- Lyrot de la Patouillère
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François de Lyrot de La Patouillère
François de Lyrot Naissance 24 août 1723
NantesMort au combat 23 décembre 1793 (à 70 ans)
SavenayOrigine Français, Allégeance Royaume de France
Royaume de France
VendéensArme infanterie Grade Général Service - ? et 1793 Conflits ?
Guerre de VendéeCommandement Armée catholique et royale Faits d’armes Bataille de Nantes
bataille de Cholet
Virée de Galerne
Bataille de SavenayDistinctions Ordre royal et militaire de Saint-Louis Autres fonctions seigneur
maireFamille Lyrot François Lyrot, seigneur de la Patouillère est né le 24 août 1723 à Nantes et mort le 23 décembre 1793 à la bataille de Savenay.
- Sous l'Ancien Régime : chevalier ; seigneur de la Patouillère, de la Gibraie, etc., à Saint-Sébastien[1], près de Nantes ; officier.
- Après 1789 : élu maire de Saint-Sébastien en 1790 ; général vendéen à partir de 1793.
Sommaire
Sa famille
Les Lyrot sont originaires de l'Anjou et du Poitou. Ils descendent d'Hervé de Lyrot, archer dans une montre reçue à Honfleur en 1416. Il fut fait prisonnier lors de la prise de cette ville. Jean, son fils, dont la maison, située au bourg d'Auverné, dans le Pays Nantais fut anoblie et franchie en 1449[2].
Cette famille est maintenue en sa noblesse par arrêts du Conseil en 1695 et du Parlement en 1777. Les Lyrot portent : D'azur au lion d'argent[3].
La maison de la Brigolière au Loroux-Bottereau est la propriété de la famille de Lyrot.
Son père, Jean de Lyrot, est conseiller au Présidial. Sa mère, Anne Adam, est la fille d'un procureur[4].
Son frère est conseiller du roi au Présidial de Nantes. Il se marie avec la fille d'un négociant, ce qui permet à la famille d'acheter des terres, mais donne lieu à une procédure lors du décès de cette épouse.
Biographie
Avant la Révolution française
François de Lyrot "rend aveu et dénombrement", en 1755, des terres de La Patouillère et de la Gibraie, paroisse de Saint-Sébastien[5]. Il est avant la Révolution française, un officier, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, selon la marquise de La Rochejaquelein[6]. La plupart des membres de sa famille sont officiers dans la Royale.
François s'est marié en 1759 et vit au château de La Jarrie, à Saint-Germain-sur-Moine, paroisse du duché d'Anjou dépendante du diocèse de Nantes avant 1789. Du fait du décès de sa femme en 1768, il est seigneur de La Jarrie, Montigné et Saint-Jean de Montfaucon.
François de Lyrot achète un office de conseiller du roi au Parlement de Bretagne pour l'un de ses fils.
La Révolution française
François de Lyrot est le premier maire de Saint-Sébastien de 1790 à 1791, ce qui montre qu'il n'a pas une haine viscérale des idées nouvelles, comme quelques aristocrates. D'ailleurs, il n'appartient pas à une famille de la grande noblesse : c'est l'un de ces nombreux hobereaux qui constituent l'essentiel de la noblesse en 1789
Toutefois, son neveu, Étienne-Guillaume, chevalier de Lyrot, est présent aux Assemblées de le noblesse en 1789[7], et il n'est apparemment pas pauvre : en 1788, juste avant la Révolution, il fait partie des habitants de Saint-Sébastien qui paient plus de 100 livres d'impôt[8]. Il possède le manoir de La Gibraye, situé boulevard des Pas-Enchantés (œuvre de l’architecte nantais Jean-Baptiste Ceineray), et le manoir de la Patouillère.
Début de la guerre de Vendée
François de Lyrot prend la tête des mécontents de sa région, se lance dans la révolte et menace Nantes[9].
Alors que la plupart des généraux vendéens sont très jeunes, lui a presque 70 ans. Il n'est d'ailleurs pas commandant d'une division tout de suite, il est tout d'abord officier dans l'armée de Charles Melchior Artus de Bonchamps[3]
En 1793, Lyrot de La Patouillère commande les troupes royalistes de Le Loroux-Bottereau[10] et s'allie aussi bien avec les troupes de Charette, l'armée du Pays de Retz, qu'avec les troupes de l'armée catholique et royale[11]. Il devient le "chef de l'Armée de Lyrot"[12].
Constatant la pénurie en armes et en munition des armées contre-révolutionnaires, François de Lyrot fonde une forge à boulets[13].
Louis du Vergier de La Rochejaquelein propose de marcher immédiatement sur Cholet, où les Bleus, vraisemblablement, sont occupés à piller, et peuvent être surpris. D’Elbée veut qu’avant d’attaquer on attende "la brave division du Loroux-Bottereau", forte de cinq mille hommes, qui, sous peu d’heures, doit rejoindre l’armée.
Bataille de Nantes (29 juin 1793)
Les "gars du Loroux" entrent en masse dans les bataillons de Lyrot, campés à La Louée, sur le grand chemin qui mène de Nantes à Clisson[14]. François de Lyrot et les volontaires de sa division veulent plus que les Vendéens et les Angevins prendre Nantes, car c'est de là que viennent régulièrement les expéditions républicaines dirigées contre leurs villages[15].
François de Lyrot forme les camps de La Louée et de Saint-Julien à deux lieues de Nantes[16]. Entre Nantes et Montaigu, MM. de Lyrot et d'Esigny[17] ont trois ou quatre mille hommes. Ils avaient à se défendre du côté de Nantes[15].
François-Athanase Charette de La Contrie doit occuper, avec ses troupes et celle de Lyrot, la rive gauche de la Loire, devant les faubourgs du Pont-Rousseau et de Saint-Jacques. Ils doivent tenir les républicains sous le feu de leur artillerie pendant que l’Armée catholique et royale venue par les routes de Rennes, Vannes et Paris envahira la ville par le nord et l’est[18].
Le 20 juin, Lyrot tend une embuscade aux troupes de Beysser, essaie de le capturer et lui inflige une défaite[19]. La cavalerie "royale" pourchasse la "légion" nantaise. Avec 10 000 hommes et douze pièces de canon, Lyrot de La Patouillère occupe La Croix-Moriceau[20].
Le 28 juin, il combat aux côtés de Charette et ses troupes attaquent le poste de Saint-Jacques et la Porte de Rennes. Lyrot veut à tout prix prendre le faubourg Saint-Jacques [21]. Le 29 juin, vers quatre heures, Lyrot de La Patouillère avec 5 000 hommes environ prend position au poste de Saint-Jacques. À sept heures du matin, les deux chefs vendéens n’ont toujours aucune nouvelle des autres armées et aucun bruit de canon ne se fait entendre au nord et à l’est de la Loire. Ils sont seuls et décident de ralentir le feu.
Quelques heures plus tard, alors que Charette et Lyrot ont ralenti le feu, Charles Melchior Artus de Bonchamps et ses 8 000 hommes arrivent par la route de Paris, en vue du faubourg Saint-Donatien. Le combat est violent mais les vendéens avancent et arrivent en vue de la cathédrale Saint Pierre. Bonchamps n’entend pas, lui non plus, les canons de Maurice Joseph Louis Gigost d'Elbée et Jacques Cathelineau.
Nantes doit son sauvetage à sa situation géographique : son fleuve (la Loire) et ses deux rivières (la Sèvre nantaise et l'Erdre). Au sud, Charette ne peut faire la jonction avec Lyrot, les deux armées étant séparées par la Sèvre nantaise. Les bateaux que Lyrot avait préparés pour franchir la rivière sont coulés[22]. Ils ne peuvent donc unir leur force contre l'artillerie de Beysser et le général Boisguillon. Ils n'ont pas eu connaissance du combat de Nort et du retard de leur armée car ils en sont séparés par la Loire. Aucun messager ne traverse le fleuve.
Tout comme Charette, Lyrot commence à ordonner le retrait de ses troupes vers Ancenis[18].
Virée de Galerne (Du 18 octobre au 23 décembre 1793)
La Virée de Galerne est une campagne militaire de la Guerre de Vendée pendant la Révolution française et qui s'est déroulée dans le Maine, en Bretagne et en Normandie. Elle tire son nom de "gwalarn", mot breton qui désigne le vent de noroît (nord-ouest).
François de Lyrot, au mois de septembre 1793, attaque avec d'Elbée et Bonchamp les troupes du général Jean Baptiste Camille Canclaux, près de Clisson. Ils forcent les Bleus à la retraite et leurs soldats massacrent un nombre important de blessés se retrouvant à l'arrière des fuyards[16].
A la bataille de Cholet, au mois d'octobre 1793, d'Elbée et Bonchamp, blessés et encerclés par leurs ennemis, sont sauvés par François de Lyrot, qui protège un peu la fuite des Vendéens et relève les blessés[15].
C'est alors que débute le long périple de l'armée vendéenne qui, ayant traversé la Loire après la défaite de Cholet le (17 octobre 1793), se rend à Granville dans l'espoir d'y trouver des renforts en provenance d'Angleterre. Le généralissime d'Elbée ayant été blessé à Cholet, c'est Henri de La Rochejaquelein qui, à 21 ans, est choisi pour le remplacer. Ce dernier est secondé par Stofflet, Talmont, Lyrot, Fleuriot et Bernard de Marigny. L'armée vendéenne est accompagnée de 30 000 à 60 000 non-combattants : blessés, vieillards, prêtres, femmes et enfants. Leur armée compte 40 000 soldats, bientôt rejoints par environ 10 000 Chouans menés par Jean Cottereau, Georges Cadoudal et Aimé du Boisguy.
La petite troupe de M. de Lyrot, dans le Bas-Poitou, mène une guerre presque constamment défensive, alors que l'armée royale fonce sur la Manche et se ravitaille en armes et en munitions. N'ayant pu prendre Granville, en octobre, l'armée vendéenne se replie vers Savenay, où elle se retrouvera le (23 décembre 1793).
Au mois de novembre, Lyrot est nommé général en second des armées contre-révolutionnaires. Il se replie avec les survivants de sa division, mais est rejoint par des paysans de la Basse-Vendée. Un peu avant cela, François de Lyrot est également nommé membre du Conseil national supérieur des armées vendéennes, et le 11 juillet 1793, il signe un règlement de ce conseil sur les biens nationaux[23].
Bataille de Savenay (23 décembre 1793)
L'armée de Lyrot, après avoir passé la rivière à gué en face de la ville Ancenis, l'attaque et l'emporte[15]. Les Vendéens quittent Ancenis et parviennent, le 21 décembre (1er nivôse), à Savenay, que Lyrot de La Patouillère fait aussitôt fortifier[24].
L'aube se lève et la bataille s'engage, mais à la surprise générale, ce sont les Vendéens et les Chouans qui lancent l'attaque dans le but de reprendre le bois de Touchelais pour briser l'encerclement. Cette attaque, dirigée par Lyrot, dont les troupes sont très aguerries, rencontre un succès : la première ligne de grenadiers se replie en laissant derrière elle 2 canons et 40 prisonniers. Aussitôt, Kléber lança la contre-attaque à la tête du régiment de gendarmes qui chargea à la baïonnette et force les Vendéens à reculer jusqu'aux portes de Savenay.
Pendant ce temps, sur la place de l'église, les républicains s'emparent de la batterie qu'ils retournent contre les Vendéens. Ceux-ci, poursuivis par les républicains, se replient alors hors de Savenay et se rallièrent à l'ouest de la ville[25]. Les Vendéens prennent alors leurs deux derniers canons que Marigny avait gardé en réserve et tentent de couvrir la fuite des blessés et des non-combattants. Lors de cet engagement, Lyrot "fait des prodiges de valeur"[9]. Mais il tombe, percé de coups, ce 23 décembre 1793.
Marigny se replie de nouveau sur le bois de Blanche-couronne, à l'ouest avec ses deux canons et ce qui lui reste d'hommes, il tiendra sa position une heure, puis s'égaillera avec ses hommes dans les marais, il parviendra à échapper aux Bleus. Du fait de la mort du général de Lyrot, Charette commande tout le pays situé entre la grande route de Nantes et la Sèvre nantaise et celui renfermé entre cette rivière et la Loire, depuis Nantes jusqu'aux confins de l'Anjou. François-Athanase Charette de La Contrie commande donc désormais trois divisions. Lyrot n'a jamais été l'aide de camp de Monsieur de Charette, le roi de Vendée, comme le raconte Georges Lenôtre.
François de Lyrot n'a été général que quelques mois. « C'était un homme doux, vertueux et digne de vivre dans de meilleurs temps[16]. »
Sa descendance
François s'est marié en 1759 avec Agathe-Marie Joubert, dame de La Jarrie, Montigné, Saint-Jean de Montfaucon. Elle meurt le 25 septembre 1768, selon sa dalle funéraire en l'église Saint-Jean de Montfaucon-Montigné[26]. Ils ont 4 enfants, dont :
- Guillaume François de Lyrot de Montigné, né au château de La Jarrie, à Saint-Germain-sur-Moine, paroisse du duché d'Anjou, dépendante du diocèse de Nantes avant 1789, le 8 mai 1761. François de Lyrot lui achète un office de conseiller du roi au Parlement de Bretagne. Il émigre et meurt à Londres le 7 avril 1804[27].
- Marie Alexandre de Lyrot de La Jarry, né au château de La Jarrie, le 21 mai 1766, capitaine de frégate, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis. Il se marie avec Louise de Santo Domingo (1781-1842), en 1815, à Nantes. Cette créole[28] est veuve de Charles-Benjamin Robiou de La Vrignais. Elle possédait le quart de la caféière Moka à San Salvador à Cuba[29]. Elle a de son premier mariage un fils, Alexandre-Auguste-Gustave Robiou de La Vrignais (1805-1886), futur Directeur des constructions navales, le 12 avril 1854[30].
- Alexandre et Louise ont une fille qui obtient de la duchesse de Berry une bourse pour le pensionnat des Ursulines de Luçon, promu maison royale en 1828 par Charles X pour accueillir les filles d'officiers vendéens orphelines, nobles et sans fortune[31].
- Ils ont aussi un fils, le comte Paul de Lyrot (1819-1886) qui se marie avec Léontine de Labrousse (1820-1903, fille du colonel Louis de Labrousse et petite-nièce d'Agathe de Rambaud, qui a élevé le futur Louis XVII, pour lequel sont morts tant de Vendéens et de Bretons.
- Le petit-fils du comte Paul de Lyrot et de Léontine de Labrousse, le vicomte René de Lyrot de la Jarry (1885-1924) se mariera avec la fille d'Auguste Dreyfus. René de Lyrot meurt au Pérou en 1924. Émilie Dreyfus, marquise de Villahermosa, épousera en secondes noces le frère de René de Lyrot, le comte Hervé de Lyrot.
Notes et références de l'article
- ↑ La commune prend le nom de Saint-Sébastien-sur-Loire en 1920
- ↑ Nob. de Bretagne, II, p.121
- ↑ a et b Henri, Paul, puis Joseph Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou., 2e éd., Poitiers, puis Chef-Boutonne, 1891-1978, 6 vol., tome : 6, p.303, Cote B.n.F. : 4° Lm2. 103 A.
- ↑ Arch. Nantes. II. G.G. p.242
- ↑ Arch. Loire-Inf., R. 1871, Sénéchaussée de Nantes
- ↑ Mémoires de la Marquise de la Rochejaquelein, née Marie-Louise-Victoire de ..., par Marie-Louise-Victoire La Rochejaquelein, André Sarazin, 1984, Mercure de France
- ↑ Catalogue des gentilshommes en 1789 et des familles anoblies ou titrées ..., de Louis de La Roque, Édouard de Barthélemy - 1866, Page 41
- ↑ Les Lyrot de La Patouillère et Lyrot de La Civelière, Forget de Lisle, Mérot de La Gibraie, de Lisle de La Nicolière, Monti de La Jaunaie.
- ↑ a et b Mélanges historiques, Par François-René Chateaubriand, p.329
- ↑ Revue Bas-Poitou, 1936, p.235
- ↑ Les gars du Loroux sont parmi les plus braves de l'armée catholique et royale... les officiers municipaux se sont envolés...SAINT-JULIEN-DE-CONCELLES. Histoire d'une paroisse bretonne avant et depuis 1789.
- ↑ La Vendée nantaise d'après de nombreux documents inédits, la grande croisade - Page 196, de Gustave Octave Brunellière - 1960.
- ↑ La bataille de Savenay dans la révolution, par Fernand Guériff, p.107
- ↑ La Loire leur servit de linceul, les prêtres victimes de la première noyade ... - Page 237, de Alphonse Jarneux - 1972.
- ↑ a , b , c et d Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, par Saint Albin Berville, François Barrière, p.153
- ↑ a , b et c Biographie universelle, ancienne et moderne, ou, Histoire par ordre ..., par Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud, p.537
- ↑ Gabriel Blondin d'Esigny : il est avec son fils à la tête d'une armée vendéenne (il est arrêté à La Varenne le 15 janvier 1794 et condamné à mort).
- ↑ a et b La bataille de Nantes, Texte par Christine Duranteau, NEA.
- ↑ Itinéraires de la Vendée militaire, journal de la Guerre des Géants : 1793-1801, par Philbert Doré Graslin, 1979, p.57.
- ↑ Victoires, conquêtes, désastres, revers et guerres civiles des Français ..., publié par Charles Théodore Beauvais de Préau, p.174
- ↑ Histoire complète de la révolution française, par Pierre-François Tissot, p.456.
- ↑ La Vendée en 1793, par François Grille, p.170.
- ↑ Bulletin de la Société antiquaires Ouest, 1934, p.71
- ↑ Histoire complète de la révolution française, par Pierre-François Tissot, p.103
- ↑ La croix commémorative de la bataille se trouve à cet emplacement précis.
- ↑ Dre M.-et-L. II. p.702
- ↑ Le Parlement de Bretagne, par Frédéric Saulnier, II. P.603 et 604
- ↑ Au sens du XIXe siècle, c'est à dire dans son cas descendante d'Européens.
- ↑ Pierre Baudrier, dans Réfugiés de St-Domingue expulsés de La Havane en 1809 (pp. 1974-1975), nous dit qu'elle fut autorisée à rester à La Havane
- ↑ Commandeur (01/01/1857), membre titulaire du Conseil d'amirauté, inspecteur général (09/04/1864)
- ↑ Arch. dioc. de Luçon, Mélanges. II. P.483
Bibliographie
- Le Menuet de la Jugannière, baron, Un héros vendéen. Le Général de Lyrot. Préface d'Emile Gabory, Publication : Mesnil (Eure), impr. Firmin-Didot 1936.
Articles connexes
Liens et documents externes
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