Cinéma albanais

Cinéma albanais
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Longtemps confiné dans son isolement géo-politique, le cinéma albanais a fait de brèves apparitions dans quelques salles et festivals spécialisés[1], mais na véritablement retenu lattention des médias occidentaux quau début des années 2000, à loccasion de la sortie de deux films phares, Slogans de Gjergj Xhuvani et Tirana, année zéro de Fatmir Koçi. Il faut bien reconnaître quaujourdhui encore les sources dinformation en langue française restent peu nombreuses.

Sommaire

Histoire du cinéma albanais

Le temps des pionniers

Selon Natasha Lako[2], les véritables débuts du cinéma en Albanie dateraient de 1897, soit deux ans seulement après la première projection publique des frères Lumière à Paris. A ce moment-, le pays vit encore sous le joug de lEmpire ottoman, une culture coloniale très réticente à la représentation de lhomme. Cest dire que les débuts de la photographie et du cinéma vont se faire dans des conditions difficiles.

Deux frères photographes originaires de Macédoine, les frères Manákis[3] arpentent infatigablement les Balkans et sinstallent à Bitola (Manastir) en 1905. Sétant procuré une caméra 300 à Londres, ils filment la vie quotidienne dans la région, et notamment le Congrès de Manastir, un important épisode de lhistoire de lAlbanie qui établit la standardisation de lalphabet albanais en 1908 et qui se tient justement dans leur ville[4].

De son côté, Kolë Idromeno, — peintre, architecte et urbanisteavait installé dans sa ville natale Shkodër dès 1883 un laboratoire de photographie, Driteshkronja Idromeno et entretenait une correspondance avec les frères Lumière. Il est le premier à organiser des projections publiques dans le centre culturel Gjuha Shqipe. En 1912 il signe aussi un contrat avec le représentant dune société autrichienne, Josef Stauber, qui permettra aux Albanais de souvrir aux cinémas étrangers.

En parallèle, dautres séances ont lieu en 1911 dans le café Stema de Korçë.

Dans ces quelques villes, puis dautres, les Albanais découvrent donc le cinéma à peu près au moment leur pays accède à lindépendance (1912), même si une partie du territoire reste occupée.

Lembellie de lindépendance

Pendant les 30 ans qui suivent la déclaration dindépendance, aussi bien les sociétés de production européennes et américaines que les amateurs tournent principalement des actualités et des films documentaires[5]. Entre les deux guerres cest donc linfluence étrangère qui domine, en particulier les cinéma américain, français et italien. Les Albanais apprécient Greta Garbo dans Mata-Hari, Ingrid Bergman dans Hantise, Maurice Chevalier, Laurence Olivier dans le Rebecca de Alfred Hitchcock, également Charlie Chaplin, Maurice Chevalier ou Fred Astaire.

Ils remarquent aussi la présence dacteurs albanais auprès des stars dans ces films étrangers, par exemple le célèbre Alexander Moissi venu du théâtre, ou encore Kristaq Antoniu, Elena Qirici.

Les salles de cinéma se multiplient dans les années 1920 et un véritable réseau de distribution se met en place. Pourtant en 1926 les représentants de la première société cinématographique albanaise, Alqi Hobdari et Xhuf Koljan ne cachent pas que sils prennent de tels risques financiers, cest uniquement par patriotisme, car ces capitaux leur rapporteraient certainement plus dargent sils étaient investis dans le commerce ou lindustrie.

En 1928 lAlbanie redevient une monarchie, avec lauto-proclamation de Zog Ier. Lune des conséquences en est que lattention des caméras étrangères se tourne désormais volontiers vers les parades, les exercices militaires et les tenues dapparat. Comme il ny a pas de maisons dédition, ce sont souvent des peintres qui reproduisent les affiches, par exemple Stavri Madhi et bien dautres.

Lemprise de l'État

Le 7 avril 1939 une partie de lAlbanie est occupée par lItalie, et la distribution des films est gérée à Rome. En 1942, à linitiative directe du comte Ciano et de Mussolini une société de production est créée, Tomorri Films, qui existe toujours. Pour la première fois un documentaire est tourné par un réalisateur albanais, mais la mainmise de lÉtat se fait de plus en plus pesante. De septembre 1943 à novembre 1944 les salles sont entièrement contrôlées par les nazis.

En 1944 les cinéastes amateurs constituent des témoins privilégiés, filmant le départ des nazis de Shkodër ou larrivée des troupes de libération dans la capitale.

Le 22 décembre 1945 une loi décrète la nationalisation de lacquisition, de limportation et de la distribution des films en Albanie. Deux jours plus tard lAgence albanaise du cinéma est créée. Elle sera transformée en Société cinématographique nationale dAlbanie en 1947. Par ailleurs tous les cinémas privés sont nationalisés.

Le royaume albanais devient la République populaire d'Albanie le 11 janvier 1946, et cest Enver Hoxha qui va diriger le pays dune main de fer pratiquement jusquà sa mort en 1985.

Au cinéma une nouvelle étape est franchie avec la création des premiers studios albanais, Shqipëria e Re ("Albanie Nouvelle") en 1952.

Dans un pays le taux danalphabétisme reste élevé dans les années 1940 et 1950, le gouvernement sattache à accroître le nombre de salles et de projecteurs mobiles, ainsi que limportation de films, principalement des pays de lEst, de France et dItalie.

Les débuts dune production nationale

Le premier long métrage est en réalité une coproduction albano-russe consacrée au héros national albanais, Skanderbeg. Cette fresque historique, LIndomptable Skanderbeg (Skënderbeu), réalisée en 1953 par Sergueï Ioutkevitch fut primée au Festival de Cannes 1954 (Prix International et mention spéciale pour la réalisation).

Les premiers films entièrement réalisés par des Albanais sont Fëmijët e saj, un court métrage mélodramatique réalisé dans le cadre de sa formation par Hysen Hakani en 1957 et Tana de Kristaq Dhamo en 1958, daprès le roman de Fatmir Gjata, et qui peut être considéré comme le premier long métrage albanais.

Les années 1960 sont marquées par la production régulière dun film par an en moyenne, avec une prédilection pour des thèmes liés à la résistance contre les occupants nazis et fascistes, ainsi quaux réformes mises en place immédiatement après la guerre. De jeunes réalisateurs, tels que Dhimitër Anagnosti, Viktor Gjika, Gëzim Erebara et Piro Milkani, font leur premier film à ce moment-.

Au cours de la décennie suivante, le gouvernement mène dans le domaine de la culture une politique isolationniste qui conduit notamment à une réduction drastique des importations. La production de films nationaux saccroît alors de manière significative, pour atteindre 5 à 6 longs métrages par an au début des années 1970, puis 8 à 10 et enfin 14 dans les années 1980.

Les genres se diversifient, et lon voit apparaître notamment les premiers films pour enfants, un domaine dans lequel lAlbanie se distinguera à plusieurs reprises, notamment à travers la réalisatrice Xhanfize Keko, épouse du cinéaste Endri Keko. Après une dizaine dautres films, son Beni ecën vetë est particulièrement remarqué en 1975 à l'occasion du Festival du film pour enfants de Giffoni (Italie). Cest lhistoire de Ben, un petit garçon surprotégé qui, grâce à un oncle qui lemmène à la campagne, va saffranchir petit à petit.

Quelques réalisateurs sessayent aussi à la comédie de situations, tels que Fehmi Oshafi et Muharrem Fejzo. Dans Kapedani (1972), loncle Sulo, un peu misogyne, est contrarié parce que la coopérative du village est dirigée par une femme. Parti à Tirana pour défendre ses droits, il va de surprise en surprise.

Même si des films historiques et musicaux (par exemple Cuca e maleve de Dhimitër Anagnosti en 1974) sont également produits, le genre préféré des Albanais reste le film dramatique, voire mélodramatique et - il faut bien le dire - un rien moralisateur.

Pendant cette décennie une nouvelle génération de réalisateurs se fait connaître, tels que Rikard Ljarja, Saimir Kumbaro, Ibrahim Muço, Kristaq Mitro ou encore Esat Musliu. La Radio-Télévision albanaise se met aussi à produire des films, par exemple Udha e shkronjave et Kur hidleshin themelet, réalisés par Vladimir Prifti en 1978. Voici les propos de Claudio Gubitosi, le directeur du Festival de Giffoni : « Je savais que 1978 représentait l'époque magique de la cinématographie albanaise »[6].

A la fin de cette période, particulièrement dans les années 1980, les films albanais se tournent davantage vers des événements immédiatement contemporains, ou alors antérieurs à la Seconde Guerre mondiale. De nouveaux noms de réalisateurs émergent, à travers des films tels que Face à face (1979), de Kujtim Çashku et Piro Milkani ; La Main de lhomme (1983, Kujtim Çashku) ; Agimet e stinës madhe (1981, Albert Minga), Kohë e largët (1983, Spartak Pecani) ; Tela për violinë (1987, Bujar Kapexhiu) et bien d'autres.

En ce qui concerne les films documentaires, leur production se stabilise autour de 20 à 40 films par an pendant les années 1970 et 1980. Des thèmes plutôt culturels sont désormais abordés, mais la propagande na pas disparu.

Cest alors quapparaît aussi le cinéma d'animation albanais, avec le petit film de 7 minutes réalisé par Vlash Droboniku et Tomi Vaso en 1975, Zana dhe Miri. La production d'animations atteint alors environ 16 films par an.

A cette époque les studios Shqipëria e re et la Télévision albanaisedans le cadre dune organisation étatique centraliséecontrôlent pratiquement toute la production cinématographique du pays.

Le mort du dictateur Enver Hoxha en 1985, puis la chute du mur de Berlin vont précipiter les événements et conduire à dimportants changements en Albanie. Vers 1990, la situation du cinéma est la suivante : on trouve dans le pays environ 450 salles permanentes ou mobiles, souvent vétustes, aux équipements obsolètes. Les films eux mêmes sont assez conservateurs, la prise de risques étant de toute façon difficile, et de fait 80 longs métrages sur 200 sont des adaptations dœuvres littéraires albanaises.

Laprès-communisme

De profondes réformes suivent ces bouleversements politiques. Le studio unique éclate en plusieurs unités et des films sont désormais produits par des entreprises privées, en coopération avec dune part le Centre national de la cinématographie Qendra Kombëtare e Kinematografisë (QKK) fondé au milieu des années 1990 et dautre part des producteurs étrangers. QKK se trouve désormais en position de force, ce qui nest pas du goût de tous les professionnels du cinéma.

Dans les années 1950, réalisateurs et techniciens albanais avaient commencé à se former dans les pays de lEst, à Prague ou à Moscou. Parmi les générations suivantes beaucoup suivent des formations à lAcadémie des Beaux-Arts de Tirana ou au sein du studio lui-même.

Une certaine forme de critique cinématographique et de réflexion théorique sur le cinéma sest développée en parallèle, principalement le fait des professionnels du cinéma eux mêmes ou de journalistes. Un périodique spécialisé existait dans les années 1980, Skena dhe Ekrani ("Stage and Screen"), mais il a cessé de paraître au début de la décennie suivante. Une section spécifique du Centre détudes artistiques de lAcadémie des sciences travaille sur lhistoire du cinéma albanais. Jusquau début des années 1990 les réalisateurs étaient membres de la Ligue albanaise des écrivains et artistes. Par la suite ils ont fait sécession et ont monté une association de réalisateurs albanais, La Lumière, dont les membres fondateurs sont le réalisateur Kujtim Çashku, le scénariste Vath Koreshi ainsi que Petrit Beci, directeur du Centre national de la cinématographie (albanais).

En 1997 les Archives nationales du film qui faisaient autrefois partie des studios officiels sont devenues une institution autonome, membre de la FIAF (Fédération internationale des archives du film). Elles sont aujourdhui dirigées par Natasha Lako.

Depuis 1976 des festivals nationaux étaient organisés en Albanie, dabord de manière un peu anarchique, puis plus systématiquement, en alternant par exemple un long métrage de fiction avec un documentaire ou un film danimation. Le 11e festivalcelui de lan 2000rassemble toutes les production des cinq années antérieures, à savoir 10 longs métrages, 27 documentaires et 14 dessins animés. Dans cette production des années 1990 on perçoittoujours la critique sociale, la préoccupation des artistes pour les problèmes de société, tout particulièrement les phénomènes nouveaux liés à cette ère de transition. Un certain nombre de films ne manquent pas de stigmatiser le totalitarisme. Autre constatation notable : pour la première fois des films réalisés par des réalisateurs albanais originaires du Kosovo, de Macédoine ou du Monténégro sont présentés. Dans les festivals de 1995 et 2000outre les prix habituels, des récompenses pour lensemble de leur carrière ont également été attribués aux réalisateurs Dhimitër Anagnosti et Kristaq Dhamo, ainsi quaux acteurs Kadri Roshi et Sulejman Pitarka.

Lavenir du cinéma albanais

LAlbanie traverse actuellement une difficile période de transition et dajustement à léconomie de marché, et des voix sélèvent pour déplorer, voire dénoncer cette situation. En effet la production de films décroît, le nombre de salles de cinéma est en chute libre. Des efforts récents ont été faits pour créer de nouveaux complexes cinématographiques, tel que le Millenium à Tirana ou son équivalent à Elbasan, mais lon y projette surtout des westerns et des blockbusters américains.

Il faut reconnaître que, malgré lapparition dun nouveau cinéma national et les récompenses obtenues notamment par Slogans et Tirana, année zéro[7] en 2001, nombre dAlbanais restent attachés aux anciens films, régulièrement diffusés sur les différentes chaînes de télévision privées. La propagande dalors semble inspirer davantage de dérision, voire de sourires attendris, que de rejet ou dindignation. Quon le déplore ou non, on peut sans doute rapprocher cette attitude de lOstalgie observée ces dernières années en Allemagne.

Pourtant les talents et les enthousiasmes ne manquent pas, mais les financements font souvent défaut. Les jeunes réalisateurs se tournent vers les chaînes de télévision et fondent aussi beaucoup despoir sur laide internationale[8].

L'avenir du cinéma albanais est aussi lié à une meilleure visibilité du pays hors de ses frontièresune évolution certes probable, mais dont beaucoup déplorent la lenteur.

Films albanais

Article détaillé : liste de films albanais.

Personnalités du cinéma albanais

Réalisateurs et réalisatrices

Dhimitër AnagnostiKujtim Çashku - Kristaq DhamoGëzim Erebara - Muharrem Fejzo - Viktor Gjika - Hysen HakaniEndri Keko - Xhanfize Keko - Fatmir KoçiSaimir Kumbaro - Piro MilkaniArtan MinarolliAlbert Minga - Kristaq MitroEsat MusliuFehmi Oshafi - Vladimir PriftiMevlan Shanaj - Gjergj Xhuvani

Acteurs et actrices

Sandër Prosi - Violeta Manushi - Guljem Radoja - Timo Flloko - Rajmonda Bulku - Artur Gorishti - Birçe Hasko - Margarita Xhepa - Birçe Hasko - Kristaq Antoniu - Roza Anagnosti - Faruk Begolli - Tinka Kurti - Marie Logoreci - Nevin MeçajPiro Milkani - Alexander Moissi - Nexhmije Pagarusha - Sulejman Pitarka - Muharrem QenaAgim Qiriaqi - Elena Qirici - Kadri RoshiLuiza Xhuvani - Ndriçim Xhepa

Organisations

  • Archives : Archives nationales du film (Arkivi Qendror Shteteror i Filmit), créées le 1er avril 1997 à Tirana.
  • Studios : Alba Film Studio, autrefois Sqipëria e re (« Albanie Nouvelle »)
  • Formations : Marubi Film and Multimedia School à Tirana (ainsi nommée en hommage aux Marubi, une famille de pionniers de la photographie), dont le directeur actuel est le réalisateur Kushtim Çashku.
  • Festivals : TIFF (Tirana International Film Festival), festival de courts métrages fondé en 2003)

Notes

  1. Par exemple le festival du Film pour enfants de Giffoni ou les festivals du Cinéma méditerranéen de Bruxelles, Bastia ou Montpellier.
  2. Poète, romancière, chercheuse, directrice des Archives nationales du film à Tirana et épouse du réalisateur Mevlan Shanaj
  3. Depuis 1979, un festival « Brana Manaki » (les frères Manaki) est organisé chaque année à Bitola en leur honneur, une manifestation qui a pris une envergure internationale en 1993
  4. Theo Angelopoulos évoque ces pionniers du cinéma dans Le Regard d'Ulysse, un film de 1995.
  5. De multiples entreprises ont ainsi été recensées, telles que la société anglaise Charles Urban, mais aussi pour la France Albert Kahn, Pathé, Gaumont, Eclair ; pour l'Italie Aquila, Savoia, Comerio, Luce ; pour l'Autriche Sascha Film Fabrik, Wiener Autorenfilm ; pour l'Allemagne UFA, Kabinet Film, Olimpia Werber Film, Otima Film Gmbh ; pour la Suisse Ruch ; pour la Belgique Kurt Thorman Film ; pour les États-Unis The March of Time, Paramount Pictures, Fox MovietoneNews).
  6. Article "Le festival italien du film de Giffoni arrive en Albanie" [1] (Le Courrier des Balkans, 7 novembre 2005).
  7. Ce film de Fatmir Koçi qui soulève cette question que beaucoup se posent (faut-il partir ou rester malgré tout en Albanie ?) a été très mal reçu par la critique nationale et la diaspora albanaise
  8. « En Albanie, Albert Minga naurait pu mener à bien son premier film, Les Portes dEve, sans lappui indéfectible de la société de production russe Studio 12A, dont le directeur, Alexandre Mikhaïlov, a affronter les difficultés inhérentes à la production dune première œuvre dans le pays le plus pauvre dEurope », propos cités dans l'article "A lEst, des premiers films en quête de producteurs" [2]

Bibliographie

  • (fr) Françoise Audé, article, Positif n° 327, p. 73.
  • (fr) Anne-Marie Autissier, "Le Cinéma albanais : état des lieux et perspectives", Le Bulletin de l'IDATE n° 41, 1990, p. 47-50.
  • (fr) Collectif, Le Cinéma albanais, Paris, Groupe de travail de lUniversité de Vincennes-Paris VIII, 1975, 58 p.
  • (fr) Gérard Girard, "Le cinéma albanais", Écran n° 48, p. 73.
  • (fr) Guy Hennebelle, "Les méfaits de langélisme socialiste", Écran n° 58, p. 5.
  • (fr) François Quénin, article, Cinéma n° 435, p. 6.
  • (fr) André Serceau, "Cinéma-mensonge : Staline pas mort", Écran n° 80, p. 7

Filmographie

  • Kinostudio, le sanctuaire aux images du pays des Aigles, film documentaire de Thierry Gentet, France, Mira Productions et France 3 Corse, 2006, 52 min.

Liens externes


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