Bataille des champs Catalauniques (451)

Bataille des champs Catalauniques (451)
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Bataille des champs Catalauniques
De Neuville - The Huns at the Battle of Chalons.jpg
Les Huns à la bataille de Chalons
par Alphonse de Neuville (1836–85)
Informations générales
Date 20 au 22 septembre 451
Lieu Environs de Troyes, Champs Mauriaques
Issue Indécise, suivie du repli d'Attila au-delà du Rhin
Belligérants
Empire romain,
Wisigoths,
Francs,
Alains,
Burgondes,
Armoricains,
Saxons,
Bagaudes,
Sarmates
Huns,
Ostrogoths,
Gépides,
Hérules,
Skires,
Ruges,
Pannoniens,
Akatzires,
Gélons,
Taïfales,
Alamans
Commandants
Aetius,
Théodoric Ier †,
Mérovée,
Gondioc,
Sangiban
Attila,
Valamir,
Ardaric,
Bérik
Forces en présence
25 000[1] 25 000[1]
Pertes
Inconnues, importantes[1] Inconnues, estimées plus importantess[1]

La bataille des champs Catalauniques de 451 après J.-C. est une bataille entre les forces coalisées, romaines et barbares, menées par le patrice romain Aetius d'une part, l'armée des Huns, elle aussi composite, emmenée par Attila, d'autre part. Elle a longtemps été localisée aux environs de Châlons-en-Champagne, Duro Catalaunum à l'époque gallo-romaine, d'où provient le nom des "champs Catalauniques", mais cette localisation est l'objet de controverses.

La bataille des champs Catalauniques marque l'avancée extrême en Occident des Huns, partis des steppes de la Volga vers 370 et établis en Pannonie (actuelle Hongrie) au début du Vème siècle.

La victoire d'Aetius, qui a peut-être bénéficié de sa bonne connaissance du peuple des Huns, écarte Attila de la Gaule, et est confirmée l'année suivante par l'échec de son attaque en Italie. Elle permet de maintenir une partie de la Gaule sous la domination directe de Rome, mais elle conforte aussi les peuples fédérés, notamment les Francs de Mérovée qui obtiennent le gouvernement de la Gaule Belgique et les Wisigoths établis en Aquitaine.

Sommaire

Introduction

Les sources antiques

Le contexte historique : l'Empire romain et l'empire hunnique vers 450

Itinéraires probables des Huns comme ils ont envahi la Gaule, montrant le destin des villes principales dans leur chemin.

L'empire romain est depuis 395 dirigé par la famille théodosienne, selon un partage en deux moitiés :

  • dans l'Empire d'Orient (capitale : Constantinople), Théodose II, petit-fils de Théodose, règne de 408 à juillet 450 ; il est remplacé par un étranger à la famille, Marcien, qui instaure une politique moins favorable aux Huns.
  • dans l'Empire d'Occident (capitale : Ravenne), règne depuis 425 Valentinien III, sous le contrôle, jusqu'en 450, de sa mère Galla Placidia, fille de Théodose, empereur d'Orient de 379 à 395. Le principal chef politico-militaire, en dehors de la famille impériale, est le patrice Aetius, un demi-barbare, qui connaît bien les Huns, ayant été otage à la cour hunnique, où il a probablement rencontré Attila, et qui utilise volontiers les Huns comme soldats de l'armée romaine. Les légions romaines à cette époque sont en effet en quasi totalité formées de Barbares, soldats et même officiers.

L'Empire d'Occident a été envahi en 407 par un certain nombre de peuples germaniques dont certains se sont installés en Gaule, dans certains avec le consentement de l'empereur, sous forme d'un traité de fédération (foedus) qui impose des obligations et des droit au peuple concerné, considéré comme allié à Rome, bien qu'à l'intérieur de l'Empire : les Burgondes, fédérés installés en 411 près de Worms, et depuis 440, en Sapaudia (nord des Alpes et Jura) ; les Francs Saliens dans la région de Tournai et Cambrai ; les Wisigoths fédérés installés en Aquitaine depuis 418. Il y a aussi des groupes moins conséquents : Alains de la région d'Orléans, Taïfales de la région de Tiffauges (Vendée).

L'empire hunnique est apparu dans l'histoire romaine en 370, au moment où les Huns franchissent la Volga et soumettent les Alains ; puis ils franchissent le Don et soumettent les Ostrogoths, tandis que les Wisigoths, au nord du Danube, préfèrent entrer dans l'Empire d'Orient, d'où après diverses péripéties, ils arrivent en Gaule en 418. Poursuivant leur avance vers l'ouest, les Huns suscitent d'autres mouvements des peuples germaniques, et des troubles pour l'Empire. Dans la première moitié du siècle, ils s'installent dans les plaines danubiennes de Pannonie.

Les Huns en Gaule en 451

La bataille des champs Catalauniques réunit les armées fédérées et les forces romaines présentes en Gaule. Les préfets, tel Avitus, y participèrent activement, ainsi que les représentants de l'église chrétienne d'Occident. Ce fut une coalition de peuples hétéroclites contre l'envahisseur "barbare" hunique qui emmenait sous sa bannière, lui aussi, ses peuples fédérés.

Attila avait le soutien de Genséric, roi des Vandales qui lui servait aussi d'agent de renseignement et de diplomate[2].

L'origine de la guerre des champs Catalauniques est à rechercher dans la quête de butin. Attila avait imposé par la force le paiement d'un lourd tribut par l'empire d'Orient, mais en 450 le nouvel empereur Marcien refuse de payer[3]. Attila se tourne alors vers l'Occident qu'il avait jusqu'alors épargné. Selon Jordanés, il prétexte pour son intrusion sur le sol de Gaule qu'il va soumettre les Wisigoths, ancien peuple fédéré aux Huns d'Ermanaric[2]. Pour les Huns, tout peuple soumis un jour aux Huns leur doit tribut pour la postérité. La démarche n'est pas fortuite, l'Aquitaine est de loin la province la plus riche des Gaules.

Attila franchit donc le Rhin d'autant plus facilement que vingt ans auparavant, les Huns alliés aux Romains avaient détruit le royaume burgonde de Gondicaire à la demande du général romain Aetius et que les Burgondes survivants ont été répartis dans la Sapaudie sous la surveillance de Rome.

Attila fait le siège de Metz, qu'il ruine complètement et dont il fait massacrer la population entière puis se dirige vers Orléans. Attila sait qu'il ne va rencontrer que peu ou pas de résistance significative jusqu'à ce qu'il atteigne Aurelianum (de nos jours Orléans). Pourtant, il s'arrête devant Lutèce mais ne cherche pas à la conquérir ni même à la traverser. On ignore s'il a reçu un tribut des patriciens pour épargner la ville ou s'il ne souhaite pas prendre de retard de crainte de rencontrer les troupes romaines.

Sangiban, roi des Alains, dont le territoire incluait Aurelianum, avait promis d'ouvrir les portes de cette ville à Attila, mais les Romains eurent connaissance de ce complot et furent non seulement capables d'occuper par la force la cité, mais obligèrent les troupes de Sangiban à se joindre à l'armée alliée. Lorsque Attila se présenta et constata qu'il ne pouvait compter sur cette ville, il fit retraite. Poursuivi, il décida de faire front dans l'espoir de tuer Aetius[4]. La somme des richesses accumulées au cours des pillages de l'Europe centrale le ralentit considérablement. Devant les troupes huniques, le point de passage est Catalauni (Châlons-en-Champagne) distant de près de 200 km d'Orléans. Mais Sigebert le Boiteux, roi des Francs ripuaires, avait investi Catalauni, seul point de passage de la Marne, et renforcé ses défenses. Attila n'avait plus le choix, le combat devait s'engager.

La bataille

Les forces en présence

En jaune, empire romain, Marron : fédérés burgondes; Rose : fédérés Wisigoths, Vert : fédérés francs.
Orange : zone sous contrôle d'Attila

Les deux armées groupaient des combattants de nombreux peuples, des deux côtés nombreuses étaient les tribus germaniques, mais les effectifs engagés sont inconnus, les sources contemporaines sont muettes. L'historien du VIe siècle Jordanès suppute que Attila pouvait réunir 500 000 combattants[5], chiffre jugé invraisemblable par les historiens modernes, vues les contraintes logistiques de ravitaillement d'une telle foule. Les Huns, peut-être seulement quelques milliers selon Pierre Riché[6] étaient minoritaires dans l'armée d'Attila, qui rassemblait aussi des Ostrogoths et des Gépides[7]. Selon l'historien et spécialiste de l'antiquité tardive et du haut moyen age Michel Rouche, les historiens actuels sont à peu près d'accord pour un chiffre de 25 000 combattants de part et d'autre, chiffre considérable pour l'époque et montrant que l'empire romain avait encore une organisation militaire intacte. Pour lui cependant la dominante germanique qui compose les deux coalitions opposées montre que l'empire romain sera dominé par ceux-ci[1].

À la tête des troupes fédérées d'Aetius, se trouvaient leurs rois : Théodoric Ier et son fils Thorismond pour les Wisigoths, Sangiban pour les Alains, Mérovée, pour les Francs saliens, Sigebert pour les Francs ripuaires, Gondioc pour les Burgondes[réf. nécessaire].

Le déroulement des combats

La nuit avant la bataille principale, l'une des forces du côté romain rencontra une bande de Gépides loyaux à Attila où environ 15 000 hommes de chaque côté furent mis hors de combat.

Le combat débuta au début de l'après-midi pour ne finir que tard dans la nuit. Les forces d'Aetius occupant le sommet de la colline, les Huns lancèrent une attaque de cavalerie. Repoussés ils furent poursuivis par les Wisigoths, dont le chef Théodoric Ier fut tué, et se retranchèrent derrière leurs chariots placés en cercle à la tombée de la nuit.

Le lendemain Aetius et le fils de Théodoric Ier, Thorismond, discutèrent de la stratégie à adopter. Ce dernier voulait attaquer le camp des Huns encerclé, mais Aetius craignait sans le dire que les Wisigoths ne deviennent trop puissants. Il conseilla à son allié de retourner à Toulouse pour s'assurer de son royaume vis-à-vis de ses frères[8]. Plus probablement, Thorismond lui-même aurait choisi de quitter le champ de bataille estimant que le fœdus de Théodoric Ier tombait avec sa mort.

Objectivement, Thorismond avait autant d'avantage qu'Aetius à ne pas anéantir totalement les Huns. Ainsi, la menace représentée par ses frères était réelle sans compter qu'une déroute des Huns aurait sans doute largement fourni l'armée romaine en auxiliaires. Quant à Aetius, il pouvait se présenter en triomphe sans déchoir grâce à une victoire sur le sol de la Gaule, conscient que l'empire d'Occident ne pouvait contrôler toutes ses terres d'empire par ailleurs. En renvoyant Attila vers sa base en Pannonie, les Huns redevenaient le problème de l'Empire d'Orient, de même qu'en lui laissant la vie, Aetius se gardait un ennemi à combattre pour asseoir sa puissance à Rome. Thorismond prit le temps d'organiser les funérailles de Théodoric 1er et quitta le camp. Toutefois, ces deux alliés d'une guerre firent un mauvais calcul : le court règne de Thorismond prit fin l'année suivante, assassiné par Théodoric II (qui sera lui-même assassiné par Euric) et Aetius fut assassiné par Valentinien III.

Attila était suffisamment désespéré pour avoir placé une pile de selles pour faire un éventuel brasier dans lequel il aurait fait jeter son corps si la situation devenait critique. Lorsqu'il vit que les Wisigoths partaient, il crut à une feinte, mais il finit par comprendre qu’Aetius lui laissait ouvert le chemin du retour. Les autres alliés barbares se dispersèrent. Aetius ne put attaquer seul Attila, qui resta un temps sur les lieux puis se retira lentement sur le Rhin, guidé par l’évêque Loup de Troyes.

Bilan et suites

Si le nombre des combattants était peut-être élevé, il est difficile de connaître le chiffre des pertes, possiblement assez lourdes[1]. L'historien espagnol Hydace rapporte que 300 000 combattants périrent[9], tandis que Jordanès qui lui est postérieur mentionne 90 000 morts dans l'affrontement préliminaire entre Francs et Gépides, et 162 000 pour l'ensemble des combattants engagés dans la bataille[10], chiffres tenus pour exagérés. Attila fut par ailleurs diabolisé par les historiens de l'époque, tendant à augmenter sa puissance. Les contingents alains venus d'Orléans durent néanmoins subir de lourdes pertes, car on n'entendit plus parler d'eux.

Stratégiquement, il n'y eut pas de vainqueur : les coalisés d'Aetius se désunirent, et Attila mena l'année suivante une nouvelle offensive contre l'Italie du Nord sans rencontrer de résistance[11], ce qui semble indiquer que les pertes subies par ce dernier furent minimes et que son prestige ne fut pas trop "atteint" par une défaite lourde.

De manière générale, si les autorités romaines ecclésiastiques ont paru grossir exagérément l'importance du revers infligé aux Huns, ceux-ci se sont retirés du champ de bataille les chariots remplis de butin, ce qui était l'objectif primordial de leur campagne. Elle permettra à Attila de continuer à entretenir ses vassaux pour les campagnes à venir.

La bataille des champs Catalauniques fut suffisamment importante pour être relatée parce qu'elle amena un changement fondamental dans les rapports des peuples soumis vis-à-vis de Rome. En paiement de ses loyaux services, Mérovée, roitelet des Francs saliens, fut reconnu par Rome comme roi de la Gaule belgique. A partir de cet instant, les Francs imposèrent graduellement leur domination sur toute la Gaule gallo-romaine pour les trois siècles à venir. Gondioc, chef des Burgondes dont le royaume outre-Rhin avait été ruiné 20 ans plus tôt par les Romains avec l'aide des Huns, se tailla le royaume de Bourgogne. Il ne resta bientôt plus qu'un seul patrice romain en Gaule, Syagrius, ilot dans un océan de rois barbares.

Historiographie

Le problème de la localisation

L'historien Jordanès qui donne une longue narration de la bataille situe le champ de bataille dans les Champs Catalauniques, également nommés Campus Mauriacus, lieu dont la localisation précise reste incertaine. Trois lieux principaux se dégagent des études.

Actuellement, le site considéré comme le plus probable où se déroula ce combat se situait dans un lieu appelé Champs Mauriaques (campus mauriacus)[12]. Les études les plus récentes et les mieux argumentées situent campus mauriacus à l'ouest de Troyes près du village de Montgueux[13]. On trouve également le chemin des Maures entre Troyes et Montgueux, lequel nom est considéré par les toponymistes comme dérivant de « Mont des Goths ». Anciennement[Quand ?], ce lieu était situé entre Sens et Troyes, à quinze kilomètres à l'Ouest de Troyes, dans la plaine de Moirey[14], au sud de la commune de Dierrey-Saint-Julien (Aube).

Selon certains chercheurs européens, le champ de bataille serait situé à une douzaine de kilomètres au Nord-Est de Châlons-en-Champagne, sur la commune de La Cheppe[15]. On y trouve une vaste enceinte protohistorique dite « camp d'Attila », datant du Ier siècle av. J.‑C., située sur les bords de la Noblette, vestige d'un oppidum gaulois occupé ensuite par les Romains. Ce lieu de forme elliptique comprenant des fortifications à fossés entourés de remparts en terre, hauts d'environ sept mètres, est aujourd'hui envahi par la végétation qui entoure le camp d'une épaisse barrière d'arbres. La voie romaine passant à proximité, et la vaste plaine qui le jouxte permettent d'envisager qu'une bataille s'y est déroulée. Toutefois ce camp ne fut désigné comme « camp d'Attila », qu'à partir du XVIIe siècle. Napoléon III fasciné par l'histoire y fit lancer des fouilles, mais sans résultat. Une autre série de nouvelles fouilles (à la fin du XIXe siècle) permirent de mettre au jour des céramiques, des colliers en bronze et diverses pièces en fer forgé (conservés au musée de Saint-Germain-en-Laye).

Selon encore d'autres, comme l'historien britannique Thomas Hodgkin (1831 - 1913), la bataille se serait déroulée près de Méry-sur-Seine à vingt-cinq kilomètres au Nord-Ouest de Troyes.

Le lieu exact reste cependant incertain, la « querelle » entre les historiens partisans de ces thèses est donc loin d'être terminée.

La réécriture ecclésiastique

Les historiens des Ve et VIe siècles comme Sidoine Apollinaire et Grégoire de Tours attribuent l'échec d'Attila à l'intercession miraculeuse de l'évêque d'Orléans Aignan, tant pour la résistance d'Orléans et l'arrivée opportune de l'armée d'Aetius[16], que pour la défaite d'Attila face à Aetius. Le massacre de Metz est également justifié par la volonté divine et les péchés des habitants, seul l'oratoire de Saint Étienne échappant miraculeusement à l'incendie de la ville[17].

Le mythe développé sur la bataille

Die Hunnenschlacht, tableau de Wilhelm von Kaulbach

La bataille des champs Catalauniques devint le mythe de la victoire contre les Huns, avec toutes les altérations historiques qui forgent un mythe : ainsi, une fresque gigantesque du peintre allemand Wilhelm von Kaulbach la dépeint comme une bataille des chrétiens contre les Huns, où le roi Théodoric mort au combat plane au milieu du tableau, tenant une croix qui irradie dans toutes les directions. Frappé par cette fresque, Franz Liszt composa en 1857 le poème symphonique La Bataille des Huns (Hunnenschlacht), mêlant thème tzigane pour les Huns, style wagnérien pour l'engagement et évocation grégorienne pour le final.

Bibliographie

Sources anciennes

Ouvrages contemporains

Sur l'ensemble de la période
Sur Attila
Sur les Huns en Gaule et sur la bataille
  • Geneviève Dévignes, Ici le monde changea de maître, 1953.
  • Iaroslav Lebedynsky, La campagne d'Attila en Gaule, Lemme edit, 2011 (ISBN 0543865312) 
  • Anne Logeay, « Aux champs Catalauniques... », dans Historia, juin 2007.

Voir aussi

Liens internes

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Liens externes

Notes et références

  1. a, b, c, d, e et f Attila en Gaule:La bataille des Champs catalauniques, Michel Rouche, Neopedia
  2. a et b Jordannes, Guerres des Goths, chap 36
  3. Riché 1983, p. 54
  4. Jordanès, Histoire des Goths, 37
  5. Jornandès, Histoire des Goths, 35
  6. Riché 1953, p. 33
  7. Jordanès, Histoire des Goths, 38
  8. Jordanès, Histoire des Goths, chapitre 41
  9. Hydace, Chronique, [1]
  10. Jordanès, Histoire des Goths, 41
  11. Joseph Épiphane Darras, Histoire générale de l'église depuis le commencement de l'ère chrétienne..., 1855, p. 544
  12. Page 273 dans Mémoires lus à la Sorbonne dans les séances extraordinaires du Comité Impérial des Travaux Historiques et des Sociétés savantes (1864)]
  13. Prosper d'Aquitaine "451 : on s'est battu près de Troyes à 5 bornes milliaires de la ville" ( 7,5 km) et poème local du XIIIe siècle faisant allusion à la bataille près de la Rivière-de-Corps[réf. incomplète]
  14. Riché 1983, p. 55
  15. Geneviève Dévignes, Ici le monde changea de maître, 1953
  16. Sidoine Apollinaire, Lettres, livre VIII, lettre XV
  17. Grégoire de Tours, Histoire des Francs, II, 7 et suivants

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