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Terre-Natale
DétailAdministration Pays France Région Champagne-Ardenne Département Haute-Marne Arrondissement Arrondissement de Langres Canton Canton de Terre-Natale Code commune 52504 Code postal 52400 Maire
Mandat en coursJean-Pierre Mastalerz Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Amance Démographie Population 382 hab. (2008) Densité 16 hab./km² Gentilé Varennais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 242 m — maxi. 382 m Superficie 23,37 km2 Terre-Natale est une commune française, située dans le département de la Haute-Marne et la région Champagne-Ardenne. Elle fut créée le 1er août 1972, date de la fusion de Varennes-sur-Amance avec Chézeaux et Champigny-sous-Varennes, qui s'en est séparée en 1986. Elle est le chef-lieu du canton de Terre-Natale.
Sommaire
Géographie
Localisation
La commune de Terre-Natale est située au sud-est du département de la Haute-Marne et de la région Champagne-Ardenne, à proximité des départements des Vosges et de la Haute-Saône. Elle est à 22 km à l'est de Langres, au centre du triangle formé par les villes de : Bourbonne-les-Bains, Fayl-Billot et Montigny-le-Roi[1].
Deux villages forment la commune : Varennes-sur-Amance, le plus peuplé, sur une colline à 370 m d'altitude dominant la vallée de l'Amance et Chézeaux, situé dans cette vallée à 250 m d'altitude.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune de Terre-Natale est située dans le territoire Apance-Amance, constitué de collines rapprochées entre lesquelles coulent de nombreux petits cours d'eau. La forêt est y très présente, couvrant environ 35% de la surface. Au nord-ouest de la commune s'étendent les prairies de la plaine du Bassigny.
Le village de Varennes-sur-Amance repose sur une strate de grès infraliasiques du Rhétien-inférieur.
Hydrographie
La commune est traversée par la petite Amance, rivière longue de 30 km qui constitue le cours supérieur de l'Amance, affluent de la Saône. Plusieurs ruisseaux parcourent également le territoire de la commune : ruisseaux de Maljoie, du Gravier, de Bouillevau, des Prés Rougets, de Pré Soir et de la Souèvre[2].
Voies de communication et transport
La commune est desservie par le réseau routier départemental. La route D14 est le principal axe qui traverse la commune. Il s'agissait anciennement du chemin de grande communication no 4 de Haute-Marne reliant Dammartin à Bettoncourt[3]. L'accès autoroutier le plus proche est la sortie 8 de l'A31, située au niveau de Montigny-le-Roi, à environ 16 km au nord-ouest.
Les gares ferroviaires les plus proches sont celles de Culmont-Chalindrey (à 24 km) et de Langres (à 27 km), toutes deux situées sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville.
Des navettes assurant des liaisons hebdomadaires avec les villes de Bourbonne-les-Bains et Langres ainsi que des bus scolaires constituent l'offre en transports en commun.
Urbanisme
Morphologie urbaine
Varennes-sur-Amance s'étire de part et d'autre de la place de l'Église, le long d'un axe formé de la rue de la Louvière à l'ouest et des rues Varandelle, Sainte-Barbe et du Pâquis à l'est. Bien que l'actuelle route D14 n'emprunte plus les rues Sainte-Barbe et du Pâquis pour descendre dans la vallée, cet axe formait jusqu'au XIXe siècle la route principale qui traversait le village[4]. Le long de cet axe, le bâti y est ancien et continu, principalement constitué de fermes-blocs avec usoirs, caractéristique de l'habitat lorrain. Le village s'est quelque peu étendu au nord, avec un bâti en partie plus moderne et plus espacé, séparé du reste du village par une rangée de champs et de jardins.
Logements
Terre-Natale comptait 286 logements en 2008. Les constructions neuves sont peu présentes puisqu'à cette date, seulement 4,7 % des résidences principales étaient postérieures à 1990. À contrario, les constructions antérieures à 1949 représentaient 72,8 % du parc. 66,9 % des logements sont des résidences principales, réparties à 95,7 % en maisons individuelles et à 4,3 % en appartements. 87,5 % des habitants sont propriétaires de leur logement, pour 7,8 % de locataires[5].
Entre 1999 et 2008, le nombre de logements vacants a sensiblement baissé, passant de 15,9 % à 7 %, principalement en raison de l'augmentation du nombre de résidences secondaires.
Toponymie
Le nom « Terre-Natale » est donné lors de la création de la commune en 1972 en hommage à Marcel Arland, académicien et auteur du roman éponyme publié en 1938 dans lequel il raconte son enfance passée dans le village de Varennes[6].
Histoire
Au VIIIe siècle, Varennes appartient à Saint-Gengoulf, illustre guerrier devenu connétable de France sous Pépin le Bref. Saint-Gengoulf y réside et y fait bâtir une église. À sa mort en 760 sans héritier, la maison de Choiseul prend possession de Varennes[3] et d'une partie de ses autres domaines.
En 1084, Rainier, le seigneur de Choiseul, cède « pour le salut de son âme et de ses prédécesseurs »[7] l'église de Saint-Gengoul de Varennes à l'abbaye de Molesme et y fonde un prieuré, avec l'approbation de Renaud (Raynard de Bar), évêque de Langres. En 1101, Rainier cède également l'ensemble de ses droits sur Varennes[8], qui devient ainsi une seigneurie ecclésiastique. Ce prieuré devient l'un des établissements religieux considérables de la lisière est du diocèse de Langres[9].
Au commencement du XIIIe siècle, Varennes n'a pas la force pour faire respecter ses biens et le prieur obtient l'autorisation de l'évêque de Langres de contracter un acte de pariage avec le comte de Champagne. Cet acte est conclu en 1250[10].
Pendant les XVIe et XVIIe siècles, Varennes subit plusieurs incursions ennemies. En 1523, les Allemands pillent et dévastent Varennes lors de l'invasion en Champagne. En 1636, au cours de la Guerre de Trente Ans, le Baron de Clinchamp, capitaine du duc Charles De Lorraine, s'empare du prieuré et fait pendre le gardien et capitaine du prieuré qui s'était rendu[11].
Ce n'est qu'après le rattachement au royaume de France de la Franche-Comté en 1678 et du duché de Lorraine en 1766 que le village retrouve un climat plus paisible. Louis XVI y institue en 1789 un marché tous les samedis et cinq foires y ont lieu chaque année. Varennes est un bourg considérable, plein de richesses : « Le terroir du pays est admirable pour la culture, et abonde en vins, en fruits, en jardinages, en gibiers et en bois de haute-futaye : il est sablonneux, et les sources d'eau jaillissent en mille endroits »[12].
À la révolution, le prieuré de Varennes et ses terrains sont vendus aux particuliers.
La commune de Varennes prend le nom de Varennes-sur-Amance le 14 avril 1847[13].
Au cours de la seconde guerre mondiale, le maquis de Varennes, mené par plusieurs militaires de réserve[14], s'illustre dans une embuscade le 1er septembre 1944 à la gare d'Andilly-en-Bassigny faisant quarante victimes allemandes[15].
Le 1er août 1972, la commune de Varennes-sur-Amance absorbe celles de Champigny-sous-Varennes et Chézeaux et devient Terre-Natale[16]. Le 1er janvier 1986, Champigny-sous-Varennes s'en sépare[17].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
- Élection présidentielle de 2002 : 72,47 % pour Jacques Chirac (RPR), 27,53 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 76,98 % de participation[18].
- Élection présidentielle de 2007 : 54,46 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 45,54 % pour Ségolène Royal (PS), 83,51 % de participation[19].
Administration municipale
Compte tenu du nombre d'habitants, le nombre de membres du conseil municipal est de onze.
Liste des maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1896 1912 Robert Alfred Boucheseiche 1912 1919 Victor Simonel 1919 1925 Auguste Arland 1925 1944 James Mercier 1944 1959 Auguste Arland 1959 1965 Claude Bournot Notaire 1965 1971 Raymond Guyot Médecin 1971 1995 Daniel Rustaut 1995 mars 2008 René Champonnois mars 2008 en cours Jean-Pierre Mastalerz Toutes les données ne sont pas encore connues. Politique environnementale
Espaces protégés
Plusieurs zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) sont localisées en tout ou partie sur le territoire de la commune : trois ZNIEFF de type I « Marais de la Coudre à Coiffy-le-Haut »[20], « Marais de Coiffy-le-Bas »[21] et « Grands marais de Champigny-Chézeaux »[22] faisant partie de la ZNIEFF de type II « Vallée de l'Amance et de ses affluents depuis Vicq et Laneuvelle jusqu'à Maizières et Pisseloup » de 1 900 ha, constituée de prairies, de boisements alluviaux et de marais. Elle présente un intérêt faunistique important ; il s'agit notamment d'un des derniers lieux naturels de nidification du busard cendré en Champagne-Ardenne[23].
Eau potable
La commune est alimentée en eau potable par le Syndicat Mixte de Production d’Eau Potable du Sud Haute-Marne (SMIPEP), dont l'essentiel des prélèvements est effectué sur les lacs de Langres[24].
Gestion des déchets
La commune pratique le tri sélectif des déchets ménagers. Leur collecte et leur traitement sont assurés par le Syndicat Mixte Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères (SMICTOM) et le Syndicat Départemental pour l'Elimination des Déchets Ménagers (SDEDM).
Jumelages
Au 20 septembre 2011, Terre-Natale n'est jumelée avec aucune commune[25].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Terre-Natale compte 382 habitants (soit une diminution de 13 % par rapport à 1999). La commune occupait le 19 432e rang au niveau national, alors qu'elle était au 16 651e en 1999, et le 87e au niveau départemental sur 433 communes. Le maximum de la population a été atteint en 1831 avec 1 391 habitants.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués depuis 1793. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[26], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[27]. Pour Terre-Natale, le premier recensement a été fait en 2004[28], les suivants étant en 2009, 2014, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Terre-Natale, est une évaluation intermédiaire. Le premier recensement exhaustif est celui de 2009, publié en 2012. Pour cette période 2006-2009, la population 2006 ainsi que la dernière population légale publiée par l’INSEE sont présentées pour information.
Les recensements de 1975 et 1982 incluent la population de Champigny-sous-Varennes qui faisait alors partie de la commune.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (41,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (25,4 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 49,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 9 %, 15 à 29 ans = 11,2 %, 30 à 44 ans = 13,3 %, 45 à 59 ans = 26,6 %, plus de 60 ans = 39,8 %) ;
- 50,9 % de femmes (0 à 14 ans = 10,3 %, 15 à 29 ans = 8,7 %, 30 à 44 ans = 11,3 %, 45 à 59 ans = 27,2 %, plus de 60 ans = 42,5 %).
Enseignement
Terre-Natale relève de l'académie de Reims.
La commune administre une école maternelle et une école élémentaire accueillant les élèves des communes voisines.
Santé
Un cabinet médical et une pharmacie sont implantés sur la commune. Le centre hospitalier le plus proche est situé à Langres.
Sports
La commune dispose d'un stade de football, d'un terrain de tennis et de boulodromes, ainsi que d'un étang de pêche de 3 ha.
Le village de Varennes-sur-Amance est traversé par le sentier de randonnée GR 7[34]. Ce sentier entre dans le village par la côte de l'Ormeau au nord-est, après avoir traversé les marais de Coiffy-le-Bas, inventoriés comme ZNIEFF de type I au patrimoine naturel de France[35]. Il en sort au sud-ouest en plongeant dans le bois des Euillards. Il permet de rallier Marcilly-en-Bassigny, en passant à proximité de la Chapelle de Presles (XIIe siècle), classée au patrimoine des monuments historiques[36].
Vie locale
Les principaux services publics sont représentés : bureau de Poste, trésorerie, brigade de proximité de gendarmerie, centre d'incendie et de secours. Un centre de vacances reçoit des groupes d'enfants pour des activités extra-scolaires[37] et plusieurs associations animent le village.
Économie
Sur 35 établissements présents sur la commune à fin 2008, 25,7% relevaient du secteur de l'agriculture, 5,7% du secteur de l'industrie, 2,9% du secteur de la construction, 48,6% de celui du commerce et des services et 17,1% du secteur de l'administration et de la santé[38].
Les principaux commerces sont présents sur la commune : une boulangerie, un bar-tabac, un garage automobile ainsi que des marchands ambulants.
On y trouve également des producteurs et vendeurs d'asperges[39]. Favorisé par ses terres sablonneuses, Varennes était déjà renommé pour la production de cette plante potagère au XIXe siècle[40].
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Le patrimoine architectural de la commune est riche de cinq monuments inscrits à l'inventaire des monuments historiques :
- l'église de Varennes-sur-Amance (XIIIe ‑ XIXe siècle), inscrite le 23 décembre 1925[41]. Bien que reconstruite au XIXe siècle, elle conserve sa nef du XIIIe siècle[42].
- la mairie de Varennes-sur-Amance : porte Renaissance (XVIe siècle), inscrite le 23 décembre 1925[43].
- la chapelle Saint Gengoulph (XVIe siècle), inscrite le 29 février 1972[44]. François de Montarby, alors prieur de Varennes, la fit construire en 1540 sur la fontaine associée à la légende du martyr[45]. La fontaine est située au centre de la crypte.
- la maison Garnier : cheminée du XVIe siècle au premier étage, inscrite le 16 juin 1926[46].
- la croix sur la route de Coiffy (XVIIe siècle), inscrite le 3 octobre 1929[47].
ainsi que la maison d'enfance de Marcel Arland.
Personnalités liées à la commune
- Marcel Arland (1899-1986) - Écrivain, académicien né à Varennes-sur-Amance.
- Gengon ou Saint Gengoulph (702-760) - Né à Varennes-sur-Amance.
- Pierre Bizot de Fonteny (1825-1908) - Sous-préfet, conseiller général, président du Conseil Général de la Haute-Marne, député de la Haute-Marne de 1876 à 1888, sénateur membre du groupe de la gauche démocratique de 1888 à 1908. Son buste est sur un monument place de l'église avec Marianne en sabots.
Héraldique
Les armes de Terre-Natale se blasonnent ainsi : de gueules au lévrier passant d’argent colleté du champ, surmonté d’un croissant d’or.
Ces armoiries sont celles de Marie-Gabriel-Louis Texier d'Hautefeuille[48], prieur de Varennes de 1765 à 1790[49].
Pour approfondir
Bibliographie
: Ouvrage utilisé comme source pour la rédaction de cet article
- P. Anselme, Histoire de la Maison Royale de France, et des grands officiers de la Couronne (Tome IV), Compagnie des Librairies, 1728 [lire en ligne]
- P. Pechinet, J.-C. Mongin, Annuaire ecclésiastique et historique du diocèse de Langres, Dejussieu, 1838 [lire en ligne]
- Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne, Imprimerie et Lithographie Miot-Dadan, 1858 [lire en ligne]
- J. Carnandet, Géographie historique industrielle et statistique du département de la Haute Marne, Simonnot-Lansquenet, 1860 [lire en ligne]
- Henry Arbois de Jubainville, Histoire des ducs et des comtes de Champagne (Tome IV), Aug. Durand, 1865 [lire en ligne]
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
- Le village sur un site personnel anonyme. Consulté le 20 septembre 2011
- Les cours d'eau de Terre-Natale sur le site du Sandre. Consulté le 29 septembre 2011
- J. Carnandet, Géographie historique industrielle et statistique du département de la Haute Marne, Simonnot-Lansquenet, 1860, p.227 et 531
- Le nouveau tracé est absent sur les premières cartes d'État-major, mais visible sur celle de 1845.
- Logement à Terre-Natale sur le site de l'Insee. Consulté le 20 septembre 2011
- Guide vert Champagne-Ardenne, Michelin, 2007, p.78
- P. Anselme, Histoire de la Maison Royale de France, et des grands officiers de la Couronne, Compagnie des Librairies, 1728, 3ème édition, t.4, p.817
- Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne, Imprimerie et Lithographie Miot-Dadan, 1858, p.532
- René Locatelli, Sur les chemins de la perfection : Moines et chanoines dans le diocèse de Besançon vers 1060-1220, Saint-Étienne, Publications de l’université de Saint-Étienne, 1992 (ISBN 2-86272-024-0) [lire en ligne], p. 97
- Henry Arbois de Jubainville, Léon Pigeotte, Histoire des ducs et des comtes de Champagne, Aug. Durand, 1865, t.4, p.909
- P. Pechinet, J.-C. Mongin, Annuaire ecclésiastique et historique du diocèse de Langres, Dejussieu, 1838, p.320
- Abbé De Mangin, Histoire ecclésiastique et civile, politique, littéraire et topographique du diocèse de Langres, Bauche, 1765, t.2, p.32
- Recueil général des lois et ordonnances du 1er janvier 1841 au 23 février 1848, 1852, T. 17, p. 119
- Pierre Montagnon, Les maquis de la Libération, 1942-1944, Pygmalion, 2000, p.50
- Les cahiers Haut-Marnais, 1970, numéro 100, p.10
- Varennes-sur-Amance sur le site de l'historique des communes. Consulté le 8 octobre 2011
- Terre-Natale sur le site de l'historique des communes. Consulté le 8 octobre 2011
- Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 29/09/2011.
- Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 29/09/2011.
- ZNIEFF I « Marais de la Coudre à Coiffy-le-Haut » sur le site de l'INPN. Consulté le 1er octobre 2011
- ZNIEFF I « Marais de Coiffy-le-Bas » sur le site de l'INPN. Consulté le 1er octobre 2011
- ZNIEFF I « Grands marais de Champigny-Chézeaux » sur le site de l'INPN. Consulté le 1er octobre 2011
- ZNIEFF II « Vallée de l'Amance et de ses affluents depuis Vicq et Laneuvelle jusqu'à Maizières et Pisseloup » sur le site de l'INPN. Consulté le 1er octobre 2011
- Les sites de prélèvement d'eaux brutes sur le site du SMIPEP. Consulté le 1er octobre 2011
- Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures sur le site du ministère des affaires étrangères. Consulté le 20 septembre 2011
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009.
- Calendrier des recensements des communes du département de la Haute-Marne sur www.insee.fr, Insee. Consulté le 20 septembre 2011.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 20 septembre 2011
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 20 septembre 2011.
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 20 septembre 2011.
- Évolution et structure de la population à Terre-Natale en 2008 sur le site de l'Insee. Consulté le 20 septembre 2011.
- Résultats du recensement de la population de la Haute-Marne en 2008 sur le site de l'Insee. Consulté le 20 septembre 2011.
- Circuit du GR7 en Haute-Marne sur le site de l'office du tourisme de Langres. Consulté le 1er octobre 2011
- Les marais de Coiffy-le-Bas sur le site de l'INPN. Consulté le 1er octobre 2011
- Notice no PA00079145, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Loisirs Vacances Accueil sur le site de l'office du tourisme de Langres. Consulté le 5 octobre 2011
- INSEE, Statistiques locales du territoire de Terre-Natale, consultées le 20 septembre 2011
- Article « Les beaux jours de l’asperge de Varennes » sur le site du Journal de la Haute-Marne. Consulté le 6 octobre 2011
- Journal de l'agriculture de la ferme et des maisons de campagnes, 1873, t.8, p.30
- Notice no PA00079250, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Église paroissiale Saint-Gengoulf sur le site du Conseil Général de Haute-Marne. Consulté le 4 octobre 2011
- Notice no PA00079251, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00079248, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Chapelle Saint-Gengoulph sur le site du Conseil Général de Haute-Marne. Consulté le 4 octobre 2011
- Notice no PA00079252, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00079249, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- G. Eysenbach, Histoire du blason et science des armoiries, Mame, 1848, p.335
- Léon Frémont, Revue de Champagne et de Brie, H. Menu, 1894, p.704
Catégorie :- Commune de la Haute-Marne
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