- Fréchencourt
-
Fréchencourt Administration Pays France Région Picardie Département Somme Arrondissement Amiens Canton Villers-Bocage Code commune 80351 Code postal 80260 Maire
Mandat en coursSerge Wills
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Bocage et de l'Hallue Démographie Population 229 hab. (2007) Densité 41 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 37 m — maxi. 116 m Superficie 5,59 km2 Fréchencourt est une commune française, située dans le département de la Somme et la région Picardie.
Sommaire
Géographie
Le territoire de Fréchencourt, situé de part et d'autre de l'Hallue, est bordé par les communes de Montigny au nord, Béhencourt au nord-est, Pont-Noyelles au sud et à l'est, Saint-Gratien à l'ouest et Querrieu au sud. La rive gauche de l'Hallue voit affleurer des terrains calcaires avec une pente assez forte, le point le plus haut est le Mont Télaine en haut du bois de Parmont. Sur la rive droite, la craie est recouverte d'une couche d'alluvions et de limons d'autant plus épaisse que l'on se rapproche de la vallée où le point le plus bas est situé au lieu-dit Le moulin hanti à la limite du territoire de Querrieu. Le village est construit sur la rive droite de la rivière, dans la partie basse d'un coteau en forme d'éperon venant de Saint-Gratien. Au nord de ce coteau-éperon, se trouve la vallée sèche dite vallée de Molliens, bordée au nord par le bois de Quesnoy. Au sud du village, la rivière et les sources ont entaillé profondément la craie au lieu-dit la Falize, auprès de laquelle s'étendent soixante-dix hectares de marais jusqu'à la limite du territoire de Querrieu[1].
Histoire
Seigneurie
Anciens seigneurs
- Dreux de Fréchencourt, chevalier en 1280
- Jehan, chevalier, sire de Fréchencourt en 1288
- Baudouin et Percheval de Fréchencourt, sont"adjournés" pour la guerre des Flandres le 25 août 1337.
- Baudouin de Fréchencourt, chevalier le 1er septembre 1380
- Drieu de Fréchencourt, chevalier en 1386
- Jehan de Fréchencourt, dit Malarbe, tué à la bataille d'Azincourt en 1415, il n'avait pas d'enfant[2].
- Drieu de Fréchencourt, chevalier en 1386
- Baudouin de Fréchencourt, chevalier le 1er septembre 1380
- Baudouin et Percheval de Fréchencourt, sont"adjournés" pour la guerre des Flandres le 25 août 1337.
- Jehan, chevalier, sire de Fréchencourt en 1288
Familles d'Halluin et d'Humières
- Barbe d'Halluin, Dame propriétaire de Fréchencourt, épouse Charles Le Josne de Contay (tué à la bataille de Nancy en 1476
- Françoise Le Josne de Contay, épouse en 1507 Jean seigneur d'Humières, Gouverneur de Roye, Péronne et Montdidier en 1519, ambassadeur en Angleterre en 1527, Gouverneur du Dauphiné en 1535, Gouverneur des enfants du Dauphin en 1546, décédé en 155à à Saint-Germain-en-Laye.
- Charles d'Humières, marquis d'Encre, Gouverneur de Compiègne, Lieutenant-Général de Picardie pour la Ligue et se donna à Henri IV dans le temps où il occupait cette dernière charge au nom de ses ennemis.
- Jacqueline d'Humières, héritière de la Maison, épouse Louis de Crevant, vicomte de Brigneul, Gouverneur de Ham et de Compiègne.
- Louis III de Crevant, marquis d'Humières, né en 1628, Maréchal de France en 1650, Grand Maître de l'Artillerie en 1685, Commandant de l'armée de Flandre en 169, duc et pair de France en 1690. Il avait épousé Louise-Antoinette Thérèse de La Chatre.
- Anne-Louise de Crevant d'Humières, Dame de Contay, Fréchencourt, Acheux, Beaucourt et Agicourt, vendit en 1701 la terre et seigneurie de Fréchencourt à Pierre Dincourt[3].
- Louis III de Crevant, marquis d'Humières, né en 1628, Maréchal de France en 1650, Grand Maître de l'Artillerie en 1685, Commandant de l'armée de Flandre en 169, duc et pair de France en 1690. Il avait épousé Louise-Antoinette Thérèse de La Chatre.
- Jacqueline d'Humières, héritière de la Maison, épouse Louis de Crevant, vicomte de Brigneul, Gouverneur de Ham et de Compiègne.
- Charles d'Humières, marquis d'Encre, Gouverneur de Compiègne, Lieutenant-Général de Picardie pour la Ligue et se donna à Henri IV dans le temps où il occupait cette dernière charge au nom de ses ennemis.
- Françoise Le Josne de Contay, épouse en 1507 Jean seigneur d'Humières, Gouverneur de Roye, Péronne et Montdidier en 1519, ambassadeur en Angleterre en 1527, Gouverneur du Dauphiné en 1535, Gouverneur des enfants du Dauphin en 1546, décédé en 155à à Saint-Germain-en-Laye.
Famille Dincourt
- Pierre Dincourt, écuyer, seigneur d'Hangard et de Hougues, conseiller du roi, Receveur principal en la Généralité de Picardie. Il épouse Marguerite d'Amyens
- Pierre-Joseph Dincourt, seigneur de Fréchencourt, capitaine au régiment du Poitou, épouse Marie-Charlotte Le Fort
- Pierre Adrien Honoré Dincourt, 1733-1814, dernier seigneur de Fréchencourt, écuyer, mousquetaire de la garde du Roi. Il épouse Marie-Françoise Elisabeth Pommyer de Rougemont (1745-1817)[4].
- Pierre-Joseph Dincourt, seigneur de Fréchencourt, capitaine au régiment du Poitou, épouse Marie-Charlotte Le Fort
Famille Poujol
- Adrien Léonor Firmin Poujol, né en 1778, fils de Adrien Florimond Poujol, écuyer, seigneur d'Acqueville et Belliveux (fief de Fréchencourt), lieutenant de maire d'Amiens en 1789-1790, qui a épousé en 1775 Marie Marguerite Joséphine Lefort ; petit-fils de Lupien Florimond Poujol, seigneur d'Avankerque, né à Amiens le 27 septembre 1716, décédé le 18 novembre 1777. Il achète le château de Fréchencourt et épouse en 1805 Agathe Renée Ernestine Cornet, dont :
- Adrien Léon Marie Poujol, dit Monsieur de Fréchencourt, né en 1808, décédé à Fréchencourt en avril 1896, conseiller d'arrondissement de la Somme, épouse Charlotte Anglès le 7 mai 1838, dont :
- Fernand Jean-Baptiste René Poujol, dit Monsieur de Fréchencourt, né en 1839, maire de Fréchencourt, épouse Louise Marie Amélie Dauzel d'Aumont le 20 août 1860.
- Adrien Léon Marie Poujol, dit Monsieur de Fréchencourt, né en 1808, décédé à Fréchencourt en avril 1896, conseiller d'arrondissement de la Somme, épouse Charlotte Anglès le 7 mai 1838, dont :
Armes de la famille Poujol : d'azur, à un pal d'argent, accosté de deux croissants aussi d'argent supportant chacun trois roseaux fleuris, feuillés et tigés d'or[5].
Dénombrement de 1772
Le dénombrement de la Terre et Seigneurie de Fréchencourt, a été rendu par Messire Pierre Adrien Honoré Dincourt à son suzerain Mgr Marie-Joseph Louis d'Albert, d'Ailly, duc de Chaulnes, vidame d'Amiens, le 2 octobre 1772 :
- Château chef-lieu, Maison Seigneuriale, cuisine pigeonnier, écurie, grand-porte, pressoir, grange et autres bâtiments, cour, jardin, plant et prés clôturés, fermé tant de murailles que de haies vives, contenant 5 journaux et tenant au Domaine.
- un Fort (démoli) au lieudit Les Catiches (3 journaux)
- le moulin à eau (bâti sur 3 quartiers)
- le bois du Quesnoy (66 journaux)
- le bois de Parmont (38 journaux)
- le Domaine (183 journaux de terre)
- les prés (42 journaux)
Soit un total de 332 journaux (140 hectares)[6].
Bataille de l'Hallue, décembre 1870
17 décembre, au soir
Dans la soirée du 17 décembre, deux bataillons de mobiles recrutés dans l'arrondissement de Doullens, les départements de la Marne, Pas-de-Calais et Nord, entrent dans le village pour y cantonner. Les bataillons de la Somme et de la Marne, sont commandés par Huré (Somme) et Bouilly (Marne). Le baron de Bouard, commande le détachement.
18 décembre
Le colonel de Bouard est victime d'un accident de voiture. Son bras cassé est opéré sur place.
19 décembre
La garnison s'augmente de soldats qui se replient de Saint-Gratien. Les provisions de bouche du village sont épuisées.
20 décembre
Des combats ont lieu à Querrieu. Le colonel de Houard reçoit l'ordre de rejoindre Albert; évadé de Metz, il risque d'être fusillé par les Prussiens. Dans le haut du village et le parc du château, les soldats du génie établissent des barrières avec des charrettes et des herses. Au pont du moulin, ils abattent des arbres pour barrer le chemin et gêner le passage. De l'autre côté du pont (rive gauche de l'Hallue), on creuse des tranchées pour abriter les tirailleurs. Tous les arbres bordant la rivière sont coupés à un mètre de hauteur, pour laisser le passage aux obus et aux balles de mitrailleuses.
23 décembre
Des francs-tireurs en sentinelles dans les bois, annoncent l'attaque en masse des Prussiens. Le clairon sonne sac au dos. En moins d'un quart d'heure, les troupes stationnées à Fréchencourt se rassemblent au long de la grande rue du village, puis prennent position sur la rive gauche entre le bois de Parmont et Béhencourt. Vers 11 heures 30, des combats ont lieu dans le bois de Quesnois entre les Prussiens et 200 francs-tireurs commandés par monsieur le marquis de Lameth d'Hénancourt ; les francs-tireurs se replient sur Béhencourt. Vers 15 heures, les Prussiens entrent dans le village de Fréchencourt, vide de ses habitants, évacués ou réfugiés dans les caves. De sévères combats ont lieu près de la rivière, mais sous le feu des Français, les Prussiens ne peuvent la franchir. Vers 16 heures, un millier de Prussiens venant de Querrieu, envahissent Fréchencourt. À cette heure, il y a dans le village, environ 6 000 hommes, dont 4 000 fantassins des 4ème, 29ème et 68ème régiments d'infanterie et au moins 2 000 cavaliers des 4ème régiment de Uhlans et du 1er régiment de Hussards.
24 décembre
De 7 heures à 10 heures, l'artillerie française, depuis le bois de Parmont, canonne le bois Quesnoy, les marais de Fréchencourt et de Béhencourt, sans provoquer de réplique prussienne. Dans la journée, l'ensemble de l'armée française se replie en direction d'Albert et de Bapaume. Les Prussiens n'entameront la poursuite que le lendemain.
Occupation prussienne
Du 14 au 18 janvier, 2 000 cavaliers du 14ème régiment de Uhlans et 400 fantassins du 4ème régiment d'infanterie, cantonnent dans la commune. Du 10 au 20 mars, ce sont un millier d'hommes et 200 chevaux qui cantonnent à Fréchencourt.
Administration
Administration de 1790 à 1801
De 1790 à 1801, Fréchencourt a été l'une des quatorze communes relevant de l'Administration cantonale et de la Justice de paix de Querrieux.
En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an VIII (30 mars 1800), tous les mariages civils du canton sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la Loy du 13 fructidor de l'an VI (30 août 1798).
Administration municipale, de 1800 à ...
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1800 Félix Faucon agent municipal 1807 Adrien Honoré Dincourt propriétaire 1814 Jean-Baptiste Cozette 1816 Pierre Diette 1826 Jean-Baptiste Demest 1842 Célestin Demest 1848 Cornet Dincourt 1853 Edouard Diette 1855 Pierre Lenglet 1862 Léon Marie Adrien Poujol 1878 Fernand Poujol 1906 Octave Diette 1919 Eugène Dubuffet 1933 Eugène Dubuffet 1947 Odile Fournier 1977 Charles-Edmond Lenglet 1989 Daniel Grain mars 2001 Serge Wills Réélu pour le mandat 2008-2014[7] Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Lieux et monuments
Église paroissiale
Ancienne église
Datant probablement de la fin du XVIe siècle, l'église, entourée de son cimetière, occupait l'emplacement de l'école actuelle. Elle était construite en pierres blanches sur soubassements de grès et couverte en tuiles. C'était un bâtiment de 17 mètres de long sur 7 de large, avec des murailles d'un mètre d'épaisseur et un large pignon rectangulaire montant jusqu'à la voûte. Elle était garnie de boiseries en chêne dans tout le pourtour à la hauteur des bancs. Dans le sanctuaire, cs boiseries montaient jusqu'à la hauteur du toît. Au-dessus de l'autel, était un retable. Sous le clocher, auprès des fonts-baptismaux, une sculpture en ronde-bosse représentait la Passion de Notre-Seigneur, les statuettes en bois de chêne, hautes de 22 centimètres costumées à l'orientale étaient dorées et peintes en partie.
L'église a été mise à sac en 1792. Deux des trois cloches ont été enlevées. Les statuettes de la Passion ont été dispersées, tout le mobilier renversé, saccagé et détruit. Le curé, Candelier, ayant prêté le serment de fidélité à la Constitution, disait la messe dans la chapelle Saint Éloi du cimetière[10]..
Église actuelle
En 1839, une forte inondation de l'Hallue s'est répandue jusqu'au pied de l'église et des travaux de remise en état ont été mis à l'étude, mais en raison de leur importance il fut conseillé de construire un nouveau bâtiment.
La nouvelle église, dédiée à saint Gilles, de style néo-gothique, a été bâtie au centre du village, en bordure de la rue principale. Les travaux ont été achevés en 1863. En forme de croix latine, elle est construite entièrement en briques, sur des fondations en maçonnerie de moellons réalisée par assises superposées au mortier. La longueur totale est de 34 mètres, la longueur des quatre travées de la nef étant de 24 mètres et la profondeur du porche, de 4 mètres. La largeur de la nef et du chœur est de 8 mètres ; cette largeur est doublée dans le transept. Les contreforts, en briques comme toute la construction, ressortent en pilastres à l'intérieur de la nef, et en colonnes pour encadrer les baies de l'abside. Toutes les pilastres et colonnes sont coiffées de chapiteaux supportant les arêtes de voûte garnies de clefs ouvragées. Dans la nef et le transept, les pilastres supportent des arcs doubleaux de section rectangulaire. La voûte dont la hauteur maximale est de 17 mètres, est réalisée en mortier de sable et de chaux sur un lattis de chêne. Dans ce type d'architecture ogivale, la surface des ouvertures est importante : les cinq fenêtres de l'abside et du chœur, ainsi que les huit fenêtres de la nef, ont une hauteur de 5 mètres, les deux fenêtres du transept ont une hauteur de 6,20m.
La tour du clocher est incorporée dans la façade ouest. La flèche s'élève à une hauteur de 30 mètres, dont 17 mètres pour la tour. Le portail est surmonté d'une croix et d'une rosace dont le diamètre est de 1,50m. La partie basse de la tour forme un porche, ouvrant par une seconde porte à l'intérieur de la nef. Une tribune aménagée au-dessus de ce porche, en déborde sur toute la largeur de la nef.
Le pavage de l'église est réalisé en pierre de Mortemer, et les marches en pierre de Chaussoy-Epagny dans le sanctuaire.
Le 11 octobre 1863, un chemin de croix en néo-plastique-bois (sciure de bois agglomérée et moulée) offert par l'Impératrice Eugénie, est installé. Une nouvelle cloche de 600 kg, nommée Marie-Louise Amélie, est installée et bénite le 5 août 1866[11].
Moulin
Ce moulin sur l'Hallue existe depuis le XIIIe siècle. Cette grande batisse fut très remaniée au cours des siècles. Les fondations et parties basses sont certainement d'origine. Les murs sur trois faces sont élevées en maçonnerie, surmontée de colombages et torchis. Le mur à l'est, situé au-dessus de la rivière, est constitué de grès taillé, de la même facture que les grès de soubassement du château et proviennent par conséquent de la démolition du château-fort s'ils n'en sont pas contemporains. La maçonnerie est en mortier de briques pilées, additionnées de chaux et de farine de seigle. La cour est fermée sur la rue. Sur le jardin, un mur en pierres blanches, exposé au sud, abrite une boulangerie avec un four profond, très bien conservé. La hauteur de la chute est de 2,60m. En 1905, la roue à aubes a été remplacée par une turbine[12].
Château
Au XIIIe siècle, une forteresse existait en haut du village. Elle fut remplacée successivement par plusieurs demeures seigneuriales, avant la construction en 1856 de la demeure actuelle.
Dans le bas du village, à la hauteur du moulin, mais du côté de Behencourt, près de la rivière Hallue, une légère élévation de terrain de forme ovale, régulière et d'une étendue de cinquante-six sur trente-sept mètres, surplombe le prè environnant. Cet endroit "Les Catiches", s'appelait aussi "Le Fort". Sur ce terrain, un ouvrage fortifié était élevé, formant un point de défense avancé commandant le passage sur le pont de l'Hallue[13].
Heraldique
"D'or semé de billettes d'azur, au lion de gueules brochant sur le tout."
Personnalités liées à la commune
Charles-Edmond Lenglet, agriculteur, né le 28 décembre 1917, décédé le 2 janvier 2005 ; maire de Fréchencourt de 1977 à 1989 ; sénateur de la Somme de 1977 à 1995 (Rassemblement démocratique européen).
- Charles Nicolas Cornet-Dincourt,né le 18 janvier 1773 à Amiens,décédé le 9 décembre 1852 à Fréchencourt;Directeur général des Contributions Directes,secrétaire général des Finances,président du Conseil général de la Somme,député, maire de Fréchencourt en 1848. Chevalier de la Légion d'honneur en 1821, officier en 1823 et commandeur en 1825.
Voir aussi
- Liste des communes de la Somme
- Famille Poujol de Fréchencourt et Molliens : Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines, 1901 A59 Vol 57, pages 250 à 252 consultable sur Gallica
Notes et références
- Cassini : environs de Fréchencourt
- Fréchencourt, chronique d'un village picard, par Charles-Edmond Lenglet, 1988. Archives départementales de la Somme, 4° 1215
- Fréchencourt, chronique... op. cit.
- Fréchencourt, chronique...op. cit.
- Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines d'Europe
- Fréchencourt chronique...op. cit.
- Liste des maires de la Somme sur http://www.somme.pref.gouv.fr, 9 juin 2008. Consulté le 31 août 2008
- Notice communale Cassini (recensements de population - Tableau et diagramme d'évolution
- INSEE : population depuis le recensement de 1962
- Fréchencourt, chronique ...op. cit.
- Archives départementales de la Somme : 99 O 351
- Frechencourt, chronique ...op. cit.
- Frechencourt, chronique...op. cit.
Liens externes
Précédé par
LahoussoyeSentier GR124
Suivi par
Molliens-au-Bois - Dreux de Fréchencourt, chevalier en 1280
Wikimedia Foundation. 2010.