Philippe Louis Marc Antoine de Noailles

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles
Philippe Louis de Noailles
Blason de la famille de Noailles (De gueules, à la bande d'or)
Blason de la famille de Noailles
(De gueules, à la bande d'or)

Surnom le petit Poix
du fait de sa petite taille
Naissance 21 novembre 1752
Décès 15 février 1819 (à 66 ans)
Grade lieutenant général
Années de service 1768 - 1819
Commandement capitaine des Gardes du corps du roi
Distinctions Chevalier de la Toison d'or en 1785
Grand d'Espagne
l'un des Chevaliers de l'Ordre de Malte.
Autres fonctions 5e prince de Poix
2e duc de Poix
2e duc espagnol de Mouchy
vicomte de Lautrec
gouverneur de la Maison royale de Versailles
duc français de Mouchy
député de la noblesse
pair de France

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles est né le 21 novembre 1752[1], ondoyé le 22 novembre 1752 à Paris, paroisse Saint Sulpice et baptisé le 25 avril 1753 à Versailles, paroisse Notre Dame[2]. Il est mort le 15 février 1819.

Philippe Louis de Noailles devient le 2e duc de Poix (titre de courtoisie) et 2e duc espagnol de Mouchy, à la mort de son père en 1794, vicomte de Lautrec, Grand d'Espagne.

Il est nommé capitaine des gardes, lieutenant général, gouverneur de la Maison royale de Versailles et de Trianon.

Il est créé duc français de Mouchy et pair de France en 1817. Il est fait chevalier de l'Ordre de la Toison d'Or en 1785 et cité parmi les Chevaliers de l'Ordre de Malte.

Sommaire

Sa famille

Le père du prince de Poix, Philippe de Noailles

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles est l'un des fils de Philippe de Noailles (17151794), Grand d'Espagne, 1er duc de Mouchy, 1er duc de Poix[3], maréchal de France, ambassadeur en Espagne et de la duchesse, née Anne Claude Louise d'Arpajon (1729 - 1794), Dame d'Honneur de la Dauphine Marie-Antoinette d'Autriche.

Il est le neveu du maréchal Louis de Noailles[4], dont la petite-fille se marie avec Gilbert du Motier, marquis de La Fayette.

A quatorze ans, il épouse le 9 septembre 1767 Anne Louise Marie de Beauvau-Craon (1750 - 1834), fille du maréchal Charles Juste de Beauvau-Craon, 2e prince de Beauvau, capitaine des Gardes, et de la princesse née Marie-Charlotte Sophie de La Tour d'Auvergne.

Ils ont deux enfants :

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles est le frère de Louis Marc Antoine de Noailles et le beau-frère de Emmanuel Céleste Auguste de Durfort-Civrac de Lorge, 5e duc de Lorge (1741 - 1800).

Avant la Révolution française

Capitaine des Gardes du corps du roi

Gardes du corps de Louis XVI

Avant la Révolution française, le prince de Poix entre dans les carabiniers en 1768, est nommé capitaine au régiment de Noailles-dragons en 1770, puis colonel dans le même régiment en 1774. Le roi lui confie en 1775 la charge de capitaine des Gardes du corps du roi (3e Compagnie, puis 2de compagnie française). En 1779, avec cette compagnie, il se prépare à envahir l'Angleterre.

En 1788, il est élevé par Louis XVI au grade de maréchal de camp et commande en Alsace une brigade de chasseurs.

Il est dans la plus haute faveur à la Cour

Le prince de Poix occupe aussi les charges d'Intendant et gouverneur de Versailles en survivance de son père en 1767, et en exercice de 1778 à 1789[7] Il est aussi capitaine des chasses des villes, châteaux et parcs, gouverneur du Marly et dépendances, mais aussi d'Arpajon en 1766. Une pension lui est accordée comme survivancier de la charge de capitaine des Gardes du corps du roi et prorogée jusqu’au jour où il survivra au Duc de Mouchy, son père[8]. Il est dans la plus haute faveur à la Cour[9]. Sa majesté lui accorde la survivance du gouvernement de Versailles[10].

Un homme des lumières

La fausse magie, comédie en un acte présentée pour la première fois sur le théâtre de la Comédie italienne, le mercredi premier février 1775, est dédiée à Monseigneur le Prince de Poix [11], ce qui nous l'importance du personnage.

Le prince de Poix fréquente le salon de la comtesse d'Angivillers, femme de Charles Claude Flahaut de La Billarderie, cette femme enchanteresse, comme l'appelle Madame Necker. La cour s'y rencontre avec l'Académie française et les gens à la mode des arts et lettres : Diderot, d'Alembert, Jean-François de La Harpe, Charles Pinot Duclos, Jean-François Marmontel, Bernardin de Saint-Pierre[12].

Le prince de Poix, amoureux d’une des femmes de chambre de la Reine, fréquente la coterie de Madame d’Angivilliers[13] et en profite pour rencontrer cette jeune personne dans ce salon de la rue de l'Oratoire, à Paris. Il n'est pas un mari aussi sédentaire que son vénérable père[9]. Il va d'ailleurs se séparer de sa femme.

La Révolution française

Le prince de Poix est le cousin de Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, dont il partage les idées généreuses

Ils sont tous favorables aux idées nouvelles

Dans le salon de la princesse de Poix se réunissent Marquis de Lally-Tollendal, Anne-Pierre de Montesquiou-Fézensac, bien entendu Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, Mmes d'Hénin, de Tessé, de Lauzun. Le prince de Poix est l'un des plus chauds partisans de Necker. Ils sont tous favorables aux idées nouvelles. Philippe Louis croit aux bonnes intentions des révolutionnaires[14]. Comte de La Marck dîne en 1788 à Versailles avec Honoré Gabriel Riqueti de Mirabeau chez le prince de Poix, avec quelques gens de cour. N'oublions pas que nous sommes ici chez le prince de Poix, c'est-à-dire du point de vue de Versailles et de ce monde exquis et élégant, d'une simplicité qui était le dernier degré du bon goût[15]. Mirabeau les fascine, car il est totalement différent d'eux.

Député de la noblesse

En 1789, Philippe Louis Marc Antoine de Noailles, prince de Poix est élu député de la noblesse d'Amiens et d'Ham aux États généraux de 1789. Il n'appartient en rien à la noblesse picarde. Il n'est qu'un grand seigneur vivant à la Cour et à Paris, mais richement possessionné dans le sud de l'Amiénois et le Santerre. Mais le petit Poix est à l'opposé des autres aristocrates élus en Picardie un partisan de réformes modérés. Son attachement au roi et son amitié pour La Fayette font qu'il n'est plus un noble attaché à ses privilèges comme son père[16].

Le prince de Poix fait partie de la minorité de la noblesse qui demande la réunion des trois ordres[17]. Toutefois il fait partie de des grands propriétaires qui ne cherchent qu'à protéger leurs intérêts et les concilier avec les idées novatrices du temps[18] D'ailleurs, il reste très attaché au roi et lors de la journée du 17 juillet 1789 il défend la portière du carrosse royal, continuellement en butte aux insultes de la populace[14].

Colonel de la garde bourgeoise de Versailles

Commandant-général de la garde bourgeoise de Versailles[19], le prince de Poix préfère donner sa démission[20], avant les journées d'octobre, du fait de l'indiscipline des gardes. Certaines sections sont hostiles à leurs officiers nobles et beaucoup d'aristocrates ont du dédain pour la Garde nationale (1789). Mais cela n'est pas le cas, il avait réélu Commandant-général le jour même, par majorité des compagnies.

Un député modéré

Durant les séances de la Chambre de la noblesse, Philippe Louis Marc Antoine de Noailles a une querelle avec le comte de Lambertye il se bat en duel avec lui et le blesse. Le prince de Poix a fait à la nation le sacrifice d'une pension de 8 000 livres[21]. Le prince de Poix est un député modéré qui en dehors de cela ne se fait guère remarquer.

L'adieu à Louis XVI

Le 10 août 1792

La prise des Tuileries

Le prince de Poix part à Coblentz, mais il est mal accueilli par certains émigrés, du fait de ses liens avec Louis XVI et Gilbert du Motier, marquis de La Fayette. Il revient donc en France pour défendre la famille royale et combat le 10 août 1792 aux Tuileries. Il protége le roi quand celui-ci se rend du palais des Tuileries à l'assemblée nationale. Il reste dans une antichambre, avec d'autres serviteurs du roi restés fidèles à sa mauvaise fortune, le baron d'Aubier[22], M. de Saint-Pardon, M. de Goguelat, M. de Chamillé et M. François Hue[23]. Il faut que le roi leur ordonne plusieurs fois de partir. Partir pour où, quelques semaines avant les massacres de Septembre, alors qu'on tue les habitants et les défenseurs du Palais des Tuileries ?

Le prince de Poix se retrouve en prison.

Le prince de Poix se retrouve en prison. Il s'échappe pourtant de la mairie, le lendemain de la journée du 10 août 1792. Quel ange endort ses gardes, et le sort de chez le maire Pétion aussi miraculeusement que Saint Pierre-ès-Liens ? Son valet de chambre précise qu’il dut ce prodige aux cent mille écus donnés à des gardiens en écharpe, comme on l'a dit dans le temps. Mais, quelle est la véritable explication de cette évasion ?[24] Dans sa septième lettre à ses commettants[25], Maximilien de Robespierre affirme que Jérôme Pétion était récalcitrant de toute sa force, pour la journée du 10 août. Non seulement, il a visité les postes du château, ainsi que Roederer, mais il a donné la bénédiction municipale aux Suisses et aux chevaliers du poignard. Il a essayé de récupérer l'ordre de faire feu sur le peuple : répondre à la force, par la force, en convoquant Jean Gaillot de Mandat, et en le faisant assassiner devant l’hôtel de ville. Antoine François Bertrand de Molleville dit qu’on a enlevé l’ordre de sa poche de cet officier. Soit c’est faux ou alors le papier volé n’était pas ce document. Le Prince de Poix détenant cet ordre, oblige Pétion à le remettre en liberté. Jérôme Pétion ne se le fait pas dire deux fois, et trouve une porte de derrière, par laquelle il fait sortir le responsable des gardes, qui court encore.

Mais d'autres révolutionnaires accusent Étienne-Jean Panis et Antoine Joseph Sergent : J'ai entre les mains le récit d'un administrateur, écrit par lui-même, qui démontre que le prince de Poix ne s'est évadé que du consentement et par les moyens que Panis et Sergent lui ont fourni[26].

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles doit cependant quitter le pays une fois de plus pour ne pas connaître le destin de son père et de sa mère, guillotinés en 1794.

Émigrer, puis vivre sous l'Empire

La disgrâce du prince de Poix

Le prince de Poix vit en Angleterre. Le nouveau monarque lui envoie sa démission de capitaine des Gardes du corps du roi. Il écrit à Louis XVIII pour lui rappeler ses services auprès du feu roi et son dévouement à la famille royale. Il parle de son attitude courageuse lors de la journée du 10 août 1792, ses six semaines dans les geôles révolutionnaires, la mort de ses parents sur la guillotine. Il ajoute : Je m'attendais à être considéré par le successeur de Louis XVI qui est son frère. Cette disgrâce du prince de Poix indispose les esprits, nous dit Jacques Mallet du Pan[27].

La haine des monarchistes

Les prises de position généreuses en 1789 lui valent même en France des critiques et même des insultes. Dans La France foutue: Tragédie lubrique et royaliste en trois actes et en vers, le comédien dit : Le nom de grosse putain en est resté à l'infâme d'Aiguillon. Comment appellerons-nous le prince de Poix, et beaucoup d'autres de ce parti ? L'infâme parti c'est celui des nobles partisans de la Révolution, jusqu'en 1792, comme le duc d'Aiguillon, Armand Désiré de Vignerot du Plessis, et plus modérément le prince de Poix.

Défendre La Fayette

Le prince de Poix écrit à Jacques Mallet du Pan, qui vit à Berne, de Londres, le 13 décembre 1796. Il prend la défense de son cousin, Gilbert du Motier, marquis de La Fayette face aux accusations de la Cour de Vienne et à l'emprisonnement de La Fayette par les alliés des émigrés. Il explique qu'en France ses amis, sa femme et ses filles sont eux-aussi emprisonnés, mais par les révolutionnaires [28]

Sous l'Empire

Sa belle-fille, nièce de Talleyrand, est dame du palais de l'impératrice Marie-Louise

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles revient en France en 1800, il vit paisiblement à Mouchy-le-Châtel, près de Noailles, pendant l'Empire. Il s’occupe de ses terres ou ce qu'il en reste. Le prince de Poix s'est vu confisquer plus de 350 hectares, lui aussi dans le sud de l'Amiénois.

Le prince de Poix rencontre ses ami(e)s à Paris, à Versailles ou dans ses demeures. Sa maison est réputée d'une des meilleures de Versailles[29].

Les idées politiques de la princesse, dont il est séparé, ne sont plus les mêmes du fait de la mort de presque toute sa famille pendant la Terreur (Révolution française). Le prince est triste du fait de la mort de son roi bien-aimé et de l'ingratitude du nouveau.

D'ailleurs son fils cadet choisit de devenir Chambellan de l'empereur et sa belle-fille, nièce de Talleyrand, dame du palais de l'impératrice Marie-Louise.

La Restauration

Philippe Louis de Noailles au Palais des Tuileries

Au retour des Bourbons, il les accueille à Paris et est nommé lieutenant général et il reprend ses fonctions de capitaine des Gardes du corps du roi. Malgré son âge il est très actif. La première compagnie des six compagnies des gardes qui est prête, ou du moins celle qui commence le service, est la sienne, et la manière dont elle débute est pour le moins surprenante. Les gardes chassent les effets des gardes nationaux du corps de garde. Le prince doit offrir plusieurs dîners aux vieux gardes pour faire oublier les méthodes de ces jeunes gardes[30]. Cette affaire divise la Cour. Les nouvelles maisons tiennent pour la garde nationale, les anciennes pour les Gardes du corps du roi. Le prince de Poix s'étant avisé de dire qu'il allait falloir apprendre à les respecter se voit répliquer par le maréchal Louis Gabriel Suchet que la France les respectera quand ils seront mutilés à la guerre.

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles est présent quand le maréchal Ney prend congé de Louis XVIII. Le militaire dit au monarque : Sire, j'espère ramener Napoléon dans une cage de fer. Mais il témoignera devant la Chambre des pairs que Ney n'a jamais demandé et reçu d'argent pour cette mission.

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles suit le roi à Gand et revient avec lui et reprend ses fonctions de capitaine des Gardes du corps du roi, qu'il transmet toutefois à son fils, le duc de Mouchy en 1816.

Gouverneur de la Maison royale de Versailles

Le prince de Poix devient gouverneur de la Maison royale de Versailles

En 1815, le prince de Poix devient gouverneur de la Maison royale de Versailles et de Trianon, lieutenant général, marguillier d'honneur de la paroisse et secrétaire général du gouvernement de Versailles. À ce titre, il représente le roi à Versailles et a en plus le soin de tout ce qui regarde la fabrique et l'œuvre de la paroisse Saint-Louis. Auguste de Rambaud, fils de son amie Agathe de Rambaud, ancien commissaire des guerres, est son secrétaire intime.

Le prince de Poix déteste les amis de Decazes, les quasi-royalistes. Un soir, à un bal chez le duc de Castries, il accueille Decazes par un Bonsoir le traître . Et ce triste personnage ne semblant pas bien comprendre, le petit poix ajoute : Mais que voulez vous ils vous appellent tous comme cela[31]

Philippe Louis Marc Antoine de Noailles meurt le 15 février 1819 à Paris. Son éloge est prononcé à la Chambre des pairs par Armand Maximilien François Olivier de Saint-Georges, marquis de Vérac (†1858), mari d'une de ses nièces, qui lui succède comme gouverneur de la Maison royale de Versailles et de Trianon, lieutenant général, marguillier d'honneur de la paroisse et secrétaire général du gouvernement de Versailles

Notes et références de l'article

  1. Biographie universelle ancienne et moderne, T.33, p. 608
  2. MAISON DU ROI -- PENSIONS SUR LE TRESOR CARTON O,1,684
  3. Poix-de-Picardie
  4. Lettres de madame Roland, Roland (Marie-Jeanne), Claude Perroud, Marthe Conor, p. 308
  5. Selon : Maison de Noailles
  6. Selon : Maison de Noailles
  7. Carnet de la Sabretache, n° 156? P. 53n
  8. MAISON DU ROI, PENSIONS SUR LE TRESOR, CARTON O1,684
  9. a et b Le ménagier de Paris, traité de morale et d'économie domestique..., Société des bibliophiles françois (Paris, France), Albertano, Jean Bruyant, Renault, p. v
  10. L'Emprunt forcé de l'an II à Paris, de Herrmann et Nicole Mascard, p. 378
  11. Collection musicale, François lang, p. 70
  12. Académie de Versailles, des Yvelines et de..., 1926, p. 35
  13. Rambaud, Guy de, Pour l’amour du Dauphin, p. 53
  14. a et b Biographie universelle ancienne et moderne, T.33, p. 608
  15. Causeries du lundi, portraits littéraires et portraits de femmes, Charles Augustin Sainte-Beuve, p. 78
  16. La noblesse de la Somme au dix-neuvième siècle, Jean-Marie Wiscart, p. 31
  17. Mallet Du Pan, Correspondance inédite de Mallet du Pan avec la Cour de Vienne : 1794-1798 / publ. d'après les manuscrits conservés aux Archives de Vienne par André Michel ; avec une préf. de H. Taine, p. 309
  18. La noblesse de la Somme au dix-neuvième siècle, Jean-Marie Wiscart, p. 29
  19. = Garde nationale (1789)
  20. Révolutions de Paris, dédiées à la Nation, 1789, 38
  21. Dictionnaire de la noblesse, Pensions, T. 13, p. 357
  22. Le 22 mars 1789, le baron Emmanuel d'Aubier de la Monteilhe, seigneur de Saulzet, est désigné rapporteur de la Commission nommée pour examiner la question importante de l'égalité de tous devant l'impôt
  23. Alexandre Dumas, La Comtesse de Charny, tome 4, p. 196
  24. Rambaud, Guy de, Pour l’amour du Dauphin, pp. 120 et 121
  25. Lettre, quoi qu'on puisse dire, comparable à la meilleure des Provinciales pour l'atticisme et la finesse de la plaisanterie
  26. Histoire parlementaire de la révolution française ou, Journal des assemblées nationales, depuis ... Par Prosper Charles Roux, Philippe Joseph Benjamin Buchez, pp. 206 et suivantes
  27. Mallet Du Pan, Correspondance inédite de Mallet du Pan avec la Cour de Vienne : 1794-1798 / publ. d'après les manuscrits conservés aux Archives de Vienne par André Michel ; avec une préf. de H. Taine, p. 309
  28. Malouet, Pierre-Victor (1740-1814). Mémoires de..., p. 480 Mémoires de Malouet. Tome 2 / publ. par son petit-fils, le baron Malouet
  29. Rambaud, Guy de, Pour l’amour du Dauphin, pp. 139 et 140
  30. Mémoires d'une femme de qualité, sur Louis XVIII, sa cour et son règne... Étienne Léon Lamothe-Langon, p. 297
  31. Rambaud, Guy de, Pour l’amour du Dauphin, p. 152

Voir aussi

Bibliographie

  • CHAN, Intitulé de fonds T195
  • Michaud, Louis-Gabriel (1773-1858), Biographie universelle ancienne et moderne, histoire par ordre alphabétique de la vie publique et privée de tous les hommes... Reprod. de la nouvelle éd. de, Paris : A. Thoisnier Desplaces : Michaud ; [puis] Leipzig : F. A. Brockaus ; Paris : Mme C. Desplaces, 1843-18??. 45 vol.

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