- La Neuville-d'Aumont
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La Neuville-d'Aumont Administration Pays France Région Picardie Département Oise Arrondissement Beauvais Canton Noailles Code commune 60453 Code postal 60790 Maire
Mandat en coursAndré Alluyn
2001 - 2008Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Thelle Démographie Population 264 hab. (2007) Densité 56 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 150 m — maxi. 232 m Superficie 4,75 km2 La Neuville-d'Aumont est une commune française, située dans le département de l'Oise et la région Picardie.
Sommaire
Géographie
La Neuville-d'Aumont, petit village de l'Oise situé à 18km au sud de Beauvais et 10km au nord de Méru, est composé de trois localités : Le Bois de Molle, Aumont et la Neuville d'Aumont. Petite anecdote, on peut y apercevoir la tour Eiffel (certains jours de beau temps ou la nuit) pourtant située à un peu plus de 50 km du village.
Histoire
En premier fut Aumont
Sources : F. Taupinard dans “bulletins Archéologiques de la région de Méru"
Aumont s'est écrit autrefois, sur les titres de propriétés ou sur les tombes, Omont, Osmont, Osuns, Olmont, Oulmont, Osmundus.
Il a pris sa forme actuelle vers la fin du XVe siècle. Depuis, on a dit aussi Aulmont, et même Haut le Mont. Un détournement bien approprié à la géographie du lieu, puisque le mot, viendrait, dit-on de Osmund, nom d'un personnage d'origine germanique; ce nom a pu être importé, soit par les envahisseurs barbares du Ve siècle, soit sous une forme dérivée, telle qu'Oamundr, par les Normands, au IXe siècle.
Si nous disposons sur Aumont et sur La Neuville des informations historiques depuis le Moyen Âge, c'est parce que d'Aumont est issue une famille de petits seigneurs, très certainement pauvres, qui vont prendre possession des terres environnantes, s'appropriant les pouvoirs de commander la population des villages alentour, c'est-à-dire les rustres, les pauvres, désarmés donc inutiles au combat. En fait, ce sont les circonstances, l'effondrement des structures de l'État carolingien, et le climat d'insécurité résultant des invasions normandes qui amèneront la montée de petits pouvoirs locaux tels que celui d'Aumont. Ils feront construire des châteaux-forts, ou plutôt des maisons-fortes : dans un enclos délimité d'une enceinte défensive, souvent une simple palissade de bois, un logis, construit en matériau du pays, accompagné d'une grange, d'une écurie, un colombier, et peut-être d'une chapelle.
Aumont aurait eu une vocation guerrière, de par sa situation géographique et au vu de la morphologie de l'endroit : un promontoire escarpé et étroit, d'où l'on pouvait observer les mouvements dans la vallée, séparée par des "goulées". Aumont aurait eu aussi sa légende, celle d'une puissante forteresse dévastée...
Mais aucun élément tangible ne peut étayer cette hypothèse. La tradition locale, (inspirée de cette légende ?) en fait aussi un château du Moyen Âge : lui a existé.
Le château était situé au lieu-dit “le Bois des Prés”, entre Aumont et La Neuville. On ne connait pas au juste l'époque de sa destruction que l'on rapporte sans preuve au temps de la Ligue. En effet, sous celle-ci, en 1590, Le Conseil de l'Hôtel de Ville de Beauvais décida de faire main-basse sur tous les châteaux des environs, et de les renverser de fond en comble, parce qu'ils étaient des repères où se cachaient les ennemis de la bonne cause : Silly, Tillard, Mouy, Mello, La Neuville en Hez, Litz, Troissereux, Esches, Méru... On suppose, mais sans en avoir la certitude, qu'il en aurait été de même avec Aumont. Il est probable, de plus, (d'après Graves) que cette forteresse fut délaissée lorsqu'elle cessa d'appartenir à la maison d'Aumont.
Vers 1830, il n'en restait que quelques caves, des puits comblés et les vestiges des fossés. Toujours d'après Graves, une tradition locale voulait que les cloches de La Neuville aient été jetées dans un puits dont l'orifice était encore visible en 1830, au milieu du bois, et qu'on y ait enfoui une quantité d'argenterie et d'objets précieux.
Aumont Fonde Ressons
Toutes les sources s'accordent pour attribuer le patronage de l'abbaye de Ressons à la Maison d'Aumont, (sauf l'historien Louvet), il n'en va pas de même pour la date d'établissement de ce lieu, au sujet de laquelle règne une certaine incohérence.
Dans le Bulletin archéologique de la région de Méru, et en se référant à des textes de provenances différentes mais qui se recoupent, Aertenryck en déduit, lui que l'abbaye de Ressons fut fondée vers 1150 par un seigneur d'Aumont car :
" Le seigneur d'Aumont, homme de naissance illustre, désira faire vivre auprès de lui, aux environs de Pontoise, un rejeton de la souche de St-Jean. Brûlant d'amour pour l'institut des Prémontés, il vint trouver l'abbé Foulque et lui demanda des religieux pour les établir à Ressons, lieu qui dépendait de sa seigneurie." Et Foulques de Montdidier, deuxième abbé de St-Jean d'Amiens régna de 1130 à 1157. Il envoya au seigneur d’Aumont des chanoines au nombre de 12 (à la tête desquels il plaça le seigneur Pierre), ainsi que quelques religieuses.
Dom. Petri, hulus eccl. can. et primi abbatis eccl. de Ressonio
Les chanoines s'installèrent à Ressons, tandis que les religieuses, les Norbertines, furent placées à Aumont, où elles demeurèrent (au moins) jusqu'en 1221.
Les Prémontés, à l'encontre des ordres contemplatifs, se vouaient à la desserte des paroisses. On pourrait donc penser que le village de Ressons était antérieur à l'abbaye. (Ressons... Ressus... nom de personne suivi du suffixe celtique "ont" ? Roisuns (1198), Ressuns (1212) et puis plus tard Ressons en Vexin (1840), Ressons en Thelle (1842) et enfin Ressons l'Abbaye en 1856)) Les Prémontés étaient vêtus de blanc, avec un scapulaire par devant la soutane. Lorsqu'ils sortaient, ils portaient un manteau avec un chapeau blanc.
Ce n'est pas par hasard si le fonds des archives de Ressons débute en 1187 : c'est l'année de la prise de Jérusalem par le sultan Saladin, et la préparation de la 3e croisade. (1189-1192). Faut-il en attribuer l'idée à un abbé "très prudent", Guillaume d'Hibouvillers, 3e abbé de Ressons, subodorant un départ de croisés et prenant ses précautions en cas d'une éventuelle hécatombe ? En tout cas, les donations affluent ; Le détail de celles-ci, admirablement étudiées dans les bulletins archéologiques de la région de Méru, n’entre pas dans notre propos sauf celle effectuée, en 1221, par Guillaume de Valengoujart, chevalier, qui fait un don de 30 mines de blé à prendre sur sa récolte d'Ibouvillers, dont 24 pour sa fille religieuse à Aumont :
- « pro filia mea sanctimoniali de hosmunt »
En effet, ce serait la seule preuve écrite de la présence des Norbertines à Aumont.
1914-1918 : "Des fonds pour les confitures"
1- Aide aux familles :
En raison des événements militaires qui viennent d’éclater entre la France et l’Allemagne, il y a lieu de venir en aide aux familles nécessiteuses atteintes par le service militaire. Le Conseil municipal accorde 250 g de pain par individu et par jour et 400 g de bœuf par individu et par semaine, à 6 familles, et pendant toute la durée de la guerre. Registre des délibérations 1914
2- Comité d'action agricole :
En 1916 fut créé le comité d’action agricole. Il était chargé d’organiser le travail des champs et d’assurer la culture de toutes les terres de la commune.
Beaucoup de soldats, se souvient madame Gossin, de retour du front, venaient en repos au village et vivaient hébergés dans les granges et les bâtiments.
3- 14 juillet 1915, 1916, 1917
“La fête nationale devra avoir un caractère exclusivement patriotique et commémoratif, les monuments devront être pavoisés et les distributions de bienfaisance versées à des œuvres de guerre. Des subventions sont allouées
- à la société des Dames de France
- à la société d’Union des femmes de France
- aux militaires sous les drapeaux : 13 en 1916, 12 en 1917
- aux hôpitaux russes (!!)
- au Comité départemental d’assistance aux militaires réformés pour tuberculose
4- Pénurie de sucreUn régime de répartition du sucre fut organisé; c’est madame Colas, épicière à La Neuville qui fut désignée comme détaillant. Le Conseil préleva 130 frs sur les fonds propres de la commune pour régler les avances du sucre destiné aux confitures de juin 1917 et au paiement du stock resté chez la détaillante.
5- Personnes dépourvues de ressources :
Des listes à partir de 1917 sont établies déterminant le nombre de personnes du villages dépourvues de ressources, consécutivement à la guerre de 14-18 :
1917(23)- 1918(32)- 1919(30) - 1920 21) 1921(7) 1922(4) 1923(3)- 1927 (2)
6- Le frêne
Le magnifique frêne que l’on peut toujours admirer au centre de la place communale (sur le petit terre-plein), fut planté le 11 novembre 1919, en commémoration de l’armistice de 1918.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité nov 1792 ----- LANCTIN an II ------ HENOCQ an II-an VIII municipalité de Canton an IX-1814 François Jacques LANCTIN Cultivateur oct 1811-1815 Charles DUPUIS mai 1815-1815 François Jacques LANCTIN Cultivateur oct 1815-1816 Charles DUPUIS 1816-1824 François Jacques LANCTIN Cultivateur 1824-1826 JACQUES HENOCQ 1826-1827 François Jacques LANCTIN Cultivateur 1827-1833 Commune supprimée ... 1833-1837 Jean Baptiste DUPUIS 1837-1839 Jean François DUPUIS 1839 (12j) Napoléon Charles MASSELIN 1839-1847 Charles Frédéric LANCTIN 1847-1860 Jean François DUPUIS 1860-1861 Napoléon Charles MASSELIN 1861-1876 Jacques Honoré Henri GREBET Cultivateur 1876-1876 François Noël LANCTIN 1876-1883 Jacques Honoré Henri GREBET Cultivateur 1883-1883 Jacques Honoré DOZET propriétaire 1883- ? Louis Édouard RAUSSE mai1884-1885 Jacques Honoré Henri GREBET Cultivateur 1885-1888 Ernest Alfred HENNEGUY maçon 1888-1901 Jacques Honoré Henri GREBET Cultivateur 1901-1908 Louis Charles PORQUIER Cultivateur 1908-1919 Charles POIRET Cultivateur 1919-1929 ------FOURNIER 1929-1933 Henri MASSELIN Propriétaire 1933-1954 Aristide BAILLY Boutonnier Tentier 1954-1959 Lucien DUVAL 1959-1961 Thierry FOURQUEMIN Cultivateur 1961-1965 Madame CHANSON retraitée 1965-1977 Albert ALLUYN maréchal-forgeron 1977-2008 André ALLUYN agriculteur 2008- Christian CHORIER Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique
D’après le recensement Insee de 2007, La Neuville-d'Aumont compte 264 habitants (soit une augmentation de 10 % par rapport à 1999). La commune occupe le 23 660e rang au niveau national, alors qu'elle était au 23 842e en 1999, et le 487e au niveau départemental sur 693 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à La Neuville-d'Aumont depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 2006 avec 265 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (11,8 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 26 %, 15 à 29 ans = 13,7 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 28,2 %, plus de 60 ans = 11,5 %) ;
- 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 20,5 %, 15 à 29 ans = 17,4 %, 30 à 44 ans = 25 %, 45 à 59 ans = 25 %, plus de 60 ans = 12,2 %).
Lieux et monuments
L'église : "Torsades et têtes de dragons"
L'église, sous le vocable de Saint-Nicolas est de style gothique prismatique*. Prismatique* : Le pilier est remplacé par divers types de supports : pile ondulée, colonnes cylindriques dans lesquelles les nervures de la voûte viennent se perdre.
Sa date de construction précise n'a pas été retrouvée, mais, c’est au début du XVIème, “la période la plus riche et la plus audacieuse, dans l’Oise, celle qui a vu rebâtir beaucoup de nef et élever de clocher” (Robert Lemaire).
C'est un édifice en cailloux à chœur polygone avec addition d'un latéral à gauche, des fenêtres à ogives simples, un clocher central octogone en bois à longue pyramide couverte d'ardoises. La porte latérale en anse de panier a quelques moulures du XVIe siècle. La fenêtre du chevet, bouchée, était sous-divisée en deux ogives.
Le sanctuaire et le latéral ont des voûtes à arcs doubleaux anguleux se raccordant à des piliers cylindriques. Le chœur proprement dit a un lambris orné de torsades, avec têtes de dragons, datant aussi du début du 16ème. Enfin, la nef est fermée par un simple plafond.
Quelques réparations au cours des ans
1817: Réparations urgentes à faire à la charpente du clocher et au beffroi de l'église.1835 : Vente des arbres dépérissant du cimetière pour les boiseries du chœur de l'église (lesquelles ?)
1836 : Devis d'un montant de 1382 frs, réalisé pour la réparation de l'église et du presbytère.
1839 : Construction et réparation de la clôture du cimetière, remise en état du logement du desservant, le tout réalisé par un maçon d'Aumont pour la somme de 180 frs.
1840 : Acquisition de 2 barrières avec accessoires pour terminer la clôture du cimetière.
1842 : La cloche aurait été fondue... un certain Cavillier de Beauvais réclame la somme de 400 frs pour ce travail qu'il avait à effectuer.
1883 : Re-refonte de la cloche (voir détail)
1898 : la couverture du clocher est refaite, l'épi est remplacé et la charpente consolidée.
1905 : réfection de la toiture pour 1333 frs.
1939 : travaux de couverture
1946 : réparation des vitraux.
La cloche baptisée Marie-Charlotte
La commune possédait au XVIIIe siècle, mais avant la révolution, 4 cloches : le fait est attesté par un passage du testament de Hubert Cardinal, curé de la commune mort en 1739 .
- " Plus de bien entretenir aussi à perpétuité tant de jour que de nuit la lampe du chœur aux dépens de la fabrique, luy laissant (au clerc magister dudit en place) comme je crois assez de quoi pour cela, PLUS de bien entretenir les quatre cloches du clocher, de tous ses soins, seulement (?), et aussi de bien garder l'argenterie enfermée dans un coffre-fort, consistant en une croix de procession d'argent, avec le bâton, un beau bassin avec deux grosses burettes d'argent, et un encensoir à la mosaïque avec la navette d'argent, et une croix d'argent pour mettre sur l'autel du chœur avec deux soleils grands et petits, sans toutefois demeurer garant de la force violente."
Où sont-elles passées ?
50 ans plus tard, c’était la révolution, et en 1793, la descente des cloches de tous les édifices, et leur fonte pour en faire des canons devint obligatoire. Chaque commune ne devait garder qu’une seule cloche, celle qui sonnait le tocsin et qui convoquait aux assemblées communales. La conséquence fut un appauvrissement général du patrimoine campanaire ancien. Celles de La Neuville ont-elles été fondues ?
D'après l’historien Graves, une tradition locale voulait que les cloches de La Neuville aient été jetées dans un puits dont l'orifice était encore visible en 1830, au milieu du bois des Prés, à Aumont (à l’emplacement de l’ancien château) et qu'on y ait enfoui une quantité d'argenterie et d'objets précieux. Était-ce ce patrimoine cité ci-dessus, ou une légende qui permit de sauver “symboliquement” ces objets chers aux paroissiens La Neuvillois ? Nul ne le saura jamais, à moins d’y aller creuser ...
Marie-Charlotte
Un accident est arrivé à la cloche (on ne sait pas lequel !!) Celle-ci devra être refondue au frais de la commune, la fabrique* ne possédant quasiment pas de fonds propres.
Devis : Refonte de la cloche faisant environ 800 kg, à 80 frs le quintal : 640 frs
Fourniture d'une monture complète composée du mouton en bois d'orme, tortillard, des tourillons doubles aciérés pour faciliter la sonnerie, des coussinets, ferrures, du battant en fer forgé et tourné avec cuir de Hongrie, chape en fer avec boulon pour éviter l'allongement du fer et de la demie roue : 320 frs
Transport de l'église à la gare et retour : 20 frs
Descente de la vieille cloche et montage de la neuve : 150 frs
Total : 1130 frs
La nouvelle cloche devra porter l'inscription donnée (??). Elle sera composée de 78% d'étain fin. La commune pourra envoyer des représentants pour assister à la fonte, chez le fondeur Mr Dubuisson, 24 avenue Laumière à Paris.
Personnalités liées à la commune
- Général Jean-Baptiste Lecat de Bazancourt né à Val de Molles (1767-1830)
- L'An Mil sept cent soixante sept, le lundi 13ème jour du mois d'avril a été baptisé par moy curé soussigné, Jean Baptiste Maximilien Joseph Antoine, fils né du 19 mars dernier du légitime mariage de Messire Joseph François Lecat chevalier Sieur de Bazancourt ancien lieutenant de cavalerie au régiment des 7ème Aldégonde (?) et de Dame Angélique Félicité Duminy sa femme de cette paroisse. Ainsi nommé (l'enfant) par Messire Jean Baptiste de Richard (?) docteur de Sorbonne, son parrain et dame Antoinette Brochette de Poncin, (épouse de Messire Jean Baptiste Maximilien Titon*, Chevalier Conseiller de Grande Chambre du Parlement de Paris, Seigneur de La Neuville Messire Garnier,) sa marraine le père absent qui ont signé avec nous.
- signent : Jean Richard, Antoinette Brochette Titon, Flouvy , curé(de LNA)
Ainsi naquit dans la demeure seigneuriale du Bois de Molle, très certainement dans les bâtiments qui précédèrent le petit château actuel) Lecat de Bazancourt (Jean-Baptiste-Maximilien-Antoine), qui allait faire une carrière militaire exemplaire et devint l'un des 18 généraux de l’Oise, sur les 2047 généraux que connurent la Révolution et l’Empire.
Jean-Baptiste Lecat de Bazancourt signa de temps à autre comme témoin des Actes du Registre, naissance et mariage; (en 1809, il demeurait 130 rue du Bacq à Paris) ainsi que son frère Auguste témoin en 1811 à la naissance de Napoléon Lanctin, le fils du maire de l’époque.
Voir aussi
Notes et références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 13 novembre 2010
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 13 novembre 2010
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur Insee. Consulté le 13 novembre 2010
- Évolution et structure de la population à La Neuville-d'Aumont en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 13 novembre 2010
- Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 13 novembre 2010
Liens externes
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