Maine coon

Maine coon
Maine coon
MaineCoonSansFond.png
Maine coon tabby et blanc

Espèce Chat (Felis silvestris catus)
Région d’origine
Région Drapeau des États-Unis États-Unis (Maine)
Caractéristiques
Silhouette Médioligne semi-foreign
Taille Grande
Poids 5 à 6 kilos en moyenne pour les femelles, 7 à 9 kilos en moyenne pour les mâles.
Poil Mi-long
Robe Toutes les couleurs sont admises sauf le chocolat, le lilas cannelle et faon. Le motif colourpoint est interdit
Tête Museau carré
Yeux Grands et ovales. Les couleurs bleu et vairon sont admises pour les chats blancs
Oreilles Grandes, placées haut, de préférence avec des plumets aux extrémités
Queue Longue et fournie
Standards

Le maine coon est une race de chat à poil mi-long originaire de l'État du Maine aux États-Unis. Ce chat au physique rustique est caractérisé par sa très grande taille, il est en effet l'une des plus grandes races de chat domestique. Le maine coon est également la plus ancienne race naturelle nord-américaine.

Sommaire

Historique

Origines

La légende veut que le maine coon soit issu d'un croisement avec un raton laveur.

Le maine coon est probablement l'une des plus anciennes races naturelles nord-américaines[1],[2]. Plusieurs légendes décrivent les origines de la race. La plus répandue raconte que le maine coon est le fruit d'un croisement entre des chats et des ratons laveurs (raccoon en anglais)[1], ce qui expliquerait leur couleur (la plus répandue est le brown tabby, c'est-à-dire tigré brun) et leur queue très touffue. Bien sûr, il est génétiquement impossible de réaliser un tel croisement mais la race garde de cette légende son nom[2].

La deuxième avance que le maine coon est un descendant des six chats angoras envoyés par Marie-Antoinette d'Autriche alors qu'elle préparait sa fuite pour échapper à la Révolution française[1]. Ces angoras auraient été amenés sur le bateau Sally du capitaine Samuel Clough de Wiscasset avec les autres effets personnels de la reine. Les angoras se seraient ensuite mêlés aux chats de ferme locaux pour donner naissance au maine coon[3],[2].

Une autre théorie avance que la race s'est développée à partir de croisements entre des chats de ferme locaux et d'autres chats à poils longs ou mi-longs importés d'abord par les Vikings[4] aux alentours de l'an 1000. Le maine coon descendrait alors du chat des forêts norvégiennes, ce qui expliquerait leur ressemblance. Cette hypothèse est appuyée par la ressemblance entre turc de van, sibériens, norvégiens et enfin maine coons dont les origines géographiques correspondent aux déplacements des Vikings[5],[2]. Cette ressemblance avec le norvégien peut aussi s’expliquer par le fait que le climat hivernal de la Nouvelle-Angleterre et de la Norvège sont identiques et auraient donc conduits à sélectionner les mêmes spécificités physiques[3].

Au XIXe siècle, Mme Pierce, une des premières propriétaires de maine coon[3] a également émis l'hypothèse que ces chats étaient arrivés sur les côtes du Maine par la mer, mais pas grâce aux Vikings[2], plutôt par les riches familles du Maine qui possédaient alors de luxueux bateaux et voyageaient beaucoup[3]. Ils auraient ramenés de leurs expéditions de nombreux animaux de compagnie exotiques, notamment pour amuser les enfants[2]. La deuxième hypothèse de Mme Pierce était que des chats angoras furent embarqués à bord des bateaux marchands pour chasser les rats[3]. Dans les deux cas, ils auraient débarqués sur la côte Est et se seraient mélangés aux chats locaux à poils courts[3],[2].

Une autre possibilité est qu'ils aient été importés par les immigrants européens et aient su s'adapter aux conditions de vie et au climat difficile de la région[1],[2].

Développement de la race

Cosey, la première maine coon vainqueur en 1885 à New York

En 1860, les fermiers du Maine, très fiers de leurs chats organisaient leurs propres expositions pour élire le champion. Le premier maine coon cité dans la littérature est un mâle noir et blanc nommé Captain Jencks qui appartenait à Mme Pierce. Cela remonte à 1861[3]. Un peu plus tard, en 1895, ce chat de grande taille fit sensation au Madison Square Garden lors des premières expositions officielles des États-Unis et c'est d'ailleurs une femelle maine coon nommée Cosey qui remporta le concours[6],[2]. En 1897, une douzaine de maine coons participaient à une exposition à Boston. Au début du XXe siècle, la popularité de la race dépasse la Côte Est et atteint la Côte Ouest des États-Unis[3], puis tombe peu à peu dans l’oubli puisque jusqu'en 1950 la mode est aux persans et aux siamois, laissant de côté le géant américain[7]. À la fin des années 1940, la race maine coon est déclarée un peu vite disparue[3]. La popularité de la race s'accroît à nouveau lorsque deux éleveurs fondent le Central maine coon cat club en 1953. Trois ans plus tard, ce club écrit également le premier standard de la race. Les efforts paient puisqu’en 1960, la race a retrouvé sa popularité d’antan[3],[2].

Le maine coon est officiellement reconnu depuis 1967 par l’American Cat Fanciers Association (ACFA) et la Canadian cat association (CCA). La Cat Fancier Association (CFA) tarde à reconnaître la race qu’elle refuse à plusieurs reprises entre 1969 et 1972[3]. Il faut attendre 1973 pour que la fédération reconnaisse la race de façon provisoire et 1976 pour une reconnaissance définitive[2]. Entre temps, en 1972, les différents standards existants sont harmonisés au niveau national[3],[2].

L'importation du maine coon en France date de 1981[7], mais la race ne prend son essor qu’au début des années 1990 et c’est également à cette époque que l’Allemagne la découvre. La Fédération internationale féline (FIFé) reconnaît la race en 1983 et le Governing Council of the Cat Fancy (GCCF) en 1986[3],[2].

Popularité

À l’heure actuelle le maine coon est très populaire. En 1988 en Angleterre, il était déjà dans les dix premières races avec 308 chats enregistrés. En 2008, il était à la septième place des races les plus populaires, toujours selon le GCCF et, contrairement à d'autres, il y reste depuis 15 ans. Au vu de l’augmentation du nombre total de chats de race, le nombre de maine coon a doublé pour qu’il puisse garder cette septième place[8].

Aux États-Unis, son pays d'origine, le maine coon se maintient à la deuxième place des chats de race préférés des américains depuis plusieurs années[9], et est officiellement la mascotte du Maine depuis 1985[10]. En 2008, il représente la troisième race en termes de naissances enregistrées par la CFA[11].

En France, il occupait entre 2003 et 2008 le quatrième rang avec plus de 2 000 pedigrees enregistrés, soit une augmentation de 97 % par rapport à 2003. Depuis 2008, il est troisième au classement des chats de race au LOOF et a devancé le chartreux[12].

Année LOOF[12] GCCF[8]
Inscriptions Rang Inscriptions Rang
2003 1 317 4e 1 729 7e
2008 2 600 3e 2 095 7e

Standards

Corps

Le maine coon est un très grand chat
Touffe de poils entre les doigts

Le corps du maine coon est long et rectangulaire avec une large poitrine et une musculature puissante. La silhouette générale doit cependant rester équilibrée et sans exagérations[13],[14],[15]. Ce félin est l’une des plus grandes races de chats au monde. En 2006, le record du plus long chat au monde (121,9 cm) est détenu par un maine coon nommé Léo[16],[15]. Ce record a été battu par un autre maine coon nommé Stewie[17]. Il pèse en moyenne de 6 à 10 kg. Bien qu’on ait vu des maine coon pesant jusqu’à 20 kg, les mâles sont plus imposants (de 7 à 10 kg) que les femelles (de 4 à 6 kg), soit environ le double des chats de gouttière. Pour arriver à un tel poids, leur croissance est lente et dure plusieurs années (entre trois et cinq ans)[16],[15],[13].

Les pattes sont solides, puissamment musclées et d’une longueur moyenne, accentuant l’apparence rectangulaire de la silhouette. Entre les pattes avant, le poitrail doit être large. Les pieds sont grands et ronds. La polydactylie, pourtant présente naturellement chez certains des chats fondateurs de la race, n’est pas reconnue par le LOOF et le standard français précise qu'un maine coon doit posséder cinq doigts à l’avant et quatre à l’arrière. Un nombre de doigts supérieur est considéré comme un défaut grave et éliminatoire en exposition. Les associations américaines et canadiennes acceptent ce trait où il est même particulièrement recherché. Il faut également noter une importante présence de touffes de poils entre les doigts, sans cela des pénalités sont accordées[16],[15],[13].

La queue est longue, repliée sur le dos, elle doit atteindre l’omoplate. Son diamètre est large à la base et la queue se termine en pointe. Elle doit être bien fournie de poils longs formant des mèches[16],[15],[13].

Tête

Le maine coon a un museau très carré

La tête est de taille moyenne avec des pommettes saillantes. Vu de profil, le nez est légèrement courbé sans pour autant être marqué par un stop, par contre une petite bosse au bout du nez est tolérée, trop proéminente, elle est considérée comme un défaut. Le museau est fort et carré, ce qui en fait un trait caractéristique de la race. S'il est trop court, trop rond ou pointu, ceci est considéré comme un défaut pénalisant en exposition. Les yeux sont grands, ovales et placés en oblique bien espacés l'un de l'autre sur la tête. Lorsqu'un maine coon est attentif à quelque chose, les yeux peuvent paraitre plutôt ronds[18]. Les couleurs acceptées sont le jaune, le cuivre, le vert et le doré dans toutes leurs nuances et sans forcément de relation avec la couleur de la robe. Les yeux vairons sont acceptés uniquement chez les maine coons blancs.

Les oreilles sont grandes et larges à la base, portées haut sur la tête. On doit pouvoir compter une largeur de base d'oreille entre les deux oreilles. Elles ne sont que modérément pointues mais des touffes de poils à leurs extrémités (plumets) sont très recherchées et souhaitables. Les mâles adultes présentent une évolution caractérisée par un élargissement de la tête qui fait paraître les oreilles plus petites et plus basses[13],[15].

Robe et fourrure

La fourrure, de longueur inégale sur le dos et les flancs, est toutefois mi-longue, elle offre une bonne protection naturelle. Une fourrure dont la longueur est d'égale longueur sur tout le corps est un défaut. Une collerette sous la gorge et une culotte sont appréciés. La texture est soyeuse et le sous-poil fin mais la fourrure doit toutefois faire le plus naturel possible. Toutes les robes traditionnelles (sauf le ticked tabby et le colourpoint) sont acceptées dans toutes les couleurs sauf le chocolat, le lilas, le cannelle (cinnamon) et le faon (fawn)[13],[15].

Toutefois, les robes les plus recherchées sont le brown blotched tabby (brun marbré) et le brown mackerel tabby (brun tigré), avec ou sans taches blanches[3] ; viennent ensuite les robes avec la couleur silver[13]. Dans les robes uniformes on retrouve plus particulièrement des maine coon noirs, bleus ou plus rarement blancs[3],[15].

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Caractère

Les traits de caractère ne sont pas définis par les standards et restent individuels et fonctions de l'histoire de l'individu. En dépit de sa taille massive et de son allure rustique, son caractère est souvent qualifié de celui d'un « gentil géant ». Très sociable, il s'entend bien avec les enfants et les autres animaux selon le portrait du LOOF[18]. D'autres encore le qualifient de joueur, bon chasseur, sportif et très attaché à ses propriétaires[7].

Élevage

Problématique de l'élevage

Le maine coon actuel descend principalement de cinq chats, appelés « chats fondateurs » qui ont servi à construire le type de la race telle qu'on la connaît et provenaient de trois chatteries différentes : Andy Katt of Heidi-Ho, Bridget Katt of Heidi-Ho, Tatiana of Tati-Tan, Dauphin de France of Tati-Tan et Whittemore Smokie Joe[19].

Ces cinq chats ont été accouplés ensemble un important nombre de fois ainsi qu'avec leurs descendants. Notamment un petit-fils et arrière-petit-fils de Andy Katt et Bridget Katt of Heidi-Ho appelé Heidi Ho Sonkey Bill qui lorsqu'il était marié avec une certaine femelle donnait des chatons qui se ressemblaient tous, tels des clones[19]. Ces chats donnaient des très bons résultats en exposition et ils furent utilisés de manière intensive pour développer la race, à tel point que la consanguinité devint très importante. Cette expression est restée et on peut calculer le taux de clones dans un pedigree. Actuellement, on trace généralement 35 % de clones mais cela peut monter jusqu'à 50 %[19].

Acquisition

Le prix d'un maine coon varie fortement selon l'âge, la descendance et les qualités esthétiques de l'individu, mais également selon l'éleveur. En 2004, les prix observés en France pour un chaton destiné à la compagnie (c'est-à-dire qui ne servira pas de reproducteur ) varient de 650 à 1 200 euros[20] ; aux États-Unis, un chaton de compagnie est vendu entre 350 et 500 dollars en 2007[10]. Un chaton de concours ou de reproduction coûtera en moyenne entre 800 et 2000 euros. Un retraité d'élevage coûtera en moyenne 300 euros, stérilisation comprise.

En France en 2010, on compte 756 éleveurs déclarés ayant eu au moins une portée depuis 2003. Seuls 524 d'entre eux ont été actifs au cours des deux dernières années et la plupart d'entre eux n'ont qu'une portée par an. Seuls une dizaine d'éleveurs déclarent plus de dix portées par an[21].

Reproduction

Les femelles ont des chaleurs plutôt discrètes[13] et donnent en moyenne naissance à quatre chatons par portée avec des extrêmes allant de un à onze[21],[13]. En France, on compte 590 mâles reproducteurs au cours des deux dernières années mais seuls 113 d'entre eux contribuent à plus de la moitié des naissances françaises[21]. La plupart de ces mâles ont entre un et deux ans, mais cela peut aller jusqu'à onze ans pour les plus âgés[21].

Les femelles sont plus nombreuses sur le territoire français : 1 129 au cours des deux dernières années[21]. Elles ne sont pourtant que 304 à donner naissance à plus de la moitié des chatons[21]. La majorité de ces femelles ont entre un et deux ans mais cela peut aller jusqu'à neuf ans[21].

Outcrossing

Ce terme désigne l'apport de sang extérieur. Il est utilisé par les éleveurs de maine coon qui travaillent à enrichir le pool génétique de la race actuellement très restreint.

Pour cela, ils travaillent avec les livres des origines américains qui sont encore ouverts, c’est-à-dire qui acceptent d’enregistrer des chats qui ne sont pas de race. Il existe en effet aux États-Unis des chats dont le phénotype est très proche du maine coon. Le chat choisi est alors enregistré dans le livre des origines sans que l'on en connaisse les parents et il est appelé « chat de fondation » ou F1. Il est ainsi incorporé à l'élevage et peut être accouplé avec d'autres « chats de fondations » ou avec des chats de lignées classiques.

Santé

Comme tout chat de race à consanguinité importante, quelques maladies peuvent toucher le Maine Coon, la principale restant la Cardiomyopathie hypertrophique (HCM)[19].

Cardiomyopathie hypertrophique féline

Echographie cardiaque chez un chat atteint d'HCM

C'est une race plus prédisposée que les autres à la cardiomyopathie hypertrophique féline (HCM)[22].

Chez le maine coon, cette maladie se transmet dans la plupart des cas sur un mode autosomique dominant[23], au travers d'une mutation du gène MYBPC de forme HMC1, qui est propre à la race et qui a fait l'objet d'un test ADN spécifique[23]. La mobilisation des éleveurs de maine coon contre cette maladie et leur collaboration avec les laboratoires en cardiologie aura permis la mise en œuvre de ce test ADN dont l'objectif à court terme est d'éradiquer cette forme de cardiomyopathie propre au maine coon et qui représente 70% des cas connus dans la race[23]. Il faut toutefois souligner que ce test ADN n'a pas valeur suffisante pour affirmer qu'un maine coon soit exempt de cardiomyopathie et ne reste qu'un outil pour l'éleveur : le suivi échographie avec Doppler couleur et DTI demeure absolument indispensable dans le suivi des reproducteurs[22].

Dysplasie des hanches

La dysplasie des hanches peut également toucher le maine coon. Cette maladie héréditaire se caractérise par une malformation des articulations des hanches. La dyplasie entraîne des lésions douloureuses de l’articulation pouvant mener à de l’arthrose[22].

On ne dispose pas de beaucoup d'études à ce sujet, mais il semblerait que la race soit particulièrement touchée, jusqu’à 20 % pour l’Orthopedic Fondation for animals américaine[22]. Le premier cas de dyplasie chez le chat a été diagnostiqué en 1974 et il n'est pas exclu que la sélection à outrance de gros gabarit au fil des années ait mené à l'apparition de plus en plus fréquente de cas de dysplasie, comme cela fut le cas ces dernières décennies dans beaucoup de grandes races de chiens[22]. La malformation se développerait chez le chaton dès l’âge de six mois et dans 72 % des cas elle est bilatérale. Il semblerait qu’elle soit héréditaire à déterminisme polygénique et qu’elle soit également influencée par l’environnement du chat (obésité et activité physique intense notamment)[22].

Un dépistage par radiographie peut être réalisé dès les deux ans du chat[24]. L’examen est cependant assez lourd puisqu’il est effectué sous anesthésie générale, membres attachés en extension[22].

Il n’existe aucun traitement pour cette maladie, mis à part une chirurgie consistant à retirer la partie malformée du fémur. Un traitement médicamenteux peut être administré pour freiner les dégâts provoqués au cartilage ou pour soulager temporairement l’inflammation[22].

Autres maladies à faible spectre

Bien que beaucoup moins présente que chez le persan, la polykystose rénale (PKD) se transmet par gène autosomique dominant chez le maine coon. Le test de dépistage se fait par échographie (une seule échographie est suffisante, contrairement au HCM qui se dépiste tous les 1 à 2 ans), en même temps que le dépistage du HCM[25]. Il existe également un test ADN spécifique à la race, qui détecte les mutations du gène PKD1, responsable de la maladie[26]. Celui-ci n'étant valable cependant que sur les lignées où le Persan est présent. Chez le maine coon on soupçonne également une forme de la polykystose rénale causée par une mutation du gène PKD2 mais les recherches ne permettent pas encore de l'affirmer complètement[26].


La race peut également être atteinte d'atrophie musculaire spinale (SMA). Cette maladie restant extrêmement rare chez le Maine Coon cause la dégénérescence des neurones commandant les muscles. Elle se transmet génétiquement sur un mode autosomique récessif. Là aussi, il existe un test de dépistage ADN afin de détecter les mutations du gène LIX1, responsable de la maladie[27].

Notes et références

  1. a, b, c et d (fr) Jean-François Rouault, « Les légendes qui entourent les origines de la race » sur http://www.mainecoon-france.com/
  2. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m (fr) Dr Rousselet-Blanc, Le chat, Larousse, 1992, 172 p. (ISBN 2035174023), « Européens à poil mi-long » 
  3. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o (fr) C. Blandin, « La race maine coon » sur http://www.sff-asso.com, Société française de félinotechnie
  4. (fr) I. Achtander Nystad, « Les chats des forêts norvégiennes et les maine coons sont-ils une même et unique race ? » sur http://www.mainecoon-france.com/, Maine Coon France
  5. (fr) Jean-François Rouault, « Sur la route des Vikings » sur http://www.mainecoon-france.com/, Maine Coon France
  6. (en) Maine coon cat, CFA breed council
  7. a, b et c (fr) Les 70 fiches de race : Le maine coon sur http://www.royalcanin.fr
  8. a et b (en) Analysis of Breeds Registered by the GCCF © sur http://www.gccfcats.org/, GCCF
  9. Chiffres fournis par la Cat Fancier Association sur le site de l'unité de médecine de l'élevage et du sport
  10. a et b (en) (en) Sandra Choron, Harry Choron, Arden Moore, Planet Cat: A Cat-alog, Houghton Mifflin Harcourt, 2007, 424 p. (ISBN 9780618812592) [lire en ligne] 
  11. (en) CFA, « Breeds In Order By Popularity » sur http://www.cfa.org, CFA, mas 2009. Consulté le 16 janvier 2010
  12. a et b (fr) Tableau des pedigrees par race et par année sur http://www.loof-actu.fr/, LOOF, 2009. Consulté le 22 octobre 2009
  13. a, b, c, d, e, f, g, h et i (fr) Dr Rousselet-Blanc, Le chat, Larousse, 1992, 173 p. (ISBN 2035174023), « Européens à poil mi-long » 
  14. maine coon
  15. a, b, c, d, e, f, g et h Standards LOOF
  16. a, b, c et d (fr) maine coon
  17. sur le nouvel observateur, consulté le 21/10/10
  18. a et b (fr) Portrait de race : le Maine Coon, LOOF
  19. a, b, c et d (fr) Le présent sur http://pawpeds.com/, Pawpeds, traduit de l'anglais par Florence Walbaum
  20. (fr) Prix d'un chat de race sur http://www.chatsdumonde.com/, Chat du monde, 2004. Consulté le 15 novembre 2009
  21. a, b, c, d, e, f et g (fr) Statistiques du LOOF sur http://www.loof-actu.fr, Livre officiel des origines félines, 1er janvier 2010
  22. a, b, c, d, e, f, g et h La race maine coon – Principales infections héréditaires sur le site de la [Société française de félinotechnie http://www.sff-asso.com/index.php?ind=downloads&op=entry_view&iden=15]
  23. a, b et c Cardiomyopathie hypertrophique du Maine Coon Test HCMA Maine Coon sur le site du laboratoire Antagène
  24. La Dysplasie des hanches sur le site de l'association maine coon test
  25. La polykystose rénales (PKD) par Corinne Lundqvist
  26. a et b Polykystose rénale (PKD) sur le site du laboratoire Antagène
  27. Atrophie musculaire spinale (SMA) sur le site du laboratoire Antagène

Annexes

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Articles connexes

Articles principaux : chat et Race de chat.

Liens externes

Bibliographie

  • Pierre Rousselet-Blanc, Larousse du Chat, Larousse, 2000 (ISBN 2-03-517429-5), « Persans classiques » 
  • Pierre Rousselet-Blanc, Le chat, Larousse, 1992 (ISBN 2035174023), « Races et type de persan » 


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Maine coon de Wikipédia en français (auteurs)

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