- 13e RDP
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13e régiment de dragons parachutistes
13e régiment de dragons parachutistes
Insigne régimentaire du 13e RDPPériode 4 octobre 1676 Pays France Branche Armée de terre Type Régiment parachutiste dragons Rôle Renseignement Fait partie de Brigade des forces spéciales terre Garnison Dieuze Devise « Au-delà du possible »
Nunc Leo, Nunc Aquila (tantôt lion, tantôt aigle)Inscriptions sur l’emblème Valmy 1792
Hohenlinden 1800
Austerlitz 1805
Iéna 1806
La Moskova 1812
Ypres 1914
Verdun 1916
AFN 1952-1962Anniversaire Saint-Michel (29 septembre) Guerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Algérie
Guerre du Golfe
Guerre d'Afghanistan (2001)Batailles Bataille de Valmy
Bataille d'Austerlitz
Bataille d'Iéna
Bataille d'Ypres
Bataille de VerdunDécorations Croix de guerre 1939-1945 avec palme
Médaille d'or de la Ville de Milanmodifier Le 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP) est un régiment français constitué sous l'Ancien Régime par le marquis de Barbezières au Languedoc en 1676, et formant actuellement une unité parachutiste. Spécialisé dans le renseignement, il fait partie, depuis 2002, de la Brigade des forces spéciales terre (BFST) et dépend, pour emploi, du Chef d'état-major des armées et, par délégation, de la Direction du renseignement militaire (DRM) ou du Commandement des opérations spéciales (COS)[1]. Le 13e dragons est un des plus anciens régiments de cavalerie français. Dans le cadre de la réforme de la carte militaire, le régiment, actuellement implanté à Dieuze, en Moselle, devrait être déplacé en 2011 au Camp de Souge en Gironde.
Création et différentes dénominations
- 4 octobre 1676 : Levée du régiment en Languedoc par le marquis de Barbezières.
- 1724 : prend le nom de Dragons de Condé
- 1744 : prend le nom de Régiment de Barteillat[2], puis à partir de
- 1774 : Comté-de-Provence, puis la même année Dragons de Monsieur
- 1791 : il devient le 13e régiment de dragons.
- 1815 : dissolution du régiment
- 1855 : nouvelle formation sous le nom de régiment de dragons de l'Impératrice en référence à l'Impératrice Eugénie
- 1870 : redevient le 13e régiment de dragons
- 1936 : mécanisation (chars Somua et Hotchkiss)
- 1940 : à nouveau dissous après la perte de 90 % de ses effectifs
- 1944 : nouvelle formation
- 1946 : dissolution
- 1948 : nouvelle formation
- 1952 : réorganisation du régiment qui prend son nom définitif de 13e régiment de dragons parachutistes
- 1955 : il part en Algérie, où il reste jusqu'en 1961
- 1963 : le régiment s'installe à Dieuze en tant que régiment d'appui et de recherche dans la profondeur.
- 2008 : le 13e RDP est l'un des régiments touchés par la réforme de la carte militaire, laquelle prévoit sa réinstallation au camp de Souge, (Gironde) à compter de 2011.
Historique des garnisons, combats et batailles
Ancien régime
Révolution et Empire
- 1792 : Valmy et Vouziers
- 1793 : La Roer
- 1794 : Grave et prise de Breda
- 1797 : Passage du Rhin, Diersheim, et Hasslach
- 1799 : Frauenfeld, Rapperschwyl, et Zurich
- 1800 : Fregelhurts, Gorges, Enfer, blocus d'Ingolstadt, et Hohenlinden
- 1805 : Passage du Rhin, Passage du Danube, Enns, Hollabrun, et Austerlitz
- 1806 : Iéna, Nasielsk, et Pultusk
- 1809 : La Corogne, Oporto, et Passage du Tage
- 1811 : Ciudad-Real
- 1812 : La Rosas, La Moskova
- 1813 : Leipzig
- 1814 : Mormant et Saint-Dizier
- 1815 : Wavre et bataille de Rocquencourt
1815 - 1848
IIe république et Second Empire
1870 - 1914
Première Guerre mondiale
- 1914 : Bataille d'Ypres
- 1916 : Bataille de Verdun
Entre-deux-guerres
En 1937, basé à Melun, le régiment est transformé en unité d'automitrailleuse de combat, avec deux escadrons de 20 Hotchkiss H35 et deux autres de 20 Somua S-35, au sein de la toute nouvelle 2e division légère mécanique, où il forme avec 29e régiment de dragons, la 3e brigade légère mécanique.
Seconde Guerre mondiale
Avec sa division, le 13e régiment de dragons, qui fait partie du corps de cavalerie de la 1re Armée, est encerclé en Belgique et ses éléments sont évacués à Dunkerque, puis à nouveau déployés en France où il combattront jusqu'à l'armistice.
Recréée en octobre 1944, l’unité est rattachée au printemps 1945 à l’armée commandée par le général Larminat chargée de la réduction des poches de résistance allemande sur la côte atlantique. Il participe de ce fait à la reconquête de la Rochelle, Royan, ile d'Oléron et la pointe de la Coubre[3].
De 1945 à nos jours
- 1954 à 1962 : guerre d'Algérie
- 1977 : Mauritanie
- 1978 : Tchad
- 1978 : Zaïre Kolwezi
- 1979 : République centrafricaine
- 1983-1986: Tchad
- 1986 : Togo
- 1990 :guerre du Golfe
- 1991 : Rwanda
- 1991 : Zaïre
- 1992 : guerres de Yougoslavie
- 1993 : Somalie et Cambodge
- 1994 : Rwanda
- 1995 : Comores
- 1996-1997 : République centrafricaine
- 1997 : Albanie
- 1998 : Gabon
- 1999 : Macédoine
- 1999 : Kosovo
- 2001 - 200x : Afghanistan, Cameroun, Éthiopie, Liban, Indonésie, Timor, Haïti, Sénégal, Guinée, Côte d'Ivoire...
Traditions
Devise
Au-delà du possible "Nunc Leo, Nunc Aquila" (tantôt lion, tantôt aigle)
Insigne
Brigade des forces spéciales terre Description héraldique:Ecu de dame de sinople à l’ombre de soleil éteint de vieil ivoire issant de la pointe accompagnée en chef de deux « E » adossés et entrelacés en scriptes d’or brochant sur les raies et chargés en pointe d’un aigle impérial de sable plumeté d’or. À la bordure d’or chargée en flancs, de feuille de lauriers du même et en pointe d’un listel aussi d’or portant le titre « 13e Dragons » en chiffres et en capitales gravées. Pour timbre une couronne impériale d’or brochant sur le chef de l’écu et assortie de deux lambrequins aussi d’or, en forme de banderoles, chargée d’abeille même.
Étendard
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes [4],[5]:
- Sur les soies bleues :
- Sur les soies blanches :
Chant
- Un esprit de tradition
Nous sommes les descendants des fiers dragons
De l'Impératrice, nos escadrons
vainqueurs à Austerlitz, A Iéna, La Moskova
Ont fait l'impossible et vont encore bien au-delàComme notre griffon
Tour à tour aigle et lion
Nous sommes soldats du ciel et de la terre
Parachutiste un soir
Commando le lendemain
Les armes à la main pour suivre notre destin
Nous irons nous battre un jour
Pour l'honneur et pour l'amour
De la liberté de la patrieNous sommes les descendants des fiers dragons
De l'Impératrice, nos escadrons
vainqueurs à Austerlitz, A Iéna, La Moskova
On fait l'impossible et vont encore bien au-delàCes charges que l'on empoigne
Deviennent nos compagnes
Quand nous partons la nuit vers l'inconnu
Disparaître dans les bois
La mission faisant foi
Dans la pluie, le vent, nous restons à l'affût
C'est ça notre destin
C'est de vivre en clandestin
Silence, discrétion, c'est notre but.Décorations
Le régiment a reçu les décorations suivantes :
- Croix de guerre 1939-1945 avec palme
- Médaille d'or de la Ville de Milan (non cousue sur la cravate)
Il a pour marraine, depuis avril 1959, Son Altesse Impériale Alix, princesse Napoléon.
Armes d'honneurs (décorations révolutionnaires)
- Nicolas Brunon, maréchal des logis : Sabre d'Honneur
- Fievre, Brigadier : Fusil d'Honneur
- Guillaume Gannard, brigadier : Fusil d'Honneur
- Jean-Francois Laine, brigadier : Fusil d'Honneur
- Claude Gondard, brigadier : Légion d'Honneur
Chefs de corps
Ancien régime
- 1676 : Marquis de Barbezières -
- 1678 : Marquis de Fimarcon (mort au champ d'honneur) -
- 1692 : Marquis de Fimarcon -
- 1705 : Comte de Fimarcon -
- 1708 : Marquis de Foy -
- 1713 : Comte de Châtillon -
- 1714 : Marquis de Guesbriant -
- 1738 : Marquis d'Argence -
- 1740 : Chevallier de Mailly -
- 1744 : Comte d'Egmont -
- 1753 : Marquis de Marbeuf -
- 1761 : Comte de Chabrillant -
- 1763 : Chevalier de Montécler -
- 1774 : Marquis de la Châtre-Nançay -
- 1788 : Comte de Damas –
Révolution et Empire
- 1791 : Baron Charles Francois de Malvoisin - Colonel
- 1792 : Jean Bernard Gauthier de Murnan - Colonel (*)
- 1793 : César Chanoine de Rocmont - Chef de brigade
- 1796 : Joseph Fouques - Chef de brigade
- 1797 : Dominique Mansuy Roget - chef de brigade (**)
- 1799 : René Gabriel Levasseur - Chef de brigade, puis colonel en 1803
- 1804 : Armand Louis Debroc - Colonel (")
- 1806 : Pierre Victor Laroche - Colonel
- 1808 : Arrighi (général de division) - Colonel (à vérifier)
- 1809 : Louis-Michel Letort de Lorville (général de division) - Colonel - mort au combat en 1815
- 20 janvier 1810 : Marie Antoine de Reiset - Colonel (*)
- 1813 : Marie Frédéric Mouginot - Colonel
- 1813 : Jean Sylvestre Johannes - Colonel
- 1814 : Pierre Joseph Ligniville - Colonel
- 1814 : Comte Adrien d'Astorg - Colonel (**)
- 1815 : Jean-Baptiste Saviot - Colonel
(*) Officiers devenu par la suite généraux de brigade, (**) Officiers devenu par la suite généraux de division, (") officiers devenu par la suite Major-général
Colonels tués ou blessés alors qu'ils commandaient le régiment pendant cette période :
- Colonel de Broc : blessé lors de la bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805
- Colonel Reiset blessé à trois reprises : mars 1810, 11 août et 15 août 1812
- Colonel Monginot : blessé le 22 août 1813 et mort des suites de ses blessures le 8 septembre de la même année.
Nombre d'officiers tués ou blessés pendant qu'ils servaient dans le 13e régiment de dragons (entre 1805-1815) :
- Officiers tués : 7
- Officier mort des suites de ses blessures : 1
- Officiers blessés : 54
Restauration
- 1815 : Jean-Baptiste Saviot
IIe République et Second Empire
- 1856 : Crespin -
- 1861 : Pajol -
- 1865 : Massue -
- 1868 : Sautereau Dupart -
IIIe République
- 1871 : Barbault de Lamotte -
- 1876 : de Villeneuve Bargemont -
- 1878 : Humann -
- 1882 : Letenneur -
- 1883 : Lacoste de l'Isle -
- 1890 : de Ganay -
- 1893 : de Cleric -
- 1898 : Durand de Villiers -
- 1902 : Thil -
- 1906 : Labit -
Première Guerre mondiale
- 1911 : de la Tour -
- 1915 : Larroque -
- 1918 : Vuillier -
Entre-deux-guerres
- 1919 : Boucher -
- 1919 : de Gail -
- 1920 : Dugue Mac Carthy -
- 1920 : Patissier -
- 1923 : Cadiot -
- 1925 : Perrot du Varnay -
- 1931 : Bret -
- 1934 : de la Forgue de Bellegarde -
- 1935 : Bizot Espiard -
- 1936 : Isengart -
Seconde Guerre mondiale
- 1939 et 1940 : lieutenant-colonel Juin de Baissé -
- 1944 : Georges Lesage -
IVe République
- 1948 : Henry -
- 1952 : Roland -il devient 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP).
- 1954 : Audemard d'Alançon - (beau-père d'Yves Mourousi)
- 1956 : Pallu -
Ve République
- 1958 : Pottier -
- 1960 : du Serech d'Aurimont de Saint-Avit -
- 1961 : Dunand-Henry -
- 1963 : de Courson de la Villeneuve -
- 1965 : d'Harcourt -
- 1967 : Bizard -
- 1969 : Morbieu -
- 1971 : Renaud -
- 1973 : Faivre -
- 1975 : Heux -
- 1977 : Bichon -
- 1979 : Gomart - son fils commandera le même régiment en 2003.
- 1981 : Ferron -
- 1983 : Baleyte -
- 1985 : Marin -
- 1987 : Guy Huchet de Quénetain -
- 1989 : Clément -
- 1991 : de la Tousche -
- 1993 : Fleury -
- 1995 : Lebel -
- 1997 : Bolelli -
- 1999 : Lassalle -
- 2001 : Chandouineau
- 2003 : Gomart - son père a commandé le même régiment en 1979.
- 2005 : Liot de Nortbecourt -
- 2007 : Toujouse -
Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment
Personnalités ayant servi au sein du régiment
Le chanteur Maxime le forestier a servi au 13e RDP et sa chanson "parachutiste" est une evocation de son service.
Le régiment aujourd'hui
Subordinations
Le 13e Régiment de dragons parachutistes appartient à la Brigade des forces spéciales terre depuis le 1er juillet 2002 (date de création de la BFST), aux cotés du 1erRégiment Parachutiste d'Infanterie de Marine (1er RPIMa) et du Détachement ALAT des opérations spéciales (DAOS). (ref site http://www.defense.gouv.f)
Composition
- 1er : Escadron d'instruction, son but : Former les jeunes dragons.
- 2e : Spécialiste milieu nautique (plongeurs etc).
- 3e : Spécialiste montagne en milieu grand froid et en zone équatoriale (du Brésil à l'Oural, la montagne et la forêt sont leurs terrains de prédilection).
- 4e : Spécialiste désert, mobilité et immersion en zones désertiques.
- 5e : Spécialiste 3e dimension, sauts de grande hauteur (HAHO/HALO, jusqu'à 10 000 mètres avec assistance réspiratoire)
- 6e : Spécialiste Transmission et traitement de l'information
- 7e : Escadron de réservistes
Missions
Basé à Dieuze (Moselle) depuis 1963, le 13e régiment de dragons parachutistes est une unité spécialisée dans le renseignement humain en profondeur, au profit des divers états-majors (CEMA, CEMAT, COS).
Ses missions consistent à acquérir le renseignement, en tout temps et en tout lieu, au moyen de petites unités autonomes et discrètes, capables de se positionner au plus près du renseignement à acquérir, et à le transmettre. Pour ce genre de mission, les unités du 13e RDP pratiquent ce qu'ils appellent des "caches", c'est-à-dire des opérations de camouflage de lieux de vie destinés à l'observation et à la transmission. Les hommes du 13e RDP sont chuteurs opérationnels, c'est-à-dire capables d'être largués à très haute altitude et à grande distance de leur cible. Ils interviennent en uniforme et armés mais pour eux l'usage de l'arme est signe d'échec, puisque la discrétion est de rigueur. Il existe dans le régiment plusieurs types de spécialisation pour l'infiltration par voies aquatiques (avec combinaison sèche), en montagne ou en milieu enneigé, dans le désert ou bien encore par largage aérien à très haute altitude (HAHO/HALO).
Depuis juillet 2002, le régiment est intégré à la Brigade des forces spéciales terre (BFST) et dépend, pour emploi, du Commandement des opérations spéciales (COS) et de la Direction du Renseignement Militaire (DRM).
Son articulation est la suivante :
- 1 escadron de base et d'instruction spécialisée (1er escadron) ;
- 4 escadrons de recherche aéroportés, mettant sur pied les équipes de recherche (2e, 3e, 4e et 5e escadrons) ;
- 1 escadron de transmissions (6e escadron) ;
- 1 escadron de réserve (7e escadron) ;
- ECL - escadron de commandement et de logistique ;
- EAS - escadron d'administration et de soutien.
Il est le seul régiment de recherche du renseignement derrière les lignes ennemies et le seul à recevoir des missions du niveau stratégique.
Formation
La formation des spécialistes de la recherche aéroportée dure en tout et pour tout 18 mois et comprend :
- la FGI
- le Brevet Parachutiste (2semaines)
- le Certificat Pratique Recherche Aéroportée (CP RA)
- la Formation Spécialisée élémentaire (FSE)
- Le Certificat Technique Élémentaire LANGUE (pour les observateurs en équipe de recherche)
- Certificat Technique Élémentaire RADIOGRAPHISTE (pour les transmetteurs en équipe)
Au cours de la carrière, la formation est continue et d'autres brevets et examens doivent être passés (CT1, stage de chef d'équipe en recherche aéroportée, BSTAT...)
Matériels
Le 13e RDP est doté des matériels les plus performants de transmission, informatique, photo et vidéo de dernière génération.
Son armement est des plus complets et lui permet de faire face à tous types de missions. La plupart des nouveaux modèles de tenues ou d'armes sont testés par ce régiment avant d'être mis en vente.
Stationnement
Notes et références
- ↑ Page du « 13 » sur le site du ministère de la Défense.
- ↑ État militaire de 1760 et Louis Joachim Jehannot de Bartillat
- ↑ Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (ISBN 2-7467-0495-1), p 51
- ↑ Décision n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n°27, 9 novembre 2007
- ↑ Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel du 13 RDP
- Site officiel de l'amicale des anciens du 13 RDP
- Sur le site (non officiel) consacré aux forces spéciales
Vidéos
- Journées Portes Ouvertes 2009 (vidéo officielle - 6mn)
- Journées Portes Ouvertes 2009 (vidéo non officielle - 10mn)
- 13° RDP: les soldats de l'ombre sur wat.tv (6mn)
- 13° RDP: au-delà du possible (3mn)
Sources et bibliographie
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