Litterature francaise du XVIe siecle

Litterature francaise du XVIe siecle

Littérature française du XVIe siècle

La littérature française du XVIe siècle est marquée par létablissement de la langue française comme une grande langue littéraire et par dimportants créateurs qui fondent les principaux genres de la littérature moderne en France avec François Rabelais pour la prose narrative, Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay pour la poésie, Michel de Montaigne pour la littérature d'idées ou Robert Garnier et Étienne Jodelle pour le théâtre. Elle sinscrit dans un siècle de transformations multiples et fondamentales, dans tous les domaines (croyances religieuses, démarches intellectuelles, sciences et techniques, découvertes géographiques, transformations politiques...) qu'expriment les termes de "Renaissance",d'"Humanisme" et de "Temps modernes".

Sommaire

Contexte

Article détaillé : Style Renaissance.
Guillaume Budé
  • Dans le domaine technologique, limprimerie à caractères métalliques, « sœur des Muses et dixième delles » (Du Bellay) inventée par Gutenberg, en 1453, permet lessor du livre : celui-ci va diffuser la culture antique comme les œuvres modernes, et bouleverser les approches intellectuelles.
  • L'esprit de la Renaissance va naître dans lItalie du Quattrocento : la chute de Constantinople a fait affluer manuscrits et érudits grecs, les guerres d'Italie ont fait connaître à la noblesse française un autre mode de vie art et beauté ont la primauté. Pour les lettrés, lItalie est la terre du savoir antique et des Muses et lhumanisme se développe durant cette période : humanitas désigne en latin la culture qui s'oppose à lenseignement sclérosé des Universités médiévales. La méthode dautorité, le latin décole, la logique formelle, la prédominance des commentaires, la scolastique, tout participe à la routine de la formation intellectuelle. Une conviction nouvelle se fait jour, sinspirant à la fois de lAntiquité gréco-latine et des valeurs chrétiennes : la dignité de lhomme réside dans ses capacités à cultiver la raison pour comprendre le monde et se comprendre. Par ailleurs lérudition commence avec des linguistes, des philologues : Guillaume Fichet, Lefèvre d'Étaples, Guillaume Budé et se poursuit avec des groupes enthousiastes formés de gens de robe, de moines (Rabelais) ou dofficiers de la couronne. Du Bellay les Estienne, ou Étienne Pasquier auront à cœur de valoriser la langue "vulgaire".
    Article détaillé : Humanisme au XVIe siècle.
Château de Chambord
Botticelli
  • Au XVIe siècle, la France se construit autour du pouvoir royal qui œuvre à unifier la langue française avec le rôle déterminant joué par François Ier. Sa protection des savants, des écrivains et des artistes lui vaudra le titre de Père des Lettres. Linstitution de la Bibliothèque Royale, la fondation en 1530 du Collège des lecteurs royaux (actuel Collège de France) permet de contrecarrer linfluence conservatrice de la Sorbonne.
  • Le même esprit anime lart de la Renaissance qui sinspire de la culture italienne. François Ier invite les artistes italiens : Léonard de Vinci, Benvenuto Cellini, Le Primatice.Si les thèmes religieux restent très importants, ils laissent une place grandissante aux sujets profanes et civils : ainsi la sculpture de Jean Goujonest-elle un hymne à la gloire du corps humain. Les Clouet créent une école française du portrait. Bernard Palissy donne ses lettres de gloire à la céramique. Pour la musique, on retiendra Roland de Lassus et Clément Janequin. En même temps les châteaux sinspirent de lItalie (architecture de plaisance, matériaux, clarté, élégance) et une vie de cour commence à s'élaborer.
  • Enfin les bouleversements religieux au sein de la chrétienté sont fondamentaux : dans un premier temps Humanisme et Réforme ont partie liée par le retour au texte, la réflexion critique et le libre examen. Les questions théologiques seront désormais traitées en français. Les oppositions idéologiques entre catholiques et protestants conduiront à des oppositions armées dans un climat de guerre civile avec des implications de politique étrangère.
    Massacres de la saint Barthélémy
    Ainsi les guerres de religion (1562-1598) ternissent la fin du siècle en France et mettent à mal loptimisme du « Premier XVIe siècle », marqué des découvertes techniques, scientifiques et géographiques déterminantes. Laffirmation des puissances européennes et de leurs dynasties royales saccentue et lHistoire des Temps Modernes souvre dans laffrontement.
Article détaillé : Réforme protestante.

et

Article détaillé : Guerres de religion (France).

Regard général sur la littérature du XVIe siècle

  • La notion de littérature ne prendra son sens moderne quà la fin du XVIIe siècle. Au Moyen Âge le savoir et la création à visée esthétique représentent un tout et cest au XVIe que commence la dissociation lente entre les lettres et les sciences, quapparaissent (dans leur état de naissance) lhistoire et la critique littéraires et que les genres et les modèles esthétiques se codifient. La production littéraire au cours du XVIe siècle est très variée dans ses formes comme dans ses approches thématiques, avec l'élaboration d'une langue française expressive et enrichie et un enthousiasme que tempère les troubles de la fin du siècle.
  • Loriginalité et lexpression personnelle comptent toujours moins que la tradition et limitation : linfluence de Virgile ou dHomère reste forte. Ce qui unit les auteurs de ce siècle, soient-ils érudits, professeurs, nobles, bourgeois, clercs, jongleurs ou troubadours, cest la permanence du thème du bonheur et de la beauté. Dans les œuvres, le bonheur peut être réfugié dans un lieu imaginaire, accompli grâce à la bienfaisance de la nature, retrouvé à laide dune éducation en accord avec la nature humaineCe thème se retrouve donc partout : dans les contes et les nouvelles, dans lœuvre romanesque de Rabelais et les Essais de Montaigne, dans les sonnets des poètes lyonnais ou des humanistes de la Pléiade.
  • Souvent on distingue schématiquement trois grandes étapes dans le siècle : cest tout dabord un enthousiasme pour le savoir et un optimisme qu'illustre Rabelais et qui permet de rompre avec les contraintes du Moyen Âge.La deuxième période privilégie lart et l'imitation des auteurs italiens, romains et grecs. Le raffinement simpose sans éliminer le lyrisme avec des poètes comme du Bellay et Ronsard. Le dernier tiers du siècle voit un questionnement marqué par le scepticisme (Montaigne) et le tragique du temps des guerres de Religion (Robert Garnier, Étienne Jodelle: la notion de sagesse évolue, et certains poètes sorientent vers ce qui deviendra le baroque français (Maurice Scève).

Les différents genres

Contes et nouvelles

Les contes continuent la tradition médiévale en traitant des problèmes de la morale, de la religion, du savoir. Ils sont pour la plupart amusants et gardent le caractère oral des fabliaux et des farces. En général, ils représentent des récits invraisemblables. Les personnages sont choisis dans diverses couches de la société. Sil y a des pointes satiriques, elles sont adressées aux moines et aux curés, aux gens de la justice, aux femmes bavardes et inconstantes. On peut citer dans la fibre satyrique, les œuvres de Noël du Fail dont les étonnants Propos rustiques (1547) mettent en scène quatre vieux paysans évoquant les mœurs dautrefois.

Les nouvelles sont introduites en France grâce à limitation de Boccace. Il sagit de récits généralement brefs, de construction dramatique, avec des personnages peu nombreux. Au XVIe la nouvelle française est liée au nom de Marguerite de Navarre (1492-1549), sœur de François Ier. Dans son Heptaméron elle peint des situations simples et contemporaines et marque le début de létude psychologique en littérature. Lintrigue est toujours amoureuse, les personnages sont pris du réel.

Roman

Rabelais

Si le roman daventures continue à avoir le plus de succès, cest lœuvre de François Rabelais (1494-1553), à la fois homme dÉglise et médecin, qui domine le siècle par sa truculence et son humanisme optimiste. Cette œuvre porte en elle toute la complexité du genre romanesque et, ce qui est plus important, de la réflexion humaniste de lépoque. Cest le roman de François Rabelais (1494-1553) Gargantua et Pantagruel. Dans cinq livres publiés de 1532 à 1564, Rabelais, nourri de ses lectures et de ses souvenirs, reprend les légendes dune famille de géants et, à travers les aventures de ses personnages Gargantua et Pantagruel, père et fils, exprime ses idées humanistes sur le bonheur, la guerre, lÉglise, léducation, la politique dun roi, lordre social. Son idée maîtresse est la foi enthousiaste dans la raison et les possibilités humaines. Ses personnages principaux ont lesprit large, lâme magnanime, le bon sens, lavidité du savoir, lamour de laction, la haine du fanatisme religieux et politique, la volonté de chercher la vérité sans arrêt. Ce sont, en effet, les traits de lHomme de la Renaissance. Lidée de lhomme fidèle à sa nature, qui reste lui-même, sans masque, trouve son incarnation dans le personnage de Pantagruel et sexprime aujourdhui par la notion de « pantagruélisme ».

Les cinq livres de Rabelais constituent une œuvre continue, comportant des «genres» différents : légendes antiques parodiées, récits épiques, scènes de lamentation ou de la comédie, dialogues, enquêtes. Rabelais se sert de lallégorie, du grotesque, de la caricature, de la bouffonnade, de tous les moyens traditionnels médiévaux, pour revêtir le fond humaniste de son œuvre. Lunité est assurée par sa langue prodigieuse, extrêmement riche, abondante. On dit souvent que le vrai géant de lœuvre, cest la parole. Une autre caractéristique importante en est le rire : tout est dit dans le rire et par le rire, ce qui, daprès Rabelais est le propre de lhomme.

Essais

Montaigne

Ce titre créé par Montaigne (1533-1592) est sans précédent dans la littérature française. Les Essais paraissent en trois éditions qui sont tour à tour inspirés par la lecture des Anciens. Deux choses attirent lintérêt : la réflexion générale sur lhomme et le monde et la réflexion sur ce que lui, Montaigne, représente en tant quhomme. La façon dont il parle de lui sans la moindre gêne, avec une sincérité mêlée de modestie et dorgueil à la fois, reste unique. Partant de son cas individuel, il sengage à réfléchir et à donner des jugements sur tout ce qui limpressionne : la vie et la mort, la vérité et le mensonge de certaines sciences, les possibilités de comprendre le monde, les faiblesses de lhomme et de la religion, lamitié, linstruction des enfants, les voyages, les affaires, la politique. Il enseigne lart de vivre aisément, même avec un certain égoïsme, en prenant la nature pour guide. Son humanisme n'est pas enthousiaste comme celui de Rabelais : il doute de la force humaine et conseille de former le jugement de lhomme pour quil puisse mieux organiser sa vie. Quant à ses idées politiques, il est pour lentière soumission au pouvoir du roi.

Les critiques cherchent dans lœuvre de Montaigne très riche et très complexe, la sagesse, le stoïcisme, lépicurisme, le scepticisme. Mais son grand mérite réside dabord dans lintelligence et lhabileté avec lesquelles, à travers sa personnalité, il peint lhomme de la deuxième moitié du siècle, et dans sa volonté de trouver une méthode, un art personnel de vivre.

Poésie

Ronsard
du Bellay

En 1549 un manifeste est publié, Défense et Illustration de la langue française. Il proclame avec enthousiasme les principes esthétiques dun groupe dhumanistes, la Pléiade. Ils sont nouveaux par rapport au Moyen Âge : enrichissement de la langue poétique nationale par des emprunts aux dialectes ou aux langues antiques et étrangères ou bien par la création de mots nouveaux ; imitation des Anciens et des Italiens ; conception du poète comme un démiurge et de la poésie comme un art sacré. Les humanistes de la Pléiade défendent la poésie du latin et veulent lillustrer par des genres imités ou empruntés. Limitation et les emprunts sont conçus à lépoque comme un moyen de dérober les secrets des étrangers pour créer une poésie française infiniment plus belle.

Le chef incontestable de ce groupe est Pierre de Ronsard (1524-1586). Poète de cour, il connaît la gloire de son vivant. Il pratique quatre grandes formes : lode, le sonnet, lhymne, le discours. Ses premières œuvres sont marquées par limitation des poètes antiques et italiens, mais son imagination et sa sensibilité prennent le dessus pour les imprégner dun lyrisme personnel. Il fait léloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie, Hélène. Recueils lyriques principaux : Odes (1550-1552), les Amours de Cassandre (1552), les Amours de Marie (1555), Sonnets pour Hélène (1578).

Le poète Joachim du Bellay (1522-1560), auteur du manifeste Défense et illustration de la langue française (1549), fait preuve dun lyrisme profond et vrai. Il se traduit à travers quelques thèmes : la force destructrice du temps, la beauté et la gloire du passé, la nostalgie pour son pays et ladmiration de la nature. La sincérité est le trait caractéristique de sa poésie quillustrent les Antiquités de Rome et les Regrets (1558).

  • La poésie engagée et philosophique, moins proche de nous, tient cependant une place notable à lépoque. Les prises de position religieuse au milieu des conflits de la seconde moitié du siècle se retrouvent dans des poèmes aux accents graves, à la fois tragiques et épiques comme dans les Hymnes (1555-1556), Discours sur les misères de ce temps (1562), ou la Franciade (1572, inachevée ), œuvres de Ronsard le partisan catholique ou les Tragiques du combattant protestant Théodore Agrippa dAubigné (1552-1630).
  • Des poètes de moindre importance ont également participé à ce renouveau de lexpression poétique au XVIe siècle, à commencer par Clément Marot (1496-1544) qui s'inspire de la tradition du Moyen Âge avant de développer un art plus personnel, fait de lyrisme et de religiosité. Les poèmes de Maurice Scève (1501?-1564?) et Louise Labé (1524-1566) chantent, quant à eux, les sentiments amoureux avec beaucoup de sensibilité et de maîtrise de lart poétique.

Théâtre

Si le début du siècle voit se perpétuer le théâtre religieux du Moyen Âge, la deuxième moitié du siècle est marquée par lapparition dun théâtre politique (lié aux guerres de religion) aujourdhui oublié. Mais, pour cette période, cest essentiellement un genre nouveau que lon nomme souvent (dun terme maladroit) la tragédie antique qui mérite lattention.

Robert Garnier (1544-1590)
Étienne Jodelle (1532-1573)

Ce renouveau littéraire est porté par des auteurs comme Étienne Jodelle qui écrit la première tragédie en langue française et en alexandrins avec Cléopâtre Captive en 1552 ou encore Didon se sacrifiant, avant de connaître disgrâce et misère. Jodelle fait également représenter la première comédie, Eugène (1552: écrite en vers, la pièce suit des modèles italiens et ses traits amusants viennent de la farce.

Robert Garnier (1544-1590) laissera lui aussi des œuvres à la manière antique : Hippolyte ou Antigone (1580) et surtout les Juives (1583) dont le sujet vient de lAntiquité biblique mais dont lesthétique est bien dans lesprit dAristote. Il inventera également la tragédie à fin heureusela tragicomédieavec Bradamante en 1582.

Dautres noms méritent dêtre cités même si leurs œuvres sont aujourdhui presque oubliées : Antoine de Montchrestien (1575-1621) ou encore Alexandre Hardy (1572? - 1632?) auteur prolifique dont on peut citer quelques titres évocateurs de leur sujet antique comme Didon ou Lucrèce) ou encore Jean Mairet (1604-1684). Autant de créateurs qui assurent la transition avec le jeune Pierre Corneille (1606-1686) dont la première tragédie, Médée date de 1635.

Mémoires

Blaise de Monluc

Lécriture de soi apparaît vraiment au XVIe siècle avec certaines pages de Montaigne, mais elle enrichit aussi le genre traditionnel des récits de vie des grands acteurs de lHistoire. Cest ainsi que Blaise de Monluc, chef des armées catholiques pendant les guerres de religion, a écrit, avec ses Commentaires, publiés en 1592 après sa mort, des mémoires qui constituent à la fois une mine dinformations pour les historiens et une forme intéressante dautobiographie.

Conclusion

Les poètes et les écrivains du XVIe siècle ont renouvelé la littérature française en se référant aux Anciens et aux Italiens et en faisant du français une vraie langue littéraire. Ils ont ainsi par leurs talents et leur diversité créé des œuvres importantes inscrites dans leur temps et fondatrices dans de nombreux genres littéraires mais toujours vivantes.

Voir aussi

  • Écrivain français du XVIe siècle

Références

  • Ouvrages de Pierre Villey, dont Les sources d'idées au XVIe siècle

Liens externes

  • Portail de la littérature Portail de la littérature
  • Portail de la Renaissance Portail de la Renaissance
Ce document provient de « Litt%C3%A9rature fran%C3%A7aise du XVIe si%C3%A8cle ».

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Litterature francaise du XVIe siecle de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Поможем написать реферат

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Littérature française au XVIe siècle — Littérature française du XVIe siècle La littérature française du XVIe siècle est marquée par l’établissement de la langue française comme une grande langue littéraire et par d’importants créateurs qui fondent les principaux genres de la… …   Wikipédia en Français

  • Littérature française du xvie siècle — La littérature française du XVIe siècle est marquée par l’établissement de la langue française comme une grande langue littéraire et par d’importants créateurs qui fondent les principaux genres de la littérature moderne en France avec… …   Wikipédia en Français

  • Littérature française du XVIe siècle — La littérature française du XVIe siècle est marquée par l’établissement de la langue française comme une grande langue littéraire et par d’importants créateurs qui fondent les principaux genres de la littérature moderne en France avec… …   Wikipédia en Français

  • Litterature francaise du XVIIe siecle — Littérature française du XVIIe siècle Jardins du château de Versailles …   Wikipédia en Français

  • Littérature française au XVIIe siècle — Littérature française du XVIIe siècle Jardins du château de Versailles …   Wikipédia en Français

  • Littérature française du xviie siècle — Jardins du château de Versailles …   Wikipédia en Français

  • Littérature française du XVIIe siècle — Jardins du château de Versailles …   Wikipédia en Français

  • Litterature francaise du XIXe siecle — Littérature française du XIXe siècle La Liseuse Charles Louis Gratia (1815 1911). La littérature française du XIXe siècle s inscrit dans une période définie par deux dates repères : 1799, date du coup d État de Bonaparte qui instaure le …   Wikipédia en Français

  • Littérature française au XIXe siècle — Littérature française du XIXe siècle La Liseuse Charles Louis Gratia (1815 1911). La littérature française du XIXe siècle s inscrit dans une période définie par deux dates repères : 1799, date du coup d État de Bonaparte qui instaure le …   Wikipédia en Français

  • Littérature française du xixe siècle — La Liseuse Charles Louis Gratia (1815 1911). La littérature française du XIXe siècle s inscrit dans une période définie par deux dates repères : 1799, date du coup d État de Bonaparte qui instaure le Consulat …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/1063552 Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”