Chapelle Notre-Dame de Kerdévot

Chapelle Notre-Dame de Kerdévot
Chapelle Notre-Dame de Kerdévot
Image illustrative de l'article Chapelle Notre-Dame de Kerdévot
la chapelle et son calvaire
Présentation
Culte catholique
Type Chapelle
Rattaché à Diocèse de Quimper
Début de la construction XVe siècle
Fin des travaux XVIIIe siècle
Style(s) dominant(s) Gothique
Protection  Classé MH (1914)
Géographie
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Ville Ergué-Gabéric
Coordonnées 48° 00′ 23″ N 3° 58′ 50″ W / 48.006301, -3.98059748° 00′ 23″ Nord
       3° 58′ 50″ Ouest
/ 48.006301, -3.980597
  

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Chapelle Notre-Dame de Kerdévot

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Chapelle Notre-Dame de Kerdévot

La chapelle Notre-Dame de Kerdévot est une église catholique située dans la commune d'Ergué-Gabéric en Bretagne édifiée au XVe siècle en dévotion à la Sainte Vierge après qu'une épidémie de peste ait ravagé la région. De style gothique, elle prend place dans un enclos comprenant un calvaire du XVIe siècle et une sacristie du XVIIIe siècle. L'ensemble architectural est classé monument historique depuis le 9 mai 1914. Une fontaine de style gothique réputée soigner la fièvre et le catarrhe est aménagée à 300 mètres de l'enclos.

La chapelle est renommée pour son retable flamand de la fin du XVe siècle et son pardon tenu chaque année le second dimanche de septembre.

Sommaire

Histoire

Bosenn Eliant

Selon la tradition populaire, la chapelle de Kerdévot fut élevée en remerciement de l'intervention de la Vierge, qui protégea la paroisse d'Ergué-Gabéric de la peste sévissant dans la paroisse voisine d'Elliant[1]. Cet épisode de la « peste d'Elliant », a suffisamment marqué les esprits de l'époque pour que sa légende vienne jusqu'à nous à travers plusieurs œuvres, telles la pièce Bosenn Eliant[2] présentée par Théodore Hersart de la Villemarqué dans son Barzaz Breiz[1].

Ainsi, selon la légende, un meunier ramena la peste de la ville de Quimper en la paroisse d'Elliant, où elle tua presque tous les habitants. Alors que la peste allait atteindre Ergué-Gabéric, la Vierge apparut et l'arrêta au niveau du ruisseau marquant la limite des deux paroisses. Pour la remercier, un sanctuaire fut construit sur les terres du seigneur de Botbodern, à proximité du lieu du miracle. Cet acte a donné son nom à la chapelle, Kerdévot signifiant en breton le lieu des dévots[1].

La chapelle de dévotion

Le nom de Kerdévot apparaît pour la première fois en 1439, dans le testament d'un ecclésiastique quimpérois[3]. La chapelle existait donc à cette époque, sans que l'on puisse savoir s'il s'agit du bâtiment actuel. Toutefois, certains éléments d'architecture de la chapelle permettent de la dater du XVe siècle : la maîtresse-vitre du chœur porte la date de 1489[3],[4], et le clocher comporte un médaillon représentant une hermine passante, symbole des ducs de Bretagne qui ont régné jusqu'en 1514. On sait par ailleurs que les ducs faisaient des donations aux églises et chapelles locales, comme Jean V pour Locronan en 1438, ce qui a pu bénéficier aussi à Kerdévot et entraîner de nombreux dons[3]. Il est par exemple établi que les nobles locaux ont contribué à l'édification de la chapelle et à son embellissement, à l'instar de François Liziart, seigneur de Kergonan en Ergué-Gabéric, au XVe siècle[5]. Les élans de générosité succédaient généralement aux résurgences de la peste dans la région[3].

Les dons importants ont probablement permis à la fabrique d'acheter assez rapidement le magnifique retable flamand que l'on peut voir au-dessus du maître-autel[3]. Ce retable a été fabriqué par les ateliers d'Anvers et date des années 1480-1490[6]. Il comporte six panneaux représentant les scènes de la vie de Marie. Quatre scènes sont d'origine et deux ont été ajoutées au XVIIIe siècle[3].

La peste frappe régulièrement la région quimpéroise, notamment en 1533, 1565, 1586, 1595 et 1639. Chaque épidémie est l'occasion pour la fabrique de Kerdévot de recevoir des dons, comme par exemple les 33 écus offerts en 1598 par Yves Toullalan, chantre de la cathédrale de Quimper[3]. La richesse relative de la fabrique permet d'embellir et de compléter la chapelle. Ainsi un calvaire et une fontaine sont construits dans le courant du XVIe siècle. Le mobilier de la chapelle est également complété à cette époque par l'achat de la statue dite Notre-Dame-de-Kerdévot et celle de Notre-Dame-de-l'Angoisse. Le retable flamand est quant à lui complété par deux panneaux supplémentaires[3].

Le père Alexandre qui effectue un tro Breiz passe à Kerdévot vers 1669. Il décrit un pardon attirant une foule importante et une manifestation alliant les dévotions à la Vierge et la bonne chère de la foire[7].

Le XVIIIe siècle commence par une catastrophe : une tempête abat le clocher le 2 février 1701. La fabrique le reconstruit rapidement. Une nouvelle cloche est achetée en 1704 et une nouvelle sacristie est construite en 1705 dans le style classique[8].

A cette époque, la renommée de la chapelle est telle qu'au carême de 1712, des marins de l'escadre de Duguay-Trouin, tout juste rentrés d'une campagne au Brésil, viennent y faire leurs dévotions[9].

En 1712 est également composé le cantique de Kerdévot. Il s'agit d'un chant en moyen breton long de 56 couplets[9]. Il fait l'apologie de Notre-Dame de Kerdévot en rappelant ses légendes et ses miracles. Il se compose de la façon suivante :

Plan du cantique de Kerdévot[9]
Couplets Contenu
1 à 5 Considérations sur les malheurs du temps
6 à 9 Éloge de Kerdévot
10 à 15 Légende du retable flamand
16 à 20 Évocation de la peste d'Elliant
21 à 29 Bienfaits de Notre-Dame de Kerdévot
30 à 32 Le pélerinage des marins de Duguay-Trouin
33 à 50 Miracles à Kerdévot
51 à 56 Les grandes heures de Kerdévot

Les richesses accumulées dans la chapelle suscitent la convoitise et attirent des bandes organisées qui dérobent des objets précieux. A tel point, qu'en 1774, le Parlement de Bretagne ordonne qu'un sacristain dorme dans la chapelle pour éviter les vols[8].

La tradition se perpétue

A partir de 1789, la Révolution apporte des changements radicaux : la constitution civile du clergé est promulguée dès le 24 août 1790, ce qui impose au recteur d'Ergué-Gabéric et à ses vicaires de se soumettre à ce texte non approuvé par le Saint-Siège. Dès lors, le recteur Alain Dumoulin, réfractaire, est remplacé par un curé constitutionnel qui prend sa place au bourg d'Ergué. Dumoulin se réfugie à Kerdévot, avant de fuir finalement à Prague[8].

Le 29 avril 1795, la chapelle de Kerdévot, bien national, est vendue aux enchères. Les paroissiens organisent le rachat de l'édifice par l'intermédiaire d'une souscription. Afin de contourner la loi qui interdit ce type de rachat, un prête-nom est choisi : Jérôme Crédou, par ailleurs futur maire d'Ergué-Gabéric. Celui-ci s'engage à céder gracieusement la chapelle à la commune, chose faite en 1804[10].

Le XIXe siècle voit la perpétuation des traditions de dévotion à Notre-Dame. Les pardons célébrés tout au long de l'année, notamment le grand pardon du mois de septembre, attirent les foules et les curieux. Des artistes de passage à Kerdévot relatent ainsi la renommée du lieu et l'importance des cérémonies religieuses[11] :

« En ce temps-là, Notre-Dame de Kerdévot jouissait d’une réputation et d’une vogue extraordinaires, à peu près comme celles dont jouit plus tard, à la Salette et à Lourdes, la Vierge de l’Immaculée Conception. Tous les enfants scrofuleux, les teigneux, tous les hommes et les femmes affligés de plaies variqueuses ou cancéreuses allaient se plonger dans cette fontaine et y décrasser leurs plaies. »

— Jean-Marie Déguignet, Mémoires d'un paysan bas-breton


Des peintres prennent le grand pardon comme modèle de leurs tableaux, tel Eugène Boudin qui exécute 23 croquis dans les années 1855 - 1857 pour préparer son tableau Un pardon près de Quimper, aujourd'hui disparu[11].

La première moitié du XXe siècle verra également l'édition de cartes postales des scènes pittoresques des pardons de Kerdévot. On peut notamment citer les séries de Joseph Villard dans les années 1910 et celles de Raphaël Binet dans l'entre-deux-guerres[11].

Le retable puis la chapelle sont progressivement reconnus comme un patrimoine à protéger : après le classement aux monuments historiques du retable flamand le 23 juillet 1898[12], la chapelle, la sacristie et le calvaire sont classés à leur tour le 9 mai 1914[13]. L'ensemble architectural et le placître deviennent aussi un site inscrit en 1931[13], et le reste des objets et du mobilier ancien est classé monument historique entre les années 1930 et 1950[14].

Après la seconde guerre mondiale, la renommée de la chapelle diminue. Seul le « grand pardon » de la nativité de Marie, début septembre, attire encore plusieurs milliers de personnes[15].

C'est seulement après le vol en 1973 de plusieurs personnages du retable flamand, que l'intérêt pour la chapelle renaît vraiment. Le bâtiment et son mobilier sont restaurés, et le site s'ouvre aux visites touristiques[16].

Architecture

L'enclos

La chapelle prend place dans un enclos fermé par un muret et jouxtant au sud les anciennes écuries de la ferme de Kerdévot[17]. On accède à l'enclos par l'un des deux portails de fer forgé. Le calvaire se situe au milieu du placître, tandis que la chapelle prend place dans la moitié nord de l'enclos, la sacristie étant accolée à sa façade méridionale.

Extérieurs de la chapelle

La chapelle de Kerdévot, construite essentiellement au XVe siècle, est de style gothique. Elle forme un bâtiment rectangulaire, construit en granite, couvert de deux pans de toiture en ardoises.

La façade occidentale date du XVe siècle. Elle comporte la porte principale de la chapelle, encadrée par un portail ouvragé, et surmontée d'un fenêtre à baie géminée. Les armoiries des seigneurs ayant probablement contribué à l’édification de la chapelle sont placées au dessus de la porte. L'hermine passante du duc de Bretagne est quant à elle située à la place d'honneur, au départ du clocher[17].

La façade est soutenue par quatre contreforts, dont se prolongent par des tours octogonales donnant accès au clocher. Ces dernières, ainsi que le clocher construit en 1702, sont d'un style hybride entre le gothique et le style classique. Le clocher, qui comporte une balustrade et une flèche et de granite, culmine à vingt mètres de hauteur[17].

Le clocher abrite deux cloches. La première date de 1704 et mesure 93 centimètres de diamètre. La seconde a été fabriquée à Nantes en 1803 et mesure 76 centimètres de diamètre[17].

Le côté sud de la chapelle fait face au placître et au calvaire. De style gothique, elle est soutenue par quatre contreforts encadrant deux fenêtres et deux portes, dont l'une est murée. Une lucarne de style classique a été ajoutée postérieurement afin d'éclairer l'escalier du clocher. La façade comporte également un cadran solaire en ardoise[17].

Le chevet est plat. Il comporte deux contreforts encadrant deux fenêtres et la maîtresse-vitre du chœur. Les contreforts sont agrémentés de pinacles. Une fenêtre circulaire au décor d'inspiration celtique est présente au dessus de la verrière principale[18].

Le côté nord comporte deux fenêtres et une porte murée[18].

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Sacristie

La sacristie est accolée à la façade sud de la chapelle, au niveau du chœur. Elle est contemporaine du clocher ; la date de 1705 est gravée sur sa face sud[18].

L'ensemble forme un rectangle en granite, surmonté d'un toit en ardoise en forme de carène renversée[18]. Comptant deux niveaux, le rez-de-chaussée est éclairé par trois fenêtres, tandis que l'étage s'ouvre par une fenêtre en lucarne et deux œil-de-bœuf.

La modénature est relativement riche, avec la présence d'une lucarne ouvragée et d'une corniche à médaillons soulignant les deux œil-de-bœuf[18].

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Calvaire

Le calvaire construit au XVIe siècle est de style gothique[18].

Le massif en granite est pourvu de douze niches ouvragées, destinées à contenir les statues des apôtres. Ces niches étant vides, on ne sait pas si les statues ont disparu ou si elles n'ont jamais été réalisées[18].

Le massif supporte les croix de la crucifixion et des deux larrons. Les fûts des colonnes comportent des excroissances symbolisant des bubons, rappelant la vocation antipesteuse de Notre-Dame de Kerdévot[18].

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Fontaine

Vue d'ensemble de la fontaine de Kerdévot
La fontaine de Kerdévot

La fontaine de Kerdévot est située à environ 300 mètres à l'Est de la chapelle. Elle se présente sous la forme d'un édicule de style gothique comprenant une niche abritant la source et un toit à deux pans surmonté de deux pinacles et d'un blason[18]. La niche abrite également une statue de la Vierge portant l'Enfant-Jésus[19].

La fontaine n'est pas datée avec certitude. Toutefois, les armoiries présentes orientent vers le XVIe siècle. En effet, le blason peut se lire : « Parti, au premier d'azur aux trois mains dextres appaumées d'argent qui est Guengat, au second coupé en premier d'argent fretté d'azur qui serait Guicaznou, et en second d’azur au lévrier passant d'argent qui est Tromelin »[20]. On sait que les familles Guengat et Tromelin se sont alliées en 1536, avec le mariage de Jacques de Tromelin et de Marie de Guengat. Cette dernière lui apporte à cette occasion le fief de Botbodern, en Elliant. Les armoiries de Guengat et de Tromelin sont par ailleurs visibles à plusieurs endroits de la chapelle[20].

L'eau de la fontaine était réputée guérir la fièvre et le catarrhe[18]. La fontaine faisait également l'objet de dévotions à la Sainte-Vierge. Par exemple, l'abbé Antoine Favé rapporte en 1894 que les jeunes mères n'arrivant pas à allaiter leur enfant viennent nettoyer la fontaine pour recevoir les faveurs de la Vierge[21].

La chapelle et son mobilier

Organisation intérieure de la chapelle

Retable de la vie de la Vierge

Vitraux

Retable du baptême du Christ

Retable de la Vierge de pitié

Notre-Dame-de-Kerdévot

Culte, cérémonies et manifestations

Du fait de sa grande renommée[15], la chapelle de Kerdévot faisait tout au long de l'année l'objet de nombreuses cérémonies religieuses en dévotion à la Vierge, généralement accompagnées de manifestations profanes[11]. Ces pratiques sont progressivement tombées en désuétude au cours du XXe siècle, à l'exception du grand pardon de septembre qui réunit encore chaque année plusieurs milliers de personnes[15].

Pèlerinage du silence

Le premier pèlerinage de l'année avait lieu le Jeudi saint. Ce jour-là en effet, les paroissiens d'Ergué-Gabéric et des communes avoisinantes se rendaient par petits groupes à la chapelle de Kerdévot. Le chemin était consacré à la méditation et se parcourait en respectant le silence[11],[15].

Arrivés à la chapelle, les pèlerins en faisaient trois fois le tour, puis y rentraient faire leurs dévotions à la Vierge. Le retour chez soi se déroulait de la même manière qu'à l'aller[11].

Pardon des chevaux

A l'époque où la traction animale constituait le principal moyen de transport et de travail agricole, les chevaux étaient souvent bénis. Ainsi, chaque 25 juin avait lieu à Kerdévot le « pardon des chevaux », sous l'invocation de saint Théleau[15]. La date du pardon, jour de la saint-Éloi, semble s'expliquer par l'assimilation par homophonie de saint Théleau à saint Éloi. Ce dernier est en effet le patron des maréchaux et des chevaux[11].

La cérémonie débutait le matin par l'arrivée de centaines de chevaux, juments et poulains. La procession prenait la forme d'un carrousel. Les animaux et leurs maîtres rentraient dans l'enclos, faisaient le tour du calvaire et ressortaient. S'en suivait la bénédiction des chevaux par le prêtre et une messe en l'honneur de saint Éloi[11].

Le pardon, tombé en désuétude après la mécanisation de l'agriculture au milieu du XXe siècle, a aujourd'hui disparu[11].

Grand pardon

Tous les ans, la chapelle fait l'objet d'un pélerinage le second dimanche de septembre[22], lors duquel un important pardon est organisé. Cette cérémonie est connue depuis le XVIIe siècle[11].

Foire aux gages

Usages contemporains

Bibliographie

Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article : Ouvrage utilisé comme source pour la rédaction de cet article

Ouvrages généraux

Ouvrages sur le retable flamand

  • Jean Cognard, « Retable flamand de Kerdévot » sur http://www.grandterrier.net, 2009. Consulté le 30 octobre 2011Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-Marie Abgrall, « Le Retable de Kerdévot - Paroisse d'Ergué-Gabéric », dans Bulletin de la société archéologique du Finistère, Quimper, Société archéologique du Finistère, no XXI, 1894, p. 94-101 (ISSN 02496763) [texte intégral] Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Antoine Favé, « Le Retable de Kerdévot : Légende recueillie par l'abbé Antoine Favé », dans Bulletin de la société archéologique du Finistère, Quimper, Société archéologique du Finistère, no XXI, 1894, p. 102-108 (ISSN 02496763) [texte intégral] Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Musée départemental breton et Association Kerdévot 89, Bretagne - Flandres : relations économiques, politiques et artistiques, XIVe - XVIe siècles : Exposition, musée départemental breton, Quimper, juillet-août-septembre 1989, Quimper, Musée départemental breton, 1989 
  • Bruno Faty, « Le rétable de Notre-Dame de Kerdévot », dans Bulletin de la société archéologique du Finistère, Quimper, Société archéologique du Finistère, no VIII, 1880, p. 56-62 (ISSN 02496763) [texte intégral] Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Autres ouvrages

Notes et références

  1. a, b et c Rouz 1987, p. 3
  2. bosenn signifie peste en breton.
  3. a, b, c, d, e, f, g et h Rouz 1987, p. 4
  4. voir la fiche du vitrail dans la base Palissy
  5. d'après le site topic-topos.com
  6. Le retable flamand
  7. Rouz 1987, p. 5
  8. a, b et c Rouz 1987, p. 6
  9. a, b et c L'ancien cantique de Kerdévot
  10. Jérôme Crédou, maire d'Ergué sur www.grandterrier.net
  11. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Le pardon de Kerdévot
  12. Notice no PM29001203, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  13. a et b Notice no PA00089920, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  14. voir les fiches des objets classés dans la base Palissy
  15. a, b, c, d et e Rouz 1987, p. 7
  16. Rouz 1987, p. 2
  17. a, b, c, d et e Rouz 1987, p. 8
  18. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Rouz 1987, p. 9
  19. Favé 1894, p. 106-107
  20. a et b La fontaine de Notre-Dame de Kerdévot
  21. Favé 1894, p. 107
  22. C'est-à-dire le premier dimanche suivant le 8 septembre, jour de naissance de la Vierge dans le calendrier grégorien.

Voir aussi

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