Auto-dérision

Auto-dérision

Humour

L'humour est une forme d'esprit qui cherche à mettre en valeur avec drôlerie le caractère ridicule, insolite ou absurde de certains aspects de la réalité, qui dissimule sous un air sérieux une raillerie caustique[1].

Sa forme, plus que sa définition, est diversement appréciée d'une culture à l'autre, d'une région à une autre, d'un point de vue à un autre, à tel point que ce qui est considéré par certains comme de l'humour, peut être considéré par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte. On pourrait définir l'humour comme une forme d'expression permettant de dégager certains aspects cocasses ou insolites de la réalité, destinée généralement à inciter au sourire en se moquant à travers les autres ou soi-même (autodérision), des faiblesses plus générales du genre humain.

L'humour permet à l'Homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le soulève Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif[2] en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme.

L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. Il est porteur de messages. Ses objectifs sont nombreux. Il joue un rôle essentiel dans l’équilibre de la personne, il libère les tensions et préserve notre santé. L’humour est également employé pour étudier, même si les méthodes d’utilisation ne sont pas très persuasives[réf. nécessaire]. Cette arme permet de critiquer des cibles bien définies, par exemple, contre les états totalitaires et l’idéologie qui les fonde. C’est donc un langage qui vise la vérité sans la nommer, ainsi qu’un excellent moyen de s’exprimer lorsqu’il est impossible de le faire autrement. En effet, on peut rire de tout, mais pas n’importe comment. Enfin, l’humour est le meilleur médicament pour notre esprit, mais n’oublions pas que, parfois et même souvent, notre humour provoque la dégradation d’autrui.

On peut dire d’emblée que l’humour est intelligence sociale[réf. nécessaire], il en est donc[réf. nécessaire] une des manifestations, des expressions. Aux abords de l’humour, on peut distinguer du mensonge, de l’humilité, de la solitude, mais aussi une tendresse insupportable et tendue, un refus des apparences, la préservation d’un secret, le goût d’une distance infinie... On peut convenir d’étudier l’humour sous une forme d’esprit qui se dissimule sous un air sérieux, pleine d’ironie et d’imprévu, et qui consiste à dégager les aspects plaisants et insolites de la réalité avec un certain détachement.

Sommaire

Étymologie

Pierre Corneille (1606-1684) utilisait le mot humeur dans le sens "Penchant à la plaisanterie, originalité facétieuse"[3].

Vers 1760, les anglais utilisent le terme humor dans ce sens, se vantant d'être les seuls à avoir cet état d'esprit, puisqu'ils croyaient être les seuls à lui avoir donné un nom. De là vient l'expression humour britannique.

Le mot est donc revenu en français sous la forme humour.

Analyse

L'humour, en première analyse, est censé faire naître, sinon le rire, parfois vulgaire, au moins le sourire de connivence. Dans la pratique, la réaction de chacun ira du sourire plaisant à la franche hilarité.

L'humour est souvent inattendu. Un exemple d'humour noir, sur le cadran solaire de l'église de Roscoff, au-dessus des chiffres marquant les heures, l'inscription : "Craignez la dernière".

On a nommé humour noir une forme d'humour qui s'appuie sur des éléments tristes ou désagréables et les tourne en dérision (les humours juif et britannique, à cet égard, sont souvent noirs : un ouvrage de Thomas de Quincey se nomme De l'assassinat considéré comme un des beaux-arts) et rire jaune un rire forcé et amer. De fait, l'humour n'est pas nécessairement lié à la joie. « L'humour est la politesse du désespoir » (citation attribuée selon les auteurs à Achille Chavée, Oscar Wilde, Georges Duhamel, Boris Vian, et parfois même, bien qu'elle ne soit pas du tout de son style, Pierre Dac))

De nos jours, ces classifications s'estompent : l'humour de Pierre Desproges, par exemple, n'est pas sans analogie avec celui d'un Woody Allen. Les vieilles frontières disparaissent et un certain humour devient international, exclusion faite des jeux de mots et du jeu sur les mots (voir Raymond Devos).

Pour Paul Reboux (À la manière de…), l'humour consiste tout simplement à traiter à la légère les choses graves, et gravement les choses légères. Exemple typique (Woody Allen, donc postérieur) : Existe-t-il une réalité objective, ou bien tout n'est-il qu'illusion, auquel cas j'aurais payé mon appartement beaucoup trop cher ?.

L’humour doit être distingué par d’autres concepts qui lui sont proches :

  • le comique, effet accessoire ou facultatif de l’humour ;
  • le rire, parfois lié à l'humour, même s'il l'est plus souvent à la farce ;
  • la plaisanterie ;
  • l’ironie, l'esprit ou la raillerie, qui n'ont pas le côté bienveillant de l'humour ;
  • l'impertinence, forme arrogante des trois précédents ;
  • l’euphorie (la gaieté) ;
  • et enfin le plaisir, qui naît de l’imprévu, de l’originalité, de la richesse du message, expression d’un humour qui a atteint son but.

Raison d'être

Les origines et les fonctions du rire engendré par l'humour sont difficiles à cerner ; l'adage populaire « un bon rire vaut un steak » montre qu'il possède en tout cas une fonction cathartique : on se sent bien après avoir ri ; c'est en ce sens que les Anciens le concevaient dans leurs comédies ; il permet, de plus, de dénoncer de manière plus ou moins cachée ce qu'indique la formule consacrée castigat ridendo mores (« Elle corrige les mœurs en riant ») appliquée à la comédie. Pour certains éthologues, le rire, que l'on semble constater chez certaines races de singes, est avant tout le rictus, c'est-à-dire un soulèvement des lèvres afin de montrer les dents ; il pourrait donc être une forme de violence détournée, une inclination à l'agression résumée en une mimique. Vu sous cet angle, l'humour permettrait d'évacuer cette violence, née de la frustration et de la souffrance (surtout dans l'humour noir) ; l'on rejoint là la fonction cathartique. Le lien avec une sensation de malaise peut facilement se vérifier si l'on considère la gêne ressentie par l'auditoire et l'orateur lorsque celui-ci rate un trait d'esprit et ne parvient pas à faire sourire.

Beaucoup d’enquêtes ont été menées sur le thème de l’humour pour en tirer des résultats concluants. En effet, l’humour apparaît pour la plupart des personnes comme un témoignage du bien-être et d’une joie de vivre, pour permettre de décompresser et de prendre du plaisir dans des situations quelconques, à n’importe quel moment. L’humour est en général de manière spontanée (« ça vient comme ça » ; « c’est naturel ») et fort peu de façon calculée. Très peu de faits précis sont rapportés (« la prof de Maths qui s’est cassé la gueule de l’estrade quant elle gueulait pour virer un pote »). L’humour est généralement manié par les jeunes : 39 % [4] soulignant que cela s’effectue conjointement avec leurs parents dans une relation duelle.

L'humour est aussi souvent un moyen pour un groupe ou une personne soumis à de fortes pressions sociales ou à de fortes contraintes de s'en échapper. Ainsi les peuples sous le joug soviétique avaient inventé de nombreuses blagues pour lutter tant bien que mal contre l'absurde et la répression[5]. De même, dans les grandes entreprises ou administrations, se développent un jargon et des codes permettant aux individus de résister au "système"[6].

Origine récente

Le terme même d'humour est récent ; il nous vient de l'anglais, sous la forme humour, qui désigne à la fois les dispositions du tempérament et les fluides corporels ("humeurs"), dont on pensait qu'ils régissaient le comportement et la santé. Le mot anglais est un emprunt antérieur au français humeur, qui possédait à l'époque les deux sens décrits plus haut. Le mot humour est attesté pour la première fois en français au XVIIIe siècle, entré en France grâce aux liens qu'entretenaient les penseurs des Lumières avec les philosophes britanniques.

Humour et trait d'esprit

Auparavant, l'on utilisait dans le domaine littéraire le mot esprit, que l'on retrouve dans des expressions comme « avoir de l'esprit » ou « trait d'esprit ». L'esprit se définissait plus comme une forme d'ironie acide et pince-sans-rire, que l'on constate facilement chez des auteurs du siècle des Lumières comme Voltaire, Diderot ou Crébillon fils. Sigmund Freud a étudié le trait d'esprit (Witz) dans Le trait d'esprit et sa relation à l'inconscient (1905). L'humour tel que pratiqué par les Britanniques se révélait cependant plus proche d'une forme de regard absurde et détaché sur les événements, sans forcément conduire à la malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit français.

Le film Ridicule de Patrice Leconte illustre ce décalage culturel d'époque, et montre les premières interrogations sur l'humour britannique, encore mystérieux pour les Français.

L’humour et le comique

Les apparitions les plus connues de l'humour se font dans les histoires amusantes, qualifiées de « drôles », désignées fréquemment sous le vocable de blagues. Il se manifeste cependant de manières très diverses et n'est pas toujours explicite (c'est le cas de l'ironie, de la pointe, de la remarque pince-sans-rire) ; des gestes même peuvent être comiques. Si l'humour est toujours volontaire, l'on peut être comique sans le vouloir. L'humour, cependant, est indissociable du comique, c'est-à-dire de « ce qui est propre à faire rire » ; le comique est, parmi les tonalités littéraires, ce qui permet l'humour ; on en distingue principalement sept formes :

  • comique de gestes ;
  • comique de mots, qui inclut les jeux de mots ;
  • comique de mœurs ;
  • comique de situation ;
  • comique de caractère ;
  • comique de répétition.
  • comique : la satire

En sorte, l'humour utilise nécessairement une forme de comique, mais toute manifestation comique n'est pas forcément humoristique.

Enfin, si l'humour permet à l'homme, par le décalage et l'absurde, de prendre conscience de lui-même, de ses dérèglements ou de ceux de la société, il ne faut pas s'étonner que les sujets choisis par l'humour dit noir puissent être macabres ou choquants : la mort, la blessure, le désespoir et l'angoisse font bel et bien partie de la vie humaine. On ne doit cependant pas oublier que, pour paraphraser Pierre Desproges, si l'on peut rire de tout, on ne peut le faire avec tout le monde.

L’humour agressif est présenté comme celui qui a le plus de « pouvoir ». « Mais l’humour apparaît également comme l’arme du faible ou des artistes contre les états totalitaires et l’idéologie qui les fonde. C’est une voix singulière qui refuse toutes ces monstruosités. » [réf. nécessaire] En revanche, il n’est pas nécessairement drôle, répétons-le. Il provoque plus le sourire que le rire, et ce sourire est souvent teinté d’émotion. L’humoriste est, dans tous les cas, en principe exempt d’intention satirique. Aucune trace de cruauté chez lui. Le rire marque cependant une supériorité sociale que le rieur s’attribue en quelque façon. On rit ou on sourit d’une mauvaise orthographe, d’un accent, de la démarche d’un animal, d’une maladresse, d’une bévue, d’une étourderie ; bref, de tout ce qui flatte en soi un sentiment de domination ou de revanche.

Pour Charles Baudelaire, qui reprend à son compte dans « De l’essence du rire et généralement du comique dans les arts plastiques » une partie de l'ancienne doctrine chrétienne sur le caractère satanique du rire, et la distinction introduite par Hoffmann entre comique ordinaire et comique innocent, « on trouvera au fond de la pensée du rieur un certain orgueil inconscient », si bien que le rire, « conséquence [pour l'homme] de l'idée de sa propre supériorité (…) est à la fois signe d'une grandeur infinie et d'une misère infinie ».

La question morale posée à propos du rire est très ancienne. On peut ainsi lire dans la Somme théologique de saint Thomas d'Aquin « C'est ainsi qu'un mot pour rire est un péché véniel s'il est dit sans utilité, mais il n'est plus une parole oiseuse ni un péché s'il est dit pour un motif raisonnable. Bien que le péché véniel ne supprime pas la grâce qui procure le salut de l'homme, cependant, pour autant qu'il dispose au péché mortel, il devient nuisible au salut »[7].

Pour Tertullien, « Il convient aussi à la vérité de rire, parce qu'elle est joyeuse, et de se jouer de ses ennemis, parce qu'elle est confiante dans sa force. Seulement il faut éviter que son rire n'excite à son tour la raillerie, s'il était déplacé. Mais d'ailleurs partout où le rire est convenable, il remplit un devoir » [8].

L’humour au cinéma

Les films humoristiques ont le plus souvent pour base le caractère propre des personnages. Les scénarios sont écrits de façon à provoquer une situation loufoque ou qui obligerait un personnage à révéler son caractère humoristique.

Plusieurs exemples sont à prendre en compte comme le film Rush Hour. Ce film met en scène un policier américain noir, pas très doué et bavard et l'élite des forces chinoises. Le choc entre deux cultures produit souvent son effet comique fondé sur les incompréhensions. Certaines répliques dans des scènes de fusillade sont inattendues et on passe d'une ambiance mortelle à une ambiance relaxée, tout cela dans le but de divertir le public avec des scènes d'action amusantes.

Une autre sorte d'humour, l'humour noir, permet de mettre en valeur des personnages clés (comme les méchants) et de montrer leur côté cruel. Mafia Blues en est un bon exemple. Paul Vitti est censé être un mafieux cruel mais ses répliques provoquent un sentiment qu'on peut qualifier de syndrome de Stockholm, qui attache au personnage malgré la cruauté de celui-ci. Exemple : Doc : « Dites-moi, on ne vous a jamais dit non ? » Vitti : « Si, mais c'était du genre "Non ! Pitié ! Ne me tuez pas… "»

Voir aussi : Le Père Noël est une ordure, La vie est un long fleuve tranquille ...

L'humour et la farce

La farce est un genre dramatique destiné à faire réfléchir ses spectateurs aux situations outrancières qu'elle décrit, par le biais du rire.

De nombreuses séries télévisées ont exploité le filon du rire. En 1994, une série américaine très connue renouvelle le genre : Friends. Le comique se développe entre six personnages n'ayant rien d'autre à faire que provoquer des quiproquos, lancer des plaisanteries sophistiquées et se chamailler sur des choses anodines dans leur café préféré. Moins que d'humour, il s'agit au contraire d'un retour à la farce du Moyen Âge (farce de maître Pathelin, farce du cuvier…), justement fondée sur les quiproquos et comiques de situation. La farce suppose un mystificateur et un mystifié. Le message de l'humour est au contraire que nous sommes tous des mystifiés.

L’humour et la santé

Qui dit humour, dit rire. Selon des études qui ont été menées au centre médical de l'université du Maryland à Baltimore par des cardiologues, le fait de rire et d'avoir un sens de l'humour aiguisé serait une arme redoutable contre les crises cardiaques. Après avoir questionné plus de 300 personnes dont la moitié avait souffert d'attaques cardiaques ou subi une intervention cardiovasculaire et dont l'autre moitié n'avait aucun trouble cardiaque ; les résultats nous démontrent que les cardiaques sont trop sérieux et trop stressés.

Rire devrait donc faire partie des mesures employées pour prévenir et traiter les maladies cardiaques et le stress.

[réf. nécessaire]Le sourire ou le rire libère les tensions et préserve notre santé. L'humour facilite la confiance en soi et l'harmonie avec autrui, augmente notre charisme. L'humour n'est pas un don : c'est un état d'esprit, un ensemble de mécanismes mentaux, de méthodes agréables à mettre en pratique.

L’humour pour étudier

Beaucoup de recherches ont été conduites sur des adolescents et des étudiants en utilisant des méthodes simples assez éloignées des conditions éducatives même lorsqu’elles étaient faites en salle de classe ou en salle de cours à l’université. La plupart des expériences étaient de courte durée (allant de huit minutes à une heure). En général, les élèves étaient divisés en deux groupes auxquels on présentait la même conférence. Pour un groupe, on introduisait des éléments humoristiques, pour l’autre non. Les résultats étaient mesurés par la quantité d'informations retenues. La plupart des résultats n’étaient pas encourageants pour l’utilisation de l’humour dans les études.[réf. nécessaire]

Les enseignants des universités américaines semblent utiliser l’humour assez fréquemment dans leurs cours. Dans une expérience avec des élèves de l’enseignement secondaire, quatre films vidéo ont été préparés. Il s’agissait d’un cours de biologie donné par un acteur professionnel (il avait appris le cours préparé par un professeur). Quatre versions du même cours ont été filmées : la première, sans humour ; la seconde, avec des illustrations humoristiques, d’un humour agressif ; la troisième avec un humour dont l’enseignant était lui-même la cible (type d’humour « autodérision ») ; la quatrième version combinait l’humour de la seconde et de la troisième version. Les résultats ont alors montré que l’enseignant qui avait utilisé l’humour mixte (quatrième version) était perçu par les élèves comme plus « attrayant » et plus « original » que les autres. L'enseignant qui avait recouru à un humour agressif était perçu comme ayant le plus de « pouvoir ». Celui qui n'avait pas du tout fait appel à l'humour était perçu comme le plus « systématique ».

L'un des ouvrages anglophones faisant référence en informatique, le Knuth[9], est parsemé de traits ironiques. Un ouvrage technique francophone à grand succès fut aussi parsemé de métaphores humoristiques : La radio ? Mais c'est très simple ![10]

D’autres résultats ont montré[réf. nécessaire] que les élèves dotés d'un certain sens de l’humour apprécient davantage un enseignant qui utilise l’humour que les élèves dont le sens de l’humour est moins développé.

L'humour pourrait se définir comme un art de tourner de façon souriante les évènements ou situations peu enviables en affaiblissant ainsi leur impact négatif sur le moral.

Histoires amusantes

Voir aussi

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L’humour sur Internet

Depuis le développement de l'Internet haut débit, de nombreux sites à vocation humoristique ont vu le jour. Le contenu se présente souvent sous forme de vidéos (parodie, gags, sketches), on peut citer le concept de la "Owned Compilation"[11], développé par les internautes, mais aussi sous la forme de fichiers audio (plus rare notamment à cause des droits d'auteurs), d'images, de jeux en ligne, de diaporamas, de textes ou de logiciels.

Articles connexes

Billet, Blague, Canular, Chanson paillarde, Clown, Contrepèterie, Coussin péteur, Duo comique, Festival Juste pour rire Montréal, Festival Juste pour rire Nantes, Humoriste, Humour anglais, Humour juif, Humour potache, Ironie, Jeu de mots, Mot d'esprit, Parodie, Pastiche, Prix de l'humour politique, Rire, Scène comique (ou sketch), Tarte à la crème, Théâtre d'improvisation, Zwanze bruxellois.

Notes et références

  1. Dictionnaire Larousse.
  2. L'Humour juif de Joseph Klatzmann, aux PUF, collection « Que sais-je ? » n° 3370
  3. XMLittré - HUMEUR.1
  4. [Statistiques de la Société Internationale de Psychologie de l’Expression et d’Art]
  5. Le communisme est-il soluble dans l'alcool? de Philippe Meyer et Antoine Meyer (1978), éd. du Seuil, coll. Essais (ISBN 2-02004-914-7)
  6. Brèves de couloir : un site web et un livre sur l'humour sous-jacent dans le langage effectivement parlé dans les entreprises
  7. Somme Théologique, II-II Qu.43 article 7
  8. Tertullien, Contre les Valentiniens
  9. Donald Knuth, The Art of Computer Programming, plusieurs tomes, Addison-Wesley
  10. Émile Aisberg, La radio ? Mais c'est très simple !, Les éditions radio, années 1950 et 1960.
  11. Owned Compilation, Référence au concept internet des vidéos humoristiques "Owned Compilation"

Bibliographie

  • H. Baudin, Cahier Comique Communication, DRUG – Diffusion, 1988
  • G. Roux et M. Laharie, L’Humour : histoire, culture et psychologie, Société Internationale de Psychologie de l’Expression et d’Art – Thérapie, 1997
  • Laffay, Anatomie de l’humour et du nonsense, Masson et Cie, 1990
  • Humor Theory. The formulae of laughter by Igor Krichtafovitch, Outskitspress, 2006, ISBN 9781598002225 [1]
  • http://www.humortheory.com
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