au festival du cinéma de Moscou[8]. Elle revient devant l'objectif en 1998 avec La Rumbera de Piero Vivarelli et dix ans plus tard dans la série Vénus et Apollon.
Filmographie
- Cinéma
- 1957 : Retour de manivelle de Denys de La Patellière : (Jeanne) avec Daniel Gelin, Michèle Morgan, Peter Van Eyck
- 1957 : Donnez-moi ma chance de Léonide Moguy avec Ivan Desny...
- 1959 : Les Nuits de Lucrèce Borgia (Le notte di Lucrezia) de Sergio Grieco avec Belinda Lee, Franco Fabrizi, Jacques Sernas...
- 1959 : La Ligne de mire de Jean-Daniel Pollet avec Yves Barsacq, Véra Belmont, Claude Melki, Edith Scob...
- 1959 : Mademoiselle Ange (Ein Engel auf Erden) de Geza von Radvanyi (Augusta de Munchenberg) avec Romy Schneider, Henri Vidal, Jean-Paul Belmondo
- 1959 : Tirez sur le pianiste de François Truffaut : (Clarisse) avec Charles Aznavour, Marie Dubois, Nicole Berger...
- 1960 : La Brune que voilà de Robert Lamoureux avec Robert Lamoureux ...
- 1960 : Le Saint mène la danse de Jacques Nahum avec Félix Marten...
- 1961 : Aimez-vous Brahms... (Goodbye Again) d'Anatole Litvak avec Ingrid Bergman, Yves Montand, Anthony Perkins...
- 1963 : Les Pirates de la nuit (Fury at Smugglers Bay) de John Gilling avec Peter Cushing, John Fraser, Bernard Lee...
- 1961 : Les Mille et une nuits (Le Meraviglie di Aladino) de Henry Levin et Mario Bava avec Donald O'Connor, Fausto Tozzi, Vittorio De Sica, Massimo Girotti...
- 1961 : Le Boucanier des îles (Il Giustiziere dei mari) de Dominico Paolella avec Richard Harisson, Paul Muller...
- 1961 : L'Ile des filles perdues (Le prigioniere dell'isola Del Diavolo) de Dominico Paolella avec Guy Madison, Paul Muller...
- 1962 : Les Années rugissantes (Anni ruggenti)) de Luigi Zampa avec Nino Manfredi, Gino Cervi...
- 1963 : Symphonie pour un massacre de Jacques Deray (Madeleine Clavet) avec Jean Rochefort, Michel Auclair, Charles Vanel, Claude Dauphin
- 1963 : Les Trois visages de la peur (I tre volti della paura) de Mario Bava (Sketch du téléphone - Il telefono) avec Lidia Alfonsi
- 1963 : L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville (Lou) avec Jean-Paul Belmondo, Charles Vanel...
- 1963 : La Pupa de Giuseppe Orlandi avec Ettore Manni
- 1963 : Via Veneto de Giuseppe Lipartiti avec Gérard Blain, Umberto D'Orsi...
- 1963 : I Giovedi de Dino Risi avec Walter Chiari, Umberto D'Orsi...
- 1963 : Les Monstres (I Monstri) de Dino Risi : sketch " L'opium du peuple"- "L'oppio dei popoli" avec Ugo Tognazzi
- 1963 : Haute infidélité (Alta infedalta) de Mario Monicelli : sketch "Des Gens modernes" - Gente moderna) avec Ugo Tognazzi, Bernard Blier...
- 1964 : Papa play-boy de Jack Arnold avec Bob Hope, Barbara Bouchet, Yvonne De Carlo...
- 1964 : Controsesso de Renato Castellani
- 1964 : Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie : (Angélique) avec Robert Hossein, Jean Rochefort, Giuliano Gemma...
- 1964 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie : (Angélique) avec Jean Rochefort, Giuliano Gemma...
- 1964 : L'Amour en quatre dimensions (Amore in quatro dimensioni) de Mino Guerrini : sketch "L'Amour et la Mort"- "Amore e Morte" avec Alberto Lionello...
- 1964 : Casanova 70 de Mario Monicelli avec Marcello Mastroianni, Virna Lisi, Marisa Mell, Marco Ferreri
- 1965 : Le Tonnerre de Dieu de Denys de La Patellière (Simone Leboucher) avec Jean Gabin, Robert Hossein
- 1965 : Angélique et le Roy de Bernard Borderie (Angélique) avec Robert Hossein, Jacques Toja, Sami Frey...
- 1966 : La Seconde Vérité de Christian-Jacque avec Robert Hossein...
- 1966 : I Nostri mariti de Luigi Zampa (sketch: "Il complessi de Angelotto") avec Jean-Claude Brialy...
- 1966 : Comment j'ai appris à aimer les femmes (Come imparai ad amare le donne) de Luciano Salce avec Robert Hoffman, Nadja Tiller...
- 1966 : Soleil noir de Denys de La Patellière avec Daniel Gélin, Valentina Cortese...
- 1967 : Le Plus Vieux Métier du monde de Franco Indovina (sketch " L'Amour à l'âge de pierre"- "L'eta della pietra")
- 1967 : Indomptable Angélique de Bernard Borderie (Angélique) avec Robert Hossein...
- 1967 : Une corde, un colt de Robert Hossein avec Robert Hossein...
- 1968 : Angélique et le Sultan de Bernard Borderie (Angélique) avec Robert Hossein, Ali Ben Ayed, Jean-Claude Pascal...
- 1968 : Les Amours de Lady Hamilton de Christian-Jaque avec Richard Johnson, John Mills...
- 1969 : Une Veuve en or de Michel Audiard avec Claude Rich...
- 1970 : Les Baroudeurs (You can't win 'em all) de Peter Collinson avec Tony Curtis, Charles Bronson...
- 1970 : La Femme sandwich/Opération Macédoine de Jacques Scandelari avec Pierre Brasseur, Bernard Fresson, Robert Webber...
- 1971 : Scandale à Rome de Carlo Lizzani avec Senta Berger, Virna Lisi, Nino Manfredi, Irene Papas...
- 1971 : L'Amour de gré ou de force de Massimo Franciosa avec Carlo Giuffré
- 1971 : Les Fantômes de Hurlevent (Nella streeta morsa del ragno) d'Anthony Dawson avec Anthony Franciosa, Klaus Kinski...
- 1972 : Le Viager de Pierre Tchernia avec Michel Serrault, Claude Brasseur...
- 1972 : L'Appel de la forêt (Call of the Wild) de Ken Annakin avec Charlton Heston
- 1978 : Götz von Berlichingen mit der eisernen Hand ou Iron Hand (L'Homme au bras de fer) de Wolfgang Liebeneiner d'après Goethe, avec Raimund Harmostof
- 1984 : Jeans Tonic de Michel Patient avec Géraldine Danon, Bernard Lecoq (participation amicale)
- 1998 : La Rumbera de Piero Vivarelli avec Franco Interlenghi...;
- 2011 : Celles qui aimaient Richard Wagner de Jean-Louis Guillermou
- Télévision
- 1977 : Les Femmes du Monde de Georges Farrel avec Roger Hanin, Renée Saint-Cyr...
- 2003 : Il bello delle donne avec Stefania Sandrelli, Virna Lisi, Anita Ekberg...
- 2004: Krasnaya kapella d'Aleksandr Aravin (Russie)
- 2009 : Vénus et Apollon de Pascal Lahmani et Tonie Marshall (saison 2)
Théâtre
- 1958 : La Brune que voilà de Robert Lamoureux, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Variétés (Sophie)
- 1979 : Le Bluffeur de Marc Camoletti
- 1984 : Banco ! d'Alfred Savoir, mise en scène Robert Manuel, Théâtre de la Michodière
Ouvrages littéraires
En 1987 Michèle Mercier écrit une première autobiographie Angélique à coeur perdu préfacée par Roger Peyrefitte et publiée aux Editions Carrere[9]. Elle ouvre une maison d'édition et publie un album photo intitulé Merveilleuse Angélique en 1995[10]. Une seconde autobiographie, Angéliquement vôtre[11], préfacée par Pierre Palmade, voit le jour à la fin de 1996. Comme pour revendiquer sa personnalité propre, Michèle Mercier écrit encore Je ne suis pas Angélique[7], paru aux Éditions Denoël en 2002 et qu'elle présente elle-même au Festival de Cannes cette même année. Elle y partage ses souvenirs de star internationale.
Récompense
- 6 mars 2006 : Promue Chevalier de l'Ordre des Arts et lettres par M. le Ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres pour l'ensemble de son œuvre.
Liens externes
- Michèle Mercier sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- (en) Michèle Mercier sur BFI Film & TV Database
- (fr) Michèle Mercier - Cinémathèque française
- (en) Michèle Mercier
- (fr) Site Marquise des Anges
Notes
- (en) Michèle Mercier. Consulté le 15-12-2010
- Je ne suis pas Angélique
- Alain Poher après la démission du Général De Gaulle en 1969. Claude Bourillot est l'ex-chargé de mission sous la présidence d'
- Certains disent qu'il a disparu un beau jour de 1970 en emportant les bijoux et totalité de l'argent appartenant à Michelle Mercier, la laissant sans le sou
- Brigitte Bardot. Elle a décliné l'offre, mais lorsqu'elle lira les romans, elle regrettera cette décision (Initials B.B.) ; elle salue aussi la performance de Mercier dans ses mémoires. La suivante, Annette Stroyberg, n'est pas assez connue. Catherine Deneuve est jugée trop lisse. Le français de Jane Fonda est teinté d'accent américain et Virna Lisi est occupée à Hollywood. On parle aussi de Marina Vlady, Claudia Cardinale et Monica Vitti. Plusieurs actrices ont été envisagées pour tenir le rôle d'Angélique: Francis Cosne, le producteur du film, souhaitait
- Télé-sept-jours, 30 juillet 1987
- Michèle Mercier & Henry-Jean Servat, Je ne suis pas Angélique, Ed. Denoël, 2006 (ISBN 978-2-207-25329-8.) « Lorsque les gens s'adressent à moi, ils se réfèrent toujours à Angélique mais j'ai également interprété cinquante autres rôles féminins. J'ai longtemps essayé de l'oublier. Mais je la considère maintenant comme une petite sœur qui est perpétuellement à mes côtés et j'ai appris à vivre avec elle. »
- Télé-sept-jours, 8 juin 1991
- Angélique à coeur perdu, Paris, Carrere, 1987 (ASIN B003EKT4PA)
- Raymond Boyer, Michèle Mercier, merveilleuse Angélique, TF1 Editions (ISBN 978-2-877-61064-3)
- Michèle Mercier, Angéliquement vôtre, Delerins, 2000 (ISBN 978-2-911-94400-0)
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