Fédération gymnastique et sportive des patronages de France

Fédération gymnastique et sportive des patronages de France
Pour des informations plus générales sur ce sujet, voir Fédération sportive et culturelle de France.

Fédération gymnastique et sportive des patronages de France
BrocheFGSPF.jpg
Épinglette de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France.

Sigle FGSPF
Nom précédent Union des sociétés de gymnastique des patronages et Œuvres de jeunesse de France (USGIMPOJF) - puis - Fédération des sociétés catholiques de gymnastique (FSCG).
Sport représenté Gymnastique, football, basket-ball
Création 1898
Disparition 1947
Président 18981923 : Paul Michaux
19231947 : François Hébrard
Siège Paris, 5 place Saint-Thomas d'Aquin
Clubs 13 en 1898, 1 504 en 1914

La Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF) est une fédération sportive française omnisports fondée en 1898 à Paris par le docteur Paul Michaux. Elle fusionne en 1946 avec lorganisation féminine du Rayon sportif féminin (RSF) pour devenir la Fédération sportive de France (FSF) puis Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) en 1965.

Cest avant tout une fédération gymnique concurrente de l'Union des sociétés de gymnastique de France (USGF) qui se veut laïque et de lUnion des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) pour les autres sports.

À côté de la gymnastique qui a motivé sa création, elle choisit le football comme sport de référence et ses clubs saffrontent de 1904 à 1914 lors du Championnat de France de football FGSPF quelle organise. En 1908 elle parvient à imposer le Comité français interfédéral quelle a créé un an plus tôt comme seule fédération reconnue par la FIFA.

Lapparition des fédérations sportives spécialisées après la Première Guerre mondiale ne fut pas sans lui poser de problèmes mais, contrairement à lUSFSA, sans remettre en cause son existence.

Sommaire

Historique

Affiche dépoque, relative à une conférence donnée en date du 16 avril 1902, à Bordeaux, la Bastide, dans le cadre du patronage Saint-Joseph, par le Dr Paul Michaux, chirurgien des hôpitaux de Paris, président de la Commission des patronages et de la Fédération nationale des sociétés catholiques de gymnastique et de sports, sous la présidence de Mgr Tourreau, vicaire général, à l'occasion de la IIe Grande Fête sportive au cirque de la Grave.

En 1891, lencyclique Rerum novarum du pape Léon XIII légitime et conforte les patronages paroissiaux catholiques[1] qui développent leur tradition de jeux de cour puis de gymnastique depuis un siècle. Peu de temps après, lanticléricalisme de lUnion des sociétés de gymnastique de France (USGF) incite lépiscopat français à envisager de réunir ses ouailles gymniques au sein dune organisation spécifique. Cest chose faite en 1898 par le docteur Paul Michaux sous le sigle dUnion des sociétés de gymnastique et d'instruction militaire des patronages et Œuvres de jeunesse de France (USGIMPOJF) remplacé en 1901 par celui de Fédération des sociétés catholiques de gymnastique (FSCG)[2].

Cette institution poursuit des buts certes apostoliques mais aussi hygiénistes conformément aux idées développées alors par les grands physiologiste tels que Claude Bernard, Étienne Marey ou Paul Bert et patriotiques conformément aux réactions consécutives à la défaite de 1870[3]. Pour ces deux objectifs, la gymnastique déjà pratiquée dans les patronages depuis Timon-David s'impose car le ministre Paul Bert lui donné mission de combler le fossé entre les bataillons scolaires de lécole primaire obligatoire quittée à 13 ans et larmée[4] simpose. Et à cette fin, tout instituteur passe au cours de son service trois mois dans lécole normale militaire de gymnastique de Joinville vouée à lescrime et la gymnastique.

Néanmoins le sport fait rapidement son apparition avec la prise en compte du football dès 1901 et de la course à pied en 1903[5]. Cette même année parait le premier numéro du journal Les Jeunes[6]. Celui-ci, dabord simple encart de la revue Patronage, devient autonome et hebdomadaire à partir de mars 1905[7]. Et le 15 juillet, la fédération emménage dans ses premiers locaux au 5 place Saint-Thomas-dAquin[8].

La gymnastique, le football, la guerre (1898-1918)

Cependant la gymnastique reste bien loccasion de réinscrire les catholiques dans ce contexte républicain et les grands concours qui préexistaient se multiplient, attirant à Paris des associations de province. Cependant le développement reste limité jusquen 1906. A cette date lhostilité des pouvoirs publics et des autres fédérations à légard des associations ayant répondu à linvitation du pape pour participer au concours de gymnastique de Rome en 1908[9] déclenche leur regroupement au sein de la FGSPF. Par exemple, la région lyonnaise qui possède sa propre Fédération des sociétés catholiques de gymnastique du Rhône et du sud-est intègre la FGSPF cette année-[10].

1914 : concours régional de Seine et Oise, équipe championne

Cette situation qui irrite les anticléricaux, nest pas sans risques. Si en septembre 1904 les troupes de labbé Deschamps se permettent de raccompagner Emile Combes, président du Conseil, à la gare dAuxerre avec des clochettes et des sifflets[11], le 8 juin 1907 la Saint-Joseph des Épinettes laisse un mort et deux blessés graves sur le terrain[12]. Et le 11 juillet 1911, le concours de Roubaix mobilise 50 000 spectateurs, 8 000 gymnastes ; mais aussi 3 000 opposants anticléricaux et 400 gendarmes quil faudra renforcer de deux escadrons de dragons et de deux brigades de police[13]. Cest la guerre et la situation perdure car trois semaines avant la déclaration de la Grande Guerre, le 12 juillet 1914 à Roanne, un préfet zélé mobilise larmée et fait charger un défilé par la garde mobile au prétexte que des prêtres laccompagnent[14].

Charles Simon, secrétaire général de la FGSPF et président fondateur du CFI, ancêtre de la Fédération française de football dans son bureau du 5, place Saint-Thomas d'Aquin

Néanmoins les adhésions se multiplient, en particulier en province et en 1911, cest une société de Bordeaux, La Flêche, qui remporte le championnat fédéral de gymnastique[15]. Lannée suivante, lors du 9e congrès fédéral on comptabilise 43 unions régionales et 1 250 sociétés affiliées[16]. La FGSPF qui comptait 13 clubs affiliés fin 1898 en enregistre 1 504 en 1914[17]. Par solidarité avec nos provinces annexées à lAllemagne, deux concours sont organisés à Nancy, en 1909 puis en 1911. Lors du second des sociétés dAlsace, Belgique, Hollande, Irlande, Italie, Canada sont invitées et la FGSPF rassemble 8 500 athlètes dans la capitale lorraine. Les 25 délégations étrangères constituent sur place lUnion internationale des œuvres catholiques déducation physique (UIOCEP) - aujourdhui Fédération internationale catholique déducation physique et sportive (FICEP) - dont Paul Michaux assure la vice-présidence[18]. En décembre 1911, cette union se réunit à Rome pour établir ses statuts avec les encouragements de Pie XI[19]. Et pour mieux faire face à ses missions, la FGSPF sera aussi la première fédération française à se préoccuper de sport scolaire à travers son Union gymnastique et sportive de lenseignement libre (UGSEL, devenue Union générale sportive de lenseignement libre) créée le 29 mars 1911[20] avec René Barbier de la Serre.

1916 : un directeur de patronage paroissial entouré dun groupe de permissionaires.

Pour le docteur Michaux, sous-tendu par lespoir de reconquérir lAlsace et sa Lorraine, la préparation militaire et le tir sont aussi une priorité fédérale : au Brevet daptitude militaire 1914, un lauréat sur trois la préparé au sein de la FGSPF. Et 25 000 adhérents de la FGSPF tombent au champ d'honneur durant la Première Guerre mondiale dont beaucoup de cadres et de prêtres-directeurs. Elle ninterrompt cependant pas ses activités et Paul Michaux peut organiser dès le 4 août 1919 le premier concours daprès-guerre dans une grande ville redevenue française : 7 000 gymnastes venus de tout lhexagone se retrouvent alors à Metz[21].

Les Bon gars de Bordeaux, vainqueurs du championnat de France de football FGSPF en 1909

Pendant ce temps, la majorité des groupements sportifs françaisy compris de nombreux patronages et établissements scolaires religieuxadhère toujours à lUnion des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), qui dispose de commissions spécialisées pour chacun deux. Ses dirigeants, férus de football-rugby, savèrent plus réticents vis-à-vis du football-association qui mobilise déjà des sportifs professionnels outre-Manche. Mais qui est aussi largement pratiqué dans les cours des presbytères et dont la nouvelle FSCG ne peut plus se désintéresser. Cest peut-être pour affirmer sa légitimité à sen préoccuper quelle prend en 1903 le nom de Fédération gymnastique et sportive des patronages de France[2]. Les difficultés saccumulant, cest son secrétaire général, Charles Simon (1882-1915) qui est à linitiative de la fondation du Comité français interfédéral en 1907[22]. Il reçoit alors ladhésion individuelle de membres de lUSFSA favorables au football. Ces adhésions ne sont pas toujours désintéressées : lUSFSA ayant quitté avec fracas en 1908 la Fédération internationale de football association (FIFA) Simon y a immédiatement affilié le CFI devenu le seul organisme à y représenter la France.

Vice-président de la Fédération française de basket-ball, de sa création à 1951, puis trésorier de 1945 à 1955, Armand Thibaudeau marque la présence des patronages au sein de cette discipline sportive.

Le siège du CFI fut toujours celui de la FGSPF : 5, place Saint-Thomas-dAquin à Paris[23]. Le 15 juin 1915, Charles Simon tombe au champ dhonneur et Henri Delaunay lui succède dans ses fonctions à la FGSPF et au CFI. Ceux-ci décident le 5 janvier 1917 de donner le nom du héros disparu à la Coupe de France de football. Et le 7 avril 1919, le CFI devient Fédération française de football (FFF)[24] sous la présidence de Jules Rimet et le secrétariat général dHenri Delaunay qui cède sa place à la FGSPF à Armand Thibaudeau, lui-même aux origines de la Fédération française de basket-ball (FFBB).

Le basket-ball, la culture, la J.O.C. (1919-1940)

Affiche du concours international organisé par la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France au Champ-de-mars à Paris les 21 et 22 juillet 1923, sous la présidence dhonneur dAlexandre Millerand, président de la République française.

Après avoir accueilli et intégré le 15 mai 1919 lElsâsser Turnerbund (ETB), organisation des sociétés catholiques de gymnastique dAlsace, qui prend alors nom dAvant-garde du Rhin[25], la FGSPF célèbre la victoire le 4 août par un grand concours à Metz, ville natale de Paul Michaux, redevenue française[24]. Pour cela, plus de 25 000 jeunes issus des patronages sont tombés au champ dhonneur et il a fallu ce sacrifice pour pacifier les rapports avec les pouvoirs publics. Le 20 mars 1921 le docteur Michaux reçoit la Légion dhonneur pour « services distingués, éminents, et particulièrement dévoués […] rendus […] à la jeunesse »[26]. La FGSPF est agréée dès 1922 et ses associations reçoivent agréments et subventions du Ministère de la Guerre. Cest le départ dune ère particulièrement faste : entre la récente disparition de lUSFSA et le développement encore balbutiant des fédérations unisports, auquel elle participe largement pour le football et le basket-ball, elle est la première fédération sportive française.

Et elle assume ce statut en étant à linitiative des grandes innovations de lentre-deux-guerres : assurance sportive en 1924, certificat médical en 1930à linitiative du docteur Récamier[27], brevet sportif populaire, brevets du footballeur et du basketteur-athlète. La disparition de Paul Michaux en 1923, remplacé par François Hébrard ne brise pas lélan. Les sports se développent et plus particulièrement le basket-ball le secrétaire général, Armand Thibaudeau sinvestit particulièrement dans ce nouveau sport qui se structure dabord en 1920 au sein de la Fédération française dathlétisme née de léclatement de lUSFSA dès la fin de la guerre. Et cest ainsi quun patronage du Havre fondé en 1874, lUnion Saint-Thomas-dAquin sera le premier club enregistré par la FFBB lors de son accès à lautonomie en 1932. Cest aussi lépoque du développement des patronages de lAlgérie française et encore le basket est au premier plan : les Spartiates d'Oran, meilleur club dAlgérie, sont sacrés champions de l'Union Française en 1949 après avoir battu l'équipe de France militaire et Villeurbanne (ASVEL), champion de France[28].

1905Représentation théâtrale dans un patronage. Il faudra attendre 1968 pour que la Fédération sportive et culturelle de France prenne officiellement en charge cette activité bien présente dans ses associations dès son origine.

Mais la gymnastique reste bien lactivité principale. Gabriel Maucurier, ancien international et inspecteur de la ville de Paris, poursuit un important travail de formation. En 1935, la fédération organise sous sa direction son premier cours de moniteurs fédéraux à lÉcole supérieure de Joinville[29]. Aux Jeux olympiques de Berlin, la moitié de léquipe de France est ainsi issue de la FGSPF. Et aux Jeux de lUIOCEP de Vienne (1936)[30] puis de Ljubjana (1938) la FGSPF domine largement les autres nations avec les frères Schildwein, Hérold, Herman[31]. Les sports et la gymnastique sont certes la raison dêtre de cette dernière. Mais la préparation militaire reste toujours une mission importante et en 1935, 3.732 brevets sont attribués sous son autorité[29]. Elle ne peut se désintéresser du théâtre ni du cinéma, fortes parties de lactivité des patronages dès leur origine au XIX°. Par souci de non concurrence, la FGSPF ne structure pas ces domaines qui relèvent de lAssociation théâtrale des œuvres catholiques déducation populaire (ATOCEP) et de la Fédération loisirs et culture cinématographiques (FLECC) qui gèrent ce champ dactivité. Il en est de même pour les colonies de vacances qui fleurissent avec les premiers congés payés dès 1922 et laction de Marc Sangnier (1873-1950) au niveau des Auberges de Jeunesse à partir de 1929 ; et parfois des troupes scoutes rattachées localement aux patronages.

La FGSPF suit aussi le développement du sport scolaire qui nécessite de donner toute son autonomie à lUnion générale sportive de lenseignement libre (UGSEL) peu avant la guerre. Ei elle accompagne le passage parfois délicat des cercles détudes traditionnels toutes les « classes » se côtoyaient vers la nouvelle action catholique spécialisée (JOC, JAC, ACO)[32]. Reconnue dutilité publique par le décret du 31 mars 1932[33] et véritable pivot de tout un champ déducation populaire, elle va devoir affronter à nouveau la guerre. Elle le fait avec une relative discrétion sous le sigle imposé par les pouvoir publics dUnion sportive et gymnique des patronages de France (UGSPF) puis reprend son titre de façon éphémère pour le troquer contre celui de Fédération sportive de France en 1947[2].

Notes et références

  1. Piard 2009, p. 14
  2. a, b et c Fédération sportive et culturelle de France 2010, p. 1
  3. Piard 2009, p. 17
  4. Piard 2000, p. 30
  5. Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 34
  6. Robert Hervet 1948, p. 35
  7. Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 36
  8. Robert Hervet 1948, p. 32
  9. Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 38-39
  10. Tranvouez 1999, p. 115-126
  11. Piard 2009, p. 22
  12. Piard 2009, p. 11
  13. Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 37-38
  14. European committee for sport history 2004, p. 199
  15. Hervet 1948, p. 56
  16. Hervet 1948, p. 57
  17. Laurence Munoz et Jan Tolleneer 2011, p. 29
  18. Jung 2000, p. 97
  19. Jean-Marie Jouaret, Petite histoire partielle et partiale de la Fédération Sportive et Culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF, 1999, p. 168 
  20. Hervet 1948, p. 41
  21. Robert Hervet 1948, p. 64
  22. Comprendre. Du premier club à la FFF sur archeofoot.pagesperso-orange.fr. Consulté le 26 avril 2011
  23. Hervet 1948, p. 40
  24. a et b Hervet 1948, p. 64
  25. AGR 1921, p. 15
  26. Jung 2000, p. 98
  27. Fédération sportive et culturelle de France 2010, p. 2
  28. FGSPF, « [précision nécessaire] », dans Les Jeunes, no 770, 14 mars 1937, p. [précision nécessaire] 
  29. a et b Hervet 1948, p. 151
  30. Hervet 1948, p. 152
  31. Hervet 1948, p. 155
  32. Cholvy 1988, p. 27
  33. Léon Compagne, Brochure des 80 ans de lUnion Comtoise, 1985, 100 p., p. 33.
    Archive au siège de la FSCF consultée le 7 juillet 2011
     

Bibliographie

  • AGR, Guide-Programme officiel du concours international des gymnastes catholiques de Strasbourg 6, 7 et 8 août 1921, sous le haut patronage de Mr Alexandre Millerand, président de la République et de M. le Maréchal Foch, Strasbourg, 1921, 102 p. 
  • Gérard Cholvy, Le patro : ghetto ou vivier ?, Paris, Nouvelle cité, 1988 
  • European committee for sport history, Sport et idéologie, t. 2, Besançon, 2004 
  • Fédération sportive et culturelle de France, Programme fédéral, Paris, FSCF, 2010 
  • Robert Hervet (préf. François Hébrard), La FSF de 1898 à 1948, Paris, 1948, 173 p. (OCLC 66302325) 
  • Jean-Marie Jouaret, Petite histoire partielle et partiale de la Fédération Sportive et Culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF, 1999 
  • François Jung, « Le Docteur Paul Michaux, 1854-1924 », dans Mémoires de lANM, 2000 [texte intégral] 
  • Laurence Munoz et Jan Tolleneer, LÉglise, le sport et lEurope : La Fédération internationale catholique déducation physique (FICEP) à lépreuve du temps (19112011), Paris, LHarmattan, coll. « Espaces et Temps du sport », 20 mai 2011, 354 p. (ISBN 978-2-296-54931-9) 
  • Claude Piard, Ou va la gym ?, Paris, L'Harmattan, 2000 
  • Claude Piard, 125 ans avec un patro de banlieues, Paris, L'Harmattan, 2009 
  • Yvon Tranvouez, Sport, culture et religion, les patronages catholiques (1898-1998), Brest, Presses de luniversité de Bretagne occidentale, 1999 
  • Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) 1898-2002 et du Rayon sportif féminin (RSF) 1936-1984, Archives nationales du monde du travail, septembre 2007, 56 p.
    Dépôts des archives de la Fédération sportive et culturelle de France aux Archives nationales du monde du travail, au sein du Pôle national des archives du monde sportif et dans le cadre du programme MéMoS (mémoire du sport).
     

Sur les autres projets Wikimedia :


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Fédération gymnastique et sportive des patronages de France de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужно сделать НИР?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Federation gymnastique et sportive des patronages de France — Fédération gymnastique et sportive des patronages de France La Fédération gymnastique et sportive des patronages de France fut une fédération sportive française omnisports fondée en 1898 à Paris par le docteur Paul Michaux. En 1946, cette… …   Wikipédia en Français

  • Fédération Gymnastique Et Sportive Des Patronages De France — La Fédération gymnastique et sportive des patronages de France fut une fédération sportive française omnisports fondée en 1898 à Paris par le docteur Paul Michaux. En 1946, cette fédération est rebaptisée Fédération sportive de France puis… …   Wikipédia en Français

  • Fédération gymnastique et sportive des patronages de france — La Fédération gymnastique et sportive des patronages de France fut une fédération sportive française omnisports fondée en 1898 à Paris par le docteur Paul Michaux. En 1946, cette fédération est rebaptisée Fédération sportive de France puis… …   Wikipédia en Français

  • Union gymnique et sportive des patronages de France — Pour des informations plus générales sur ce sujet, voir Fédération sportive et culturelle de France. Union gymnique et sportive des patronages de France Pas de logo ? Importez le logo de cette fédération. Sigle UGSPF Nom précédent Fédération …   Wikipédia en Français

  • Union gymnastique et sportive des patronages catholiques de la Loire — Comité départemental FSCF de la Loire Sigle CD LOIRE Sport représenté Omisports, éveil de l enfant, activités culturelles Création 1905  …   Wikipédia en Français

  • Fédération sportive et culturelle de France — Sigle FSCF Sport représenté gymnastique, GRS, twirling, gym d’entretien et de remise en forme, natation, danse, théâtre, musique, football, basket ball, randonnée pédestre, arts martiaux …   Wikipédia en Français

  • Patronages de l'Algérie française — Patronages de l’Algérie française FGSPF[A 1] bulletin hebdomadaire « Les Jeunes » nº 455 du 29 ju …   Wikipédia en Français

  • Fédération internationale catholique d'éducation physique et sportive — Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive Logo de la Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive depuis 2011. Sigle FICEP Sport représenté omnisports …   Wikipédia en Français

  • Fédération des sociétés catholiques de gymnastique du Rhône et du sud-est — Comité départemental du Rhône FSCF Logo actuel de l ex Fédération des sociétés catholiques de gymnastique du Rhône et du sud est Sigle CD Rhône Sport représenté Multisports multiactivités cu …   Wikipédia en Français

  • Fédération internationale catholique d'éducation physique et sportive — The Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive[1] – FICEP[1] – is an international nongovernmental organization (INGO), which governs all sports associations related to Catholicism. The FICEP has been founded between… …   Wikipedia

Share the article and excerpts

Direct link
https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/672521 Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”