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Aéroport Lyon-Saint Exupéry

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Lyon-Saint Exupéry
Vue aérienne de Lyon St. Exupéry
Code AITA
LYS
Code OACI
LFLL
Pays France France
Ville desservie Lyon
Nom cartographique L. SAINT EXUPERY
Type d'aéroport civil
Gestionnaire Aéroports de Lyon
Altitude 250 m 821 ft
Latitude 45° 43' 32" N
Longitude 05° 04' 51" E
Pistes
Direction Longueur Surface
mètres pieds
18R/36L 4 000 13 123 hydrocarboné
18L/36R 2 670 8 759 hydrocarboné
Catégories
Aéroports • Aéroports par pays
Listes
Liste des aéroportsPar code AITA
Par nombre de passagers

L'aéroport Lyon-Saint Exupéry (code AITA : LYS ; code OACI : LFLL), anciennement dénommé Aéroport de Lyon-Satolas, est un aéroport français situé sur la commune de Colombier-Saugnieu à 25 km à l'est de Lyon, dans le département du Rhône.

Avec plus de 7,9 millions de passagers traités en 2009, il se classe comme le quatrième aéroport français derrière ceux de Paris-Charles-de-Gaulle, Paris-Orly et Nice Côte d'Azur. Sa gestion est assurée par la société Aéroports de Lyon.

Sommaire

Histoire [1] [2]

La gare de Lyon-Saint Exupéry TGV, dessinée par l'architecte espagnol Santiago Calatrava.

La décision de construire un nouvel aéroport est prise à la fin des années 1960, afin de pallier la saturation progressive de l'aéroport de Lyon-Bron. En effet, celui-ci, situé en milieu urbain, ne possédait pas de possibilité d'extension et ses pistes trop courtes étaient inadaptées à l'accueil de vols long-courrier. Par ailleurs, la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon souhaitait de doter la région Rhône-Alpes d'un aéroport à la mesure de son développement et de ses ambitions internationales.

A cet effet, des études préliminaires sont entreprises dès 1965 pour rechercher un site capable d'accueillir ce futur aéroport, alors même que sa réalisation n'est pas encore décidée. L'emplacement doit répondre à plusieurs critères : une proximité des grandes villes régionales, une faible urbanisation de la zone et de bonnes caractéristiques aéronautiques. La plaine de l'est lyonnais est rapidement retenue pour répondre à tous ces critères.

Conçu par Guillaume Gillet, les travaux du nouvel aéroport durent quatre ans et n'enregistre aucun retard ni dépassement de budget. Il est inauguré le 12 avril 1975 par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing, le préfet de région Pierre Doueil et le président de la CCI de Lyon, Fernand Blanc. Les activités de l'aéroport de Lyon-Bron y sont transférées dans la nuit du 19 au 20 avril et l'aéroport accueille ce même jour son premier vol commercial, un Mercure de la compagnie Air Inter en provenance de Paris.

A l'origine, l'aéroport ne comporte qu'une seule piste longue de 4 000 m et 2 terminaux. La capacité de traitement est alors de 3 millions de passagers par an. Face à la croissance régulière de la fréquentation, un programme d'investissement est lancé en 1989 visant à doubler les capacités de l'aéroport. À cette effet, une nouvelle piste, longue de 2 670 m, entre en service en mai 1992 afin d'écouler les pointes de trafic.

En 1994 est inaugurée la gare TGV. Dessinée par l'architecte espagnol Santiago Calatrava, son architecture audacieuse et visible plusieurs kilomètres à la ronde évoque un oiseau prenant son envol. Vue du ciel, la nouvelle configuration de l'aéroport (terminaux, parkings et gare) fait immédiatement penser à une tête d'oiseau.

Le 24 octobre 1997, Air France ouvre un hub euro-régional, véritable plateforme de correspondances aérienne. À cette occasion, les terminaux sont réorganisés.

Le 29 juin 2000, l'aéroport est renommé Lyon-Saint-Exupéry, à l'occasion du centième anniversaire d'Antoine de Saint-Exupéry, né à Lyon[3].

En 2005, un rapport commandé par le gouvernement au groupe de travail des Conseillers au Commerce Extérieur (CCE) sur Saint-Exupéry critique violemment la gestion de l'aéroport, pointant du doigt son retard de développement par rapport à d'autres aéroports européens de taille comparable, le manque de compagnies régulières et low cost, l'insuffisance de la desserte ferroviaire (pas de TER allant jusqu'à l'aéroport) et de la signalisation routière, des dysfonctionnements internes (notamment la livraison des bagages au terminal 2), et un manque flagrant de cohérence de la politique commerciale de la plate-forme. Les conseillers accusent très clairement le directeur de l'aéroport d'alors, remercié quelques mois après[4].

Suite à ce rapport et au vote d'une nouvelle loi sur la gestion des aéroports français, la société Aéroports de Lyon, destinée à gérer les deux aéroports lyonnais et attirer des capitaux privés dans leur gestion est créée le 21 décembre 2006. La concession est cédée par la CCIL le 6 mars 2007, et la société est officiellement lancée le 9 mars. À cette occasion, la concession de l'aéroport est renouvelée jusqu'en 2047.

En 2009, Aéroports de Lyon a investi 13,5 millions d'euros pour la rénovation et l'agrandissement du terminal 1. Outre le remplacement du carrelage par de la moquette, le changement des couleurs, l'amélioration de la luminosité et de la circulation au sein de l'aérogare, ainsi que l'installation de sièges supplémentaires, la capacité du terminal a été augmentée de 500 000 pour être portée à 3 millions de passagers par an. De nouveaux commerces se sont en outre installés et un salon VIP doit ouvrir prochainement. Les travaux se sont terminés le 29 juin 2009[5].

Accès

L'aéroport est situé à environ 25 km du centre de Lyon, 75 km de Saint-Étienne, 85 km de Chambéry et 90 km de Grenoble. Il est aisément accessible depuis l'ensemble de la région Rhône-Alpes par différents moyens de transports :

  • en voiture, par l'autoroute A432 connectée aux autoroutes A42 au Nord et A43 au Sud.

En août 2010, l'aéroport sera relié au centre-ville de Lyon par la liaison RhônExpress, une ligne de tramway qui permettra de gagner la gare de Lyon Part-Dieu en moins de 30 minutes.

Infrastructures et équipements

L'aéroport s'étend sur une superficie de 2 000 hectares, dont 900 hectares de réserves foncières[6]. Il est situé sur les communes de Colombier-Saugnieu (majoritairement), Pusignan, Genas et Saint-Bonnet-de-Mure.

Il est équipé de :

  • 2 pistes parallèles équipées de l'ILS de catégorie III :
    • Piste A, d'origine, 4 000 m x 45 m, orientation 18R/36L, utilisée préférentiellement pour les décollages
    • Piste B, mise en service en mai 1992, 2 670 m x 45 m, orientation 18L/36R, utilisée préférentiellement pour les atterrissages
  • 3 terminaux, pouvant accueillir 9,6 millions de passagers[7] :
    • Terminal 1
    • Terminal 2 et sa jetée dédiée au hub d'Air France
    • Terminal 3, dédiée aux compagnies low-cost, notamment easyJet
  • 5 parkings et 2 déposes minutes, d'une capacité totale d'environ 14 000 places[8] :
    • P0, P1, P2, P6 pour les parkings courte durée
    • P5 pour le parking longue durée
  • une gare TGV avec 3 voies à quai

Gestion

Article connexe : Aéroports de Lyon.

A son ouverture en 1975, la gestion de l'aéroport est confiée à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lyon (CCIL), qui gère également celui de Lyon-Bron. La durée de la concession est fixée à 25 ans, soit jusqu'en 1990. Cette concession a été renouvelée à plusieurs reprises, la dernière fois le 21 mars 2001 pour une durée de 10 ans.

Le 20 avril 2005, une nouvelle loi sur la gestion des principaux aéroports français est promulguée. Paru au journal officiel le 21 avril 2005, elle prévoit la mise en place d'un nouveau régime de gestion des aéroports : ces derniers restent dans la compétence de l'État mais leur gestion est confiée à une société d'exploitation aéroportuaire.

A ce titre, la SASU Aéroports de Lyon est créée le 21 décembre 2006. Le 6 mars 2007, la CCIL cède sa concession de l'aéroport à la SASU. Trois jours plus tard, le 9 mars 2007, la société Aéroports de Lyon est officiellement lancée et la concession renouvelée pour 40 ans, jusqu'en 2047. Elle est destinée à gérer les deux aéroports lyonnais (Lyon-Bron et Lyon-Saint Exupéry). Son capital est réparti entre l'État (60 %), la CCIL (25 %) et les trois collectivités territoriales à parts égales (5 % chacune ; Grand Lyon, le Conseil général du Rhône et le Conseil régional de Rhône-Alpes).

Le capital détenu par l'État pourra être progressivement cédé aux entreprises publiques ou privées à partir de 2013.

Chiffres clés

Année 2008 [9]

Avions à l'arrêt, aéroport de Lyon

En 2008, l'aéroport a traité plus de 7,9 millions de passagers (+ 8,2 % par rapport à 2007), son record absolu depuis sa création. Il se classe ainsi comme le quatrième aéroport français derrière ceux de Paris-Charles-de-Gaulle, Paris-Orly et Nice Côte d'Azur. Ce résultat est en grande partie due à l'arrivée de la compagnie à bas coûts easyJet qui a ouvert en avril 2008 une base sur l'aéroport. Cette arrivée a d'ailleurs permis de doubler la part du trafic low-cost par rapport à 2007, qui représente aujourd'hui 13,3 % du nombre de passagers.

Le trafic national représente 37,1 % du nombre de passagers (2 936 736 ; + 3,9 %), le trafic international 61,9 % (4 861 398 ; + 11,3 %) et le transit 1,6 % (125 929 ; - 1,1 %). Le nombre de mouvements d'avions s'est établit à 126 980, soit une quasi stabilité par rapport à 2007 (+ 0,3 %).

Concernant le transport de fret, il s'établit à 32 814,8 tonnes, en recul de 11,1 % par rapport à 2007.

Les 5 principales compagnies desservant l'aéroport en 2008 sont :

  1. Air France : 3 809 085 passagers (+ 2,6  %)
  2. easyJet : 845 709 passagers (+ 186,7  %)
  3. Lufthansa : 433 047 passagers (- 3,1  %)
  4. British Airways : 232 009 passagers (- 9,1  %)

Les 5 principales destinations en 2008 sont :

  1. Paris : 574 687 passagers (+ 7.4 %) répartis comme suit :
    1. Charles-de-Gaulle : 464 116 passagers
    2. Orly : 110 533 passagers
    3. Le Bourget : 35 passagers
  2. Londres : 433 699 passagers répartis comme suit :
    1. Heathrow : 238 087 passagers
    2. Stansted : 134 143 passagers
    3. Gatwick : 60 886 passagers
    4. City : 399 passagers
    5. Luton : 184 passagers
  3. Bordeaux : 387 324 passagers (+ 44.5 %)
  4. Toulouse : 352 331 passagers (+ 36.1 %)
  5. Francfort : 269 550 passagers (- 7.4 %)

Évolution du trafic passagers et fret

La fréquentation de l'aéroport n'a cessé d'augmenter depuis son ouverture en 1975, en ne traversant que peu "d'années noires" où le trafic était en recul. De nombreux caps ont été franchis : 2 millions de passagers en 1977, 3 millions en 1988, 4 millions en 1995, 5 millions en 1998, 6 millions en 2000, 7 millions en 2007.

Le tableau ci-dessous récapitule l'évolution du trafic passagers et fret avionné de ces dernières années.[10]

Evolution du trafic passagers
(en nombre de passagers)
Evolution du trafic fret avionné
(en tonnes)
Année National International Transit Total Evolution Total Evolution
2008 2 936 736 4 861 398 125 929 7 924 063 + 8,2 % 32 815 - 11,1 %
2007 2 826 549 4 367 025 127 378 7 320 952 + 8,4 % 36 899 - 9,6 %
2006 2 708 484 3 956 083 87 766 6 752 333 + 2,9 % 40 840 + 5,4 %
2005 2 593 645 3 869 040 98 680 6 561 365 + 5,3 % 38 732 + 10,0 %
2004 2 544 546 3 581 626 102 440 6 228 612 + 4,9 % 35 228 - 0,8 %
2003 2 504 221 3 355 754 79 920 5 939 895 + 2,8 % 35 484 + 0,0 %
2002 2 468 484 3 257 278 42 462 5 778 224 - 5,4 % 35 341 + 18,1 %
2001 2 644 629 3 414 339 49 639 6 108 607 + 1,5 % 29 928 - 13,4 %
2000 2 594 862 3 338 555 87 644 6 021 061 + 9,5 % 34 918 + 27,4 %
1999 2 486 599 2 929 672 84 277 5 500 548 - 27 409 -

Projets en cours ou en étude

Liaison RhônExpress [11]

Article détaillé : RhônExpress.

En projet depuis plus de 25 ans, une nouvelle ligne de tramway, dénommée RhônExpress (anciennement LESLYS, Ligne ExpresS LYon-Saint Exupéry) sera mise en service à l'été 2010 entre la gare de Lyon Part-Dieu et l'aéroport. Cette ligne, longue de 23 km, utilisera en partie (sur 14,6 km) les infrastructures de la Ligne 3 du tramway de Lyon (construite sur l'ancienne ligne ferroviaire Lyon - Saint-Génix-d'Aoste), puis une plateforme indépendante sur les 8 derniers km (actuellement en construction depuis octobre 2008) jusqu'au sein de la gare TGV de l'aéroport.

Cette ligne permettra de gagner l'aéroport depuis le centre de Lyon en 25 minutes, notamment grâce à un nombre réduit d'arrêts intermédiaires (deux au total en correspondance avec le métro et le tramway) et une vitesse de pointe en exploitation de 100 km/h. Concédée pour trente ans au consortium RhônExpress, elle sera indépendante du réseau de Transports en commun lyonnais et aura donc un matériel et une tarification spécifiques.

Cette liaison offrira une fréquence de 15 minutes et fonctionnera 365 jours par an.

Développement de la base easyJet

La compagnie à bas coûts easyJet a ouvert le 4 avril 2008 sa vingtième base européenne (la troisième française) sur l'aéroport en basant de 2 Airbus A319. Elle a ainsi ouvert une dizaine de lignes au départ de Lyon, notamment vers plusieurs villes françaises comme Toulouse et Bordeaux, mettant fin au monopole d'Air France.[12]

Forte du succès rencontré, puisque les résultats se sont révélés meilleurs que les prévisions, la compagnie a décidé d'affecter à partir de l'hiver 2009-2010 un troisième Airbus A319 sur l'aéroport et d'ouvrir 3 nouvelles lignes vers Nantes, Bruxelles et Edimbourg.[13]

Augmentation de la capacité

Avec ses 3 terminaux, l'aéroport a une capacité de traitement d'environ 9,6 millions de passagers.[7] A la fin de l'année 2007, c'est-à-dire avant l'apparition de la crise mondiale en septembre 2008, les prévisions de trafic prévoyaient un trafic de l'ordre 10 millions de passagers à l'horizon 2012 et d'environ 15 millions de passagers vers 2020.

Afin d'accueillir cette hausse attendue du trafic, des projets d'extension de l'aéroport sont actuellement à l'étude pour porter la capacité d'accueil à 11 millions de passagers de 2012 et 15 millions en 2020, avec notamment :

  • l'agrandissement du Terminal 1, par construction d'une extension sur le Sud de l'aérogare actuelle
  • la reconstruction du Terminal 3 en prolongement de l'extension prévue du Terminal 1
  • la construction d'une "jetée" dédiée au low-cost en connexion avec le Terminal 3

Ces nouvelles constructions, établies en grande partie sur des parking d'avions, nécessiteront le déplacement d'une partie des stationnements des avions fret. Parallèlement, une importante extension de la zone fret est programmée.

Listes des compagnies aériennes desservant l'aéroport

Liste des destinations régulières (été 2009)

France métropolitaine :

  • Ajaccio
  • Bâle/Mulhouse
  • Bastia - Poretta
  • Biarritz - Anglet
  • Bordeaux - Mérignac
  • Brest
  • Caen - Capriquet
  • Calvi - Sainte Cathérine
  • Castres - Mazamet (via Rodez-Marcillac)
  • Clermont-Ferrand - Auvergne
  • Figari
  • La Rochelle
  • Le Havre
  • Lille
  • Limoges - Bellegrade
  • Lorient
  • Marseille - Provence
  • Metz/Nancy
  • Montpellier - Méditerranée
  • Nantes
  • Nice
  • Paris - Orly
  • Paris - Roissy CDG
  • Pau
  • Poitiers
  • Rennes
  • Rodez/Marcillac
  • Rouen
  • Strasbourg
  • Toulouse

Europe :

  • Amsterdam
  • Barcelone
  • Birmingham
  • Bologne
  • Bruxelles
  • Bucarest
  • Budapest
  • Catane
  • Copenhague
  • Dublin
  • Düsseldorf
  • Florence
  • Francfort
  • Göteborg
  • Hambourg
  • Istanbul
  • Lisbonne
  • Londres - Gatwick
  • Londres - Heathrow
  • Londres - Stansted
  • Madrid
  • Malte
  • Manchester
  • Milan - Malpensa
  • Moscou
  • Munich
  • Oslo
  • Porto
  • Prague
  • Rhodes
  • Rome - Ciampino
  • Rome - Fiumicino
  • Santorin
  • Split
  • Stuttgart
  • Venise
  • Vienne
  • Vilnius
  • Zurich

Afrique et Océan Indien :

  • Agadir
  • Alger
  • Annaba
  • Batna
  • Bejaïa
  • Biskra
  • Casablanca
  • Constantine
  • Dakar
  • Djerba
  • Fez
  • Marrakech
  • Maurice
  • Monastir
  • Oran
  • Saint Denis de la Réunion
  • Sétif
  • Tozeur
  • Tunis

Amérique du Nord :

  • Montréal - Trudeau
  • New York - JFK (supprimé le 4 novembre 2009 avec une éventuelle reprise au printemps 2010)
  • Toronto

Destinations charters (uniquement été 2008)

  • Agadir
  • Ankara
  • Antalya
  • Athènes
  • Bodrum
  • Brindisi
  • Budapest
  • Catane
  • Corfou
  • Dubrovnik
  • Faro
  • Fuerteventura
  • Funchal
  • Heraklion
  • Hurghada
  • Ibiza
  • Izmir
  • Kaysery Konya
  • Lamezia
  • Larnaca
  • Las Palmas
  • Le Caire
  • Louxor
  • Malaga
  • Olbia
  • Palerme
  • Palma
  • Pula
  • Santorin
  • Shannon
  • Sharm el Sheikh
  • Taba
  • Tenerife
  • Tetouan
  • Varna
  • Zadar

Notes et références

  1. (fr) Aéroports de Lyon, « Historique de l'aéroport ». Consulté le 12 septembre 2009
  2. (fr) Bibliothèque municipale de Lyon, « Histoire et actualité de l’aéroport Lyon-Saint Exupéry », 2008. Consulté le 12 septembre 2009
  3. Six jours avant le changement de nom de l’aéroport, plusieurs expositions consacrées à la mémoire d'Antoine de Saint-Exupéry furent inaugurées à Lyon par Jean-Jack Queyranne, alors secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer. Bertrand Picard, auteur du premier tour du monde en ballon, était également présent ainsi que le pilote de chasse Hervé de Saint-Exupéry. Le jour de la cérémonie, le 29 juin 2000, ce dernier survola l’aéroport aux commandes d’un Mirage 2000 en compagnie de la Patrouille de France (sources : quotidien La Provence du 25 juin 2000).
  4. Le Progrès du vendredi 2 février 2007
  5. (fr) Quotidien Le Progrès, « Saint-Exupéry : le terminal T1 refait à neuf », 30 juin 2009. Consulté le 15 septembre 2009
  6. http://www.lyon.aeroport.fr/index.php?module=cms&desc=default&action=get&id=321
  7. a  et b http://www.aeroport.fr/les-aeroports-de-l-uaf/lyon-saint-exupery.php
  8. (fr) Aéroports de Lyon, « Aéroport Lyon-Saint Exupéry : Porte d'entrée des Alpes Françaises », Communiqué du 23 janvier 2009. Consulté le 16 septembre 2009
  9. Rapport mensuel de décembre 2008, disponible sur http://www.lyon.aeroport.fr
  10. Rapports d'activités de l'aéroport disponibles sur http://www.lyon.aeroport.fr
  11. http://www.rhonexpress.net
  12. (fr) easyJet, « easyJet ouvre à Lyon sa vingtième base européenne », 4 avril 2008. Consulté le 16 septembre 2009
  13. (fr) easyJet, « Joyeux anniversaire ! Un an et 1 000 000 passagers pour easyJet à Lyon », 17 avril 2009. Consulté le 16 septembre 2009

Voir aussi

Liens externes

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