- Montfort-sur-Meu
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Montfort-sur-Meu Administration Pays France Région Bretagne Département Ille-et-Vilaine Arrondissement Rennes Canton Montfort-sur-Meu (chef-lieu) Code commune 35188 Code postal 35160 Maire
Mandat en coursDelphine David
2008-2014Intercommunalité Montfort Communauté Site web Site de la commune Démographie Population 6 028 hab. (2006[1]) Densité 430 hab./km² Aire urbaine 21 956 hab. () Gentilé Montfortais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 28 m — maxi. 131 m Superficie 14,02 km2 Montfort-sur-Meu est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne.
La ville a été sous-préfecture jusqu'en 1926.
Sommaire
Géographie
Situation
Les communes limitrophes sont Breteil, Iffendic, Talensac, La Nouaye et Bédée.
Montfort-Sur-Meu est un chef-lieu de canton.
Géographie physique
La ville est située au confluent du Meu et du Garun, dans une région bocagère qui, autrefois, était comprise dans le « Poutrecoët » (le pays dans le bois), car elle était recouverte par la grande forêt de Brocéliande.
Histoire
Vue d'ensemble
La présence des hommes sur le territoire de Montfort-sur-Meu est attesté dès la fin de la Préhistoire, par les allées couvertes et les menhirs visibles dans la forêt de Montfort.
Mais c'est au XIe siècle que la ville de Montfort se développe, lors de la construction du premier château. De 1376 à 1389, la forteresse est reconstruite par Raoul VIII et elle est entourée de quatre tours d'angles (elle est détruite en 1627). La ville est consolidée par des murailles. Les habitants entraient dans la ville par trois portes ; la porte Saint-Jean, la porte de Coulon et la porte Saint-Nicolas. En avant de chaque porte, un faubourg portant le même nom que celle-ci se développe : Saint-Jean au nord-ouest, Saint-Nicolas à l'est et Coulon au sud.
La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[2]. La fondation de la Ire République est aussi fêtée tous les ans[3].
La légende de la Cane
Cette légende se transmet de génération en génération depuis le début du XVe siècle.
- Dans la première version, la légende dit qu'une jeune fille d'une beauté sans pareille aurait été enfermée dans le château par le seigneur de Montfort. Elle pria alors Saint Nicolas pour qu'il puisse la sauver. Saint Nicolas ayant entendu sa prière, transforma la jeune fille en cane. Elle put alors s'échapper du château.
Par la suite, et pendant plusieurs siècle une cane sauvage venait tous les ans, aux environs de la Saint-Nicolas, dans l'église et y déposait un de ses canetons en offrande au Saint miraculeux.
- Dans la seconde version, l'histoire dit que vers 1386, lors de l'achèvement des fortifications de la ville, le seigneur aurait enfermé dans son château une jeune fille d'une beauté remarquable. Elle comprit bien vite le sort qui lui était réservé, et, apercevant l'église de Saint-Nicolas, elle se mit à prier le saint, promettant qu'elle viendrait le remercier dans son église si elle s'échappait. Le soir même, elle put fuir.
Malheureusement, elle tomba entre les mains des soudards du seigneur, qui voulurent lui faire subir ce qu'ils supposaient qu'avait fait leur maître. Elle regarda aux alentours pour appeler à l'aide, mais n'aperçut que deux canes sauvages dans l'eau de l'étang (étang qui a été asséché depuis).
Elle renouvela sa prière à Saint Nicolas, le suppliant de permettre que ces animaux soient témoins de son innocence et qu'ils accomplissent chaque année son vœu en son nom si elle venait à perdre la vie.
Elle réussit à échapper aux soldats, mais mourut peu après, de frayeur, dit-on. Elle fut ensevelie dans le cimetière Saint-Nicolas.
Or, voilà que la même année, lors de la fête de la Translation, alors que la foule se pressait auprès des reliques de saint Nicolas, une cane sauvage pénétra avec ses canetons dans l'église. Elle voltigea près de l'image du Saint, vola jusqu'à l'autel, et salua le Crucifix. Puis elle redescendit vers l'image du Saint, et y demeura jusqu'à la fin de la messe. À ce moment, elle s'envola, suivie de tous ses canetons, à l'exception d'un seul, qui demeura dans l'église.
- L'histoire devint si célèbre que, comme en attestent de nombreux documents au cours des siècles, Montfort-Sur-Meu fut appelé Montfort-la-Cane pendant plus de 300 ans. Les apparitions sont consignées dans les procès-verbaux plusieurs fois. La dernière apparition de la cane date du 8 mai 1739. Toutefois, comme seules les archives postérieures au XVe siècle ont pu être conservées, il manque énormément de témoignages, même si comme le dit un ecclésiastique "jadis, ces faits étaient devenus si communs qu'on ne prenait plus la peine de les signaler.
Toponymie
Durant la Révolution, la commune jusqu'alors dénommée Montfort-la-Cane porte le nom de Montfort-la-Montagne[4].
Démographie
Économie
La vie économique de Montfort-sur-Meu repose essentiellement sur l'industrie agro-alimentaire dans les secteurs à dominante lait et porc. Deux entreprises en sont les piliers : la Cooperl (abattoirs, environ 400 salariés) et le Grand Saloir Saint-Nicolas (salaisons et charcuteries).
Montfort-sur-Meu se caractérise également par son activité marchande très active : commerces divers répondant à tous les besoins courants, activités artisanales et services, répartis en centre-ville et dans les zones artisanales périphériques.Montfort-sur-Meu dispose également d'établissements d'hôtellerie, de restauration et d'un camping.
Un marché anime la place des Douves chaque vendredi matin.
Montfort-sur-Meu accueille également deux fois par an une foire organisée par l'association des commerçants et artisans (l'APCAM) : la Saint-Jean en juin et la Saint Nicolas en décembre.
Transports
Administration
Liste des maires successifs[7] Période Identité Étiquette Qualité 1906 1908 François Jounot - - 1908 Émile Beauchef - - 1945 1949 Julien Pilorge - - - - - - - mars 1971 mars 2001 Jacques Pilorge DVD Vétérinaire - Conseiller régional (1986-1992) mars 2001 mars 2008 Victor Préauchat PS Retraité de la fonction publique - conseiller général (1989-2008) mars 2008 en cours Delphine David UMP Consultante auprès des collectivités - Conseillère régionale (depuis 2010) Le Tribunal de grande instance a été supprimé à la fin du XIXe siècle et la juridiction compétente est le Tribunal de Rennes, seul un Tribunal d'instance subsiste.
Vie de la commune
L'enseignement
- École du pays pourpré (public)(ancien nom : école rue de Gaël)
- École du Moulin à vent (public)
- École Notre Dame (privé)
- Collège Louis Guilloux (public)
- Collège Saint Louis-Marie (privé)
- Lycée René Cassin (public, enseignement général et technologique)
Le sport
Clubs
- club de football : le FC Montfort, les couleurs sont le jaune, rouge et noir.
- club de basket : le MBC, Montfort Basket Club, organisant en mai son festival, depuis 1987. Les couleurs sont le bleu ciel et le blanc.
- club de tennis de table : Le Montfort TT, les garçons sont en Nationale 3 et les filles ont été jusqu'en Nationale 1.
- club de handball : Brocéli'hand club.
- club de football américain : Les Wild Hogs.
- gymnastique volontaire, présidente Marion Renault
- club de plongée : Brocéliande Sports Subaquatiques.
- club de badminton : Le volant enchanteur.
- danse traditionnelle bretonne enfants, ados et adulte : cercle celtique montfortais.
Equipements
- COSEC (1 salle omnisport - 1 dojo - 1 salle de tennis de table- ; sport de combat)
- Charlet (2 terrains de hand ; 3 terrains de basket ; 1 terrain de tennis)
- Batailles (2 terrains de hand ; 3 terrains de basket ; 1 terrain de tennis ; 2 terrains de badminton)
- Local du club de Kayak
- Piscine Océlia
- Salle de Tennis técélia
- Terrain de football Pasteur
- Terrain de football Mainguet
La vie culturelle
Le Confluent
Cette salle, inaugurée en 2003, est la salle multifonction par excellence. Elle peut aussi bien accueillir les banquets de mariage, repas, les Assemblées générales, les réunions d’entreprise que des spectacles. Il comprend :
- Une salle de 450 places en version spectacle et de 350 couverts
- La salle est équipée d’une régie son et lumière (utilisation sous condition)
- Une scène de 110 m²
- Des loges de 38 m²
- Une cuisine de 52 m² avec deux fours, une étuve et table chauffante, une chambre froide et un lave-vaisselle
- Un hall d’accueil de 85 m² avec un bar
La grande salle peut être séparée en deux grâce à une cloison mobile permettant d’avoir deux salles respectivement de 250 et 200 m².
L'Avant-scène
Bâtiment du début du XXe siècle, l'Avant-scène a gardé, malgré différents travaux, son caractère intimiste et chaud. Apprécié des artistes amateurs et professionnels, l'Avant-scène est un lieu très utilisé pour les spectacles associatifs et scolaires ainsi que pour des conférences et réunions.
Gradins rétractables et fauteuils permettent de moduler la salle de 130 à 250 places. La salle est équipée d’une régie son et lumière.
Il existe aussi une salle de cinéma, La Cane
Jumelage
Marktheidenfeld (Allemagne), voir Marktheidenfeld (de)
Personnages liés à la commune
- Louis Ferdinand Céline, médecin et écrivain
- Pierre Cathala (1888-1947), homme politique
- Chateaubriand
- Louis Even (1885-1974), philosophe, religieux et homme politique canadien.
- Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
- Liste des seigneurs de Montfort en Bretagne
Monuments et lieux touristiques
Aujourd'hui Montfort-sur-Meu a gardé les vestiges de son passé médiéval[8]. Il reste aujourd'hui, des maisons du XVIe siècle (Rue de la Saulnerie), les traces de la porte Saint-Jean (XIVe siècle), les vestiges de l'ancien châtelet (XIVe siècle). Du château médiéval subsiste actuellement la tour de Papegaut (XIVe siècle) qui abrite maintenant l'écomusée du Pays de Montfort.
Mais Montfort-sur-Meu garde aussi les traces d'un passé religieux avec plusieurs bâtiments religieux ; chapelle Saint-Jean, église Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, ancien couvent des Ursulines (aujourd'hui la mairie), le cloître et le portail de l'abbaye Saint-Jacques de Montfort, mais aussi la maison natale de Saint Louis-Marie Grignion (Rue de la Saulnerie).
Le patrimoine religieux
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a vécu à Montfort. Il subsiste aujourd'hui l'église Saint-Louis-Marie-Grignion, trois chapelles, et une abbaye :
- L'abbaye Saint-Jacques de Montfort : fondée par Guillaume Ier de Montfort en 1152, dont le mur occidental est inscrit par arrêté du 6 novembre 1997 au titre des Monuments historiques[9].
- La chapelle Saint-Joseph : construite en remplacement de l'ancienne église paroissiale Saint-Jean. Celle-ci fut détruite en 1851.
- La chapelle Saint-Lazare : au début du XVIIIe siècle, la chapelle Saint-Lazare fut restaurée par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort lorsqu'il s'installa à Saint-Lazare.
- Église Saint-Louis-Marie-Grignion : elle date du XIXe siècle. Elle est d'inspiration italienne avec son clocher en forme de campanile qui abrite la statue du Saint, natif de Montfort-Sur-Meu.
Le patrimoine historique
- Enceinte de la cité médiévale
Pour protéger les Marches de Bretagne, les ducs mènent une politique de fortifications des grandes villes. En 1376, Raoul VII obtient une autorisation pour transformer le château en véritable forteresse défensive. Autour du château se développe alors une grande enceinte composée de tours et de 3 portes. Il subsiste aujourd'hui la Tour du Papegault, la Tour du Pas d'Âne, la tour du Capitaine et des portions de l'ancienne fortifications. Ces vestiges de remparts sont inscrits au titre des Monuments historiques[10] depuis le 15 décembre 1926.
- La Tour du Papegault
La tour du Papegault, date de la fin du XIVe siècle. C'est l'élément le mieux conservé de la cité médiévale de Montfort-Sur-Meu et le plus représentatif. La tour doit son nom "Papegault" à un concours donné au archers et arbalétriers où la cible était un oiseau multicolore. Au XIXe et XXe siècle la tour devint une prison. Depuis 1984, elle abrite l'écomusée du Pays de Montfort. La tour est inscrite au titre des Monuments historiques[11] par arrêté du 5 novembre 1926.
- Hôtel Montfort Communauté
Au XVIIIe siècle cet imposant bâtiment était un hôtel particulier de la famille Juget, une famille de notable qui s'y est installée en 1777. En 1857, c'est la sous-préfecture qui s'y installe jusqu'à sa suppression en 1926. Au cours du XXe siècle, l'hôpital de Montfort-Sur-Meu installe une annexe. En 2002, c'est Montfort Communauté qui achète le bâtiment et le restaure.
- Centre culturel de "l'Avant-Scène"
En 1914, débute la construction d'une salle des fêtes pour s'achever après la guerre. Le bâtiment a aussi accueilli le premier cinéma de la ville qui pouvait recevoir 400 personnes. Aujourd'hui, l'édifice est un centre culturel qui propose de multiples spectacles tout le long de l'année.
- Maisons anciennes du centre-Ville
On retrouve aujourd'hui des dizaines de maisons dont la date de construction est situé entre 1550 et 1650. Elles sont situées dans les rues les plus anciennes de la villes comme par exemples rue de la Saulnerie, rue de l'Horloge, place de la cohue, rue de Gaël. On y trouve également la maison natale de Louis-Marie Grignion de Montfort.
- Moulins et "Planches" sur le Meu
Rue du 11 juin 1977, on peut apercevoir un ancien moulin qui date de 1884. Il était aussi équipé à l'époque d'une passerelle nommée les "Planches" qui enjambait le Meu et permettait de rejoindre la ruelle des Moulins.
- Séchoir et bains publics
Le bâtiment date probablement de la fin du XIXe siècle. Il abritait dans la partie inférieure des cabines de bains publics et un espace réservé à des chaudières. L'étage protégé de lattes en bois, était destiné au séchage du linge nettoyé par les lavandières.
- La Mairie
La mairie est aujourd'hui établie dans l'ancien couvent des Ursulines, qui s'étaient installées à Montfort en 1639.
- Tribunal d'Instance
En 1799, Montfort devient le siège d'une sous-préfecture et d'un tribunal d'arrondissement. Il est construit entre 1832 et 1834. Une rupture est marquée entre les anciennes maisons datant de la cité médiévale et le tribunal, car celui tourne délibérément le dos à cette ville médiévale.
Les sites et espace naturels
- Forêt de Montfort-Sur-Meu
La forêt couvre une centaine d'hectares, dont 40 hectares sont sur le secteur du Bois de Saint-Lazare. Plusieurs sentiers de randonnée sont balisés et permettent de parcourir ce massif boisé, à pied, à cheval et pour certains sentiers, à VTT.
- Parc Municipal
Au XIXe siècle, Édouard Guicheteau, (maire de la ville de Montfort-Sur-Meu de 1553 à 1871) a racheté à titre privé, les anciennes prairies du thabor, possession du prieuré Saint-Nicolas. Il a ensuite aménagé un jardin à l'anglaise. Il a fait dévié le Garun pour assurer la circulation de l'eau et a fait planter des ifs et des conifères exotiques. En 1950, le jardin est racheté par la commune et ouvert au public. Les anciennes prairies restées sauvages sont alors aménagées en camping municipal.
Activités touristiques
De nombreuses visites et activités sont proposées dans le Pays de Montfort en Brocéliande :
- Visite avec guide GPS[12] (Montfort-sur-Meu)
La visite avec guide GPS permet de visiter Montfort-sur-Meu à travers une balade interactive. L'outil permet de réaliser la visite seul, en famille ou en mini-groupe grâce à des animations visuelles et sonores déclenchées automatiquement.
Le circuit dure 1h et vous emmène à la découverte de la cité médiévale de façon simple et ludique.
- Sentier Botanique et Patrimonial de Montfort (Montfort-sur-Meu)
Ce sentier, constitué de 2 boucles au cœur de la commune de Montfort, offre la traversée d'une diversité de milieux naturels (prairie humide, parc paysager, mare, rives, chemins creux, paysage bocager, bois). Des panneaux expliquent l'intérêt historique, floristique et faunistique des différents lieux traversés. Le circuit met aussi en valeur la vie quotidienne locale en évoquant les savoir-faire artisanaux.
- Parcours historique de Montfort (Montfort-sur-Meu)
Ce parcours, à découvrir à pied permet de comprendre l'évolution et le développement de la cité, du Moyen Âge à aujourd'hui. Trente panneaux d'interprétation sont disponibles sur le parcours.
- Circuit découverte de Montfort (Montfort-sur-Meu)
Le circuit pédestre illustré par de nombreuses photos permettent d'apprécier le patrimoine bâti tout en se promenant (circuit de 2/3 km).
- Visite guidée pédestre de Montfort (Montfort-sur-Meu)
Le parcours médiéval permet de découvrir les vestiges des fortifications et de comprendre le fonctionnement de Montfort au Moyen Âge.
La visite dure environs 1h30.
- Visite guidée de Montfort en Canoë-Kayak
Avec l'écomusée du Pays de Montfortet le Club de canoë-kayak du Pays de Brocéliande, des visites originales vous font découvrir l'environnement, le site historique de Montfort-sur-Meu depuis la rivière.
- L'écomusée du Pays de Brocéliande (Montfort-sur-Meu)
Installé dans la tour de Papegaut, l'Écomusée vous invite à découvrir la culture du Pays où l'histoire et les légendes se côtoient. Différentes expositions permanentes sont proposées (la légende de la cane, l'architecture du pays de Brocéliande, Montfort au Moyen Âge, le costume traditionnel XXe-XXe siècle, Les jouets buissonniers. Des expositions temporaires ou itinérantes sont aussi proposées.
- Et aussi de nombreuses randonnées aux alentours de Montfort-Sur-Meu
Voir aussi
Bibliographie
- Édouard Vigoland, Montfort-sur-Meu, son histoire et ses souvenirs, 1895 . Réédition 2006.
Liens internes
Liens externes
- (fr) Site de la commune
- (fr)l'écomusée du Pays de Montfort
- (fr) Site de l'Office de Tourisme du Pays de Montfort en Brocéliande
- (fr) Montfort-sur-Meu sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Montfort-sur-Meu sur le site de l'Insee
- (fr) Montfort-sur-Meu sur le site du Quid (Archive, Wikiwix, que faire ?)
- (fr) Inventaire préliminaire du Conseil Régional
Notes et références
- données officielles 2006 sur le site de l’Insee
- Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399 Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », dans
- Dubreuil, Fêtes, p. 401
- Notice communale », École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS) Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «
- [1]Population avant le recensement de 1962
- Insee : Population depuis le recensement de 1962
- Les maires de Montfort-sur-Meu (source partielle)
- les vestiges de son passé médiéval
- Notice no PA35000003, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00090638, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00090639, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Visite avec guide GPS
Catégories :- Commune d'Ille-et-Vilaine
- Ancienne sous-préfecture
- Ancien chef-lieu de district
- Dans la première version, la légende dit qu'une jeune fille d'une beauté sans pareille aurait été enfermée dans le château par le seigneur de Montfort. Elle pria alors Saint Nicolas pour qu'il puisse la sauver. Saint Nicolas ayant entendu sa prière, transforma la jeune fille en cane. Elle put alors s'échapper du château.
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