Cendrillon

Cendrillon
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Cendrillon
ou la petite pantoufle de verre
On n'entendait qu'un bruit confus :« Ah, qu'elle est belle ! » Illustration de 1867 de Gustave Doré
On n'entendait qu'un bruit confus :
« Ah, qu'elle est belle ! »
Illustration de 1867 de Gustave Doré

Auteur Charles Perrault
Genre Conte en prose
Lieu de parution Paris
Éditeur Claude Barbin
Date de parution 1697
Chronologie
Les Fées
Riquet à la houppe

Cendrillon est un conte populaire et le nom du personnage central. L'Occident connaît surtout cette histoire à travers les versions fixées par Charles Perrault dans Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre et par les frères Grimm dans Aschenputtel. Il existe cependant une multitude de versions de par le monde, dont certaines peuvent être très différentes de celles connues en Occident.

Sommaire

Un conte-type omniprésent

Comme pour beaucoup d'histoires appartenant avant tout au patrimoine oral, on retrouve ce conte-type de l'enfant passant des cendres au trône un peu partout à travers les époques et les cultures[1].

Dans l'Antiquité

Parmi les multiples versions antiques du conte que l'histoire littéraire a retenues il y a celle-ci, retranscrite au IIIe siècle par d'Élien. L'auteur raconte l'histoire de Rhodope, une jeune Grecque embarquée en Égypte comme esclave. Un jour, un aigle lui vola une de ses pantoufles alors qu'elle était au bain. L'oiseau laissa tomber la pantoufle aux pieds du pharaon Psammétique ; celui-ci, frappé de stupeur par la délicatesse de la pantoufle, promit d'épouser la femme à qui elle appartenait.

Mais vraisemblablement Élien ne faisait que reprendre une légende déjà contée par Strabon au sujet de la pyramide de Mykérinos dont il rappelle que certains auteurs disaient que c'était le tombeau d'une courtisane nommée Rhodopis (Yeux de rose) :

« Un jour, comme elle était au bain, un aigle enleva une de ses chaussures des mains de sa suivante, et s'envola vers Memphis où, s'étant arrêté juste au-dessus du roi qui rendait alors la justice en plein air dans une des cours de son palais, il laissa tomber la sandale dans les replis de sa robe. Les proportions mignonnes de la sandale et le merveilleux de l'aventure émurent le roi; il envoya aussitôt par tout le pays des agents à la recherche de la femme dont le pied pouvait chausser une chaussure pareille; ceux-ci finirent par la trouver dans la ville de Naucratis; et l'amenèrent au roi qui l'épousa et qui, après sa mort, lui fit élever ce magnifique tombeau[2]. ».

En Asie

L'histoire de Ye Xian, tirée d'un recueil de contes chinois du IXe siècle, le Youyang Zazu, possède de nombreuses similitudes. De même, on peut retrouver des trames semblables dans plusieurs des contes des mille et une nuits, ou dans l'histoire de Chūjō-hime, parfois surnommée la Cendrillon japonaise.

En Amérique

Le conte d’Oochigeas[3], popularisé dans les années 1990 par une chanson de Roch Voisine, La Légende d'Oochigeas (indian song), est une version des Abénaquis de la Nouvelle-Angleterre, dont on ne peut dire si elle est antérieure ou pas à l’arrivée des colons européens. Bien que situé dans un cadre très « local », les composantes du conte y sont présentes : l’héroïne, Oochigeas (« la petite marquée » par le feu) est la dernière de trois sœurs, elle est confinée à l’entretien du feu qui brûle son visage et ses cheveux (ici, pour cuire des poteries) ; le « prince » est ici un chasseur qui a le pouvoir de se rendre invisible ; la robe somptueuse qui remplace les vêtements sales et brûlés n’est pas ici fournie par une fée ou une intervention surnaturelle, c’est l’héroïne qui se fait un habit invraisemblable d’écorce de bouleau. Les sœurs feignent de voir le jeune homme et sont vite démasquées. Oochigeas, elle, peut voir et donc, épouser le chasseur, après avoir été miraculeusement guérie de ses brûlures.

En Europe

En Europe, Giambattista Basile est le premier à recueillir les histoires de la tradition orale, dans son recueil de contes, Le conte des contes ou Le divertissement des petits enfants. Le conte de la Gatta cennerentola (Chatte des cendres), parue dans le Pentamerone, I, 6, présente Zezolla, fille d'un prince. Le récit, que Perrault a pu lire et épurer, y est plus brutal et détaillé.

Le nom de l'héroïne

Cendrillon n'est que le surnom de l'héroïne, dérivé du fait qu'elle se repose dans la cendre une fois son travail fini. On ignore son nom réel. Elle a un second surnom, celui de Cucendron, qu'une précieuse aurait banni mais que Charles Perrault choisit pour mieux souligner la vulgarité de Javotte (la belle-sœur ainée). Par contre, dans la version de l'opéra de Jules Massenet, le père de Cendrillon, Pandolfe, l'appelle Lucette[4]. On suppose alors que c'était son vrai nom.

Ces deux surnoms sont dérivés du mot cendre, qui a toujours été symbole d'humiliation et de pénitence : la Bible et l'Odyssée font mention de Jérémie se roulant dans les cendres et Ulysse assis dessus. Quant aux pères de l'Église, ils nous montrent les pénitents se couvrant la tête de cendres ou vivant dans la cendre[5]. Le surnom de Cendrillon vient d'un amalgame entre les mots cendre et souillon.

Mais ce seront essentiellement Charles Perrault en 1697 avec Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre et Jacob et Wilhelm Grimm, en 1812 avec Aschenputtel ou Aschenbrödel qui auront permis au conte de se fixer sous la forme qu'on lui connaît dans l'imaginaire collectif.

Néanmoins, son nom anglais Cinderella résulte d'une traduction « trop facile » de son nom original ; car contrairement à ce que cela pourrait laisser penser, la traduction anglaise exacte de « cendre » n'est pas cinder (qui signifie en fait « escarbille ») mais ash. L’Oxford English Dictionnary précise d'ailleurs que cinder n'a pas la même étymologie que ash. Une autre différence réside dans ce que désigne respectivement l'escarbille et la cendre : La cendre est une matière poussiéreuse et propre résultant d'une combustion complète, alors que l'escarbille est une matière solide et sale résultant d'une combustion incomplète[6].

Comparaison des versions de Charles Perrault et des frères Grimm

La version de Charles Perrault, Cendrillon ou La Petite Pantoufle de verre, présente déjà une importante différence avec la version des frères Grimm : le prince tente de retenir l'héroïne en enduisant l'escalier de poix. Dans d'autres versions, l'héroïne laisse intentionnellement tomber sa pantoufle. On observe ici que ces contes sont bien plus anciens que les versions courantes et qu'ils ont été adaptés pour les enfants, alors qu'à l'origine ils servaient à véhiculer un certain nombre de principes. D'autres versions parlent d'un anneau qui n'irait qu'à l'héroïne[7].

Il existe des similitudes avec d'autres contes. On reconnaît bien sûr dans l'image de l'anneau l'empreinte de Peau d'Âne. Dans certaines versions, ce n'est pas une fée marraine qui aide l'héroïne, mais sa mère défunte qui lui apparait alors sous la forme d'un animal ou d'un arbre. Cependant, l'héroïne reçoit toujours de l'aide, et cela dans toutes les versions.

La plupart des versions sont directement issues des anciennes traditions populaires, dont elles ont gardé des éléments de sagesse. Mais si le thème de la justice du destin est clairement identifiable dans toutes les versions, les conteurs ne sont pas tous d'accord sur le second thème à aborder, à savoir, la punition ou le pardon. Dans la version de Charles Perrault, l'héroïne pardonne à ses belles-sœurs, alors que dans la version des frères Grimm, elles sont doublement punies ; il y a d'une part la mutilation qu'elles se sont infligée pour pouvoir chausser la pantoufle (dans une version écossaise intitulée Rashin Coatie, la belle-mère mutile elle-même ses filles) et d'autre part le fait qu'elles finissent aveugles.

Encore les frères Grimm sont-ils modérés par rapport à la première version allemande, dans laquelle les belles-sœurs sont condamnées à danser avec des chaussures de métal chauffées au rouge jusqu'à ce que mort s'ensuive. Un tel châtiment (dont la brutalité rappelle que les contes populaires peuvent avoir la vocation morale des apologues et qu'ils mettent en garde contre les tentations du mal) se trouve cependant dans la Blanche-Neige des mêmes frères Grimm.

De même, la version des frères Grimm ainsi que les autres versions plus anciennes de l'histoire, ne précisent pas que l'héroïne doit à tout prix quitter le bal avant minuit. celle-ci ne s'y rend d'ailleurs pas à bord d'une citrouille transformée en carrosse conduit par un rat transformé en cocher, tiré par six souris transformées en chevaux, et entouré par six lézards transformés en laquais (à l'époque de Charles Perrault, les laquais étaient souvent sujet de plaisanterie à cause de leur paresse. De même, l'image du lézard qui reste immobile sous le soleil a souvent été rapprochée des personnes de nature paresseuse ; d'où cette dernière métamorphose.)

Pantoufles de « vair » ou de « verre » ?


« Il fit asseoir Cendrillon, et approchant la pantoufle de son petit pied, il vit qu'il y entrait sans peine, et qu'elle y était juste comme de cire ». Illustration de Gustave Doré de 1867

La composition des pantoufles de Cendrillon a fait l'objet d'un débat récurrent en Europe francophone depuis le XIXe siècle. Selon les retranscriptions et versions de l'histoire, les pantoufles sont successivement de verre, ou de vair (menu vair, désignant la fourrure d'écureuil gris). C'est la vague de rationalisme du XIXe siècle qui incite Honoré de Balzac à affirmer que la pantoufle doit se comprendre en vair, et non en verre, au motif qu'il ne peut exister de pantoufles en verre. Outre le fait que le merveilleux ne se fonde pas sur la vraisemblance, on se rappellera que Charles Perrault était Académicien, grand spécialiste de la langue française, ainsi qu'en atteste la Querelle des Anciens et des Modernes : l'on peut supposer qu'il faisait la différence entre de la fourrure d'écureuil gris et du véritable verre.

Cendrillon en psychologie

Psychanalyse de ce conte de fée

Globalement, le conte met en place l'accession à la reconnaissance paternelle d'un enfant auparavant rejeté grâce à une action montrant au grand jour ses qualités. C'est en soi l'histoire toute banale d'enfants se disputant la préférence parentale, en essayant de se surpasser. Ce qui est reconnu par le père est la bonté; c'est ce qui en fait un conte moraliste.

Dans une optique plus spécifiquement sexualisante, on peut estimer que le conte pose deux images fondamentales de la femme tout en essayant de les concilier : l'idéal féminin, sublimé, qui attire tous les regards durant la soirée; et l'image de la femme simple, sauvage et farouche après minuit. C'est donc par le regard masculin que se dévoile lentement une image épurée de la femme; image selon laquelle la femme fuit le désir masculin qui la déchoit, lorsque celui-ci semble la "déshabiller du regard", ou la mettre dans son plus simple appareil. Les gravures de Gustave Doré pour les contes de Charles Perrault dévoilent bien cet aspect lors de la scène du bal : regards avides des hommes présents, infinie timidité de la jeune Cendrillon.

Bruno Bettelheim donne ainsi son point de vue sur la fameuse « pantoufle de verre », objet de débats sans fin : Pour que l’épreuve soit convaincante (essayer le soulier), il doit s’agir d’un soulier qui ne s’étire pas, sinon il pourrait convenir à d’autres jeunes filles, les demi-sœurs, par exemple. Ce n’est sans doute pas par hasard que Perrault a choisi des pantoufles de verre… Un petit réceptacle où une partie du corps peut se glisser et être tenue serrée peut être considéré comme le symbole du vagin. Et s’il est fait d’une matière fragile qui peut se briser si on la force, on pense aussitôt à l’hymen ; et un objet qui se perd facilement à la fin d’un bal (…) peut passer pour une image assez juste de la virginité.[8]. Ceci est confirmé par le symbolisme de la chaussure dans les sociétés traditionnelles : se laisser déchausser équivaut à s'abandonner à un homme[9]. Et bien avant la psychanalyse, Collin de Plancy écrit en 1826 : On a regardé les petites pantoufles de verre comme une allégorie de la sagesse virginale ; il est certain qu'il y a, dans ce conte beaucoup de morale allégorique. Mais il apprend aux enfans qu'il y a des marâtres ; et les enfans le savent toujours assez tôt[10].

D'une manière générale, la symbolique de la chaussure est liée au « couple idéal » : l'expression trouver chaussure à son pied en est un témoignage, et de nombreuses pratiques superstitieuses étaient en rapport (dans les Pyrénées centrales, les jeunes filles venaient mettre leur pied dans l'empreinte de saint Aventin de Larboust pour trouver un mari).

Le complexe de Cendrillon

Colette Dowling a été la première à décrire un syndrome basée sur une peur féminine d'être indépendante[11].

Article détaillé : Complexe de Cendrillon.

Les Cendrillon masculins

Selon Luda Schnitzer[12], sur plus de « deux cents versions recensées » du conte dans le monde, « un bon quart » concerne des Cendrillon mâles. Toujours selon elle, l'explication psychanalytique, qu'elle ne rejette pas totalement, ne tient pas compte d'un motif très conscient qu'aurait la marâtre pour faire disparaitre sa belle-fille : celui de l'héritage, « qui revient à l'enfant du mari et non à sa seconde femme ou aux enfants de celle-là ». Chez nombre de peuples, « c'est un garçon, un Cendrillon qui devient le souffre-douleur persécuté par sa marâtre » ; « croyez bien qu'il y a pour cela une excellente raison ».

Adaptations

Le conte de Cendrillon est un récit d'origine orale, source d'inspiration pour toutes les disciplines artistiques. Il s'est ainsi propagé à travers les siècles et les continents. On dénombre aujourd'hui plus de cinq-cents versions différentes. Ainsi, depuis la légende de Rhodope, en passant par sa mise par écrit en Chine au IXe siècle, le conte vietnamien de Bo Than où l'héroïne prie Bouddha, La Chatte cendreuse de l'Italien Giambattista Basile en 1634, l'opéra-comique Cendrillon de Jules Massenet en 1899, ou plus récemment un ballet de Rudolf Noureev, la comédie musicale Cindy de Luc Plamondon, la Cendrillon des temps modernes en 2002. Parmi les adaptations les plus remarquables :

Illustrateurs

La première édition des Contes de Charles Perrault (Paris, Barbin, 1697), comprenant Cendrillon, est ornée de vignettes gravées par Antoine Clouzier. L'édition suivante, en 1742, comprend huit illustrations, chacune en tête d'un conte, dessinée par Jacques de Sève et gravée au burin par le hollandais Simon Fokke.

  • Achille Devéria (1800 - 1857) Contes de Charles Perrault, Mame, 1835
  • Walter Crane (1845-1915). Perrault, Cendrillon, Londres, 1854, d'après un conte de Ma Mère l'Oye
  • Gustave Doré (1932-1883). Perrault, Cendrillon 1862
  • Arthur Rackham. Perrault, Cendrillon, Paris, Hachette, s.d. [1919]
  • Roberto Innocenti (1940-). Perrault, Cendrillon, Publication : Paris : Grasset, 1983, Collection Monsieur Chat, description : 32 p. ; ill. coul., couv. Ill. en coul. ; 22 cm, ISBN 2-246-32081-X (éd. 1983). – ISBN 2-246-32082-8 (éd. 2001) (Rel.)
  • Kinuko Y. Craft (1940-). Perrault, Cendrillon, Pêche Pomme Poire Zürich (Suisse), 2001. Description : n.p. : ill. ; 30 cm, ISBN : 30383300439783038330042
  • Claire Degans. Perrault, Cendrillon, 2006, Lito, ISBN 2-244-41730-1, EAN: 9782244417301, 50 pages, 21 cm x 29,5 cm

Voir aussi

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Références

  1. Sous la cendre : figures de Cendrillon, anthologie établie et postfacée par Nicole Belmont et Élisabeth Lemirre, Paris, José Corti, « Merveilleux », 2007.
  2. Géographie, XVII,I,4 (traduction G. Perrot).
  3. [1] (en anglais).
  4. http://www.ascolti.cz/Jules%20Massenet/Cendrillon.htm
  5. Charles Perrault, Contes (introduction, notices et notes de Catherine Magnien), Éditions Le Livre de Poche Classique
  6. Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées p. 317
  7. G. Massignon, Contes de l'Ouest, in Paul Delarue et Marie-Louise Ténèze, Le conte populaire français, Tome II, Paris, Maisonneuve & Larose, 1977
  8. Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées, Robert Laffont éd., Paris, 1976 (1976) rééd 1999: ISBN 2-266-09578-1
  9. Pierre Lafforgue, Petit Poucet deviendra grand, 1995, Mollat, Bordeaux ; 2002, Petite Bibliothèque Payot, citant Césaire Daugé, Le Mariage et la famille en Gascogne, Picard, 1916
  10. Commentaire de Collin de Plancy sur Cendrillon
  11. (en) Colette Dowling, The Cinderella Complex: Women's Hidden Fear of Independence, New York, Simon & Schuster, 1990 (ISBN 978-0-671-73334-6) 
  12. Luda Schnitzer, Ce que disent les contes (p.12 et pp.97-98), Éd. du Sorbier, 1985 (ISBN 2-7320-0010-8). La thèse générale de l'auteur, exposée dans son Introduction est, d'une part, qu'il ne faut pas chercher à expliquer les contes sous un seul angle, le conte ayant de nombreuses « facettes » (« la spécialisation augmente l'acuité visuelle, mais rétrécit le champ de la vision » ; « la psychanalyse, basée sur les structures de la société indo-européenne et issue de la morale judéo-chrétienne ne vaut, en général, que pour le monde occidental ») ; d'autre part, qu'il y a une grande différence entre le conte sous sa forme populaire orale (à laquelle elle s'intéresse plus particulièrement) et sous sa forme littéraire, retranscrite ; enfin, que des contes a priori similaires peuvent être interprétés différemment par des peuples de cultures différentes.

Bibliographie

  • Sous la cendre : figures de Cendrillon, anthologie établie et postfacée par Nicole Belmont et Élisabeth Lemirre, Paris, José Corti, « Merveilleux », 2007. (ISBN 978-2-7143-0957-0)
  • Gilles Bizouerne, Histoires de Cendrillon racontées dans le monde, Syros Jeunesse, collection Tour Du Monde D'un Conte (ISBN 2748505727)
  • Hermann Hochegger, Cendrillon en Afrique, Bandundu (Zaïre), Ceeba, 1993 (OCLC 31922579) 
  • Trois Noisettes pour Cendrillon. Tri Oriski pro Popelku. 1976 
  • Paul Delarue, À propos de la pantoufle de Cendrillon, Bulletin de la Société française de mythologie, n° 5, janvier-mars 1951, p. 24

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Charles Perrault

Les frères Grimm

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