- Régiment d'infanterie Coloniale du Maroc
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Régiment d'infanterie-chars de marine
Régiment d'infanterie-chars de marine
Insigne du RICMPériode 1915 Pays France Branche Armée de Terre Type Troupes de marine Rôle cavalerie légère Fait partie de 9e BLBMa Garnison Poitiers Quartier Ladmirault Ancienne dénomination Régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc Couleurs rouge et bleu Devise "Il revint immortel de la grande bataille"
"Recedit Immortalis Certamine Magno"Inscriptions sur l’emblème La Marne 1914-1918
Verdun-Douaumont 1916
La Malmaison 1917
Plessis de Roye 1918)
L'Aisne-L'Ailette 1918
Champagne 1918
Argonne 1918
Maroc 1925-1926
Toulon 1944
Delle 1944
Kehl 1945
Indochine 1945-1954
AFN 1952-1962Anniversaire Bazeilles
Fête du R.I.C.M. : Douaumont (24 octobre)Équipement 48 AMX-10 RC, 32 VBL, 30 VAB Guerres Première Guerre mondiale
Guerre du Rif
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Guerre d'AlgérieBatailles Bataille de la Marne
Bataille de Verdun
Bataille de la SommeDécorations Légion d'honneur
Médaille militaire
Croix de guerre 1914-1918
10 palmes
Croix de guerre 1939-1945
2 palmes
Croix de Guerre TOE
5 palmes
Ordre portugais de la tour et de l'épée
Mérite militaire Chérifien
Cravate bleue de la Presidential Unit Citation américainemodifier Le Régiment d'Infanterie - Chars de marine (RICM) est un régiment blindé français.
Créé en juin 1915, puis nommé ainsi en décembre 1958, par le changement de nom du Régiment d'infanterie coloniale du Maroc, il fait partie de l'arme des troupes de marine et est de spécialité cavalerie légère blindée. Il est basé à Poitiers. Le RICM est le régiment le plus décoré de l'armée française.
Il appartient à la 9e brigade légère blindée de marine (9e BLBMa).
Création et différentes dénominations
- Août 1914, création du 1er régiment mixte d'infanterie coloniale,
- En décembre 1914, il devient 1er régiment de marche d'infanterie coloniale,
- Le 9 juin 1915, création du régiment d'infanterie coloniale du Maroc,
- En mai 1956, par changement d'appellation il devient le régiment d'infanterie-chars de marine.
Historique des garnisons, combats et batailles du RICM
Il est intervenu dans presque tous les conflits de l'armée française depuis sa création, et notamment :
- Première Guerre mondiale,
- Maroc,
- Seconde Guerre mondiale,
- Guerre d'Indochine,
- Guerre d'Algérie,
- Tchad, Liban, Centrafrique,
- Guerre du Golfe,
- en Ex-Yougoslavie et Albanie,
- au Rwanda,
- en Côte d'Ivoire.
Première Guerre mondiale
Jeune régiment, il naît à Rabat au Maroc au début du mois d'août 1914 sous l'appellation de 1er Régiment Mixte d'Infanterie Coloniale. En décembre, il devient le 1er Régiment de Marche d'Infanterie Coloniale. Le 17 août 1914 il débarque, puis est aussitôt engagé sur le front français au tout début de la Première Guerre mondiale. Le RICM, Régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc, est officiellement créé le 9 juin 1915.
Quatre années durant, il livre des combats qui feront de son emblème le plus décoré de l'armée française (10 citations à l'ordre de l'armée). Le 24 octobre 1916, il participe à la prise du fort de Douaumont, ce qui lui vaut la Légion d'honneur et sa troisième citation à l'ordre de l'armée.
Au cours de la grande guerre le RICM aura perdu 15 000 marsouins (tués ou blessés) dont 257 officiers.
Son drapeau ne portera pas moins de 10 palmes sur la croix de guerre 14-18, la Légion d'honneur (pour un fait similaire à la prise d'un emblème de haute lutte à l'ennemi qui sera la conquête du fort de Douaumont le 24 octobre 1916), la médaille militaire (le 5 juillet 1919), l'ordre portugais de la Tour et de l'Epée.
Le régiment sera stationné en Rhénanie de 1918 à 1925 avant de rejoindre le Maroc.
Entre deux guerres
Il est envoyé au Maroc, dans le Rif tout d'abord entre 1925 à 1926, puis de 1927 à 1932 en opération dans le sud du pays. Durant ces deux années 94 marsouins (dont 8 officiers) tomberont, 275 seront blessés (dont 7 officiers) ainsi que 10 disparus.
C'est durant cette période que le sultan décerna la croix du mérite militaire chérifien au drapeau.
Le 3° bataillon et le groupe franc du RICM seront décorés de la croix de guerre des T.O.E. à l'ordre de l'armée.
Seconde Guerre mondiale
En Charente le 23 juin 1940, le RICM combattait encore à La Hayes-Descartes le 24 juin. Commandé par le colonel Avre, le régiment combattait depuis dix jours et avait perdu beaucoup d'hommes lorsqu'il se trouva à la hauteur de Civray au sud de l'Esvre, petit affluent de la Creuse. Deux petits détachements, commandés par le lieutenant Stevenson, officier des transmissions, et le capitaine Londes, adjoint au colonel, manœuvrèrent pour défendre le poste de commandement et réussirent à s'emparer de plusieurs engins ennemis. Ces combats lui ont couté 600 tués, blessés ou disparus durant les combats d'Amboise.
Pendant la période d'armistice, en zone libre, le 2e RIC stationne à Perpignan et le 21e RIC à Fréjus, Toulon et Marseille. Le RICM fut reconstitué en Afrique du Nord, ainsi que le 43e RIC.
Printemps 1943, la 9e DIC fut mise au point par le général Blaizot et son régiment de reconnaissance fut le fameux RICM de Rabat, lorsque fin avril elle embarqua pour la Corse. C'était une formation solide qui allait entrer en lice. Le 17 juin 1944, elle partit à la conquête de l'île d'Elbe et ce coup d'essai fut concluant. Deux mois plus tard, c'était le débarquement de Provence à la Nartelle, la chute de Toulon, puis le regroupement à Vierzon.
Le RICM est le premier à atteindre le Rhin, l'aspirant Delayen trempe le fanion de son escadron à Rosenau le 20 novembre1944. Fin novembre, le RICM monte à Mulhouse. La 9e DIC s'empare de près de 200 villes ou villages, parcourant environ 300 km, anéantissant cinq divisions allemandes.
La campagne de la libération coûte au RICM 54 marsouins (dont 2 officiers), 143 blessés (dont 6 officiers).
Deux citations à l'ordre de l'armée viennent alourdir la cravate de son drapeau.
Une décoration américaine, la Distinguished Unit lui est décernée avec le droit au port permanent pour l'excellence de son comportement lors des combats dans la trouée de Belfort, Mulhouse, Seppois.
Guerre d'Indochine
Le 4 novembre 1945, les premiers éléments du régiment arrivent à Saigon. Le premier tué du régiment en terre indochinoise le sera dès le 6 novembre.
Le RICM sera quasiment de toutes les opérations : opération Gaur (1946), opérations de contrôle en Cochinchine et Sud Annam (1946 à 1947), au Cambodge (1946 à 1947), au Tonkin (1946 à 1947, opération Léa (Lang-Son, Cao-Bang, Bac-Kan), Haute région (février 1948 à février 1951), opérations dans le Delta (Janvier 1948 à février 1951), le Tonkin (1952-1954), Dien Bien Phû (pour le 2° peloton du 1° escadron) et mènera les derniers combats jusqu'en juillet 1954. Ses dix années de présence en terre indochinoise vaudront au régiment pas moins de 5 citations à l'ordre de l'armée.
Le groupement blindé du Tonkin sera décoré également à l'ordre de l'armée tout comme le 1°, le 4° escadron, l'escadron de vedettes (celui-ci sera également décoré à l'ordre de l'armée de mer) tout comme le groupe d'escadrons de marche. Une citation à l'ordre du corps d'armée viendra honorer également les 2°, 3°, 5°( 2 fois cité à ce niveau), le bataillon de marche du RICM, le groupe d'escadrons de marche du RICM ainsi que le 2° peloton du 1° escadron. Enfin le 4° escadron recevra également une citation à l'ordre de la division.
Ce ne sont pas moins de 15 citations qui seront décernées à des unités du RICM durant cette guerre (et 5 au régiment).
Elle aura couté 1300 marsouins (dont 57 officiers et 167 sous-officiers tués ou blessés).
En 1993, le président François Mitterrand inaugure à Fréjus un Mémorial de la guerre d'Indochine.
Guerre d'Algérie
En mai 1956, le Régiment d'infanterie coloniale du Maroc (RICM) rejoint l'Algérie. Lors de la disparition de l'infanterie coloniale en 1958, remplacée par l'infanterie de marine puis par les troupes de marine, il obtient de conserver ses initiales en raison du prestige du régiment. Il devient alors le Régiment d'infanterie-chars de marine, seule unité TDM à combattre sur blindé léger. Le 1er RIMa le rejoint dans cette spécialité en 1986. Les cadres du régiment sont formés à l'école d'application de la cavalerie, à Saumur.
Le retour en garnison en métropole
En 1978 /1979, le 2° escadron du RICM participe à l'Opération Tacaud au Tchad. Deux marsouins sont tués à la bataille de Salal, la première bataille de cette opération. Plusieurs sont blessés lors de cette bataille, puis à la bataille d'Abéché en 1979.
En 1990/1991, il intervient dans l'opération Salamandre puis dans la phase active de la guerre du Koweït.
En 1992, il fournit le noyau du premier FRENCHBAT (bataillon français) de Sarajevo, à partir du RICM renforcé de la 1re compagnie du 2e RIMa en EX-YOUGOSLAVIE.
En 1994, il est engagé dans l'opération Turquoise au Rwanda.
Il est cantonné à Vannes de 1963 à 1996 et est actuellement (septembre 2008) basé à Poitiers.
En 2004, le RICM prend la tête du Groupement Tactique Interarmes N°1 de l'opération Licorne en Côte d'Ivoire. Le 6 novembre, un bombardement mené par l'aviation ivoirienne sur le lycée Descartes à Bouaké tue neuf soldats français et un civil américain réfugié sur cette emprise occupée par le Train de Combat N°2 du groupement. Cinq marsouins du RICM seront tués (adjudant-chef Barathieu, adjudant-chef Capdeville, sergent-chef Delon, sergent Derambure, caporal Decuypère) et une trentaine d'autres blessés.
Traditions
Devise
- « Recedit immortalis certamine magno », qui signifie en français : Il revint immortel de la grande bataille
Insigne
Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes [1],[2]:
Chant
- Mon régiment est le premier de France
- RICM dont le drapeau flottant.
- Des grands aînés rappellent la vaillance
- Debout les gars et toujours en avant.
- Les jours de défilé, de l'Arche à la grand place
- Depuis le colonel jusqu'au moindre soldat
- Peuple regarde bien c'est une âme qui passe
- Dans tout le régiment c'est un seul cœur qui bat
- De tous les régiments il en est un que j'aime
- Plus que tout autre corps de servir dans ses rangs
- C'est un honneur si grand que le plus grand lui-même
- Plein d'un profond respect frissonne en y songeant
- Nous aimons posséder la gloire toute nue
- Il faut voir au combat monter nos escadrons
- Nos briscards chevronnés et nos jeunes recrues
- Dieu nous donna du cœur et nous le détaillons
- Garde à vous c'est la guerre le peuple nous regarde
- Montrons nous courageux et dignes du passé
- Que partout où nos morts montent l'ultime garde
- On dise un jour de nous ils les ont égalés
Décorations
Le RICM est le régiment le plus décoré de l'armée française. Son drapeau porte :
- la croix de la Légion d'honneur[3] ;
- la médaille militaire ;
- la croix de guerre 1914-1918 avec dix palmes ;
- la croix de guerre 1939-1945 avec deux palmes ;
- la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieures avec cinq palmes (la 6e citation à l'ordre de l'armée étant sans attribution de décorations) ;
- l'ordre portugais de la tour et de l'épée ;
- le mérite militaire Chérifien ;
- la cravate bleue de la Presidential Unit Citation américaine.
Les marsouins du RICM portent :
- la fourragère double aux couleurs de la Légion d'honneur et de la croix de guerre (récompensant ses dix citations à l'ordre de l'armée pendant la première guerre mondiale), avec une olive aux couleurs de la croix de guerre 1939-45 (récompensant ses deux citations pendant la seconde guerre mondiale) ;
- la fourragère aux couleurs de la médaille militaire avec olive aux couleurs de la croix de guerre des TOE (récompensant ses cinq citations lors des conflits extérieurs) ;
- le Blue badge ou Distinguished Unit Citation américain avec inscription Rosenau sur la cravate du drapeau.
Le drapeau du RICM est le plus décoré de tous les drapeaux de l'armée Française avec celui du Régiment de marche de la Légion étrangère; ce régiment a obtenu sa 18e citation à l'ordre de l'armée en 1978 pour ses actions au Tchad et au Liban.
Fête du régiment
- La fête des troupes de marine
- Elle est célébrée à l'occasion de l'anniversaire des combats de BAZEILLES . Ce village qui a été quatre fois repris et abandonné sur ordres, le 31 août et le 1er septembre 1870.
- Et au nom de Dieu, vive la coloniale
- Les marsouins et les bigors ont pour saint patron Dieu lui-même. Ce cri de guerre termine les cérémonies intimes qui font partie de la vie des régiments. Son origine est une action de grâce du Révérend Père Charles de Foucauld, missionnaire, voyant arriver à son secours les unités coloniales un jour où il était en difficulté avec une tribu locale.
Chefs de corps
Régiment d'infanterie coloniale du Maroc
- Lieutenant-colonel Pernot : 1914
- Lieutenant-colonel Larroque : 1914-1915
- Lieutenant-colonel Régnier : 1915-1917
- Lieutenant-colonel Debailleul : 1917-1918
- Lieutenant-colonel Modat : 1918-1918
- Lieutenant-colonel Ozil : 1919
- Colonel Mouveaux : 1919-1922
- Colonel Duplat : 1922-1924
- Colonel Barbassat : 1924-1927
- Lieutenant-colonel de Scheidhauer : 1927-1930
- Colonel de Bazelaire de Rupiére : 1930-1932
- Colonel Petitjean : 1932-1933
- Colonel Deslaurens : 1933-1935
- Colonel Allut : 1935-1938
- Colonel Turquin : 1938
- Colonel Avre : 1940
- Colonel Panis : 1940
- Colonel Lupy : 1940-1941
- Lieutenant-colonel Kieffer : 1941-1942
- Lieutenant-colonel Magnan : 1942
- Lieutenant-colonel Hebpeard : 1942
- Colonel Thiabaud : 1942-1943
- Colonel Le Puloch : 1943-1945
- Colonel de Brebisson : 1945-1946
- Chef de bataillon de La Brosse : 1946-1947
- Chef de bataillon Deysson : 1947
- Lieutenant-colonel Mareuge : 1947-1949
- Lieutenant-colonel Capber : 1949-1950
- Lieutenant-colonel de La Brosse : 1950-1952
- Chef de bataillon Lacour : 1952
- Lieutenant-colonel Maurel : 1952-1954
- Lieutenant-colonel Thiers : 1954-1956
- Lieutenant-colonel Cochet : 1956
- Colonel Thiers : 1956-1957
- Colonel Cochet : 1957-1958
Régiment d'infanterie-chars de marine
- Colonel Deysson : 1958-1959 *
- Lieutenant-colonel Kerourio : 1959
- Lieutenant-colonel de Gouvion-Saint-Cyr : 1959-1961
- Lieutenant-colonel Kerourio : 1951
- Lieutenant-colonel Dercourt : 1961-1963
- Colonel Routier : 1963-1964
- Colonel Pascal : 1964-1966
- Colonel Duval : 1966-1968
- Colonel Pierre : 1968-1970
- Colonel Hiliquin : 1970-1972
- Colonel Garen : 1972-1974
- Lieutenant-colonel Fouilland : 1974-1976
- Colonel Gibour : 1976-1978
- Lieutenant-colonel Leroy : 1978-1980
- Lieutenant-colonel Collignon : 1980-1982
- Colonel Lagane : 1982-1984
- Lieutenant-colonel Boutin : 1984-1986
- Colonel Jean-Michel de Widerspach-Thor : 1986-1988 *
- Colonel Henri Bentégeat : 1988-1990 **
- Colonel Xavier de Zuchowicz : 1990-1992 *
- Colonel Patrice Sartre : 1992-1994
- Colonel Sandahl : 1994-1996
- Colonel Pierre-Richard Kohn : 1996-1998
- Colonel Arnaud Rives : 1998-2000
- Colonel Dominique Artur : 2000-2002
- Colonel Éric Bonnemaison : 2002-2004
- Colonel Patrick Destremau : 2004-2006
- Colonel Frédéric Garnier : 2006-2008
- Colonel François Labuze : 2008-
(*) Officier qui devint par la suite général de corps d'armée.
(**) Officier qui devint par la suite général d'armée.Henri Bentégeat fut chef d'état-major des armées de 2002 à 2006.
Le régiment aujourd'hui
Subordinations
Le régiment est subordonné à la 9e brigade légère blindée de marine elle même composante de la force d'action terrestre.
Composition
Le RICM est composé:
- 4 escadrons de combat dotés de blindés à roues équipés d'un canon de 105 mm (AMX 10 RC).
- 1 escadron de commandement et de logistique.
- 1 escadron d'instruction.
- 1 escadron de réserve.
Matériels
Véhicules
- 48 AMX 10 RC
- 32 VBL
- 30 VAB
Armement
Stationnement
Quartier Ladmirault
BP 679 - 86023 Poitier Cedex
Tél. : 05-49-00-25-63
Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment
Personnalités ayant servi au sein du régiment
- Joost van Vollenhoven (1877-1918), comme sergent, promu sous-lieutenant au début de la guerre, puis comme capitaine à la fin de la guerre. Fut gouverneur de l’Afrique occidentale française.Depuis 1963, la salle d'Honneur du régiment est baptisée du nom de Joost van Vollenhoven.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel du RICM
- Site de l'Association Nationale des Anciens du RICM
- Site d'un ancien du 2eme Escadron du RICM
- Mémorial des guerres en Indochine
Sources et bibliographie
- Il revint immortel de la grande bataille".Auteur : Germain, René. Parution : 28/11/2007. Editeur : Editions Italiques.
- Dans la bataille ou la tempête : Jonques armées et vedettes fluviales du RICM. Auteur : Georges Ducrocq | Georges Goret | Michel Lesourd | Pierre de Tonquédec. Préface : M. le colonel François Labuze. Parution : 06/2009. Editeur : Lavauzelle, Panazol, France
- Erwan Bergot, La coloniale du Rif au Tchad 1925-1980, imprimé en France : décembre 1982, n° d'éditeur 7576, n° d'imprimeur 31129, sur les presses de l'imprimerie Hérissey.
Notes et références
- ↑ Décision n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n°27, 9 novembre 2007
- ↑ Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
- ↑ [1]Unités et décorations militaires. La hampe du drapeau ou de l’étendard des unités suivantes, a été décorée de la croix de la Légion d’honneur .
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