Hunnique

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Huns

Les Huns au combat contre les Alains : illustration de Geiger (1873) .

Les Huns étaient un peuple nomade originaire de lAsie centrale dont la présence en Europe est attestée à partir du IVe siècle.

Sommaire

Origine des Huns

La question de lorigine des Huns est complexe. Linguistiquement, daprès lonomastique, ils semblent former un conglomérat avec de nombreux noms dorigine turque, mais aussi iranienne et gotique, et dautres dorigine inconnue. En effet, les Huns occidentaux forment une fédération de peuples turco-mongols et indo-européens (germaniques et slaves) par une politique d'assimilation des peuples vaincus tout au long de leur migration jusqu'aux frontières de l'Empire romain (phénomène de l'ethnogenèse) ; d'ailleurs, la plupart des Huns sont des Goths et des Alains (iraniens), c'est pourquoi on peut parler de ligue alano-germano-hunnique. De nombreux historiens ont avancé lhypothèse que les Huns étaient danciens Xiongnu, peuple originaire de Mongolie dont les annales chinoises permettent de retracer lhistoire à partir du IIIe siècle av. J.-C. Cette identification a été contestée, notamment dans les travaux dOtto John Maenchen-Helfen, le père des études sur les Huns en Europe.

Les Xiongnu ont-ils pu donner naissance aux Huns qui apparaissent sur la Volga à partir de 374 avant denvahir lEurope ? La question est extrêmement controversée et a fait lobjet de multiples travaux depuis que De Guignes a, le premier en 1758, proposé de les identifier. La mention dans l'Ancienne Lettre sogdienne de 313 des pillards Xwn de Luoyang, les sources chinoises parlent des Xiongnu, avait semblé être un témoignage décisif en faveur de lassimilation (Henning, 1948), avant quO. Maenchen-Helfen tente de prouver à plusieurs reprises que les uns et les autres étaient sans rapport, en utilisant essentiellement des données archéologiques, mais en critiquant aussi les textes. Si lon doit à ce dernier davoir montré toute la complexité de la question hunnique (Maenchen-Helfen, 1973) et si sa prudence a dans lensemble prévalu[1], le raisonnement de Maenchen-Helfen, sil vaut très largement dun point de vue ethnique (les Huns sont formés essentiellement dun conglomérat de peuples), ne saurait être accepté en termes didentité politique.

Il semble tout dabord possible de prouver que le nom est bien identique. En 313, cest un marchand sogdien écrivant dans le corridor du Gansu qui, dans une lettre à un correspondant de Samarcande, décrit avec précision les pillages des Xiongnu méridionaux en Chine et les appelle Xwn, nom quon doit rapprocher de celui des Huns[2]. Faut-il le rapprocher de celui des Xiongnu (˓χi̯wong ˓nuo) ? Le rapprochement ne pose pas de problème aux spécialistes de phonologie chinoise et surtout, on voit mal quelle autre origine on pourrait donner à ce nom, qui est toujours donné comme équivalent de celui des Xiongnu dans toutes ses premières occurrences centre-asiatiques : outre l'Ancienne Lettre sogdienne, il faut aussi citer les traductions bouddhique de Chu Fahu (Dharmarakṣa), un Yuezhi de Dunhuang, qui, en 280, traduit le Tathāgataguhya-sūtra (perdu mais dont on a une version tibétaine qui donne Hu-na) du sanskrit en chinois et rend Hūṇa par Xiongnu, puis en 308 fait de même dans sa traduction du Lalitavistara (conservé, Daffinà, 1994, p. 10).

Les Sogdiens connaissaient les Xiongnu depuis lextension de lempire de ces derniers à lAsie centrale occidentale au IIe siècle av. J.-C. et on ne peut pas non plus douter de la qualité du témoignage (contra Sinor, p. 179 qui doit présupposer que le nom des Huns est générique, sans se demander pourquoi, et surtout Maenchen-Helfen, 1955, qui tente sans convaincre de rabaisser ce témoignage basé sur des témoins oculaires en le comparant avec des exemples livresques: il faudrait de solides raisons pour penser que ce marchand sogdien ou ce moine yuezhi de Dunhuang ne leur ont pas donné leur nom réel, raisons qui pour lheure nexistent pas.

Mais ces textes nimpliquent pas que les Huns dEurope ou dAsie centrale après 350 soient, eux, des descendants des Xiongnu : on peut concevoir que le nom de Xwn ou Huna, exact pour décrire aussi bien les Xiongnu méridionaux qui pillent la Chine du Nord au IVe siècle, que les anciens Xiongnu, connus jusquen Inde, soit ensuite réutilisé pour des peuples nomades très différents. Plus encore, on possède la preuve de tels usages : en Sogdiane au VIIIe siècle, les Turcs sont parfois nommés Xwn. Mais ce nom générique nest pas de rien, et seule lhypothèse Xiongnu en rend compte.

Le Wei Shu, reprenant des informations précisément datées de 457, écrit : « Formerly, the Xiongnu killed the king (of Sogdiana) and took the country. King Huni is the third ruler of the line. » (trad. Enoki, 1955, p. 44, « Dabord, les Xiongnu tuèrent le roi [de Sogdiane] et conquirent le pays. Le roi Huni est le troisième souverain de la lignée. ») Ceci conduit à placer linvasion Xiongnu de la Sogdiane dans la seconde moitié du IVe siècle. encore, il ny a guère lieu de douter de ce témoignage direct, issu du rapport dun ambassadeur sogdien. De même, lonomastique sogdienne des graffitis caravaniers sogdiens du haut Indus utilise fréquemment le prénom ou surnom Xwn, alors quil nexiste plus dans les corpus postérieurs (documents chinois de Turfan), ce qui reflète la présence denvahisseurs Huns en Sogdiane et la fusion des populations[3] durant une période précise.

Ceci nimplique pourtant pas encore quils aient été des Huns-Xiongnu, mais au moins quils lont prétendu. À partir de lhypothèse de De Guignes, on a cherché à plusieurs reprises à identifier un mouvement migratoire des Xiongnu en direction de lOccident. Longtemps, lépisode cité ci-dessus (linstallation du chanyu Zhizhi près de Talas) a été utilisé en ce sens : on a fait des Xiongnu ayant accompagné Zhizhi à louest les ancêtres des Huns dEurope. Cest impossible tant les sources chinoises soulignent le petit nombre de ces Xiongnu[4]. Même si lon prend en compte les mentions les plus tardives des Xiongnu septentrionaux au nord des Tian Shan (153 ap. J.-C.), deux siècles les séparent encore de linvasion de la Sogdiane, tandis que rien ne permet de supposer un mouvement des Xiongnu méridionaux vers louest. Mais il faut alors faire mention dautres passages du Wei Shu qui parlent de « restes des descendants des Xiongnu » comme des voisins occidentaux dune branche des Ruanruan, au nord-ouest du Gobi aux alentours de 400 ap. J.-C. (Wei Shu, 103.2290). Lindication nest pas sans intérêt, car elle implique la survie dune identité Xiongnu loin au nord, très au-delà du champ de vision des sources chinoises, à lendroit même lon sattend à trouver des Huns-Xiongnu peu après que lessentiel de leurs troupes passent pour certains la Volga, et pour dautres le Syr-Daria, laissant derrière eux ces petits groupes.

Les Huns dAsie centrale prennent donc consciemment la suite des Xiongnu, saffirment leurs héritiers et un élément authentiquement Xiongnu a sans doute existé en leur sein, quoiquil ait été probablement très minoritaire au sein dun conglomérat de peuples divers. Cest la seule hypothèse qui, en létat actuel des données, rende compte de tous les faits connus.

Aspects culturels

Ces tribus nomades surpassèrent les autres dans la maîtrise du cheval, grâce à leur promptitude et à leur étonnante mobilité, ainsi quà ladresse de leurs cavaliers, entraînés dès leur plus jeune âge. Cette habileté, associée à lutilisation de larc court pouvant être utilisé depuis le dos de la monture, fut un avantage lors des nombreuses batailles que livrèrent les Huns.

Les Huns occidentaux sont décrits par les Romains et les Goths comme des hommes trapus, de petite taille, avec une tête large, le cou épais et de larges épaules, le torse bombé et un tronc épais sur des jambes courtes. Leurs traits sont décrits comme mongoloïdes et leur teint brun, avec une absence de barbe. Selon nos connaissances actuelles, 20 à 25% des Huns retrouvés dans les tombes étaient de type mongoloïde, la majorité étant de type européen. Les Huns et les Alains diffusèrent lusage de la déformation crânienne[5] parmi les Germains orientaux, surtout chez les femmes. Ces derniers abandonneront cette pratique après la défaite des Huns. La langue hunnique, jamais écrite, nous est peu connue. Les noms des rois huns retranscrits approximativement par les Grecs et les Romains témoignent dune langue turque (liée au proto-bulgare et au mongol).

Les Huns furent des éleveurs consommant principalement de la viande (en abondance, quils mangent crue et quils font aussi sécher) et des produits laitiers. La chasse avait également une grande importance dans leur économie, notamment la chasse des grands-rois pour lalimentation de larmée (cette chasse royale est une sorte de grande manœuvre préliminaire à la guerre).

Leur bétail fournissait également le cuir, la laine et les os. Le cuir servait à la fabrication des bottes, du harnachement, du carquois ; la laine à celle du feutre des tentes, des capes et peut-être des tapis.

Larchéologie témoigne de larrivée et de la progression des Huns en Europe au IVe siècle. Dimportants vestiges hunniques ont été découverts dans plusieurs centres : dans la région de Saratov et celle de Volgograd, sur les deux rives dun gué important de la Volga ; dans la région centrale du Caucase du Nord ; près de la Caspienne, au Daghestan ; de la région du bas Dniepr à la Crimée (Dniepropetrovsk, Zaporojie, Kherson) ; également sur la presquîle de Crimée, entre le Bug méridional et le Prout, sur les bords du Dniestr et du Prout en Moldavie et en Roumanie, dans la vallée du Buzăul qui relie les Carpates du sud-est et le coude du Danube en Dobroudja ; en Olténie enfin.

Art militaire

Les Huns à la bataille de Chalons ; illustration de Neuville pour LHistoire de France depuis les temps les plus reculés jusquen 1789 de Guizot, vol. I, p. 135.

Aspect dominant chez les Huns, leur efficacité militaire était due à lexcellence de leurs archers à poney, à la résistance et au nombre de leurs chevaux, et à leurs qualités de cavaliers, facilitées par lemploi de selles à arcades hautes. La cavalerie hunnique était opérationnelle été comme hiver. Sa rapidité lui permettait de prendre ses adversaires par surprise. La tactique des Huns consistait à attaquer en groupes de cinq cents à mille cavaliers, convergeant de diverses directions. Ils ouvraient la bataille de loin par des nuées de flèches au tir précis. Quand leur adversaire ripostait, ils sécartaient, comme sils fuyaient, et lattiraient à proximité dautres groupes qui les attendaient embusqués. Dans dautres cas, les troupes de réserve attaquaient le camp ennemi pendant que son armée poursuivait les autres. Lennemi ainsi désorganisé, les Huns faisaient volte-face, et attaquaient ladversaire de plusieurs directions en même temps, les massacrant avec leurs longues épées. Les Huns employaient la terreur pour briser toute résistance, par lincendie et le massacre des populations civiles.

Les Huns utilisaient des arcs asymétriques « reflex » à raidisseurs dos, des carquois en écorce de bouleau ou en cuir et différents types de pointes de flèches : pointes en fer à trois ailettes (les plus utilisées), plates losangiques et massives en forme de clous, et celles en os servant pour la chasse.

Lépée longue et relativement mince, à double tranchant et souvent munie dune garde de fer, était larme offensive principale des cavaliers huns avec larc et les flèches. Elle était accompagnée dun coutelas à un seul tranchant, spécifiquement hunnique, et de lances.

Il ny a pas de trace, écrite ou archéologique, de lutilisation de bouclier. Des cuirasses à écailles de fer se trouvent déjà dans les tumuli kourganes dépoque hunnique dAsie centrale de Ketmentöbe-Aktchikarassou ; des fragments de cottes de mailles (à Fiodorovka) et de cuirasse (à Pokrovsk-Voskhod) ont été retrouvés. Le seul casque hunnique oriental connu, de type composite fait de plaques de fer, a été retrouvé dans une tombe de Kichpek.

Histoire

Selon lhistorien Jordanès, les Huns arrivèrent en Europe, en franchissant la Volga, vers 374, sous la conduite dun chef appelé Balamir. Ils établirent leur domination sur un peuple nomade vivant au nord du Caucase, les Alains, ainsi que sur les Ostrogoths. Larrivée des Huns déclencha les grandes invasions. Les Wisigoths entrèrent sur le territoire des Romains en 376, suivis par une partie des Alains.

Vers lan 400, les Huns étaient les maîtres dun territoire qui sétendait des Carpathes à lOural. Ils étaient alors divisés en trois hordes gouvernées par trois frères : Roas, Mundzuk et Oktar. Deux fils de Mundzuk, Bleda et Attila, prirent leur succession, mais le second élimina rapidement le premier et devint le chef unique des Huns.[réfnécessaire] Il sinstalla en Hongrie et commença ses conquêtes en 441. Il évacua la Gaule suite à la bataille des champs Catalauniques en juin 451 mais ravagea le nord de lItalie lannée suivante. À sa mort en 453, son empire se désagrégea rapidement. Son fils aîné Ellac fut tué par les Ostrogoths et les Gépides en 454. Les Huns refluèrent alors vers la Russie. Dengizich, un autre fils dAttila, attaqua lEmpire romain d'Orient mais fut tué en 468. Les Huns se divisèrent par la suite en deux hordes rivales, les Kutrigur et les Uturgur.

N. Poppe et Barthold ont émis lhypothèse que les Tchouvaches, peuple de langue turque vivant près de la Volga, seraient les descendants des Huns[réfnécessaire]. Ils ont un parler assez différent des autres langues turques, ce qui suppose une séparation précoce.

Chronologie

Lempire des Huns sétendit des steppes de lAsie centrale jusquà lactuelle Allemagne et du Danube jusquà la mer Baltique.
  • 73-91 : guerre des Xiongnu en Chine.
  • 316 : les Xiongnu envahissent le nord de la Chine.

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Article détaillé : Empire hunnique#Chronologie.

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Références

  1. Voir par exemple Sinor, 1989, Daffinà, 1994, vue synthétique récente également dans Golden, 1992, p. 57-67 et 77-83.
  2. Henning, 1948, point concédé par Maenchen-Helfen, 1955, p. 101
  3. de la Vaissière, 2002, p. 103-113
  4. Daffinà, 1969, p. 229-230
  5. reconstitution faciale d'une femme hunnique (musée historique du Palatinat à Speyer). (de) www.museum.speyer.de

Bibliographie

  • István Bona, « Les Huns, le grand empire barbare dEurope IVe-Ve siècles », Editions Errance, 2002
  • M. Alram, "Alchon und Nēzak. Zur Geschichte der iranischen Hunnen in Mittelasien", in La Persia e lAsia Centrale da Alessandro Magno al X secolo, (Atti dei Conveigni Lincei, 127), Roma, 1996, p. 519-554.
  • P. Daffinà, "Chih-chih Shan-", Rivista degli Studi Orientali, 1969, XLIV-3, p. 199-232. * P. Daffinà, "Stato presente e prospettive della quetione unnica", in S. Blason Scarel (ed.) Attila. Flagellum dei?, Roma, 1994, p. 5-17.
  • K. Enoki, « Sogdiana and the Hsiungnu », Central Asiatic Journal, 1, 1955, p. 43-62.
  • M. Erdy, "An Overview of the Xiongnu Type Cauldron Finds of Eurasia in Three Media, with Historical Observations", in B. Genito (dir.), Archaeology of the steppes, Napoli, 1994, p. 379-438.
  • R. Göbl, Dokumente zur Geschichte der iranischen Hunnen in Baktrien und Indien, 4 vol., Wiesbaden, 1967.
  • P. Golden, An Introduction to the History of the Turkic Peoples, (Turcologica, 9), Wiesbaden, 1992. F. Grenet, "Les 'Huns' dans les documents sogdiens du mont Mugh (avec un appendice par N. Sims Williams)", Études Irano-aryennes offertes à Gilbert Lazard, (Cahier de Studia Iranica, 7), 1989, p. 165-184.
  • W. B. Henning, "The Date of the Sogdian Ancient Letters", Bulletin of the School of Oriental and African Studies, XII3/4, 1948, p. 601-615.
  • E. de La Vaissière, Histoire des marchands sogdiens, (Mémoires de lIHEC, 32), Paris, 2004.
  • E. de La Vaissière, Huns et Xiongnu, Central Asiatic Journal, 2005.
  • O. Maenchen-Helfen, "Pseudo-Huns", Central Asiatic Journal, 1, 1955 p. 101-6.
  • O. Maenchen-Helfen, "Archaistic Names of the Hiung-nu", Central Asiatic Journal, 6, 1961, p. 249-261.
  • O. Maenchen-Helfen, The World of the Huns. Studies in Their History and Culture, Berkeley, 1973.
  • Ying-Shih , "The Hsiung-nu", in D. Sinor (ed.), Cambridge History of Early Inner Asia, Cambridge, 1990, p. 118-149.

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