- 2e division de cavalerie (France)
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2e Division de Cavalerie
2e Division Légère de CavaleriePays France Branche Armée de Terre Type Division de Cavalerie Rôle Cavalerie Garnison Lunéville Guerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondialeBatailles 1917 - Chemin des Dames modifier La 2e division de cavalerie est une division de cavalerie de l'armée de terre française qui a participé à la Première et à la Seconde Guerre mondiale..
Sommaire
Création et différentes dénominations
- 2e division de cavalerie
- 1940 : la 2e division de cavalerie devient 2e division légère de cavalerie
Les chefs de la 2e division de cavalerie
- Printemps 1815: général de division Hippolyte-Marie-Guillaume de Rosnyvinen, Comte de Piré
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- 20/04/1874 - 09/10/1875: 1877 - 11/02/1879: 1879: 1883: 1888 - 06/05/1890: 1895 - 26/09/1896: 1896 - 20/09/1901: 1901: Général de Benoist
- 29/01/1904: 1906: 1907: 1912: 1914: 1918: 1920 - 22/07/1921: 1931 - 1933: 1933 - 16/09/1936: 1936 - 1940: 1940: Général Delestraint
1er Empire
Les Cent-Jours
Composition
Au printemps 1815 commandée par le général de division Hippolyte-Marie-Guillaume de Rosnyvinen, Comte de Piré.
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- brigade Hubert, commandée par le général de brigade Pierre-François-Antoine Hubert.
- brigade Vathier, commandée par le général de brigade François-Isidore Vathier.
- compagnie du 4e Régiment d'Artillerie à Cheval, avec 6 pièces.
La Première Guerre mondiale
La 2e division de cavalerie est mobilisée en août 1914, dans la modifier] Composition
A la mobilisation d'août 1914
- 2e Brigade de Dragons - Lunéville
- 8e Régiment de Dragons - Lunéville
- 31e Régiment de Dragons - Lunéville
- 12e Brigade de Dragons - Toul
- 11e Brigade de Cavalerie Légère - Lunéville
- 4e Régiment de Chasseurs à Cheval - Épinal
- 17e Régiment de Chasseurs à Cheval - Lunéville
- 18e Régiment de Chasseurs à Cheval - Lunéville
- 2e Groupe Cycliste du 2e Bataillon de Chasseurs à Pied
- 4e Groupe à Cheval du 8e Régiment d'Artillerie de Campagne
- Sapeurs Cyclistes du 10e Régiment du Génie
Changement au cours de la Première Guerre mondiale
- 12e Régiment de Cuirassiers à Pied juillet 1917 à janvier 1918
1914
- 17 – 21 août Bataille de Sarrebourg
- Combats de Gosselming et de Saint-Georges.
- 24 - 25 août : combat de Rozelieures.
- 5 septembre : engagée dans la bataille du Grand Couronné ; opérations dans la région de Champenoux.
- 7 septembre – 4 octobre :opérations vers Saint-Mihiel et le fort de Troyon.
- 1er - 4 octobre : occupation du front Beaumont, Rambucourt, Bouconville.
- Octobre à décembre : éléments chargés de reconnaissances offensives dans la région Parroy, Cirey, Val-et-Châtillon.
1915
- En février : éléments engagées dans les combats de Norroy et du signal de Xon (autres éléments en secteur).
- 3 – 20 mars : Éléments en secteur vers Badonviller, à la disposition de la 71e D.I.
- 20 mars – 12 juillet : Occupation d'un secteur entre la Vezouse et la voie ferrée d'Avricourt.
- 12 juillet – 1er septembre : Mouvement de rocade et occupation d'un secteur entre le Sânon et Bezange-la-Grande.
- 19 septembre – 8 octobre : tenue prête, vers Dampierre-le-Château, à intervenir dans la 2e Bataille de Champagne ; non engagée.
- 12 octobre : occupation d'un secteur vers Burnhaupt-le-Haut et Leimbach.
1916
- 1er – 22 juin - Mouvement de rocade et occupation d'un secteur entre la frontière suisse et Fulleren.
- Du 9 août au 3 septembre, Bataille de la Somme : éléments à pied engagés dans le secteur de Lihons.
- 2 décembre 1916 – 29 janvier 1917 : Occupation d'un secteur vers Condé-sur-Aisne et Venizel.
1917
- 29 janvier – 7 avril : Regroupement vers Provins ; repos.
- 7 – 18 avril – Mouvement vers la région d'Épernay, puis vers celle de Fismes.
Tenue prête, vers Ventelay, à intervenir, en vue de la poursuite dans la 2e Bataille de l'Aisne : non engagée.
- 12 avril - 5 mai : éléments à pied engagés vers les Cavaliers de Courcy.
- 3 mai – 25 août – Mouvement vers le front et occupation (avec des éléments des 4e et 7e et des éléments territoriaux) d'un secteur entre la ferme des Marquises et les abords est de Reims.
- 25 octobre-26 décembre: occupation (avec des éléments des 4e et 6e, et de la 31eD.I.) d'un secteur entre la ferme des Marquises et les abords est de Reims
1918
- 16 avril – 1er mai : Engagée dans la 3e bataille des Flandres: Combats des monts des Flandres.
- 1er - 6 juin : engagée dans la 3e Bataille de l'Aisne : Défense des lisières est de la forêt de Villers-Cotterêts.
- 12 – 20 juillet : Tenue prête à intervenir dans le 2e Bataille de la Marne (quelques éléments engagés).
- 8 août : Engagée dans la 3e bataille de Picardie vers Montdidier, combat de Bus.
- 27 août – 2 septembre : Tenue prête, près de Roye, à intervenir dans l'offensive en cours ; non engagée.
- 18 septembre – 3 octobre: Mouvement vers Proven et Roesbrugge-Haringe.
- 28 septembre, engagée dans la bataille des crêtes et de Flandres: attaque de Passchendaele.
- 14 – 20 octobre – Engagée dans la poursuite : Prise d'Ardoye, de Pitthem, de Grouwenboom et de Vynckt.
- 10 – 11 novembre – Tenue prête à intervenir dans la bataille de l'Escaut ; non engagée.
L'entre-deux-guerres
La Seconde Guerre mondiale
Composition au moment de la mobilisation sous les ordres du (Général de division Berniquet):
- État-major à Lunéville
- 3e brigade de cavalerie (Saint-Avold)
- 4e brigade de cavalerie (Lunéville)
- 12e brigade légère motorisée (Lunéville)
- Strasbourg)
- Lunéville)
- Lunéville)
- 10e batterie divisionnaire anti-chars du 73e RATTT ; sapeurs-mineurs, transmission, intendance, service de Santé, train.
- Forces Aériennes :
- Forces Aériennes ?? (F.A. ??)
- Groupe Aérien d'Observation 5/520 (G.A.O. 5/520)
La division devient la 2e Division Légère de Cavalerie, la 4e brigade cavalerie devient elle le noyaux de la 4e Division Légère de Cavalerie.
Le 10 mai 1940, elle fait partie, avec la 5e Division Légère de Cavalerie, de la 2e armée du général Huntziger. Elle entre en Belgique à huit heures en suivant l'itinéraire Virton - Arlon, et rencontre les premières troupes allemandes une heure plus tard. Néanmoins, dès le 12, devant la pression allemande, la division rentre en France, et le lendemain, elle est placée en réserve d'armée au sein du groupement Roucaud, elle sert alors de flanc garde à l'action sur Stonne. Le 23 mai, elle est retirée du front, puis est mise à disposition de la 7e armée et part pour Senlis. Sa 12e brigade légère motorisée parcourt 380 kilomètres en 28 heures, et est jetée immédiatement dans les combats pour la Somme. Les jours suivants, elle appuie entre autres la 4e Division Cuirassée de Réserve, puis la 1st Armored Division britannique. La 3e brigade de cavalerie, elle, ne rejoint que le 31 mai, et est alors placée en réserve du 9eCorps d'Armée. Toujours en ligne le 5 juin, la 12e BLMo est sévèrement attaquée par la 5e Panzerdivision, et subit de lourdes pertes. Finalement, le 12 juin, elle finit encerclée avec la 5e DLC, à Saint-Valery-en-Caux, dos à la mer. À court de munition et sans moyens d'évacuation, les deux division doivent capituler devant la 7e Panzerdivision d'Erwin Rommel. Ce dernier rend les honneurs aux cavaliers français et laisse son sabre au général Chamoine qui commande le groupement, suite à la mort du général Berniquet, la veille ; les deux division ne totalisent alors plus que 1 500 combattants.
L'après Seconde Guerre mondiale
Voir aussi
Lien externe
Catégories :- Unité de l'armée française
- Unité militaire française historique
- Histoire des divisions de l'armée française
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