- 1965 (Chronologie de Dada et du surréalisme)
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Cette année-là
- Ruth Henry fait paraître en Allemagne la première anthologie de textes surréalistes traduits par ses soins[1].
- Exposition internationale du surréalisme intitulée L'Écart absolu à la galerie de l'Œil, à Paris.
Œuvres
- Gilles Aillaud
- Vivre et laisser mourir ou la fin tragique de Marcel Duchamp, huile sur toile
- Jean Benoît
- André Breton
- Le Surréalisme et la peinture, nouvelle édition
- Victor Brauner
- L'Athanor, huile sur toile
- Níkos Engonópoulos
- Scène amoureuse d'épopée grecque, huile sur toile
- Giovanna
- La Carte absolue[3]
- Joyce Mansour
- Carré blanc, poèmes[4]
- Man Ray
- Ma bête noire et ma boîte noire (peintures naturelles), acrylique sur masonite, boîte en bois[5]
Notes et références
- Pour les références bibliographiques complètes, voir Chronologie de Dada et du surréalisme
- Colvile, op. cité, p. 118.
- Reproduction dans Biro, op. cité, p. 56. Dans le film de Michel Zimbacca, Ni d'Eve ni d'Adam (1966), Jean Benoît apparaît quelques secondes dans ce costume du Nécrophile. En complément de programme du DVD L'Invention du monde de M. Zimbacca, Jean-Louis Bédouin et Benjamin Péret, réédition de 2010.
- Reproduction dans Colvile, op. cité, p. 112.
- Colvile, op. cité, p. 186.
- 45 x 9 x 52,7 cm. Reproduction dans Beaux Arts Magazine n° 132, mars 1995, p. 43.
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