Catalogue des œuvres d'Hyacinthe Rigaud

Catalogue des œuvres d'Hyacinthe Rigaud
Autoportrait d'Hyacinthe Rigaud dit « au manteau rouge » - 1692 - Gravure de Pierre Drevet
Signature autographe d'Hyacinthe Rigaud d'après l'un de ses testaments.
Signature de l'atelier d'Hyacinthe Rigaud (non autographe) et valant pour identification de l'auteur.

Le Catalogue des œuvres d'Hyacinthe Rigaud est la liste des tableaux actuellement connus du portraitiste Hyacinthe Rigaud ; lequel a acquis sa principale notoriété grâce à son célèbre portrait de Louis XIV en grand costume royal, peint en 1701[1].

Cette liste a été établie grâce à plusieurs sources directes tel le Livre de raison de l'artiste publié en 1919 par Joseph Roman, lui-même établi d'après les manuscrits originaux des comptes de l'artiste. Les œuvres sont classées par genre puis par année de production, lorsque celle-ci est connue, d'après les livres de compte de l'artiste publié par Joseph Roman en 1919. Il s'agit de la seule liste publiée officiellement à ce jour[2], laquelle reprend celle d'Eudel, faite neuf ans plus tôt[3]. Pour des raisons de lisibilité, il a été mis en gras, les œuvres identifiées avec certitude. Les autres sont ceux soumis à caution dont aucune source directe n'atteste l'identification certaine. Leur intitulé est reporté à l'identique des corrections faites par le transcripteur le plus récent des livres de comptes...

Deux versions manuscrites des livres de comptes du peintre Hyacinthe Rigaud sont conservées, l'une à la bibliothèque de l'École nationale supérieure des beaux-arts et l'autre à la bibliothèque de l'Institut de France.

Le manuscrit de l’Institut est composé de deux volumes ayant appartenu à Antoine Moriau, avocat, procureur du roi et de la ville de Paris, célèbre bibliophile et porte d’ailleurs sa marque : Ex bibliotheca Antonii Moriau procuratoris et advocati regis et urbis. Ces volumes passèrent ensuite à la bibliothèque de la ville de Paris puis, au début du Second Empire, furent légués à celle de l’Institut (no 624 & 625). Le premier propose, année par année, la liste des portraits originaux peints entre 1681 et 1743 ainsi que les copies réalisées. Les annotations rajoutées d’une autre main que l’on y trouve çà et là et qui deviennent presque exclusifs à partir de 1736 sont sans doute de la main d’Hendrick van Hulst (1685-1754), ami et biographe de Rigaud, historien de l’Académie, sans doute le premier possesseur des volumes à la mort de l’artiste. Quant au second, il porte le titre de Mémoire de l’argent que j’ai donné des copies que j’ay fait faire entre 1694 et 1726.

Le manuscrit de l’École nationale supérieure des beaux-arts, quant à lui, semble être de la main même de Hulst. Malheureusement incomplet (il ne couvre que les années 1681 à 1698), il est d’une écriture très soignée et contient un certain nombre de précisions que l'on peut recouper avec les précédents manuscrits. C'est ainsi qu'a procédé le premier J. Roman, en 1919 (et dont nous nous sommes inspirés), suivi par le professeur George Ven Derveer Gallenkamp pour sa thèse soutenue à l'Harvard University en 1956 (également la source directe de cette page). Récemment Mme Ariane James-Sarazin a également soutenu une thèse non publiée sur le peintre.

Sommaire

Portraits

1681

Charles Simonneau
  • Monsieur de Vaux[4]
  • Monsieur Lot[4]
  • Monsieur Capus[4]
  • Monsieur Charpentier[4]
  • Monsieur Espierre[4]
  • Monsieur Paillot[4]
  • Madeleine Guyot, épouse de Gilbert Dupin de La Noue[4]
  • Monsieur Charpentier[4]
  • Catherine d’Aubarède, comtesse de Montcault''[4]
  • Bernard Grenu, abbé[5]
  • Monsieur Genesay[5]
  • Monsieur Gaillard de Charentonneau[5]
  • Monsieur Simon[5]
  • Charles Simonneau, graveur[5]
  • Henri-Louis Le Maître de Bellejame, conseiller au parlement de Paris[5]
  • Monsieur Le Marié[5]
  • Monsieur de la Morte[5]

1682

Charles de La Fosse[N 1],[6].

1683

Martin Desjardins
  • Monsieur Materon, joaillier[9],[N 2].
  • Esprit de Jousseaume, marquis de la Bretêche[10]
  • Martin Desjardins, sculpteur[10]
  • L'abbé Fayolle de La Ferrière[10],[N 3].
  • Alexis-Henri de Châtillon, marquis de Châtillon[10]
  • Monsieur Le Febvre[10]
  • Louis Molé, seigneur de Lassy et de Champlâtreux[10]
  • François de Simiane de La Coste, président au parlement de Grenoble[10]
  • Marie-Anne de Pourroy, sa femme[10]
  • Claude Rasle, seigneur de la Périsse, sous-fermier[10]
  • Mademoiselle de Bourlemont[10]
  • Louis I de Crussol, marquis de Florensac[11]
  • M. ... [chef de la poste d’] Angleterre[10]
  • Monsieur Roussel[10]
  • François Regnault, marchand de soie[10]
  • Étienne IV, marquis d’Aligre, conseiller d’honneur au parlement de Paris[10]

1684

Marie Cadenne
  • Monsieur de La Loire[12]
  • Madame de La Loire[12]
  • Monsieur Rasle le fils et [Madame sa] tante [12]
  • Monsieur Delpech[12]
  • Monsieur Courjades[12]
  • Monsieur Girardeau[12]
  • Marie Cadenne, femme du sculpteur Desjardins[12]
  • Paul-Maurice Haranger, chanoine à Saint-Germain-l'Auxerrois[12]
  • Monsieur David[12]
  • Nicolas Chevalier, maître des requêtes[12]
  • Monsieur le Tellier[12]
  • Madame le Tellier, sa femme[12]
  • Madame la Jary[12]
  • Monsieur Grillon[13]
  • Michel Lequien, de l’ordre de Saint-Dominique[13]
  • Monsieur Mestiez[13]

1685

Monsieur Sarrazin

1686

Suzanne de Boubers de Bernâtre
  • Madame la Marquise de Noquiey[16]
  • René-François Mallet de La Brunière, caissier de la caisse des emprunts[16]
  • Marguerite de La May de Valombre, épouse du précédent[16]
  • Monsieur de Vinnevolle[16]
  • Suzanne de Boubers de Bernâtre, épouse du fondeur Hans Johann-Balthazar Keller vom Steinbock[16]
  • Madame Merizier [16]
  • Charles-René d’Hozier, généalogiste du roi[16]
  • Jean Rosselet, garde des sceaux au présidial de Saintes[16]
  • Monsieur de Venugle[16]
  • Antoine Domergue, contrôleur général provincial en la généralité de Lyon[16]
  • Monsieur l’abbé Tithier[16]
  • Madame Touis[16]
  • Denis Dussault, Envoyé extraordinaire et plénipotentiaire auprès des puissances barbaresques[16],[17].
  • Marie Bazannier, épouse de Pierre Delpech[16]
  • M. Chambélain [de Chamblain][16]
  • Marie Bullet de Chamblain, son épouse[16]
  • Joachim Seiglières, seigneur de Boisfranc, surintendant des finances de Monsieur[18]
  • Monsieur Rogé[18]
  • Ramon de Trobat y Vinyes, intendant de Perpignan[18]
  • Monsieur Chataignier[18]

1687

Jean de Brunenc
  • Adrien-Joseph Hénin, conseiller au parlement de Paris et son fils Eustache Hénin''[19]
  • Augustin Le Haguais, seigneur de Montgivrault et de Courcelles, brigadier des armées du roi[19]
  • Jean Guillemain de Courchamps, fermier général[19]
  • Monsieur de Rochefort[19]
  • Jean de Brunenc, marchand de soie[19]
  • Monsieur Poisson[19]
  • Antoine Védel, conseiller au conseil souverain de Roussillon[19]
  • Nicolas-Louis Le Bailleul, président à mortier au Parlement de Paris[19]
  • Pierre-Philippe Lévesque, seigneur de Gravelle, maître des comptes[19]
  • Monsieur de Saint Maurice[19]

1688

Jean-Baptiste de Montginot
  • Monsieur Lefebvre[21]
  • Monsieur Ducerceau[21]
  • François de Monestay, marquis de Chazeron[21]
  • Nicolas Gruel, marquis de La Frette[21]
  • Madame Courtet[20]
  • Roch Quinson, marchand[20]
  • Monsieur Rodille[20]
  • Madame de Lajatte[20]
  • Monsieur Letellier[20]
  • Jean Robinet de Villiers, capitaine au régiment de Navarre[20]
  • Anne Boucot, épouse du modèle précédent[20]
  • Pierre Thomé de Lesse, seigneur de Montmagny[20]
  • Françoise Paradis, épouse du modèle précédent[20]
  • Scipion-Sidoine Apollinaire Gaspard, vicomte de Polignac''[20]
  • Pierre Perrichon, futur échevin de Lyon[20]
  • Madame Perichon, épouse du modèle précédent[20]
  • Frédéric Léonard, premier imprimeur du Roi[20]

1689

La duchesse de Montpensier
François Girardon, sculpteur (Milan, Civico Museo d’Arte Antica, Castello Sforzesco)
  • La Grande Mademoiselle, duchesse de Montpensier[22]
  • Philippe II d'orléans, Régent de France[23]
  • Madame la présidente d’Ons-en-Bray (d’Osambré)[23]
  • Jean-Pierre d’Aigrefeuille, conseiller à la chambre des comptes de Montpellier[24],[23].
  • Bertrand Piraube, arquebusier[23]
  • Madame Piraube, épouse du modèle précédent[23]
  • Antoine Gaillard, conseiller au Châtelet[23]
  • Charles Martel, comte de Clères[23]
  • Gaspard d’Estaing, marquis de Saillans et du Terrail[23]
  • Monsieur d’Herval[23]
  • Madame l’Hermite[23]
  • François Mérisier, maître d’hôtel du maréchal d’Estrées[23]
  • Marie Le Camus, comtesse de Mannevilette[23],[N 5].
  • Étienne-Nicolas Bourret, intendant de la principauté de Neufchâtel[25]
  • Marie-Anne Chopin de Montigny, épouse du modèle précédent[25]
  • Louis Leblanc du Roullet, maître des requêtes[25]
  • Louis-Charles, prince de Courtenay''[25]
  • Marie-Hélène de Besançon du Plessis, princesse de Courtenay[25]
  • Monsieur d’André [25]
  • Madame d'André, sa femme[25]
  • Pierre de Chesne, médecin[25]
  • Joseph-Mirza Akakia, marquis de Saint-Ouen[25]
  • Jules Boyer, seigneur de Bandol et de Château Arnoux[25]
  • Monsieur Guillegot[25]
  • Louis Boisseau, notaire au Châtelet[25]
  • Marguerite de Calan, épouse du modèle précédent[25]
  • Nicolas de Bauquemare, président aux requêtes du palais[25]
  • Monsieur du Metz, fils[25]
  • François Girardon, sculpteur[N 6]

1690

Jean-Baptiste Boyer d’Éguilles
Charles-Amédée de Broglie, comte de Revel

1691

Pierre Mignard (dessin)
Charles-René d'Hozier

1692

Étude pour le portrait de la marquise Madeleine Thérèse Euphrasie de Marillac, marquise d’Ecquevilly et de ses trois enfants[N 8],[34].
  • Monsieur Greder[35]
  • Marie-Françoise de Bournonville, maréchale de Noailles[35]
  • Claude Robert, procureur du roi au Châtelet de Paris[35]
  • Jean-Baptiste Robert, grand pénitentier de France, frère du précédent[35]
  • Monsieur Bessier[35]
  • François Amé, trésorier des gardes du corps[35]
  • Monsieur Lamy [35]
  • Pierre Doublet de Crouy, conseiller du Roi[35]
  • Gaston-Jean-Baptiste de Choiseul, marquis de Praslin[35]
  • Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, mémoraliste[35]
  • Madame Decquevillier [d’Ecquevilly] et ses enfants[35]
  • Mademoiselle Delamatte[36]
  • Joseph Fleuriau d'Armenonville''[36]
  • Monsieur Boyer[36]
  • Nicolas III Doublet, marquis de Persan[36]
  • Monsieur de Turgy[36]
  • Monsieur et Madame d’Esteuil[36]
  • Monsieur le marquis de Vaucluse[36]
  • François Carrel, conseiller au parlement de Paris[36]
  • Nicolas Collin de Vermont, ordinaire de la musique du roi[36]
  • Carl-Gustaf, comte de Bielke''[36]
  • Double portrait de Jan Andrzej de Morszstyn et de sa fille[36]
La famille Léonard
  • Madeleine-Armande du Cambout de Coislin, duchesse de Sully[36]
  • Monsieur de la Sourdière[37]
  • Monsieur Gigot[37]
  • Marie-Anne Mancini, duchesse de Bouillon[37]
  • Mademoiselle de Pepin[37]
  • Triple portrait de Pierre-Frédéric Léonard, imprimeur du roi, accompagné de son épouse, Marie-Anne des Essarts, et de leur fille''[37]
  • Jean-Rémy Hénault, fermier général[37]
  • Madame de Richebourg[37]
  • Jean Guillemin de Courchamp, fermier général[37]
  • Oudart-Thomas de l’Isle, président au parlement de Paris[37]
  • Etienne Baudouin, président à mortier au parlement de Paris[37]
  • Monsieur de St Loüet[37]
  • Pierre Savalette, notaire[37]
  • Louis-Nicolas Le Tonnellier, baron de Breteuil[38]
  • Martin van den Bogaert, dit Desjardins, sculpteur[38]
  • Autoportrait''[38]

1693

Pierre Clément d’Affincourt - gravure de Jean Audran d'après Rigaud
François-Henri de Montmorency Bouteville, maréchal de France
  • Monsieur Germain Lamy[40]
  • Pierre-Gilbert de Louan de Persat''[40],[N 10].
  • Madame Germain[40]
  • Louis Bauyn, chevalier, seigneur de Cormery, l'un des fermiers généraux de Sa Majesté[40][42]
  • Marie de Bourdaloue, dame de Mareuil, épouse du précédent[40]
  • Madame la comtesse de Clermont[43]
  • Monsieur Vincent[43]
  • Bernard de La Loëre de Montsivry, receveur des finances à Soissons[43],[N 11].
  • Alexandre Lhuillier, sieur des Cartes, fermier général[43]
  • Monsieur de Saint-Sauveur[43]
  • Hilaire Rouillé du Coudray, conseiller au Grand Conseil[N 12],[43].
  • Antoine Giraud, premier secrétaire du roi pour la Grande Chancellerie[43]
  • Marguerite du Puy, épouse du précédent[43]
  • François Lunel des Essarts, conseiller au parlement de Paris[43]
  • Marie-Françoise Hindret de Frenneval, née de Brennes[43],[N 13].
  • Madame Frémond[43],[N 14].
  • Christian Gyldenløve, comte Gyldenløve-Danneskjold, commandant du Royal Danois[43]
  • Marie Mallet, épouse de Gédéon Berbier du Metz[43]
  • Guillaume Egon, comte de Fürstenberg, Cardinal[44]

1694

Louis XIV
  • Charlotte-Thérèse Phélippeaux de La Vrillière, duchesse de la Feuillade[45]
  • Pierre-Vincent Mignon, conseiller à la cour des Aides[45]
  • Chrétienne Le Court, baronne de Breteuil[45]
  • Jean-Philippe d’Estaing, comte de Saillans[45],[N 15].
  • Louis Colbert, comte de Linières[45]
  • Marc-René de Voyer de Paulmy d'Argenson (1652-1721), ministre[45]
  • Honoré-Charles d’Albert de Luynes, duc de Montfort[46]
  • Madame la marquise de Bron[46]
  • Emmanuel-Joseph d’Hallencourt, marquis de Dromesnil[46]
  • Madame d'Aigremont de Saint-Manvieux[46]
  • Hippolyte de Béthune, évêque de Verdun[46]
  • François-Armand de Courville, colonel du régiment du Maine[46]
  • Jean Neyret, seigneur de Laravoye[46]
  • Monsieur d’Ambergure[46]
Guy-Crescent Fagon

1695

François Agésilas de Grossoles, marquis de Flamarens
  • Christian II, comte palatin de Birkenfeld-Bischweiler[49]
  • M...... secrétaire de M. d’Argenson[49]
  • Jean-Louis Girardin de Vauvray''[49]
  • Claude-François Girardin de Léry, maréchal de camp[49]
  • Giacomo Lomellini, envoyé de Gènes en France[49],[50].
  • Léonard de Lamet, curé de Saint-Eustache[49]
  • Alessandro Grimaldi, noble génois[49]
  • Pomponne de Refuge, marquis de Refuge[49]
Léonard de Lamet
  • Claude Grout de Princé''[49],[N 17].
  • Monsieur le marquis de Gersey[49]
  • Mademoiselle de Malteau[49]
  • Jean-François Monnin de Cressier, capitaine suisse[49]
  • Don João da Souza, comte de Prado''[51]
  • Nunés Telles da Sylva, comte d’Evora''[51]
  • Monsieur le prince Gagy[51]
  • Monsieur le marquis Serre[51]
  • Alexandre de Vauroy''[51]
  • Monsieur de Sécarès[51]
  • Joseph du Breuil, seigneur de Lourdoueix-Saint-Pierre[51]
  • Monsieur Lebrun, militaire[51]
  • Pierre Surirey de Saint-Rémy''[51]
  • Marguerite Baignard des Brosses, baronne du Goulet[51]
  • Madeleine de Thumery de Boissise-le-Roi, comtesse de Brégy[51]
  • Antoine-François-Gaspard Legendre de Lormoy, maître des requêtes[51]
  • Madame de Loüan[51]
  • Catherine-Hélène Dupuis de Moulceau de Grigny''[52]
  • Roger Robert, conseiller du roi[52]
  • Michel Bégon « le jeune » , premier commis de marine[52]
  • François Bégon, grand-maître des eaux et forêts du Blaisois[52]
  • Monsieur Pernet[52]
  • Monsieur Charles[52]
  • François de La Boulaye, capitaine des gardes du duc de Lorraine[52]
  • Charles de Lorraine, prince de Lixheim[52]
  • Michel Jean-Baptiste Ollier de Verneuil, archidiacre de Toulouse[52]
Jean de Souza, 6e comte de Prado
  • Charles de Salabéry, maître des comptes[52]
  • Henri de la Touche, seigneur de Zotten[52]
  • Louis de Malet de Crasmesnil, seigneur de Valsemé[52]
  • Madame Frémont[53]
  • Marie-Charlotte Troisdames, épouse de Charles Lallemant de Levignen[53]
  • François-Agésilas de Grossoles, marquis de Flamarens[53]
  • Louis-Urbain Lefèvre de Caumartin''[53]
  • Louis-Armand de Béthune-Charost, duc de Charost[53]
  • Armand I de Béthune-Charost, duc de Béthune[53]
  • Frédéric-Guillaume de La Tremouille, prince de Talmont[53]
  • Jean Donneau de Visé''[53]
  • Louis-Anne de Clermont de Chaste de Roussillon, évêque de Laon[53]
  • François de Barthélémy de Gramont de Lanta, évêque de Saint-Papoul[53]
  • Hippolyte-René Jouvenot, seigneur de Mérinville[53]
  • Monsieur Pagnon, de Lyon[53]
  • Monsieur de Bellay[54]
  • Monsieur de Berny[54]
  • Maria Serra, mère de l'artiste[53]
  • Triple portrait de Claire-Marie-Madeleine-Géronime Rigaud, sœur de l’artiste, de son époux, le Jean Lafita, bailli royal de Perpignan et leur première fille, Marie''[53],[55].
  • Monsieur le comte de Juigné[56]
  • Monsieur Lanaud[57]

1696

La comtesse de Lignières - château de Parentignat
  • Monsieur le marquis de Chaseron[58],[N 18].
  • Josèphe Calvo, comtesse d’Ille-sur-Têt[58]
  • Benoît, marquis de Calvo''[58]
  • Monsieur et madame la comtesse Rousse[58]
  • Mademoiselle Gaetane, leur fille[58]
  • Nicolas Guyet de Chevigny, prêtre de l’Oratoire[58]
  • Anne de Breuil de Lourdoueix, née André[58]
  • Marie-Sophie de Rébé''[58]
François Robert Secousse
  • Renée-Marie d’Andigné, née Suyrot des Champs[58]
  • Louis-François d’Aumont, duc d’Humières[58]
  • Louise Girardin de Vauvray, née Bellinzany[58]
  • Jean-Baptiste Durey de Vieuxcourt, président du Grand Conseil[58],[N 19].
  • Léonard de Lamet, curé de Saint-Eustache[59]
  • Louise Lamet, épouse de Guillaume Champy[59]
  • François-Robert Secousse, vicaire de Saint-Eustache[59]
  • Monsieur de La Baune[59]
  • Madame de Lisle[59]
  • Jacques Nicolas Colbert, archevêque de Rouen[59]
  • M. l’ambassadeur de Portugal[59]
  • Joachim-Joseph d’Estaing du Saillant du Terrail, évêque de Saint-Flour[59]
  • Louis II Le Peletier, président à mortier au Parlement de Paris[59]
  • Marie-Louise du Bouchet de Sourches, comtesse de Linières[59]
  • François-Louis de Clermont-Tonnerre, évêque de Langres[59]
  • Honoré Grimaldi, marquis de Cagne[60]
  • Ulrik-Christian Gyldenloeve, grand amiral de Suède[60]
  • Silvy de Raousset, comte de Boulbon[60]
  • Madame Roüillé[60]
  • Madame de Revelinghen[60]
  • Marie Andry, épouse de Jean Quinérant d’Hervilliers[60],[N 20].
  • Madeleine-Angélique de La Brousse de Verteillac''[60]
  • Oronce Fine de Brianville, abbé de Pontigny[60]
  • Monsieur de La Brosse[61]

1697

Louis-Antoine de Noailles
Charles-Joachim Colbert de Croissy

1698

Matthias-Johann von den Schulenburg
Jacques-Bénigne Bossuet, Florence, Galerie des Offices

1699

  • Georg-Friedrich von Brandenburg-Ansbach''[72]
  • Wilhelm-Friedrich von Brandenburg-Ansbach''[72]
  • Ferdinand, prince de Schwarzenberg''[72]
  • Madame Beaubourg[72]
  • Monsieur Fradet[72]
  • René-François Boutin, conseiller au parlement de Paris[72]
  • Dominique-Claude Barberie de Saint-Contest, marquis de Saint-Contest et de La Châteigneraie[72]
  • Monsieur Pelan, de Londres[72]
  • Louis, comte de Guiscard, lieutenant général[72]
  • Monsieur de Mouchy[72]
  • Charles-Honoré de Barentin, conseiller au parlement de Paris[72]
  • Antoine II de Ribeyre, conseiller d’État[73]
  • Georget-Louis-Anne III de Pernes, comte d’Épinac[72]
  • Francesco Maria Imperiale Lercari, ambassadeur de Gênes[72]
  • Jean d’Estrées, abbé d’Evron[73]
  • Emmanuel-Henri de Beaumanoir, marquis de Lavardin[73]
  • James Craggs « le Vieux », financier[73]
  • Sir Edward III Villiers, 1rst Lord of Jersey''[73]
  • Robert-Jean-Antoine-François Franquetot, comte de Coigny[73]
  • Ignace de Lieutaud''[73]
  • Jean Testu de Mauroy, abbé de Belleval[73]
  • Monsieur Grand[73]
  • Josèphe de Gamboa d’Urtubie de Laborde''[74],[75].
  • Monsieur le marquis de Duras, le père[74]
  • Monsieur le marquis de Duras, l’aisné[74]
  • Monsieur le marquis de Duras, le cadet[74]
  • Joseph de Ximénès, gouverneur de Maubeuge[74]
  • Armand-Roland Bignon, intendant des finances[74]
  • Pierre de Montesquiou d'Artagnan''[74]
  • Madame d'Hozier[74]
  • Françoise Béraud, épouse de Charles Colbert de Croissy[74]
  • Anne Lecourt, épouse de Louis Passerat, avocat du roi en l’élection de Provins[74]
  • Michel-François II de Verthamon, président au Grand Conseil[74]
  • Jean-Baptiste Colbert de Torcy, secrétaire d’État[74]
  • Guido Vaini, prince de Cantalupo''[76]
  • Louis-Bretagne-Alain de Rohan-Chabot, prince de Léon[76]
  • Elisabeth de Goyon de la Moussaye, marquise de Montbourcher[76],[N 25].
  • Monsieur Dalibour[76]
  • Le Generalfeldzeugmeister von Jordan[76]
  • Marie-Elisabeth de Barentin, abbesse de Saint-Amand de Rouen[76]
  • Louis Bignon, capitaine aux gardes[76]
  • Jean-François de Chamillart, évêque de Dole[76]
  • Monsieur Lecomte[76]
  • Jacques Le Voyer de Paulmy d’Argenson, abbé de Saint-Pierre de Preuilly[76]
  • Monsieur Masson[76]
  • Madame de Chérigny[76]
  • Jean-Denis de Polastron, lieutenant général[76]
  • Pierre-Armand du Cambout de Coislin, cardinal[77]
  • Monsieur le comte de Molan, envoyé de l’empereur[77]
  • Double portrait de Marie-Madeleine-Thérèse de Coycault de Chérigny, épouse d'Alexandre Milon et de son frère, Joseph Jean-Baptiste François Coycault de Chérigny'[77]
  • Triple portrait de Jean Le Juge, de sa femme Elisabeth de Gouy et de leur fille Marguerite-Charlotte[78]
  • François-Louis du Bouchet de Sourches, grand prévôt de France[79]

1700

1701

  • Philippe V d'Espagne, roi d'Espagne[83]
  • Louis XIV, roi de France[84]
  • Edouard Colbert, marquis de Villacerf[85]
  • Jean-Baptiste-Michel Colbert de Villacerf, archevêque de Toulouse[85]
  • Monsieur le comte de Vérieux[85]
  • Philippe-Louis Wenceslas François-Antoine-Bonaventure-Etienne, comte Sinzendorf''[85]
  • Regina-Katerina-Isabela-Rosalia zu Valdštejna, comtesse de Sinzendorf''[85]
  • Jean de la Garde d’Agoult, marquis de Vins[85]
  • Jean II de Castille, marquis de Chenoise[85]
  • Gilbert-François Rivoire, marquis du Palais[85]
  • Monsieur de Jouvignac[85]
  • Catherine-Marie Le Gendre de Villedieu, épouse de Claude Pécoil[85]
  • Madame de La Jonchère[85],[N 26].
  • Marie-Claire-Isabelle des Fontaines''[86]
  • Erik Axelsson von Sparre, baron de Sparre[86]
  • Etienne Ferrand, seigneur de Saint-Dizant[86]
  • Anne de Besset de Saint-Dizant, épouse du précédent[86]
  • Monsieur de La Valette[86]
  • Monsieur Langlois[86]
  • Melchior de Forbin de La Roque d’Anthéron, président à mortier[86]
  • L'abbé François Ledieu, secrétaire de Bossuet[86]
  • Monsieur le marquis D'Avéjan[86]
  • Édouard Valot, évêque de Nevers[86]
  • Louis-Nicolas Le Tonnellier, baron de Breteuil[86]
  • Claude Gros de Boze, trésorier de la généralité de Lyon[86]
  • Madame la comtesse de Montaigu[86]
  • Monsieur de Beaubrian[87]
  • Monsieur le marquis de la Chasse[87]
  • Nicolas III Le Camus, seigneur de la Grange[87]
  • Joseph de Montaigu, chevalier de Bouzols, sous-Lieutenant dans la Compagnie de Berniere[87]
  • Monsieur de Beaubour[87]
  • Jacques de Vanolles, conseiller du roi[87]

1702

  • Maximilien-Constantin d’Anzeray de Courvaudon, président à mortier au parlement de Rouen[88]
  • Monsieur le comte de Vreide, de Suède[88]
  • Monsieur Adam[88]
  • Jean-Antoine II de Mesmes, comte d’Avaux''[88]
  • Monsieur Débert, maître des comptes[88]
  • Anton Ulrich, duc de Brünswick-Lunenburg[N 27],[89],[88].
  • Ferdinand Albert III, duc de Brunswick-Bevern[90]
  • Frédérik Walter, capitaine danois[91],[88].
  • Victor-Marie d’Estrées, maréchal de France[88]
  • Monsieur le marquis de Caudemont[88]
  • Jean-Baptiste du Casse, chef d’escadre[88]
  • Armand-Victor Le Bouthillier, comte de Chavigny''[92]
  • Monsieur de Ressenet[92]
  • Claude Feydeau de Marville, officier aux gardes françaises[92]
  • Joseph-Ignace-Auguste-Mainfroy-Jérôme de Scaglia, comte de Verrue''[92]
  • Constance de Jouvenel de Harville des Ursins, marquise de Pomponne''[92]
  • Isaac Le Maître, fermier général[92]
  • Pierre Gillet, procureur au parlement de Paris[92]
  • Hélène Charron, épouse de Pierre Moreau de Villiers, secrétaire du roi[92]
  • Louis Robert, grand vicaire de Nîmes[92]
  • Monsieur Véron[92]
  • Marie-Anne Fermé, fille de Jacques Fermé, receveur général du Limousin[92]
  • Monsieur Chauvelin[92]
  • Léon de Roll, premier président à la chambre du commerce de Bayonne[92]
  • Étienne Landais, trésorier de l’artillerie[92]
  • René Coustard, marchand drapier à Paris[93]
  • Catherine Leroy, épouse du précédent[94]
  • Charles-François de la Baume Le Blanc, marquis puis duc de la Vallière[94]
  • Bernard Le Bovier de Fontenelle, écrivain[94]
  • David-Nicolas de Bertier, évêque de Blois[94]
  • Gabriel de Roquette, évêque d’Autun[94]
  • André-Pierre Hébert, conseiller au parlement de Paris[94]
  • Claudie de Linange, épouse du précédent[93]
  • Ottavio Francesco Solaro, Comte de Gouvon (second portrait)[93]
  • Catherine-Félicité Arnauld de Pomponne, marquise de Torcy[93]
  • Monsieur du Tirzénet[94]
  • Monsieur Valier[94]
  • Jules Hardouin-Mansart, architecte (second portrait)[95]
  • Mademoiselle de Castillon[95],[N 28].
  • Angélique de Langlée, comtesse de Guiscad[95]
  • L’abbé Beignier[96]
  • Monsieur de Saint-Gervais[97]
  • Alessandro Roncovieri, ambassadeur de Parme[98]
  • Philippe de Courcillon de Dangeau, marquis de Dangeau[88]

1703

  • Le duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV[94]
  • Jacques Bénigne Bossuet, abbé de Saint-Lucien de Beauvais[99]
  • Monsieur Périchon, de Lion[99]
  • Paolo-Girolamo Pallavicini, envoyé extraordinaire de la République de Gênes à Londres[99]
  • Dodon-Henri, baron de Knyphausen, conseiller privé du roi de Prusse (second portrait)[99]
  • Jean-François de Virolleau de Marillac, enseigne[99]
  • Moïse-Augustin Fontanieu, trésorier général de la marine[99]
  • Louis Colbert, comte de Linières (second portrait)[99]
  • Madame Dalibour[99]
  • Henri-Louis de la Tour d’Auvergne, comte d’Évreux[100]
  • Emmanuel-Jean-Joseph d’Hallencourt, marquis de Dromesnil (second portrait)[100]
  • Monsieur d'Olivier, de Lion[100]
  • Marie-Anne Varice de Valières, épouse de Jean Neyret de La Ravoye[100]
  • Jean Hérault, Seigneur de Gourville''[100]
  • Monsieur Renaudot[100]
  • Louis-Pierre Engelbert, comte de la Marck''[100]
  • Pierre-Gabriel Villebois, capitaine puis président des trésoriers de France à Alençon[100]
  • Marie-Hector de Marle de Bragelonne''[100]
  • Charlotte-Elisabeth de Cochefilet de Vaucellas, princesse de Guéméné[100]
  • Eléonor-François de Dio, marquis de Montpeyroux''[100]
  • Charles Marcadé, maître en la chambre des comptes de Paris[101]
  • Jean Girardot de Chancourt, marchand de bois pour l’approvisionnement de Paris[101]
  • Philippe Poirier d’Anfreville, archidiacre d’Auch[101]
  • Jacques Perrotin de Barmond, contrôleur général de la marine[101]
  • Jacques-Ennemond Thibert de Martrais, conseiller d’État[101]
  • Emmanuel-Théodose de la Tour, duc d’Albret''[101]
  • Louis-Maurice Desvieux, avocat du roi au Grand Conseil (troisième portrait)[101]
  • Jérôme Mérault, conseiller au Grand Conseil[101]
  • André Rollet de Montavert, capitaine major à Bapaume[101]
  • Jean II de La Croix, maître des comptes[101]
  • Paulin Pondre, receveur général des finances à Lyon[101]
  • Augustin-Antoine de Ferriol, receveur général des finances[101],[N 29].
  • Melchior de Blair de Fayolles, fermier général[102]
  • Madame Robert, la procureuse du Roy[102]
  • Monsieur de la Roche, marchand à Blois[102]
  • François-Joseph de Gélas de Lébéron''[102]
  • Angélique de Langlée, comtesse de La Bourlie (second portrait)[102]
  • Marie-Françoise de Beauvilliers, marquise de Marillac[102]
  • Jean-François de Virolleau, marquis de Marillac[102]
  • Nicolas Loubert, trésorier général des finances à Orléans[102]
  • Alexandre Milon, maître des requêtes[102]
  • Étienne-François Geoffroy, médecin[102]
  • Nicolas Desvieux''[102]
  • Mademoiselle de Mérault[102]
  • Marie-Anne Pajot, épouse dAntoine-François-Gaspard Legendre de Lormoy, maître des requêtes[102]
  • Louis-Bénigne de Berthier de Sauvigny, président au parlement de Pau[103]
  • Charles-Antoine-Joseph de Croy', quatrième duc d’Havré et de Croy[103],[N 30].
  • Jean-Jacques Titon du Plessis, conseiller du Roi[103]
  • Jean de Santeul, poète[N 31]
  • Monsieur Terner[104]

1704

1705

1706

1707

  • Emmanuel-Théodose de La Tour d'Auvergne, cardinal de Bouillon[127],[N 48].
  • Monsieur Desbordes[128]
  • Monsieur Desmarest[129]
  • Conrad Reventlow, chancelier du Danemark[130]
  • Guillaume Benard de Rézé, conseiller au parlement de Paris[130]
  • Gérard Edelinck, graveur[N 49]
  • André-Pierre Hébert, maître des requêtes[130]
  • Jean-Baptiste Drouard de Bousset, musicien[130]
  • Jean-Léonard Secousse, conseiller et secrétaire du prince de Dombes[130]
  • Giovanni Lorenzo Verzura, agent d'affaire génois[130]
  • Charles-Henri de Lorraine, prince de Vaudémont[130]
  • Michel-André Jubert de Bouville, conseiller d'état[130]
  • Alain-Emmanuel, marquis de Coëtlogon de Méjusseaume''[130]
  • Monsieur Dudegnon, d'Auvergne[131]
  • Charles II de Houdetot, Sieur de Graimbouville[131]
  • Marie-Anne Pellot de Trévières, marquise de Becdelièvre[131]
  • Camille Le Tellier, abbé de Louvois[131]
  • François Hénault, Secrétaire du roi en la Chancellerie du Parlement de Besançon[131]
  • Esther de Jassaud, marquise d'Usson de Bonnac[131]
  • Pierre II Gruyn d'Evry, garde du trésor royal[131],[N 50].
  • Marie-Louise du Bouchet de Sourches, comtesse de Lignières[131]
  • Charles-Honoré d’Albert, duc de Chevreuse puis de Luynes[131]
  • Armand-Joseph de Saint-Laurent de Bertrandy, lieutenant de cavalerie[131]
  • Louis-Camus Destouches-Canon, commissaire provincial d’artillerie[131]
  • Emmanuel-Gaspard du Bourg de Bozas''[132]
  • Barthélémy Rolland de Chambaudoin, contrôleur de l’extraordinaire des guerres[132]
  • Catherine-Agnès Langlois, femme de Barthélémy Rolland[132]
  • Jean-Paul Bignon, conseiller d'état[132]
  • Charles II d’Houel, marquis d’Hourlbourg, capitaine aux gardes[132]
  • Jean Le Sens de Folleville, conseiller lai[132]
  • Urbain Aubert, président de la chambre des comptes à Rouen[132]
  • Marie-Anne Le Tellier, épouse d'Urbain Aubert[132]
  • Louis-Auguste d’Albert d’Ailly, vidame d’Amiens puis duc de Chaulnes[132]
  • Louis-Gaston Fleuriau d’Arménonville, évêque d’Orléans[133]
  • Christina Beata Lilie, baronne de Sparre[133]

1708

  • Mademoiselle Alexandre[134]
  • Monsieur de Calvo[135]
  • Monsieur Rasle[136]
  • Jean-Baptiste Jolly, conseiller secrétaire du roi, trésorier de madame la princesse de Conty[136]
  • Gilles Bégault, 3e archidiacre de la cathédrale de Nîmes[136]
  • Le prince de Bouïllon[136]
  • Jean-Joseph de Serré, conseiller au parlement de Paris[136]
  • Philippe-Emmanuel de Crussol, marquis de Saint-Sulpice[137]
  • Charles-Auguste d’Allonville, marquis de Louville[137]
  • Hyacinthe Sophie Béchameil de Nointel, marquise de Louville[136]
  • François II de Gouy d’Arsy, marquis de Cartigny[136]
  • Mademoiselle de Cartigny, abbesse de Villechasson-Moret[137]
  • Louis du Bouchet de Sourches, comte de Montsoreau, maréchal des camps[136]
  • Jeanne-Agnès-Thérèse du Pocholles du Hamel, comtesse de Montsoreau[136]
  • Pierre de Saint-Eustache, major au régiment des dragons de Senneterre[137]
  • Isaac Courtin, seigneur du Saussoy[137]
  • Philippe Mallet, docteur en Sorbonne, aumônier du duc d’Orléans[137]
  • Pierre Chauvin, médecin[137]
  • Cardin Lebret, alors intendant de Provence[137]
  • Marguerite-Charlotte-Geneviève Le Ferron, épouse de Cardin Lebret[137]
  • Monsieur de Villerey[137]
  • Jean-Baptiste du Plessis de Grenédan, vicomte de Grenédan[137]
  • Hilaire Langlois, correcteur des comptes[137]
  • Philippe-Marie de Montroux, lieutenant général[137]
  • Paolo Girolamo Pallavicini, ambassadeur de Gênes[137]
  • Madame de La Houssaye, de Rouen[137]
  • Louis-François de Bellanger de Thourotte, seigneur de Blacy, maître de camp de cavalerie[137]
  • Madame de Guamel[127]
  • N. Grout de Campaneux, gentilhomme ordinaire du roi[127]
  • Monsieur de la Sourdière[127]
  • Marc-René de Voyer de Paulmy d’Argenson, lieutenant général de police[127]
  • François-Louis du Bouchet de Sourches, Grand Prévôt de France[127]
  • James Francis Edward Stuart, roi d'Angleterre[127]
  • Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse''[127]

1709

  • Madame François Pidou de Saint-Olon, femme de l'ambassadeur de France au Maroc et à Alger[138]
  • Alexandre Tamisier, abbé commendataire de l’abbaye bénédictine Saint-Martin de Huiron[138]
  • Monsieur le marquis d'Anzy[139]
  • Nicole-Françoise Desmarets, femme de Michel-André Jubert de Bouville[138]
  • Pierre-Nicolas de Bérulle, premier président au parlement de Grenoble[140]
  • Nicolas-Jacques Boucher, receveur des tailles au Mans[141]
  • François Olivier de Sénozan, agent général du clergé de France[141]
  • Valentin-Esprit Fléchier, évêque de Nîmes[141]
  • Jean Le Franc de Caix de Pompignan, premier président de la cour des aides de Montauban[141]
  • François Gueston, prieur de Mornanc[141]
  • Elisabeth Morel de la Carbonnière''[141]
  • Madame du Jarry[141]
  • Monsieur de Montier, de Pontoise[141]
  • Monsieur Moreau, de Saint-Malo[141]
  • Catherine de Marie, marquise de Bully[141]
  • Joseph Jean-Baptiste Fleuriau, seigneur d’Arménonville''[142]
  • Anne d’Anfreville, femme de Claude Le Page[142]
  • Mademoiselle de Follin[142]
  • Jean Girardot de Chancourt, marchand de bois pour l’approvisionnement de Paris[142]
  • Nicolas Magnanis, secrétaire du duc de Vendôme[142]
  • Monsieur de comte d'Auroy[142]
  • Claude Thiroux de Villersis, contrôleur au Grand Conseil[142]
  • Monsieur de Cardos[143]
  • Nicolas de Laistre, conseiller au Parlement de Paris[143]
  • Marie Jean-Baptiste Colbert, marquis de Seignelay[143]
  • François-Alphonse Hénault de Cantobre, fermier général[143]
  • Charles-Philippe d’Albert, duc de Chevreuse[143]
  • Stefano Pinelli Gentile, comte de Tagliolo, envoyé extraordinaire de Gênes[143]
  • La comtesse de Tagliolo, femme du précédent[143]
  • Jean III de Gassion, marquis de Gassion[143]
  • Henri des Vieux, seigneur de Brion, major au régiment de Navarre[143]
  • François-Victor Le Tonnelier de Breteuil, marquis de Fontenay-Trésigny[143]
  • Jean-Philibert du Port, trésorier général à Lyon[143]

1710

  • Louis Antoine de Pardaillan de Gondrin, marquis d'Antin[144]
  • Louis-Charles des Alris de Rousset, évêque de Béziers[145]
  • Armand Gaston Maximilien de Rohan, cardinal[146]
  • Étienne Dansse, aumônier du roi, abbé commendataire de Deauville[145]
  • Monsieur de Coulondre[145]
  • Brita Sofia Horn af Marienborg, comtesse de Bielk[147]
  • François-Henri d’Étampes, marquis de Valencey, colonel de dragons[144]
  • François de La Porte de Féraucourt, fermier général[148]
  • Jacques d’Astorg d’Aubarède, gouverneur de l'île de Ré[144]
  • Mademoiselle Esquet[144]
  • Monsieur Moreau de Saint-Malo[144]
  • Monsieur de La Croix, vendeur de marée[148]
  • Monsieur Texier[148]
  • Jean-Claude Tourton, banquier[148]
  • Monsieur Waubert[149]
  • Charles de Jean, grand maître des eaux et forêts[148]
  • Marie-Pélagie de Jean, née Hendret, épouse du précédent[148]
  • Antoine de Saint-Just de Brillampré, capitaine au régiment d’Artois[148]
  • Monsieur l'abbé d’Arles-sur-le-Tech[148]
  • Abel de la Bletonnière, conseiller au parlement de Paris[148]
  • Madame Moran de La Porte[148]
  • Augustin de Maupeou, archevêque d'Auch[149]
  • Néri Maria Corsini, envoyé de Florence[148]
  • Anne-Jacques de Bullion, marquis de Fervacques[149]
  • Marie-Madeleine Hortense Gigault de Bellefonds, marquise de Fervacques[149]
  • Monsieur de la Cy, procureur du roi à Mâcon[149]
  • Nicolas-Robert Biberon de Cormery, conseiller du roi aux eaux et forêts[149]
  • Jeanne Duranti, femme de Denis Marsollier, conseiller au Grand Conseil[149]
  • Monsieur le comte de Mailly[149]
  • Pierre du Mesnil, seigneur d’Ardoncelle[149]
  • Alexis Marion, lieutenant[149]
  • Monsieur Lemercier[149]
  • Monsieur Beauver, homme d'affaires[149]
  • Cardin Lebret, premier président au parlement de Provence[146]
  • Louis IV Chauvelin, avocat général au parlement de Paris[146]
  • Jean-Baptiste Colbert de Torcy, ambassadeur en Espagne[146]
  • Christophe Pajot, grand audiencier[146]
  • Pierre Rollée, intendant général des finances à Limoges[146]
  • René-Alexis Le Sénéchal de Kercado, comte de Kercado[146]
  • Jeanne Magon, comtesse de Kercado, femme du précédent[146]
  • Armand Gaston Maximilien de Rohan, cardinal[146]
  • Mademoiselle Nicolas[146]
  • Balthasar-Henri de Fourcy de Chessy, abbé de Saint-Wandrille[146]
  • Léon-Étienne Le Camus, seigneur de la Grange-Bligny, premier président de la Cour des Aydes[146]
  • Catherine-Suzanne Aubert, femme de Léon-Étienne Camus de la Grange[146]
  • Antoine-François-Gaspard Legendre de Lormoy, intendant de Montauban[146]

1711

  • Autoportrait au porte mine
  • Adrien Maurice de Noailles, duc de Noailles
  • Françoise Charlotte Amable d’Aubigné, duchesse de Noailles
  • Monsieur de Roisse
  • Antoine Moron, receveur général des finances à Lyon
  • Françoise Le Court, épouse du précédent
  • Pierre Dulivier, directeur de la Compagnie des Indes-Orientales
  • Monsieur de la Chapelle-Martin
  • Jean-César Rousseau de la Parisière, évêque de Nîmes
  • Monsieur de Nolan (Nollent ?)
  • Thomas de Maussion de Candé, receveur général des finances à Alençon
  • Catherine-Agnès Langlois, femme de Barthélémy Rolland de Chambeaudouin
  • Jacques-Marie-Jérôme Michau de Montaran de Montbrun, conseiller honoraire au parlement de Paris
  • Mademoiselle de la Saline
  • Marie Bouret, sœur du trésorier
  • Pierre-Amable-Damien Hébert de Beauvoir de Boscol, conseiller au parlement de Rouen
  • Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil, évêque d’Autun
  • Hugues-François Henri Joseph de Lézay, marquis de Lusignan
  • François du Mesnil, sieur de Maricourt
  • Louis-Albert Asselin de Berville, maître des Requêtes
  • Marie-Madeleine Coskaer de La Vieuville, comtesse de Parabère
  • Pierre Gorge d’Entraigues, conseiller au parlement de Metz
  • Julie d’Estampes-Valencay d’Entraigues, femme du précédent
  • Charles-Hubert de Mesgrigny, marquis de Mesgrigny, conseiller au parlement de Paris
  • Espérance Fontaine, marquise de Mesgrigny, femme du précédent
  • Marc-François-Vincent de Beauvau, prince de Craon
  • Monsieur Cherrier de Genève
  • Le baron Schorlemer, allemand
  • Nicolas-Auguste de la Baume, marquis de Montrevel
  • Le baron de Vualpot, de Cologne
  • Paul-François de Béthune, marquis d’Ancenis

1712

  • Cardin Lebret, comte de Selles, premier président au parlement de Provence
  • Marguerite-Henriette de Labriffe, comtesse de Selles en Cérès, épouse du précédent
  • Marguerite-Henriette de Labriffe, comtesse de Selles en buste, épouse du précédent
  • Ignace de Lieutaud, capitaine d’infanterie dans le régiment du prince de Pons
  • Nicolas Delaunay, directeur de la Monnaie et des Médailles
  • Le comte de la Rivière.
  • Monsieur Suiny, de Londres
  • Étienne-Vincent Le Mée, conseiller au parlement de Paris
  • Madame Le Mée, sa femme
  • Marguerite Porcher, femme de Michel Saulnier, avocat au parlement
  • Charles-Jérôme de Cisternay du Fay, capitaine des gardes du prince de Conti et chimiste
  • Nicolò Durazzo, ministre de la république de Gênes
  • Jean Perrin, trésorier général des finances à Aix-en-Provence
  • Mademoiselle Briçonnet
  • Pierre Poulletier, seigneur de Nainville, intendant des finances à Lyon
  • Anne-Louise Lemaire, femme de Nicolas-Jacques Boucher, receveur des tailles au Mans
  • Antoine Dezallier, imprimeur à Lyon
  • Guillaume II Scott de La Mésangère, président à mortier au parlement de Normandie
  • Armand-François de Bretagne, baron d’Avaugour, comte de Vertus
  • Emmanuel-Philippe de Coulanges
  • Joseph Ignace Jean-Baptiste de Mesgrigny, évêque de grasse
  • Jean-François de Biaudos, marquis de Castéja

1713

1714

  • Salomon Chénard de la Faye, lieutenant général au siège présidial de Mâcon[152]
  • Louis-Jean-François-Gabriel de Hénin-Liétard, évêque d’Alais[152]
  • Joseph de Gillet, marquis de la Caze, premier président au parlement de Bordeaux[152]
  • Bonne de Barillon d’Amoncourt, femme d'Arnaud II de Labriffe, conseiller au Grand Conseil[152]
  • Elisabeth-Eléonore de la Tour d’Auvergne, abbesse de Thorigny[152]
  • Jacques-Corentin de Fleury de Pénanrue, gouverneur de Quimper[152]
  • Julie-Christine-Régine Gorge d’Entraigues, marquise d'Ancenis[152]
  • Nicolas V Le Camus, premier président à la Cour des Aydes[152]
  • Simon-Joseph de Tubeuf, conseiller au parlement de Paris[152]
  • Gaspard-Hubert-Magdelon de Vintimille, marquis du Luc[152]
  • Monsieur Roque[153]
  • François d’Usson, seigneur de Bonrepaus[154]

1715

  • François Asselin de Frenelles, chevalier de Malte[159]
  • La marquise de La Mésangère, née Bourret[159]

1716

1717

  • Erik Axelsson Sparre van Sundby''[162]

1718

  • Monsieur Hesse, de Londres[163]
  • Guillaume Castanier, baron de Conffoulens, directeur de la manufacture de draps de Pennautier (Musée des Beaux Arts de Carcassonne)[160]
  • Joachim Guitton, marchand-banquier à Marseille[163]
  • Honoré Guitton, marchand à Marseille[163]
  • Louis-Robert de Barville, conseiller d’État[163]
  • Marguerite-Henriette de Saulx-Tavannes de Miribel, marquise du Montal[163]
  • Monsieur Dorcigny[163]

1719

1720

1721

  • Monsieur de Beaubourg[167]
  • Lucas Schaub, de Bâle[168]
  • « Autre portrait en buste de Mr le chevalier Seaub »[168]
  • Gérard-Michel de La Jonchère, trésorier de l’extraordinaire des guerres[167]
  • Alexis César Freslon de La Touche-Tréby d’Assigné, marquis d'Acigné ou « d'Assigny »[167],[N 53].
  • Françoise Sophie Gouyon de Touraude-Beaufort, marquise d'Acigné ou « d'Assigny », sa femme[167],[N 54].
  • Pierre Billard de Vaux, receveur payeur des gages des officiers de la chancellerie de la Chambre[167]
  • René Pucelle, abbé[167]
  • Peder Benzon Mylius, juge de la haute cour de Copenhague[167]
  • Patrick Lilesh, ambassadeur d'Espagne en France[167]
  • Louis XV, roi de France[167],[N 55].

1722

1723

  • Guillaume Dubois, cardinal et premier ministre[170]
  • Joseph Dubois, frère du précédent, maire perpétuel de Brive[170]
  • Marie-Anne David de la Plagne, femme du précédent[170]
  • François-Elie de Voyer de Paulmy d’Argenson, archevêque de Bordeaux[170]
  • Jean-Baptiste de la Valette de Cornusson, comte de Monteil, brigadier des armées et sénéchal de Toulouse[170],[N 56].
  • Bartolomeo Massei, nonce du pape[170]
  • Jean Chambrier, conseiller d’état de la principauté de Neuchâtel[170]
  • Madame Chambrier, mère François de Chambrier[171]
  • Jules-Robert de Cotte, architecte et intendant des bâtiments, jardins, arts et manufactures[170]
  • Fulcrand-Jean-Joseph-Hyacinthe d’Aigrefeuille, président de la cour des comptes de Montpellier[172]
  • Joseph-Hyacinthe Henri Xavier de Belsunce, évêque de Marseille[172]
  • Joseph-Marie de Guyardon de Lévignan, conseiller au parlement de Paris[172]
  • Charles de Saint-Albin, archevêque de Cambrai[172]
  • Charles Gaspard Dodun, marquis d’Herbault[172]
  • Conrad Detlef, comte de Dehn[172]
  • Antoine Teissier, sieur du Plessis, conseiller du roi[172]
  • Marguerite de la Briffe, femme de Louis Bossuet''[172]

1724

  • Marie-Françoise Lucas de Muyn, femme de François Le Gras, maître des requêtes[173]
  • Claude Thiroux de Villersy, conseiller au parlement[173]
  • Antoine Paris, garde du trésor royal[173]
  • « Autre portrait d'Antoine Paris en grand »[173]
  • Amalie-Ernestine von Platen-Hallermund, comtesse de Platen[173] ; [174]

1725

1726

1727

1728

  • André Hercule de Fleury, cardinal[178],[N 60].
  • Jean Jacques Bouhier, premier évêque de Dijon[178]
  • Giulio Visconti Borromeo Arese, 4e comte della Pieve di Brebbia[179],[180].
  • François I Castanier d’Auriac, directeur de la Compagnie d’Occident et Indes Occidentales[178]
  • François II Castanier d’Auriac, président du Parlement de Toulouse[178]
  • Marguerite-Catherine Chauvelin, sa femme[178]
  • Barbe-Madeleine Maynon, femme de Nicolas-Étienne Roujault, intendant[178]

1729

1730

1731

1732

1733

1734

  • James Waldegrave, ambassadeur d’Angleterre à Paris[187],[N 63].
  • Marie Duportal, femme de Louis-Laurent Anisson, directeur de l’imprimerie royale[187]
  • Jean-Antoine Olivier de Sénozan, conseiller au Châtelet puis premier président[187]
  • Philibert Orry, contrôleur général des finances[187]
  • Jean-Antoine Gaspard Grimod de la Reynière, fermier général[187]

1735

1736[N 64]

  • Louis-Paul Boucher, marchand de draps et secrétaire du roi[189]
  • Mr ***, aussi anglois[189]
  • Mr le chevalier***, anglois[189]
  • Mr Le Tourneur, anglois[189]
  • Mr le chevalier Crosse, anglois[189]
  • René Robion de Lupin''[189]
  • Emmanuel-Henri Thimoléon de Cossé-Brissac, évêque de Condom[189]

1737

1738

1739

  • Francesco II Brignole Sale, doge de Gênes[192]
  • Battina Raggi, marquise de Bignole Sale, sa femme[192]
  • Sir Bourchier Wrey
  • Jean-Hyacinthe Davasse de Saint-Amaranthe, receveur général des finances[192]
  • Marie-Louise-Charlotte Davasse de Saint-Amaranthe, sa femme[192]

1740

1741

  • Jean-Baptiste Silva, médecin[194]
  • Le père Eustache, bibliothécaire des Augustins reformée de la place des Victoires[194]
  • Catherine-Marie-Augustine de Semonville, née Thiroux de Millery[194]

1742

  • Monsieur de Guénégaud des Brosses[195]
  • Jean-François de La Borde, fermier général[195]
  • Autoportrait d'Hyacinthe Rigaud peignant sa femme (gravure de Daullé en 1742)
  • Daniel-François de Gelas de Voisins d’Ambres, lieutenant général[195]

1743

Portraits non datés

Tableaux d'histoire ou de genre

Sainte Madeleine pénitente - v.1710 - collection privée

Notes

  1. ↑ Huile sur toile ovale. H. 83,2 ; L. 66,2.
  2. ↑ C’est grâce aux récits de Hulst et de Dezallier d'Argenville que nous pouvons supposer la production du portrait du joaillier Matheron. Le second rapporte l’anecdote ainsi : « Quelques portraits commencèrent sa réputation ; son premier morceau fut le portrait d'un nommé Materon, joaillier, qu'il fit au premier coup dans le goût de VanDyck. Ce portrait passa successivement au fils et au petit-fils du joailier. Ce dernier, voulant s'assurer s'il était de Rigaud, le fit porter chez lui. Sur le nom de Materon, Rigaud reconnu son ouvrage : La tête, dit-il, pourraît être de Van Dyck, mais la draperie n'est pas digne de Rigaud, et je la veux repeindre gratuitement […] ». Huslt fait sans doute référence à l’édition de d’Argenville lorsqu’il tente de corriger « le trait du portrait de Materon qu’on trouve placé dans une vie imprimée de Rigaud, quoique d’une façon un peu défigurée […] ». En gage de sa bonne foi, il précise : « En restituant ce trait dans toute sa simplicité, tel que je le tiens de M. Rigaud même, cette indication n’en recevra que plus d’éclat. » Si l’on suit le second, Materon fils était persuadé que le portrait de son grand-père avait été fait par Van Dyck et c’est ainsi qu’il le présenta au catalan : « Rigaud crut d’abord qu’il le vouloit plaisanter, et lui dit : J’en suis bien aise. L’autre, d’un air sérieux, reprit : « Quoi ! Monsieur, il me semble que vous ne le croyez pas de Van Dyck ! Non répliqua Rigaud, car il est de moi, et même je ne suis pas trop content de l’habillement, et y veux retoucher pour le mettre plus d’accord avec la tête qu’il ne l’est ». Dorbec, s’inspirant sans doute de d’Argenville et de Hulst, confirme l’existence de ce tableau : « En 1732, le peintre était réapparu avec un des plus beaux morceaux que, paraît-il, on eût pu voir, une grande figuration d’un sieur Matheron, joaillier, qu’il avait peinte quarante-neuf ans auparavant et qui devait lui être une de ses productions préférés ». Ceci nous mènerait à l’année 1683.
  3. ↑ Roman ne faisait aucune proposition, mais il s'agit probablement de l’abbé Fayolle de La Ferrière qui remplaça l’abbé Thé du Châtellier, principal du collège de Rennes, alors démissionnaire (voir Titres concernant le collège de la ville de Rennes, série GG288, Archives de Rennes.
  4. ↑ Huile sur toile collection privée. Ancienne collection Sarasin, banque Suisse. Daté et signé au dos de la toile.
  5. ↑ Roman identifiait ce modèle comme étant Marguerite-Marie de Harlay qu’il dit épouse d’Adrien-Alexandre de Hannivel (1660 – Crèvecœur, 3 novembre 1701), comte de Mannevilette et marquis de Crèvecœur. Or ce dernier, dont le patronyme se trouve parfois orthographié Hanivel, Hanyvel, Hennivel ou de Hangvel, s’était marié le 28 avril 1690 à Claude Elisabeth de Harlay (1676 – Paris, 28 août 1758), fille de Françoise Louise Marie Boucherat (mort en 1731) et de Nicolas Auguste de Harlay (qui décède le 2 octobre 1704), seigneur et comte de Bonneuil et de Cléry. Il semble donc qu'il faille plutôt voir la mère de Adrien-Alexandre, Marie Le Camus (1628-1726)
  6. ↑ Milan, Civico Museo d’Arte Antica, Castello Sforzesco. Inv. 452. Au dos de la toile : « Portrait du fameux François Girardon, sculpteur du roi Louis XIIII, Chancelier de son académie de peinture et de sculpture célébré par les excellents ouvrages qu’il a faict à Versailles et par le superbe mausolée du cardinal de Richelieu qui est à la Sorbonne peint par son ami Hyacinthe Rigaud, en 1689 à Paris. » On reconnaît parfaitement Girardon et son gros grain de beauté près du nez.
  7. ↑ Roman interprétait ce modèle comme « Frangois de Caillabot de la Salle, aumônier du roi : il fut evêque de Tournay de 1693 a 1705 »
  8. ↑ Craie noire et blanche sur papier bleu. H. 26,5 ; L. 21. Vente Paris, Hôtel Drouot (Piasa), 10 décembre 2003, lot 57 (comme Largillierre)
  9. ↑ Le marquis de Saint-Ange possédait une belle collections d’œuvres d’art, en son hôtel de la rue Saint-Avoye : « Il aimoit, lui aussi, les tableaux modernes, surtout ceux de Rigaud, qui lui fit deux fois son portrait, et peignit aussi celui de sa femme. » (cf. Du Pradel)
  10. ↑ Paiement inscrit aux livres de comptes en 1693 pour 128 livres et 10 sols (« M. de Louan [Louans] »). Roman restait hésitant en mentionnant sans trancher plusieurs membres de la famille Loüan de Coursays, originaire du Cher. La présence, deux ans plus tard, d’un portrait de l’épouse du présent modèle, tendrait cependant à choisir Pierre-Gilbert de Louan plutôt que son cousin, Jean de Louan Coursays (1685-1751). Ce dernier, en effet, ne se mariera que vers 1705. Fils de Pierre de Louan, écuyer, seigneur de Persat et de Geneviève de Heulhard (Martial-Alphonse Chazaud, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790 [...] Allier, Tome I, Archives civiles de l’Allier, 1883, série A et B, p. 217. Leur fils, Pierre de Louan de Persat, seigneur de Monfan, le Plaix et La Jolivette, épousa, le 16 juin 1727, Louis Prisye de Curty, fille de Philippe, élu en l’élection de Nevers et de Claude Moquot. Voir Chazaud, op. cit. p. 229). Pierre-Gilbert était titré seigneur du Plaix, Persat et La Jolivette. C’est le 25 février 1692 qu’il épousa Anne-Antoinette Aumaître, fille de Pierre Aumaistre, seigneur de Chirat, et de Marie Rapine.
  11. ↑ « M. Delaloire le cadet » fut également entrepreneur des charrois de l’artillerie, mort entre 1714 et 1720. En 1684, Rigaud avait peint les portraits de ses parents, Antoine de La Loëre, échevin de Paris, procureur puis doyen des procureurs en la Chambre des comptes et Marguerite Boisseau pour 132 livres.
  12. ↑ Paiement inscrit aux livres de comptes en 1693 pour 120 livres (« M. Rouillé du Coudray »)
  13. ↑ Son époux, Louis Hindret de Frenneval, passera chez Rigaud l’année suivante.
  14. ↑ Roman interprétait ce modèle comme étant Renée-Elisabeth Pucelle, fille de Pierre Pucelle et d’Anne Roujault qui n’épousa pourtant que le 4 février 1704, sur la paroisse Saint-André-des-Arts à Paris, Nicolas II de Frémont (1666-1749). Il ne peut donc s'agir d'elle ici mais plutôt de sa future belle-mère, Geneviève Damon (v. 1625-1703).
  15. ↑ Il se fait portraiturer arborant sa récente décoration de chevalier de Saint-Louis (D’Hozier, 1817, I, p. 158-159).
  16. ↑ Karlsruhe, Staatliche Kunsthalle. Inv. 2580. Voir Marcheteau de Quincay, 2006, p. 8-9, repr. fig. 5. Singeant l’attitude du maréchal de Luxembourg fixée par Rigaud en 1694.
  17. ↑ Il fut fait, justement en octobre 1695, brigadier des armées du Roi
  18. ↑ Bien que Roman identifie ce portrait comme étant François de Monestay, il semble plus logique d’y voir son fils, François-Amable de Monestay (mort le 28 décembre 1719), marquis de Chazeron (1697) à la mort de son père, et qui fut chevalier de l’ordre militaire de Saint-Louis depuis 1695.
  19. ↑ Paiement inscrit aux livres de comptes en 1696 pour 300 livres (« M. le président Duré, de Lion »). L’interprétation de Roman était fautive. En effet, Jean-Baptiste-François Durey de Bourneville-Mesnières (1705-1785), qu’il proposait, époux en 1733 de Louise-Marie Pouynet de La Blinière (1732-1741), ne correspond pas à la date de confection du présent portrait. Il faudra plutôt y voir son père, Jean-Baptiste Durey de Vieuxcourt (1665-1747).
  20. ↑ Collection privée. Signée et datée au dos. Roman proposait l’épouse du médecin Jean Dervilliers.
  21. ↑ Roman proposait les effigies de Jacques de La Noue (1641-1711), Comte du Vair, Baron de Crenolles, Seigneur de Crazelles, Colonel, maître de camp d’un régiment de cavalerie, Brigadier des armées du Roi, Chevalier de Saint Louis époux depuis 1679 de Catherine de Vieuxpont, fille d’Alexandre, Marquis de Vieuxpont et sœur unique de Guillaume, Marquis de Vieuxpont, Lieutenant général des Armées du Roi, Gouverneur de Charlemont et Commandant au pays d’Aunis. Mais sans conviction. Rigaud étant souvent sollicité pour commémorer des événements marquants, il dut plus probablement peintre les portraits de deux jeunes épousés depuis le 14 février 1695 : François de La Noue (1672-1716), était écuyer valet de garde robe du roi (1695), Contrôleur général des restes du pays Lyonnais Forest Beaujolais Roussillon et Languedoc et de Jeanne-Françoise de Fontaine Péan (1678-1760), fille de Jean de Fontaine-Péan, sieur de Vauchevrier, écuyer gentilhomme de Touraine, conseiller du Roi, contrôleur général des postes de France, maître d’hôtel de la duchesse de Guise, capitaine de cavalerie, gentilhomme de vénerie du roi et de Françoise de Sainte-Marie sa seconde femme. François de La Noue fils unique de Jacques de La Noue (1640-1695), garde de la prévôté de l’hôtel de la compagnie Villeroy, chef de la paneterie de Monsieur (1671), valet de la garde robe (1681, démission en 1687 en faveur de son fils) et de Marie Duprez, femme de chambre de Françoise de Neufville-Villeroy, fille de Jacques Duprez, écuyer chevaux légers de la garde du roi Louis XIII (1634), capitaine du régiment Condé Cavalerie (1643) et de Joséphine Desmoulins. Ces personnages étaient donc très liés à la famille royale qu’ils servaient avec zèle. Sans doute eurent-ils l’occasion d’assister à quelque séance de pose du Grand Dauphin par exemple et, séduits pas l’artiste, ont-ils décidé d’user de ses services. D'ailleurs, Madame de La Noue, veuve, se remaria en 1724 avec Marc-Antoine Robinot de Saint-Marc (v.1682-1760), trésorier de France à Soissons, qui venait d’acheter le fief de Vaufourcher à Bucy-le-Long. De prestigieux témoins à sa première union signèrent le registre tel un frère du « sieur Ribeyre Conseiller d’État », le roi lui-même, son fils le Dauphin, le futur Louis XV, Monsieur frère du roi et le duc de Chartres, futur régent ; tous modèles de Rigaud. Les dates de décès des deux éventuels modèles sont connues. Elle décède à Bucy le Long (02) 28 janvier 1760, sans Inventaire comme le laisse entendre les actes de partage de son mari M.A. Robinot (MC/ET/LII/411, 412 et 413). Lui est mort 44 ans plus tôt, le 17 décembre 1716 (sources : relevés des registres de Saint Jean en Grèves à la BN, registres de Jossigny et demande de sa veuve pour toucher l'ensemble des gages de valet de la garde robe pour 1716 en série O1). Malgré la présence d'un enfant mineur, l'inventaire après décès n'a pas été identifié à ma connaissance. Il y a donc là une piste pour tracer notre tableau. Il faut néanmoins signaler le peu d'aisance matérielle des de la Noüe. Elle conduit leurs supérieurs à proposer au Roi une augmentation de gages pour qu'il puisse servir décemment (La Maison du Roi, M.Newton). Il est vrai que cette situation est probablement due à la faillite personnelle prononcée après le décès de Jacques de la Noüe en 1696, 1697 (sentence au Chatelet du 1/06/1696, transaction du 8/08/1696 (MC/ET/LXXXVIII/311, transaction avec les créanciers). (paragraphe par E.Clause)
  22. ↑ Stéphan Perreau, « Rigaud particulier », L’Estampille-L’objet d’art, n°451, novembre 2009, p. 64, ill.
  23. ↑ Paiement inscrit aux livres de comptes en 1698 pour 140 livres (« Monsr Cornet »). Roman n’était pas assuré de son interprétation et signalait simplement l’existence à cette époque de Jacques Cornet, marchand (mort avant 1722) et d’Adrien Cornet, avocat au parlement et aux conseils du roi. À ce jeu, nous pourrions tout autant citer François Cornet, « conseiller du Roy, lieutenant au bailliage royale de Versailles, bailly de Marly-le-Chastel, prevost bailly juge royale de la prevosté de Noisy demeurant à Noisy, Conseiller de son altesse serenissine monsieur le Prince de Condé (1676) ». Il épouse, vers 1679, Catherine de Brévy. Mais plus vraisemblablement s'agit-il de Jacques-Charles Cornet, « contrôleur de la maison de Monsieur frère unique du roi, duc d’Orléans, habile à se porter héritier de defunt Charles Cornet, son père, de son vivant trésorier des écuries de duc d’Orléans » dont le bénéfice d’inventaire apparaît le 29 décembre 1698 dans les archives des Yvelines (Y4076). Son père, Charles, officiait également comme avocat au parlement et conseiller du roi. Il avait épousé, en 1676, Anne-Marie Des Essarts (morte av. 1679), fille de Martin, marchand de draps de soye demeurant rue Saint-Honoré, Paroisse Saint-Eustache et d’Anne Liénard.
  24. ↑ Roman y voyait initialement le portrait du père de Maximilian-Ulrich, ce que dément une lettre écrit par le fils à son père le 27 octobre 1698 (Archives du château de Bar-le-Duc, III/107)
  25. ↑ Collection Rougé
  26. ↑ L’hypothèse de Roman, qui voyait ici un portrait de Charlotte Raisin, épouse de Gérard-Michel de la Jonchère (1675-v.1750), seigneur de Vaucresson, trésorier général de l’ordinaire, de l’extraordinaire des guerres, des gendarmes et de l’ordre de Saint-Louis de 1704 à 1729, ne peut être retenue. En effet, on sait que La Jonchère n’épousa qu’aux alentours de 1714, Charlotte de Fleury (1697-v.1750), dite Charlotte Raisin. Il ne peut donc s’agir d’elle ici.
  27. ↑ Huile sur toile ovale. H. 81,3 ; L. 64 cm. Brünswick, Herzog Anton Ulrich museum. Inv. GG 528.
  28. ↑ Portrait mentionné au titre des copies de 1702 : Un buste de Mlle Castillon » par Fontaine pour 12 livres. Roman pensait pour ce numéro à une demoiselle de Castillon, fille de Jean de Castillon, seigneur de Mauvezin et de Carboste, morte sans s’être mariée vers 1730. Mais n’oublions pas que le 17 mai 1703 avant midi, est passé devant notaire un contrat de mariage entre « Hyacinthe Rigaud, demeurant rue Neuve des Petits Champs, paroisse Saint-Eustache et Damoiselle Catherine de Chastillon, fille de Sieur Charles de Chastillon procureur en la Cour de Parlement et de defunte Marie Dubuisson, rue des Prouvaires, même paroisse, […] avec l’agrément d’Anne, duc de Noailles, pair et maréchal de France, de Jean-Baptiste Colbert, marquis de Torcy, Ministre et Secrétaire d’Etat et de Mansart, Surintendant et Ordonnateur Général des bâtiments, jardins, arts et manufactures » (Arch. Nat., Minutier Central, ET/XCV/31).
  29. ↑ Roman identifiait ce personnage comme étant Charles-Augustin de Ferriol (1692-1737), trésorier receveur général alternatif de Dauphiné, conseiller, puis président au parlement de Metz (1718), comte du Pont de Veyle. Mais ce modèle n'aurait eut que onze ans en 1703, ce qui dément cette hypothèse. Il s'agit plus probablement d'Augustin-Antoine de Ferriol (Saint-Chamond, 18 mars 1653 – Paris, 2 février 1736), comte d'Argental, receveur général des finances du Dauphiné, trésorier général du Dauphiné, président à mortier du tribunal de Metz en 1720.
  30. ↑ Roman proposait comme modèle Jean-Baptiste-François-Joseph de Solre (1686-1737), cinquième duc d’Havré et de Croy, grand d’Espagne, mais, initialement destiné à l’état ecclésiastique, Jean-Baptiste était à cette époque chanoine à Cologne et n’entra au service du roi de France qu’à la mort de son jeune frère, Charles-Antoine-Joseph, tué à Saragosse.
  31. ↑ Mentionné dès 1703 dans la collection d'Hyacinthe Rigaud (estimé 200 livres) ; exposé au Salon de 1704.
  32. ↑ Toile exposée au Salon de 1704
  33. ↑ Huile sur toile. H. 91,5 ; L. 73,4 cm. Signé, daté et localisé : Hyacinthe Rigaud f. à Paris 1704. vente Milan, Christie’s, 18 juin 2003, lot 465, repr. p. 161 du catalogue.
  34. ↑ Exposé au Salon de 1704.
  35. ↑ L’interprétation de Roman comme étant le portrait d’Edme Ravau de Vielbourg, marquis de Myennes (1665-1720), lieutenant général au gouvernement du Nivernais (1697) ne repose que sur le travestissement du mot Vieubourg en Vielbourg. Cependant, le modèle que nous proposons à sa place semble plus volontiers correspondre à la mention des comptes (« Mr de Vieubourg »). Il pourrait ainsi s'agit d'un portrait en buste de Joseph-Marie de Rosily, seigneur de Vieuxbourg, lieutenant général des armées du roi, Infanterie, Chevalier de l’ordre de Saint-Lazare et venait tout juste d'épouser, en 1698, Françoise Geneviève Le Pape.
  36. ↑ Rappelons qu’en 1682, Rigaud avait déjà peint un portrait de l’abbé Joly pour 44 livres. Roman l’interprétait alors comme Edme Joly (1673-1697), prêtre religieux, supérieur des missions de Saint-Lazare à Rome de 1691 à 1694. En cette année 1704, Roman s’orientait cette fois vers Michel Jolly, bachelier en Sorbonne (1677), sous-diacre, prévôt d’Ingré et prieur de Carembier (1701).
  37. ↑ Exposé au Salon de 1704
  38. ↑ Perpignan, musée Rigaud. Inv. 92-2-1
  39. ↑ Modèle déjà peint en 1688.
  40. ↑ Nous voyons ici le portrait en buste de Michel II Ancel Desgranges (1687-1780) fils de Michel I Ancel Desgranges (1649-1731) et de Marie-Anne des Nots (ou Desnotzs), fille du médecin du duc d'Orléans. Le grand-père paternel de Michel II, Charles Ancel, était docteur en médecine de la Faculté de Montpellier. Michel II eut comme frère Charles (né en 1697), qui fut aide des cérémonies, et plusieurs sœurs. En cette année 1705, le portrait qu’il commande à Rigaud devait sans doute le représenter en habit de militaire. En effet, bien que son père ait choisit une carrière administrative en devenant secrétaire du roi (1681), commis du ministre Colbert de Seignelay (1693), secrétaire des deux Pontchartrain, et qu’il racheta à Michel II Sainctot en 1691 sa charge de maître des cérémonies, notre modèle fit d’abord une carrière militaire : mousquetaire du Roi (1704), commandant du régiment Roussillon-cavalerie (1701) puis du régiment de Guyenne-Dragons (1707), c’est le 3 octobre 1716, et sur démission de son père, qu’il devient lui-même maître des cérémonies. Avant d’exercer réellement cette charge, conjointement avec M. de Giseux d’ailleurs qui était de santé fragile, il poursuivra ses hauts faits militaires lors de la Guerre de Succession de Pologne. Maître de camp à la suite du régiment de dragons d’Armenonville, il sert en Italie, sous les ordres de Villars, et est promu brigadier de cavalerie, maréchal de camp (1734), lieutenant général (1743), puis Gouverneur de Fort-Brescou (1758).
  41. ↑ Second portrait du modèle
  42. ↑ Mentionné au titre des copies de 1706 : « La belle-mère de Mr de Roménil ». Ce portrait renvoie à celui d’Emmanuel-Jean d’Hallencourt (1668-1745), marquis de Dromesnil, peints en 1694, 1703, puis en 1706. Rappelons que le marquis avait épousé, en 1669, sa cousine germaine, Madeleine-Anne-Louise de Proisy, dame de Marfontaine en Thiérache, fille d’Emmanuel, seigneur de Proisy, marquis de Marfontaines et de Louise-Catherine de Conflans, dame de Vézilly. Il s’agirait logiquement d’un portrait de cette dernière.
  43. ↑ Mentionné au titre des copies de 1706 : « Une teste de la femme de l’envoyé de Danemark ». Il n’est pas étonnant de trouver en cette année 1706 un portrait, vraisemblablement en buste, de Christina Schrøder (morte en 1738), fille du bourgmestre Erman Schrøder (1615-1665) et d’Eva Motzfeld. Elle fut en effet l’épouse de l’ambassadeur du Dannemack, Henning Meyercroon (1685-1706), dont Rigaud peint le portrait en 1691. Amie et confidente de la princesse Palatine, elle donna même son avis sur le portrait de William Bentinck dans une abondante correspondance avec le comte entre 1697 et 1703, connue de tous les historiens.
  44. ↑ « Mr Ithier, figure jusqu’aux genoux toute originale,pour servir de patron des attitudes reposées. Ce Mr Ithier étoit un joueur de luth de la musique du Roy, ancien amy de Mr Rigaud, à qui ce portrait est resté. A fait partie du legs de Mr Collin de Vertmont »
  45. ↑ Il faut probablement comprendre « la fille de Madame de Franconville »
  46. ↑ Paiement inscrit aux livres de comptes en 1706 pour 500 livres (« Mr d’Imécour, lieutenant général. H. r. »). Jean de Vassinhac, marquis d’Imécourt (mort en mars 1745) obtint le titre de Lieutenant général des armées du Roi en octobre 1704 date à laquelle il fait faire son portrait par Rigaud, jusqu'aux genoux, en habit de militaire devant un fond de bataille (Huile sur toile. H. 135 ; L. 105 cm. France, collection particulière. Il fut successivement Lieutenant réformé au régiment de Turenne (1672), Cornette au régiment de Vins (depuis Cornas et Ruvigny), capitaine à la mort de son oncle, Capitaine au régiment de la Valette (septembre 1682), Lieutenant-colonel au régiment de cavalerie d’Imécourt (août 1688), Colonel au même (1689) sur la démission de son père, Brigadier (mars 1693), chevalier de l’ordre de Saint-Louis (8 février 1694 ; D’Hozier, 1817, I, p. 101), Gouverneur de Montmédy à la mort de son père (juin 1697), Maréchal de camp (janvier 1702), Premier lieutenant de la compagnie des Chevau-légers de la garde (18 juillet 1718).
  47. ↑ Il s'agit du portrait en buste de Fleury, alors évêue de Fréjus
  48. ↑ Commencé à l'hiver 1707, acompte reçu en 1708, achevé en 1740
  49. ↑ Paris, musée du Louvre. Inv. 20341
  50. ↑ Voir Ariane James-Sarazin, « Proposition pour une identification : le portrait présumé de Pierre Gruyn par Hyacinthe Rigaud », Revue du Louvre, 2011-3, p. 33-42
  51. ↑ « Mr le baron d'Esparre, de Spaar, pour une coppie du roy de Suède, son maître, Hab. rep. ». Il s'agit du portrait de Charles XII fait par Rigaud pour le compte de Spaar et copié d'après une attitude antérieure et d'après un portrait familial pour la tête.
  52. ↑ « [...] la tête seulement, le reste n'a point été achevé » (sans prix)
  53. ↑ « jusqu'aux genoux ; l'habillement répété d'après celui du maréchal de Montrevel ». Cette identification a été faite d'après A. James-Sarazin, « Nouvel éclairage sur Hyacinthe Rigaud dessinateur », L’estampille l’objet d’art, février 2011, n°465, p. 57 et Stéphan Perreau, « Conrad Detlev, comte de Dehn », Hyacinthe Rigaud, toute l'actualité, édition numérique, 18 mars 2011, ill. (tableau et dessin) et note. 13. Ces propositions remettent en question celle de Roman qui y voyait Lancelot Turpin (16 mai 1669 – 19 août 1720), comte de Sansay, marquis d’Assigny, chevalier, comte de Crissé et de Sansay, colonel d’un régiment d’infanterie et brigadier des armées du roi. On retrouve en maints endroits la confusion possible entre « d'Assigny » et « d'Acigné ». Voir notamment les Historiettes de Tallemant des Réaux.
  54. ↑ « jusqu'aux genoux ; l'habillement répété d'après celui de Mad. Le Bret représentée en Cérès ». Pour l'identification, voir note 51. Perreau précise à propos de l'époux : « lors fraichement marié depuis le 30 janvier 1719. [...] La production de ce type de portrait, jusqu'au genoux découlait en effet d'un évènement singulier, comme, ici, une union ».
  55. ↑ « Le Roy en pied pour le roi d'Espagne »
  56. ↑ Apparemment deux portraits pour un total de 700 livres : « Mr de Monteuil [sic], brigadier des armées du roi » ; « Autre portrait de Mr de Monteil »
  57. ↑ Le portrait de sa femme fut peint par Nicolas de Largillière la même année : Huile sur toile. H. 137,5 ; L. 104. « Peint. Par./N. de. Largilliere/1725 ». Brodsworth Hall, The English Heritage (Brodsworth Hall). Inv. 90006927. Commandé par Isaac de Thellusson ; par héritage à Peter Thellusson en 1761-69; par héritage à Charles Sabine Augustus Thellusson avant 1885 ; par héritage à Pamela Williams ; acquis par la National Heritage Memorial Fund en 1990. Voir Dars, C., Catalogue of Paintings in British Collections: English Heritage etc., London, 1993, cat. no. 59, p. 29. Le fils cadet d’Isaac et de Sarah, Peter (1737-1797), vint en Angleterre en 1761, année où il fut naturalisé par acte du Parlement. Il fit construire le palais Brodsworth. Le portrait de Sarah est mentionné à Brodsworth Hall dans l’inventaire après décès de Charles Sabine Augustus (« Portrait of a lady by Largillierre [sic] »). Il demeura dans la bibliothèque jusqu’à l’inventaire de 1931 (« [Oil painting] Portrait of Lady, by Largilliere ») et celui de 1952 (« 1 Portrait of a lady by Largillierre [sic] gilt frame »).
  58. ↑ Peint pour la réception de Le gros à l'Académie. Versailles, musée National du château, MV 5935 ; INV 6163 BIS ; B 740. La collaboration est attestée par une note du premier biographe de Rigaud, évoquée par Stéphan Perreau dans un article intitulé « Jean le Gros (1671-1745), à l'image de Rigaud », Hyacinthe Rigaud, toute l'actualité, édition numérique, juillet 2011
  59. ↑ Peint pour la réception de Le gros à l'Académie. Versailles, musée National du château, MV 3679. Même remarque de précédemment pour la collaboration.
  60. ↑ Grand portrait valant 3000 livres, extrapolé d'après le buste de 1706.
  61. ↑ « Le Roi en pié et debout ; la tête fait en 1727 »
  62. ↑ Grenoble, musée des Beaux-arts. MG 206 ; Voir la gravure correspondante et augmentée par Daullé en 1733
  63. ↑ « Commencé sur toile de 4 francs, il n'y a jamais eu que la tête d'achevée » nus disent les manuscrits.
  64. ↑ « À partir de cette année 1736, le manuscrit du Livre de raison est d'une autre main, de la même qui a fait au manuscrit primitif les additions, corrections et annotations imprimées en italique » nous dit Roman en note.
  65. ↑ A. Dezallier d'Argenville, dans sa Vie des plus fameux peintres nous dit : « En 1682, il gagna le premier prix de peinture ; le sujet du tableau qu’il composa était le bâtissement de la ville d’Enoch. » (1745, III, p. 311)
  66. ↑ Mentionnée dans l'inventaire après décès, sous le n° 401 du chapitre des « Tableaux estants dans le Petit Cabinet ayant veuë sur la ruë de Louis le Grand », la Madeleine pénitente de Rigaud semble avoir occupé une place de choix dans l'intérieur de l'artiste (« Item un tableau peint sur toile représentant une madeleine Pénitente dans sa bordure dorée numéroté cent quarante trois prisé la somme de vingt livres, cy »). Vente Paris, hôtel Drouot (Drouot Estimations), 4 mars 2008,lot 164 ; acquis à cette date par la Galerie Ratton-Ladrière ; acquis par l'actuel collectionneur dans la galerie, en janvier 2010.
  67. ↑ Inv. m.r.a.103
  68. ↑ Inv. 96-1-1.
  69. ↑ Inv. J. 1720 ; daté et signé : « Hyacinthe Rigaud fecit 1720 ».
  70. ↑ Inv. 975-4-5521.
  71. ↑ Inv. 49-6-1
  72. ↑ Inv. 1998.9.11

Références

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  2. ↑ Joseph Roman, Le livre de raison du peintre Hyacinthe Rigaud, Paris, Henri Laurens, 1919
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  19. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 13
  20. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Joseph Roman 1919, p. 16
  21. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 15
  22. ↑ Joseph Roman 1919, p. 20
  23. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 18
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  25. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Joseph Roman 1919, p. 19
  26. ↑ a, b, c, d, e, f et g Joseph Roman 1919, p. 21
  27. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 22
  28. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 23
  29. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h Joseph Roman 1919, p. 24
  30. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h et i Joseph Roman 1919, p. 25
  31. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Joseph Roman 1919, p. 26
  32. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Joseph Roman 1919, p. 27
  33. ↑ a, b, c, d et e Joseph Roman 1919, p. 28
  34. ↑ S. Perreau, « Les portraits féminins d'Hyacinthe Rigaud », L’Estampille-l’Objet d’art, n°399, fev. 2005, p. 44-51.
  35. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 29
  36. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 30
  37. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 31
  38. ↑ a, b et c Joseph Roman 1919, p. 32
  39. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 33
  40. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Joseph Roman 1919, p. 34
  41. ↑ Du Pradel, 1692, I, p. 219
  42. ↑ Roman voyait par erreur Charles Le Fulzelier, seigneur de Cormeray près Bourges. De nombreux chercheurs ont attesté qu'il s'agissait en fait du riche fermier général Bauyn de Cormery, collectionneur illustre. Cf. Daniel Wildenstein, Inventaires après décès d'artistes et de collectionneurs français du XVIIIe siècle, Paris, 1967, p. II
  43. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 35
  44. ↑ Joseph Roman 1919, p. 36
  45. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 37
  46. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 38
  47. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 39
  48. ↑ a, b, c, d et e Joseph Roman 1919, p. 40
  49. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 43
  50. ↑ Sanguinetti, 2001, p. 41, 74.
  51. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 44
  52. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 45
  53. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Joseph Roman 1919, p. 46
  54. ↑ a et b Joseph Roman 1919, p. 47
  55. ↑ Hourticq, 1913, II, p. 103-111 ; Colomer, 1973, p. 55-57, 133 ; Valaison, 1993, p. 287, repr. fig. 6 ; Perreau, 2004, p. 26, repr. p. 27, fig. 10 ; Perreau, 2005, p. 48, repr.
  56. ↑ Joseph Roman 1919, p. 49
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  58. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 51
  59. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 52
  60. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h et i Joseph Roman 1919, p. 53
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  67. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p et q Joseph Roman 1919, p. 63[
  68. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 64
  69. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 65
  70. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 66
  71. ↑ a, b, c, d et e Joseph Roman 1919, p. 67
  72. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 70
  73. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h et i Joseph Roman 1919, p. 71
  74. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 72
  75. ↑ La Borde, 1989, A.D.L. (Br Gd 4o 313). Merci à O. Ribeton pour son aide précieuse.
  76. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 73
  77. ↑ a, b et c Joseph Roman 1919, p. 74
  78. ↑ Stéphan Perreau 2004, p. 64-67
  79. ↑ Joseph Roman 1919, p. 77
  80. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h et i Joseph Roman 1919, p. 78
  81. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p et q Joseph Roman 1919, p. 79
  82. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h Joseph Roman 1919, p. 80
  83. ↑ Joseph Roman 1919, p. 84
  84. ↑ Joseph Roman 1919, p. 83
  85. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 86
  86. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 87
  87. ↑ a, b, c, d, e et f Joseph Roman 1919, p. 88
  88. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 92
  89. ↑ Rosenberg & Mandrella, 2005, n°954, p. 164, repr. p. 165.
  90. ↑ Rosenberg [Luckhardt], 2005, p. 77.
  91. ↑ Rosenberg [Luckhardt], 2005, p. 77 ; Rosenberg & Mandrella, 2005, n°968, p. 166-167, repr.
  92. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Joseph Roman 1919, p. 93
  93. ↑ a, b, c et d Joseph Roman 1919, p. 94
  94. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h et i Joseph Roman 1919, p. 95
  95. ↑ a, b et c Joseph Roman 1919, p. 96
  96. ↑ Joseph Roman 1919, p. 99
  97. ↑ Joseph Roman 1919, p. 98
  98. ↑ Joseph Roman 1919, p. 97
  99. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h Joseph Roman 1919, p. 100
  100. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k Joseph Roman 1919, p. 101
  101. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 102
  102. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l et m Joseph Roman 1919, p. 103
  103. ↑ a, b et c Joseph Roman 1919, p. 104
  104. ↑ Joseph Roman 1919, p. 105
  105. ↑ a, b, c, d, e et f Joseph Roman 1919, p. 107
  106. ↑ D. Sanguinetti, « Giovanni Maria delle piane, il Mulinatetto: ‘tavole . storiate’ e ritratti di ‘indicibil grazia’ e ‘giusta naturalezza’ », Studi di Storia dell’ Arte, no 12, 2001, p. 42-43, repr. p. 43, fig. 28 ; D. Sanguinetti, « Il Ritratto di Anton Giulio II Brignole Sale du Hyacinthe Rigaud : un ritrovamento inaspettato », Prospettiva, Rivista di Storia dell’arte antica e moderna, no 105, janvier 2002, p. 81-85, repr. p. 83, fig. 4.
  107. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 108
  108. ↑ a, b, c, d, e, f et g Joseph Roman 1919, p. 109
  109. ↑ a et b Joseph Roman 1919, p. 110
  110. ↑ a, b, c, d, e, f et g Joseph Roman 1919, p. 111
  111. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n et o Joseph Roman 1919, p. 115
  112. ↑ a et b Joseph Roman 1919, p. 120
  113. ↑ a, b et c Joseph Roman 1919, p. 118
  114. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 114
  115. ↑ Joseph Roman 1919, p. 140
  116. ↑ Joseph Roman 1919, p. 117
  117. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Joseph Roman 1919, p. 116
  118. ↑ Stéphan Perreau, « Rigaud particulier », L’Estampille-L’objet d’art, n°451, novembre 2009, p. 63, ill.
  119. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n Joseph Roman 1919, p. 122
  120. ↑ a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Joseph Roman 1919, p. 123
  121. ↑ a, b, c et d Joseph Roman 1919, p. 129
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  123. ↑ Joseph Roman 1919, p. 128
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  125. ↑ a, b, c, d, e, f et g Joseph Roman 1919, p. 124
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  134. ↑ Joseph Roman 1919, p. 141
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  142. ↑ a, b, c, d, e, f et g Joseph Roman 1919, p. 145
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  166. ↑ a, b, c, d, e, f et g Joseph Roman 1919, p. 189
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  170. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h Joseph Roman 1919, p. 195
  171. ↑ Joseph Roman 1919, p. 197
  172. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h Joseph Roman 1919, p. 196
  173. ↑ a, b, c, d et e Joseph Roman 1919, p. 198
  174. ↑ « Un buste [sic] de Me la comtesse de Platen, habillée à l'allemande ; entièrement original. Pr Mr le chevalier Seaube, c'est Schaub. »
  175. ↑ a, b, c et d Joseph Roman 1919, p. 200
  176. ↑ a et b Joseph Roman 1919, p. 201
  177. ↑ a, b et c Joseph Roman 1919, p. 202
  178. ↑ a, b, c, d, e et f Joseph Roman 1919, p. 203
  179. ↑ Bratislava, musée municipal. Daté et signé au dos : « il conte Giulio Visconti Arese duc Re di Napoli Hyac. Rigaud pinx. 1728. »
  180. ↑ Perreau, 2004, p. 182, repr. fig. 158.
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Bibliographie

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