La métaphysique

La métaphysique

Métaphysique

La métaphysique est une branche de la philosophie qui étudie les principes de la réalité au-delà de toute science particulière. Elle a aussi pour objet d'expliquer la nature ultime de l'être, du monde, de l'univers et de notre interaction avec cet univers.

L'ontologie est une branche importante de la métaphysique ; elle étudie les types de choses qu'il y a dans le monde et quelles relations ces choses entretiennent les unes avec les autres. Le métaphysicien essaie également de clarifier les notions par lesquelles les gens comprennent le monde ; l'existence, l'objet, la propriété (d'une chose), l'existence de Dieu, l'espace, le temps, la causalité, la possibilité.

Avant le développement des sciences modernes, la philosophie de la nature était une branche de la métaphysique ; étude objective de la nature et des principes physiques. Avec l'introduction des démarches empiriques et expérimentales, cette branche a été appelée « science » à partir du XVIIIe siècle, afin de la distinguer des interrogations spéculatives concernant les sujets non physiques.

Sommaire

Introduction

Étymologie

Étymologiquement, le mot se compose de φυσικά physiká, la « nature » et son étude, la « physique » ; et d'une préposition grecque μετά metá au sens aussi imprécis puisqu'elle peut signifier : « au milieu, parmi, avec, entre, après ». C'est ce dernier sens qui explique l'apparition du mot.

La collection des écrits d'Aristote (-384, -322) élaborée par Andronicos de Rhodes vers 60 av. J.-C. séparait les livres phusikè achroasis (Leçons de Physique), sur la nature, et ceux qui venaient après, meta ta phusika, la Métaphysique. Le mot mé-physique avait donc un sens simplement éditorial : les livres d'Aristote qui arrivent après ceux qu'il a consacré à la physique (meta ta Phusika). Mais les platoniciens ont voulu y voir la discipline qui porte sur les réalités au-delà de la physique. Ainsi, Simplicios, vers 535 :

"La discipline qui considère les réalités entièrement séparées de la matière et la pure activité de l'intellect en acte et de l'intellect en puissance, celle qui est élevée à lui du fait de l'activité, tout cela ils l'appellent théologie, philosophie première et métaphysique, puisque cela se situe au-delà des réalités physiques" (Commentaire sur la 'Physique' d'Aristote, I, 21).

La philosophie grecque postérieure n'a pas toujours retenu cette discipline, le stoïcisme divisait ainsi la logique, l'éthique et la physique.

Mais la scolastique médiévale a forgé le terme par l'usage, donnant le sens de « par delà la physique » sous lequel on reconnaît désormais la métaphysique.

L'objet de la métaphysique

Il est très délicat de vouloir définir la métaphysique car historiquement ce terme a pu recouvrir des problèmes et questions très variés.

Par métaphysique on entend l'étude des questions fondamentales telle la question concernant l'immortalité de l'âme, l'existence de Dieu, les raisons de l'existence du Mal ou le sens de la vie.

Mais plus spécifiquement par métaphysique on entend aussi l'étude de l'« être en tant qu'être » (cette discipline est l' ontologie) pour reprendre la célèbre formule d'Aristote c'est-à-dire de l'étude de la (substance)[1].

Article détaillé : ontologie (philosophie).

Quelques exemples de questions métaphysiques :

  • Qu'est-ce que l'être ?
  • Pourquoi y a-t-il de l'être plutôt que rien ?
  • Existe-t-il une cause première ?
  • Qu'est-ce que la liberté ?
  • Est-ce que Dieu existe ?
  • Est-ce que l'âme est immortelle ?
  • Quel est le sens de la vie ?
  • Qu'est-ce que la substance ?
  • En quoi consiste la finalité des choses ?
  • Le bonheur est-il quelque chose de relatif ?
  • Comment faire lien entre l'Être, l'Univers et soi ?

Tentatives de définition

Une des définitions comparatives de la métaphysique, parmi les plus courantes, consiste à dire qu'elle ne s'interesse pas aux objets étudiés par les disciplines empiriques (biologie, physique, chimie, sociologie, sciences politiques etc.). Cela signifie que ni l'expérimentation ni l'observation des faits ne sont importantes pour le métaphysicien, contrairement aux pratiques et méthodes des sciences naturelles et des sciences exactes; le métaphysicien s'appuyant uniquement sur la logique de sa pensée.

Mais au cours du XXe siècle apparaît une nouvelle façon de faire de la métaphysique reposant sur le désir de répondre à ses questions traditionnelles en prenant en compte les acquis de la science actuelle. Le premier représentant de cette conception moderne de la métaphysique est Henri Bergson dans Matière et mémoire .

Cette conception de la métaphysique annonce le travail effectué dans le domaine de la philosophie de l'esprit qui a tenté de tisser des liens entre métaphysique, sciences cognitives et neurologie.

Concepts métaphysiques

Cette liste présente une série de concepts métaphysiques:

Questions centrales de la métaphysique

La plupart des prises de position qui peuvent être adoptées au regard des questions suivantes sont prises en compte par l'un ou l'autre des principaux philosophes.

Il est souvent difficile de cadrer les questions d'une façon non controversée.

L'âme

Les deux questions métaphysiques les plus importantes concernant l'âme portent sur la nature de la relation entre l'âme et l'esprit et d'autre part l'immortalité de l'âme.

Le problème du rapport entre le corps et l'esprit

Il y a d'autres types de problèmes très différents en métaphysique. La pomme est un type de chose ; maintenant si Sophie est dans la pièce, et que nous disons que Sophie a un esprit, nous allons sûrement dire que l'esprit de Sophie est un type de chose différent de la pomme (si du moins c'est un type de chose). Elle pourrait dire que son esprit est immatériel, mais la pomme est un objet matériel (bien qu'il y ait beaucoup de désaccord parmi les philosophes sur le statut métaphysique des esprits. De plus, cela semble un peu étrange de dire que l'esprit de Sophie est situé dans un endroit particulier; peut-être pourrait-on dire qu'il est quelque part dans la pièce ; mais la pomme est située de toute évidence dans un endroit particulier, à savoir au milieu de la table. Cela semble clair que les esprits sont fondamentalement différents des corps physiques. Mais si c'est le cas, comment quelque chose de mental, comme une décision de manger, peut-elle provoquer un événement physique, comme croquer la pomme ? Comment les choses sans cerveau ne peuvent-elles pas faire des opérations mentales, comme prendre des décisions ou avoir des sentiments ? Comment l'esprit et le corps sont-ils interconnectés d'un point de vue causal s'il y a deux types de choses totalement différents ? Ceci est appelé le problème corps-esprit, qui constitue aujourd'hui l'objet propre d'une sous-discipline de la philosophie appelée philosophie de l'esprit. Le problème corps-esprit est quelquefois encore considéré comme une partie de la métaphysique ; cependant, peut-être le véritable problème appartenant à cette branche est-il celui de la conscience. Aucune discipline n'a encore été capable d'expliquer complètement ce qu'est la conscience et comment elle fonctionne, bien qu'il semble clair que cela demande une certaine activité du cerveau.

La question de l'immortalité de l'âme

Depuis le Phédon de Platon la question de l'immortalité de l'âme est un des objets les plus importants de la métaphysique. Les deux thèses fondamentales qui s'opposent sur cette question sont respectivement les matérialistes (comme Épicure) et les spiritualistes. Preuve de l'immortalité (Platon) de l'âme ce qui est simple (non décomposable) ne peut être saisi que par quelque chose de simple. Or l'idée (au sens de Platon) est simple (par exemple l'idée du triangle est simple; je saisis ce qu'est le triangle en une seule opération de l'esprit). Ce qui est saisi, l'idée, c'est la raison (ce n'est pas l'imagination, ni les sens). La raison est simple car elle ne peut se décomposer; elle est toujours la même. Donc la raison (ou l'âme) est immortelle.

Article détaillé : Vie après la mort.

Dieu

Ce problème se pose lors de la recherche des principes ou causes qui sont à l'origine de l'homme, de son existence propre - « je suis, donc il est » pourrait dire l'homme -, mais aussi portant sur la Nature. Ainsi l'on recherche la cause d'un Créateur premier, d'un architecte omnipotent, responsable de tous les êtres sur Terre, mais aussi des essences qui les composent. Cependant certains philosophes nient l'existence de ce dieu, non dans le sens d'une religion mais dans le sens d'une origine d'où découlent la pluralité des êtres, et les causes qui ont suscité leur existence. D'autres, affirment l'existence de Dieu, comme Descartes, qui, dans Les Méditations Métaphysiques, après avoir confirmé son existence, grâce au doute, conclut à l'existence de Dieu. De ce fait, il met en œuvre une argumentation méthodique (ordre des raisons) où il expose l'idée suivante : un Dieu, qui est créateur de toutes choses, des essences mêmes, des êtres et des étants, dont la connaissance, le savoir, seraient illimités et même inconcevables pour la raison humaine qui est bornée(pour l'instant), existe du simple fait qu'il ait originé dans mon esprit, ou raison, l'idée même de sa possible existence. De plus, il existe chez Descartes une hiérarchie des idées, où la cause de quelque chose doit être plus parfaite que ce qu'elle origine. Donc, notre idée de Dieu, encore imparfaite et limitée, montre bien que lui-même est possesseur d'une perfection infinie. D'autre part, la théorie cartésienne des vérités éternelles se base sur le fait que Dieu est créateur d'absolument toutes choses, y compris les vérités de la nature, les causes physiques et matérielles du monde, les essences des êtres animés ou inanimés, l'ordre universel.

La liberté

La question de la liberté peut être considérée comme une question métaphysique par excellence dans la mesure où elle concerne le statut de l'homme au sein de la nature. La liberté qualifie en effet la relation de l'homme en tant qu'agent et du monde physique, relation notamment considérée dans son rapport à un déterminisme supposé ou réel. Cette question concerne donc particulièrement l'immanence et la transcendance de la volonté humaine par rapport au monde.

La liberté s'oppose en général (ce n'est donc pas toujours le cas) au déterminisme, au fatalisme et à toute doctrine qui soutient la thèse de la nécessité du devenir. Le concept de liberté divise très schématiquement les philosophes en deux camps : ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Épicure, Descartes, Kant), et ceux qui nient une quelconque transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes tels que la sensibilité (Démocrite, Spinoza, Nietzsche) :

« Il existait deux opinions sur lesquelles se partageaient les anciens philosophes, les uns pensant que tout se produit par le destin, en sorte que ce destin apportait la force de la nécessité (Démocrite, Héraclite, Empédocle, Aristote étaient de cet avis), les autres pour qui les mouvements volontaires de l’âme existaient sans aucune intervention du destin ; Chrysippe, en position d’arbitre officieux, me paraît avoir choisi la position intermédiaire ; mais il se rattache plutôt à ceux qui veulent voir les mouvements de l’âme libérés de la nécessité. » (Cicéron, Du destin, §39).

On dirait aujourd'hui qu'il y a une opposition entre physicalisme et mentalisme, i.e. entre la causalité physique (physicalisme) à laquelle tous les êtres peuvent être réduits et la causalité mentale (mentalisme), qui peut être une théorie matérialiste, tout en reconnaissant une action propre du mental. Dans le premier cas, il s'agit d'expliquer comment on peut naturaliser la volonté, sans reconduire un dualisme métaphysique classique, et comment il est encore possible de parler d'action et de responsabilité, alors que l'on en a supprimé la condition ; dans le second cas, il s'agit plutôt d'expliquer comment une causalité mentale est possible qui évite aussi ce dualisme souvent difficile à rendre intelligible. Un des points les plus intéressants que met ainsi en lumière cette opposition, c'est le caractère souvent difficile à déterminer du concept de liberté.


Espace et temps

En ce sens, physique et métaphysique ne sont pas si éloignées l'une de l'autre. D'un côté, la science repose sur une foi, sur des présupposés métaphysiques (ainsi que l'affirme Nietzsche) ; et de l'autre côté, « la science crée de la philosophie » (dixit Gaston Bachelard). Il est intéressant, d'ailleurs, de constater l'impact très direct de la révolution einsteinienne sur la métaphysique, ce dont on trouve un exemple significatif à travers l'œuvre d'Alfred North Whitehead, notamment son « Essai de Cosmologie », Procès et Réalité - ce à quoi on pourrait ajouter qu'il ne s'agit point d'une exception, puisque toutes les révolutions en physique (que ce soient celles initiées par Galilée ou encore Isaac Newton) ont eu des conséquences sur la pensée métaphysique.

Nécessité et possibilité

Les métaphysiciens étudient des questions sur ce que le monde aurait pu être. Dans De la pluralité des mondes, David Kellogg Lewis adopta un point de vue appelé réalisme concret modal, selon lequel les choses auraient pu devenir vraies dans d'autres mondes concrets, comme dans le nôtre où les choses sont différentes.

D'autres philosophes, comme Gottfried Leibniz (cf. Essai de théodicée), ont traité de l'idée de mondes possibles aussi. L'idée de nécessité est que tout fait nécessaire est vrai à travers tous les mondes possibles ; c'est-à-dire, que nous ne pouvons pas imaginer qu'il en soit autrement. Un fait possible est un fait qui est vrai dans un monde possible, même s'il ne l'est pas dans le monde actuel. Par exemple, il aurait été possible que certaines catégories de pommes n'aient pas existé. Au contraire, certaines vérités semblent nécessaires, comme les vérités analytiques, par ex. « tous les bacheliers sont célibataires. » L'exemple de la nécessité d'une vérité analytique n'est pas universellement accepté parmi les philosophes. Un point de vue moins controversé pourrait être que l'auto-identité est nécessaire, du fait qu'il semble fondamentalement incohérent d'affirmer que pour tout x, il n'est pas identique à lui-même.

Ces idées sur les mondes possibles peuvent être mise en parallèle avec :

Mises en cause de la métaphysique

L'empirisme logique

Le Cercle de Vienne s'était fixé pour but de débarrasser la philosophie et la science de la métaphysique, en appliquant à tout énoncé une analyse logique rigoureuse.

Dans cette perspective, tout énoncé doit pouvoir être analysé et renvoyé à quelque chose de réel par exemple en répondant à des questions telles que :

  • de quel énoncé S est-il déductible et quels énoncés sont déductibles de S ?
  • comment S doit-il être vérifié ?

Cette critique logique, développée par Carnap par exemple, dénonce, entre autres, les confusions du vocabulaire heideggérien. Dans cette perspective, la métaphysique est réduite à une poétique du vécu, qui exprime le sentiment que l'on a de l'existence, sans jamais renvoyer à quelque chose de scientifiquement et empiriquement attestable.

Histoire de la métaphysique

Article détaillé : Histoire de la métaphysique.

La métaphysique a connu de nombreuses et importantes transformations au cours de son histoire. On décompose en général l'histoire de la métaphysique en quatre périodes :

La métaphysique dans les autres civilisations

Articles détaillés : Philosophie chinoise et Philosophie indienne.

Mais ce terme d'origine grecque n'est manifestement pas réservé au monde occidental : on peut l'appliquer, avec quelques nuances importantes, à presque toutes les grandes civilisations orientales : le Védanta en Inde, les écrits Taoïstes en Chine sont tout autant « métaphysiques » quoique les modalités d'approche soient différentes de celles du monde gréco-latin et chrétien.

Par exemple, dans la Bhagavad-Gîtâ, le chant XI montre Arjuna contemplant l'omniforme :

« Et comment, ô grand Être, ne s'inclineraient-ils pas devant toi, plus vénérable que Brahmâ lui-même, toi l'ordonnateur primordial ? O Seigneur infini des dieux, toi qui fais de l'univers ta demeure, tu es l'impérissable, l'Être et le Non Être et ce qui est par-delà. »

Dans le Dao de jing de Lao-tseu

"La voie qui pourrait être une voie
n'est pas la voie éternelle.
Le nom qui pourrait la nommer
n'est pas un nom éternel.
Sans nom, elle est le commencement du ciel et de la terre.
Ayant un nom, elle est la mère de milliers d'êtres."[2]

Le philosophe Nāgārjuna expose dans le Mulamadhyamakakarika la doctrine bouddhiste de la vacuité, qui du point de vue de la philosophie occidentale est un scepticisme ontologique :

« Si l'Être n'est pas, de quoi le non-Être est-il la négation ? »

Citations

  • « La nausée métaphysique nous fait hoqueter des pourquoi. » Jean Rostand biologiste (1894-1977).
  • « Un grand défi qui se présente à nous au terme de ce millénaire est de savoir accomplir le passage, aussi nécessaire qu'urgent, du phénomène au fondement. Il n'est pas possible de s'arrêter à la seule expérience ; même quand celle-ci exprime et manifeste l'intériorité de l'homme et sa spiritualité, il faut que la réflexion spéculative atteigne la substance spirituelle et le fondement sur lesquels elle repose. Une pensée philosophique qui refuserait toute ouverture métaphysique serait donc radicalement inadéquate pour remplir une fonction de médiation dans l'intelligence de la Révélation. » Jean-Paul II, encyclique Fides et Ratio du 14 septembre 1998
  • « Subtilité dans la pénurie. — Gardez-vous surtout de vous moquer de la mythologie des Grecs, sous prétexte qu'elle ressemble si peu à votre profonde métaphysique ! Vous devriez admirer un peuple qui, dans ce cas particulier, a imposé un arrêt à sa rigoureuse intelligence et qui a eu longtemps assez de tact pour échapper au danger de la scolastique et de la superstition sophistique. » Nietzsche, Aurore §85
  • « Si la physique s'occupe de dialectiquer la nature/nature, la métaphysique, elle, confronte l'homme/nature »(Simon Chenier)
  • « Il faut donc dire que l'objet adéquat de cette science [la métaphysique] est l'étant en tant qu'étant réel » (Francisco Suarez, Disputationes metaphysicae, I ; 1)
  • « On nomme métaphysique ce qui surpasse la nature et qui est au-delà de la causalité et du langage » (Errenios)
  • « Dieu n'est pas sujet dans la métaphysique [...] il n'y a qu'une seule science à propos de Dieu comme premier sujet, qui n'est pas la métaphysique » [mais la théologie] (Duns Scot, Reportata parensiensa)
  • « En métaphysique, le philosophe détermine ensemble l'étant commun et le premier étant, qui est séparé de la matière. » (Thomas d'Aquin, In de generatione e corruptione)
  • « La métaphysique a cela de bon qu'elle ne demande pas des études préliminaires bien gênantes : c'est là qu'on peut tout savoir sans rien avoir appris » (Voltaire)
  • « Un philosophe n'est pas philosophe s'il n'est métaphysicien ; et c'est l'intuition de l'être qui fait le métaphysicien » (Maritain)
  • « La métaphysique repose sur une expérience privilègiée qui est celle de l'acte qui me fait être » (Lavelle)
  • « La biologie... (est la science) qui tente d’aller le plus directement au cœur des problèmes qu’il faut avoir résolus avant de pouvoir seulement poser celui de la « nature humaine » en termes autres que métaphysiques. » Jacques Monod (1910-1976) prix Nobel 1965 de médecine (biologie.)
  • « En métaphysique rien n'est sûr, sauf la migraine qui en est le prix ». Arthur Schopenhauer, in Sur la religion.

Notes et références

  1. Livre delta de la Métaphysique d'Aristote
  2. Référence de la traduction : http://www.geocities.com/nyssen/lao.htm

Bibliographie

Voir aussi

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Articles connexes

Littérature métaphysique

Le roman métaphysique est un style littéraire. Parmi les romans métaphysiques :

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