- 1920 (Chronologie de Dada et du surréalisme)
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Sommaire
Éphémérides
Janvier
- 4 janvier
André Breton rencontre Francis Picabia[1].
- 5 janvier
Lettre de Breton à Picabia : « Il y a un mot que je prononce souvent ainsi que Tzara : celui de démoralisation. C'est à cette démoralisation que nous nous appliquons Soupault et moi dans "Littérature". Je sais que jusqu'à un certain point cela est puéril[2]… »
- Tristan Tzara arrive à Paris[3].
- 10 janvier
René Hilsum installe les éditions Au Sans Pareil dans une librairie au 37 de l'avenue Kléber, Paris (16e arrondissement). Les dadaïstes en font leur second lieu de rendez-vous quotidien avec le café Certà, passage de l'Opéra.
- Paul Éluard, Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux, recueil de poèmes, avec cinq dessins d'André Lhote
- 23 janvier
La rencontre chez Picabia de Tzara avec les surréalistes (sauf Éluard) déçoit Breton.
Tzara est invité à participer au premier « Vendredi de Littérature » prévu le jour même au Palais des Fêtes, 23 rue Saint-Martin. Le malentendu est total. Ce devait être une matinée poétique consacrée à Louis Aragon, Pierre Drieu La Rochelle, Éluard, Maurice Raynal, Pierre Reverdy et Philippe Soupault[4]. Par ailleurs certains journaux ayant annoncé une conférence sur « la crise du change », les spectateurs manifestent leur mécontentement quand Picabia trace à la craie sur un tableau noir les lettres « LHOOQ » que Breton efface aussitôt d'un coup d'éponge. Puis Tzara, forçant son accent roumain, lit un discours de Léon Daudet pendant qu'Aragon et Breton font retentir des sonnettes. Le spectacle s'achève devant une salle vide[5].
- André Breton, Lune de miel
- On recommande à Breton, une personne qui doit bientôt venir à Paris, s'y fixer et « qui voudrait se lancer dans la littérature [...] Quelques jours plus tard, Benjamin Péret arrive[6]. »
- Parution du premier numéro de la revue Proverbe, « feuille mensuelle pour la justification des mots », créée par Paul Éluard, avec les participations de Breton, Jean Paulhan, Picabia et Georges Ribemont-Dessaignes[7].
- Rencontre René Magritte / E. L. T. Mesens[8].
Février
- 5 février
Deuxième manifestation dada au Grand Palais. Le programme ayant annoncé la participation de Charlie Chaplin pour une conférence sur le mouvement Dada, le public est venu en nombre. 38 conférenciers se relaient pour la lecture de manifestes : « Plus de peintres, plus de littérateurs, plus de musiciens, […], plus d'armées, plus de police, plus de patries, enfin assez de toutes ces imbécillités, plus rien, plus rien, rien, rien, RIEN, RIEN, RIEN[9]».
- 7 février
Au Club du Faubourg (association ouvrière sise à Paris 17e), Breton lit le Manifeste Dada 1918 de Tristan Tzara dans une ambiance houleuse[10].
- Philippe Soupault, Hôtels
- À Berlin, publication de l'Almanach Dada[11].
Mars
- 8 mars
Erik Satie, Musique d'ameublement, exécutée en public à la galerie Barbazanges : « une musique que l'on se doit de jouer pour qu'on ne l'écoute pas. »[12].
- 21 mars
Breton décide d'abandonner ses études de médecine. Ses parents, informés par ailleurs des manifestations et des scandales de Dada, menacent de lui couper les vivres s'il persiste dans ses activités « déshonorantes ». Par souci d'apaisement, il accepte un emploi de coursier à la NRF. Il est également chargé de lire à haute voix à Marcel Proust les épreuves de Côté de Guermantes à raison de 50 francs par séance.
- 27 mars
Festival manifeste presbyte[13], organisé par Picabia au Théâtre de l'Œuvre. Représentation de :
. S'il vous plaît, pièce écrite par André Breton et Philippe Soupault, interprétée par Éluard et Gala et
. La Première aventure céleste de Monsieur Antipyrine de Tristan Tzara,
. Vaseline symphonique, œuvre chorale,
. lecture par Breton du Manifeste cannibale de Picabia.
Breton accueille le public en portant, comme un homme-sandwich, une affiche signée Picabia sur laquelle on peut lire : « Pour que vous aimiez quelque chose il faut que vous l'ayez vu et entendu depuis longtemps tas d'idiots [14]. »
Avril
- 16 avril
Exposition Francis Picabia à la librairie du Sans Pareil[15].
- Antonin Artaud est confié par sa famille aux bons soins du docteur Édouard Toulouse, psychiatre reconnu et directeur de l'asile de Villejuif. Celui-ci l'accueille et le nomme co-secrétaire de rédaction de sa revue culturelle Demain. Artaud y publie des comptes rendus de livres, de salons et de spectacles et aussi des poèmes.
- 25 avril
Parution du premier numéro de la revue Cannibale créée par Francis Picabia et co-dirigée avec Georges Ribemont-Dessaignes.
- Louis Aragon, Suicide : « A b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z »[16]
- Georgina Dubreuil quitte Breton après avoir saccagé sa chambre d'hôtel où elle brûle des livres dédicacés par Guillaume Apollinaire et des dessins d'André Derain, Marie Laurencin, Amedeo Modigliani et Jacques Vaché[17].
- Publication à Cologne, de la revue dada Die Schammade créée par Max Ernst et Johannes Baargeld : 32 pages de papier vert ou rose pâle, format 25,5 x 32,5 cm, impression à l'encre rouge[18].
- Francis Picabia, La Sainte-Vierge, encre sur papier, publié dans la revue Les Hommes du jour[19]
Mai
- 21 mai
Parution du premier numéro de la revue Projecteur[20] au format de 23 x 10 cm, entièrement écrit par Céline Arnauld.
- 26 mai
Festival Dada à la salle Gaveau à Paris. Représentation de :
Vous m'oublierez, pièce écrite par Breton et Philippe Soupault. Témoignage de Simone Breton à sa cousine Denise Lévy : « Comme choses intéressantes, je suis allée à une séance Dada, assez ratée à l'aveu même des pires dadaïstes, avec scandale, pommes cuites et vocifération. »[21].
- 28 mai
Exposition Georges Ribemont-Dessaignes à la librairie du Sans Pareil.
- 30 mai
André Breton et Philippe Soupault, Les Champs magnétiques, avec les portraits des auteurs par Francis Picabia[22] Accueil favorable de la critique. André Malraux écrit dans Action : « Ce livre créé un poncif au point que c'est lui que citeront les critiques de 1970 lorsqu'il sera question de l'état d'esprit des artistes de 1920. »[23]
Juin
- Johannes Baader, Grand-Plasto-Dio-Dada-Drama, architecture monumentale dada en 5 étages, 3 jardins, un tunnel, 2 ascenseur et une fermeture en forme de cylindre. L'œuvre est détruite par son auteur à la fin de l'exposition[25].
- André Breton écrit dans la NRF un article sur les Chants de Maldoror de Lautréamont à l'occasion d'une réédition : « La vie humaine ne serait pas cette déception pour certains si nous ne nous sentions constamment en puissance d'accomplir des actes au-dessus de nos forces. On sait maintenant que la poésie doit mener quelque part[9]. »
- Antonin Artaud rencontre Lugné-Poe, directeur du Théâtre de l'Œuvre, qui l'engage comme homme à tout faire.
- Théodore Fraenkel présente Simone Kahn à Breton : « Apparaissait une personnalité de poète très spéciale, éprise de rare et d'impossible, juste ce qu'il faut de déséquilibre, soutenu par une intelligence précise même dans l'inconscient, pénétrante avec une originalité absolue que n'a pas compromise une belle culture littéraire, philosophique et scientifique. », lettre de Simone à Denise Lévy du 31 juillet 1920[26].
Juillet
- À cause de quelques problèmes de santé, Breton part se reposer chez ses parents. Lettre à Jacques Rivière : « Je procède à une révision complète de mes idées qui pourra me conduire plus près de vous que je n'ai été encore » et à Picabia : « Vous savez mieux que quiconque combien je m'ennuyais à la "NRF". Je finissais par lasser mes amis et vous-même de mes façons d'agir : cela ne pouvait plus durer. En dépit des assurances que je vous donnais de temps à autre, vous preniez de jour en jour plus mauvaise opinion de moi. »[27]
Août
- 1er août
La NRF publie un article de Breton Pour Dada qui répond à André Gide (« Le jour où le mot Dada fut trouvé, il ne resta plus rien à faire. Ces deux syllabes avaient atteint le but d'inanité sonore, un insignifiant absolu. ») : « Il m'est impossible de concevoir une joie de l'esprit autrement que comme un appel d'air. Comment pourrait-il se trouver à l'aise dans les limites où l'enferment presque tous les livres, presque tous les événements ? »[28]
- Jacques Rivière, Reconnaissance à Dada : « Le langage pour les Dadas n'est plus un moyen, il est un être. Le scepticisme en matière de syntaxe se double ici d'une sorte de mysticisme. Même quand ils n'osent pas franchement l'avouer, les Dadas continuent de tendre à ce surréalisme qui fut l'ambition d'Apollinaire [29]. »
- Lettre de Breton à Simone Kahn : « Vous savez comment les Poésies de Ducasse ont été faites : il retournait un proverbe, une pensée. […] La Rochefoucauld : « L'amour de la justice n'est en la plupart des homme que la crainte de souffrir l'injustice. » - Ducasse : « que le courage de souffrir l'injustice. » […] Voyez-vous l'intérêt profond de cette contradiction : c'est par elle, hélas, que Ducasse atteint à cette espèce de vérité angélique. Moi qui, Dieu merci, ne suis pas un littérateur, j'approuve entièrement la méthode du livre. Les Poésies d'Isidore Ducasse, ou le Paradis terrestre. »[30]
- Breton refuse d'écrire la préface de Jésus Christ Rastaquouère de Francis Picabia : « […] pour ne pas avoir à me replacer dans une attitude qui a été la mienne et qui, en définitive, ne l'est plus. […] Je ne suis même plus sûr que le dadaïsme ait gain de cause, à chaque instant je m'aperçois que je le réforme en moi. »[31]
Septembre
- 11 septembre
Séjour à Sarreguemines de Breton et Simone Kahn. Il fait la connaissance de Denise Lévy, la cousine de Simone[32].
- Paul Éluard, Pour vivre ici, onze haïkaï, publié par la NRF[33]"
Octobre
- 19 octobre
Réunion des surréalistes de Littérature qui décident de ne plus publier de texte « littéraire » et d'ouvrir la revue à la politique, à la sexualité, à la vie[34].
Décembre
- Breton est présenté au couturier Jacques Doucet. Ce dernier, bibliophile et amateur d'art moderne, « personnalité éprise de rare et d'impossible, juste ce qu'il faut de déséquilibre[35] », lui commande des lettres sur la littérature et la peinture ainsi que des conseils d'achat d'œuvres d'art, pour une rémunération de 500 F par mois.
Cette année-là
- Louis Aragon signe un contrat avec la NRF pour la publication prochaine de Anicet [36].
Avec Breton, ils projettent d'adhérer au parti socialiste mais sont découragés par l'accueil glacial qui leur est réservé[37].
- Arthur Cravan disparaît dans le golfe du Mexique au cours d'une promenade en barque.
- Jean Arp, Max Ernst et Johannes Baargeld fondent le mouvement Dada de Cologne et organisent une exposition[11]. Un collage de Max Ernst contenant une reproduction de Adam et Ève d'Albrecht Dürer jugée pornographique est censurée par les autorités de la ville et l'exposition est fermée par la police[38].
- Jefim Golyscheff expose à Berlin une cinquantaine d'aquarelles[39].
- La revue 391 publie en couverture LHOOQ de Marcel Duchamp[40].
- Yves Tanguy fait son service militaire à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) où il rencontre Jacques Prévert[41].
- Les dadaïstes berlinois découvrent l'œuvre de Giorgio De Chirico dans la revue futuriste Valori plastici[42].
Œuvres
- Jean Arp
- La Mise au tombeau des oiseaux et des papillons, assemblage de bois peint
- Der Vogel selbdritt, poèmes illustrés de six gravures sur bois de l'auteur[43]
- Johannes Baader
- Grand-Plasto-Dio-Dada-Drama, architecture monumentale
- Johannes Baargeld
- Typique amalgame vertical en tant que représentation du Dada Baargeld, collage, photo de son visage sur le buste de la Vénus de Milo[44]
- André Breton
- Lune de miel, poème
- André Breton et Philippe Soupault
- Les Champs magnétiques, textes automatiques : « Prisonniers des gouttes d'eau, nous ne sommes que des animaux perpétuels »
- S'il vous plaît : « Il m'arrive de faire les cent pas pendant des heures entre deux numéros de maison ou quatre arbres d'un square. Les promeneurs sourient de mon impatience, mais je n'attends personne »
- Vous m'oublierez, textes dramatiques
- Otto Dix
- Les Joueurs de skat
- Le Marchand d'allumettes, huiles sur toile[45]
- Marcel Duchamp
- LHOOQ
- Fresh widow, fenêtre aux carreaux teintés de noir
- Rotative plaque verre (optique de précision), objet cinétique[46]
- Marcel Duchamp et Man Ray
- Élevages de poussière, photographie des traces inscrites dans la poussière de l'atelier de Duchamp, du panneau inférieur du Grand verre[47]
- Paul Éluard
- Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux, avec cinq dessins d'André Lhote : « Et le langage déplaisant qui suffit aux bavards, langage aussi mort que les couronnes à nos fronts semblables, réduisons-le, transformons-le en un langage charmant, véritable, de commun échange entre nous. »[48]
- Pour vivre ici, onze haïkaï
- Max Ernst
- Julius Evola
- Arte astratta, poèmes[54]
- Théodore Fraenkel
- La Mort du pape au pays du patinage, collage : photographie de journal montrant un groupe d'hommes en redingote et haut-de-forme et chaussés de patins à glace, tirant un traîneau sur lequel on devine un cercueil recouvert de fleurs. Le collage porte en légende : « pas de séduction / pas de sourire / pas de jolies dents »[55]
- George Grosz
- George Grosz et John Heartfield
- Leben und treiben un Universal City um 12 Uhr 5 Vie et mouvement à Universal City à 12h5, collage[59]
- Raoul Hausmann
- Richard Huelsenbeck
- Joan Miró
- La Table (nature morte au lapin), huile sur toile[64]
- László Moholy-Nagy
- Die grosse Gefühlsmachine, huile sur toile[65]
- Francis Picabia
- Man Ray
- Erik Satie
- Musique d'ameublement
- Rudolf Schlichter
- Georg Scholz
- Industriebauren, huile sur toile[73]
- Kurt Schwitters
- Philippe Soupault
- Hôtels
- Rose des vents : « L'avion tisse les fils télégraphiques / et la source chante la même chanson / au rendez-vous des cochers l'apéritif est orangé / mais les mécaniciens des locomotives ont les yeux blancs / la dame a perdu son sourire dans les bois. »
- Sophie Taeuber
- Taches quadrangulaires évoquant un groupe de personnage, huile sur toile[76]
- Tristan Tzara
- Cinéma calendrier du cœur abstrait Maisons
Notes et références
- Pour les références bibliographiques complètes, voir Chronologie de Dada et du surréalisme
- Daix, op. cité, p. 86. Marguerite Bonnet date cette première rencontre de décembre 1919 (A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, p. XXXIX.)
- Daix, op. cité, p. 86.
- Daix, op. cité, p. 88.
- Lettre de Breton à Éluard du 17 janvier
- Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XL & Daix, op. cité, p. 91.
- Nadja, œuvres complètes, tome 1, op. cité, p. 659 & Bernard Delvalle, Mille et cent ans de poésie française, Robert Laffont, Paris, 1991, p. 1813, pour la date. Breton,
- Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XXXIX.
- Canonne, op. cité, p. 21.
- Daix, op. cité, p. 103.
- Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XL.
- Lemoine, op. cité, p. 91.
- Le Bon, op. cité, p. 860.
- Lemoine, op. cité, p. 78 & Scheler, P. Éluard, œuvres complètes : chronologie, p. LXII.
- Photo dans Le Bon, op. cité, p. 8.
- Daix, op. cité, p. 109.
- Daix, op. cité, p. 93.
- Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XLI.
- Un seul numéro. Le Bon, op. cité, p. 870.
- Cité dans "Beaux Arts magazine" n° 290, août 2008, p. 72.
- Le Bon, op. cité, p. 89.
- Lettres à Denise Lévy, éditions Joêlle Losfeld, 2005, p. 53.
- Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, pp. XLI et LX.
- Daix, op. cité, p. 70.
- Lemoine, op. cité, p. 31.
- Lemoine, op. cité, p. 43 & Le Bon, op. cité, p. 117.
- Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XLI & Lettres à Denise Lévy, éditions Joêlle Losfeld, 2005, p. 57.
- Daix, op. cité, p. 108.
- Daix, op. cité, p. 105.
- Daix, op. cité, p. 107.
- Daix, op. cité, p. 53.
- Simone Kahn. Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XLI. Lettre du 31 août à
- Pierre Naville. Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XLI. Qui épousera
- Scheler, P. Éluard, œuvres complètes : chronologie, op. cité, p. LXII.
- Daix, op. cité, p. 109 et 111.
- Simone Breton, Bonnet, A. Breton, œuvres complètes, tome 1 : chronologie, op. cité, p. XLII. Lettre à
- Daix, op. cité, p. 102.
- Daix, op. cité, p. 112.
- Daix, op. cité, p. 116.
- Art Press, janvier 2007.
- Breton, SP, op. cité, p. 58.
- Angliviel, op. cité, p. 169.
- Lemoine, op. cité, p. 36.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 149.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 5.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 53 et 54.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 74.
- Reproduction dans Pierre Cabanne, Duchamp & Cie.
- Scheler, P. Éluard, œuvres complètes : chronologie, op. cité, p. LXI & Daix, op. cité, p. 96 et 99.
- Reproduction dans Breton, LSELP, op. cité, p. 27.
- MoMA, New York. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, n° 90, mai 1991, p. 56.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 65.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 18.
- Reproduction dans Breton, LSELP, op. cité, p. 25.
- Cité dans Le Bon, op. cité, p. 270.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 437.
- 42 x 30 cm. Galerie Nierendorf, Berlin. Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 46.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 48.
- Reproduction dans Biro, op. cité, p. 18.
- Lemoine, op. cité, p. 48.
- 31,7 x 25,4 cm. Londres, Tate gallery. Reproduction dans Beaux Arts Magazine n° 82, septembre 1990, p. 61.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 261.
- Reproduction dans Crepaldi, op. cité, p. 204.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 34.
- Reproduction dans L'œil, n° 588, février 2007, p. 17.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 84.
- 19 x 17 cm. Collection Paul Destribats, Paris. Reproduction dans Connaissance des arts n° 600, décembre 2002, p. 43.
- 32,9 x 23,9 cm. Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 67.
- 70,5 x 45 cm, collection particulière. Reproduction dans Beaux Arts Magazine', n° 90, mai 1991, p. 63.
- Reproduction dans Federico Poletti, L'Art au XXe siècle. I. Les Avant-gardes, Hazan, Paris, 2006, p. 117.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 1.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 873 & Lemoine, op. cité, p. 51.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 873.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 876.
- Reproduction dans Breton, LSELP, op. cité, p. 60.
- Reproduction dans Lemoine, op. cité, p. 57.
- Reproduction dans Le Bon, op. cité, p. 929.
- 4 janvier
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