Chrétiens d'Orient

Chrétiens d'Orient

L'expression « chrétiens d'Orient » recouvre des acceptions différentes. Au sens large, elle désigne tous les chrétiens non-latins, c'est-à-dire les chrétiens orthodoxes et ceux du Proche- et Moyen-Orient. On y inclut aussi les minorités plus ou moins importantes d'Iran, de Turquie, d'Inde, du Pakistan, d'Indonésie et d'Éthiopie[1].

Sommaire

Naissance et développement des chrétiens d'Orient

La naissance des communautés chrétiennes en Orient

Le christianisme est né et s'est d'abord développé dans la partie orientale de l'Empire romain. C'est même à Antioche, alors capitale de la province romaine de Syrie, que les disciples du Christ auraient pour la première fois reçu le nom de « chrétiens »[2]. Si la naissance et le développement du christianisme sont relativement bien connus, il est plus difficile de retracer l'histoire des communautés chrétiennes d'Orient hors de l'Empire. Cependant, il est certain, qu'Édesse, capitale du royaume d'Osroène, a été le cœur de la chrétienté de langue araméenne[1]. La première trace de chrétiens à Édesse date de 200. Il semble aussi que c'est de cette ville que l'évangélisation de la Mésopotamie soit partie. En Iran, le christianisme se développe sous le règne de l'empereur Shapour Ier au milieu du IIIe siècle, grâce à la déportation en Perse de prisonniers chrétiens d'origine grecque ou araméenne[3]. Toutes ces communautés dépendent du patriarcat d'Antioche. À partir de la fin du IIIe siècle, le christianisme se propage le long du golfe arabo-persique. Quand Constantin se convertit au début du IVe siècle, les chrétiens d'Orient forment une communauté nombreuse et organisée. Au milieu du VIe siècle, on mentionne l'existence de chrétiens à Ceylan et un évêché dans le Kerala actuel.

Concile de Nicée représenté sur une icône.

Les chrétiens de Mésopotamie se trouvent vite dans une situation délicate. Les affrontements entre les Parthes puis les Perses avec l'Empire romain puis byzantin les coupent souvent du patriarcat d'Antioche. Quand en 391-392, le christianisme devient la religion officielle de l'Empire, l'empereur est considéré comme le protecteur de tous les chrétiens. Les chrétiens vivant dans l'Empire perse sont considérés comme des traîtres potentiels. La répression et les persécutions sont donc très importantes. Ceci explique pourquoi se développe dans cette région, une Église autocéphale qui ne reconnaît aucune autorité extérieure, l'Église apostolique d'Orient, appelée parfois Église nestorienne. Le plus ancien synode de cette Église date de 410. L'évêque de Séleucie-Ctésiphon, capitale de l'empire sassanide est le chef de l'Église d'Orient. Il n'a aucune autorité au-dessus de lui[4]. Le credo est le même que celui de Nicée en 325. La séparation ne se fait donc pas sur des bases religieuses mais sur des considérations liées à la situation géopolitique du Moyen-Orient. Se séparer pour survivre en tant que religion est la seule solution des chrétiens d'Irak ou d'Iran.

En ce qui concerne, l'Égypte, on sait qu'il y a eu des chrétiens dès le Ier siècle. La tradition chrétienne en fait même une des provinces les plus christianisées à l'avénement de l'empereur Constantin.. La christianisation de l'Éthiopie est mieux connue. Au IVe siècle, deux marchands romains font naufrage en revenant d'Inde. Ils commencent à évangéliser l'Éthiopie. Au milieu du IVe siècle, le roi est christianisé. La Bible est traduite en guèze. L'Éthiopie est le premier pays africain évangélisé, confirmant ainsi la vocation universelle et non attachée à une race ou une civilisation du christianisme. L'Église éthiopienne est rattachée au patriarcat d'Alexandrie mais, étant donné son isolement, elle bénéficie d'une grande autonomie. Elle développe ses propres rites tout en conservant la même doctrine.

Les disputes théologiques

Les disputations théologiques de l'Antiquité tardive sont essentiellement des querelles christologiques. Elles portent sur la manière de considérer les deux natures du Christ. À Antioche, les penseurs chrétiens, avec à leur tête Théodore de Mopsueste défendent l'idée qu'il existe deux natures parfaitement distinctes dans le Christ. Ces thèses sont reprises par le patriarche de Constantinople Nestorius. Le Christ est constitué de deux natures séparées, une nature humaine et une nature divine. Pour Nestorius, Marie est uniquement la mère du Christ homme (christotokos) et non pas celle de Dieu (theotokos)[5]. À Alexandrie par contre, est défendue l'idée de l'union parfaite de l'homme et de Dieu dans la personne du Christ. Le concile d'Éphèse, dominé par la forte personnalité du patriarche Cyrille d'Alexandrie, aboutit en 431 à la condamnation des thèses de Nestorius. L'École théologique d'Antioche perd rapidement de son importance, et les partisans de Nestorius se réfugient en dehors de l'Empire romain d'Occident. L'Église d'Orient adopte une profession de foi inverse de l'arianisme et de l'unitarisme ; la séparation religieuse se calque sur la séparation politique entre les deux parties de l'ancien Empire.

Le concile d'Éphèse ne met pas fin aux disputes entre les chrétiens. Les unitariens ne reconnaissent qu'une seule nature au Christ, la nature divine tellement supérieure à la nature humaine qu'elle l'a engloutie. Un nouveau concile œcuménique est convoqué en 451 à Chalcédoine. Celui-ci finit par expliquer que le Christ est à la fois pleinement homme et Dieu. L'unitarisme est condamné. Si cette déclaration satisfait l'Occident, elle suscite beaucoup d'opposition et d'agitation en Orient. En Syrie, l'opposition au concile de Chalcédoine est menée par le patriarche Sévère d'Antioche et l'évêque Philoxère de Mabboug. Au VIe siècle, l'impératrice Théodora soutient les unitariens. Elle fait nommer deux évêques monophysites dont Jacques Baradée, qui occupe le siège d'Édesse de 542 à 578. Il parcourt l'Asie mineure et la Syrie, ordonnant prêtres, diacres, évêques, et constituant ainsi une hiérarchie parallèle qui donne naissance à l'Église syriaque orthodoxe ou « Église jacobite »[4]. Les villes étant fidèles à la théologie officielle de l'Empire byzantin, l'Église syriaque orthodoxe se développe dans les campagnes de la Syrie intérieure et trouve refuge dans les couvents. Ce n'est qu'au VIIe siècle, avec l'invasion arabe, que cette Église peut se développer.

La majorité de la population égyptienne, sauf à Alexandrie, passe à l'unitarisme. Cette adhésion est aussi la marque d'une certaine forme de rejet du pouvoir byzantin. Deux patriarches émergent à Alexandrie : le patriarche de l'Église copte orthodoxe (unitarienne) et celui de de l'Église grecque orthodoxe (chalcédonien)[5]. L'Église d'Arménie finit aussi par rejeter les décisions du concile de Chalcédoine.

L'Église maronite est aussi née des querelles théologiques. Les maronites étaient à l'origine un groupe de pression et d'influence organisé autour du monastère de Mac Haron dans la région de Hama et d'Apamée. Ils soutiennent les décisions du concile de Chalcédoine[5]. Le monastère de Mac Haron, dans son désir de concilier chalcédoniens et anti-chalcédoniens, se fait le partisan du monothélisme. Mais cette théorie est condamnée en 681. Le parti maronite se retrouve donc dans l'opposition. Vers la fin du VIIIe siècle, les moines de Mac Haron élisent leur propre patriarche, officialisant ainsi la rupture avec le monde byzantin[6].

Spécificités des chrétiens d'Orient

Ce qui distingue les chrétiens d'Orient de ceux de rite latin, c'est la langue et les rites liturgiques. Les chrétiens d'Orient syriaques utilisent l'araméen et la traduction syriaque de la Bible, la Peshitta. L'araméen fait encore aujourd'hui l'unité des Églises syriaques malgré les différences institutionnelles[6]. En Égypte, c'est la dernière langue de l'Égypte pharaonique, le copte, qui est la langue liturgique, alors qu'en Éthiopie, c'est le guèze, et en Arménie, une forme classique d'arménien, le grabar. Le déroulement des cérémonies diffère légèrement d'une Église à l'autre. L'Église apostolique d'Orient a le rituel le plus ancien. Il est très proche du rituel juif.

Le rôle des images est également moins important que dans le monde grec, sauf chez les Melkites, marqués par la culture grecque. Les chrétiens d'Orient ne représentent jamais le Christ en croix mais seulement la croix nue, à de rares exceptions. Le Christ n'est figuré que Pantocrator, c'est-à-dire dans sa gloire. Les chrétiens d'Orient ont aussi inventé le monachisme, qui prend parfois des formes extrêmes comme l'érémitisme inventé en Égypte par saint Antoine[6]. En Syrie, le monachisme existe dès le IVe siècle. On y trouve des Stylites, c'est-à-dire des moines perchés sur une colonne dont ils ne descendent jamais, comme Siméon le Stylite, des reclus murés dans une tour, des errants[7].

Aux VIIe et VIIe siècles, la plupart des chrétiens d'Orient passent sous domination musulmane. Cela ne change rien pour les chrétiens de Mésopotamie, habitués à composer avec un pouvoir non chrétien. Ils restent majoritaires dans la région jusqu'à la fin du Moyen Âge. En Syrie, les syriaques sont même plus libres d'organiser leur religion que sous le pouvoir byzantin. Ils déplacent leur patriarcat à Bagdad pour être plus proche du calife. Les patriarches mettent ainsi en place un dialogue avec les autorités, qui dure même sous l'Empire ottoman[7]. Seuls les Melkites, restés fidèles aux rites grecs, sont mécontents de la conquête musulmane. Les chrétiens ont le statut de dhimmis et subissent parfois des persécutions. Ceci et la plus forte pression fiscale qui s'exerce sur eux permettent d'augmenter les conversions à l'islam. En Égypte, les conversions entraînent le développement de l'arabe comme langue vernaculaire aux dépens du copte. Les monastères et les écoles coptes dépérissent. L'Arménie, qui occupe une position marginale par rapport à l'Empire, subit peu de pressions. Après la conquête seldjoukide en 1064, une partie des Arméniens quitte le haut-plateau arménien pour la Cilicie, où est fondée la principauté de Petite-Arménie en 1080[7].

Les chrétiens d'Orient et les Croisades

C'est pour porter secours aux chrétiens d'Orient malmenés par les Turcs Seldjoukides que le pape Urbain II prêche la croisade à l'issue du concile de Clermont. L'idée de « délivrer » Jérusalem n'est venue vraisemblablement qu'après[8]. Lors de la première croisade, les populations chrétiennes aident les croisés. Les chrétiens syriens indiquent la route la plus sûre aux chevaliers latins. Ils les aident lors du siège de Tripoli. Pour éviter les collusions, les musulmans les expulsent de certains cités. Lorsque les États latins d'Orient sont fondés, chrétiens d'Orient et latins cohabitent sans trop de difficultés. Dans les villes, les chrétiens d'Orient exercent des activités diverses. À la campagne, la condition des paysans chrétiens ne change pas. Certains orientaux ont parfois atteint des niveaux supérieurs dans la société franque. On peut noter des chevaliers d'origine arménienne ou syrienne. Les mariages entre latins et orientaux ne sont pas rares. C'est le cas de Baudouin de Boulogne, premier comte franc d'Édesse qui épouse une princesse arménienne, de même que son fils. Les « barons de la montagne » arméniens parviennent même à se faire reconnaitre un statut royal par le pape en 1198[9]. Dans les montagnes libanaises, les seigneurs maronites restent indépendants et servent d'auxiliaires aux troupes franques[10].

Pour les Églises orientales, la domination franque paraît comme un moment plutôt favorable. Ils peuvent restaurer ou reconstruire leurs églises. Les Latins admirent leur piété. Les problèmes se posent surtout entre Grecs et Latins. Les tensions entre les deux Églises sont grandes depuis le schisme de 1054, même si celui-ci ne parait pas encore définitif. Lorsque Bohémond de Tarente s'empare pour son propre compte d'Antioche, le patriarche de la ville part pour Constantinople. Les deux Églises étant encore considérées comme une seule, lorsque les Francs se dotent d'un patriarche, il n'y a pas de place pour les Grecs. Autour des lieux saints, les tensions sont fréquentes entre les différentes communautés[11].

Henri Delaborde, Les chevaliers de Saint-Jean restaurant la religion en Arménie en 1347, 1844.
Au Concile de Sis, le roi Constantin V accepte de se rallier à la foi romaine.

La domination latine sur le Proche-Orient est l'occasion de rapprocher les Églises. En 1179, le patriarche jacobite d'Antioche écrit une réfutation de la doctrine cathare à la demande de son homologue latin et à l'intention du concile du Latran. En 1182, les chrétiens maronites reconnaissent l'autorité de pape. En 1198, un concordat avec le royaume arménien est conclu[12].

La reconquête turque met fin à cette période favorable. En 1144, lors de la prise d'Édesse par Zengi, celui-ci fait preuve de bienveillance en échange de la soumission des chrétiens. Saladin obtient la capitulation de Jérusalem en 1187. Il offre aux chrétiens orientaux de rester ses sujets et de conserver leurs biens. L'hostilité des musulmans à l'égard des chrétiens augmente de nouveau au milieu du XIIIe siècle avec l'arrivée des Mongols. Lorsque ceux-ci prennent Bagdad en 1258, ils massacrent la population en épargnant les chrétiens. En 1256, les Mamelouks, qui ont pris le pouvoir en Égypte, massacrent ou réduisent en esclavage la population chrétienne de Qara, soupçonnée d'aider les Francs. Au fur et à mesure que les places franques tombent, la population chrétienne évacue les villes. Une grande partie se réfugie dans l'île de Chypre[12].

Sous l'Empire ottoman

Les chrétiens dans l'Empire ottoman connaissent des situations diverses. Le sultan tolère les différentes religions mais il recrute de force les jeunes enfants chrétiens pour devenir janissaire ou eunuque. Les garçons ainsi enlevés sont ainsi convertis de force à l'islam.

Situation au XXe siècle

En 1908, les chrétiens s'enthousiasment pour la révolution « jeune-turque ». Mais le nouveau régime professe vite un nationalisme ethnique turc fondé sur l'appartenance à l'islam. Dès 1909, les chrétiens sont victimes d'un premier massacre à Adana. La Première Guerre mondiale accélère le processus des massacres. En 1915 débute le génocide arménien. La même année, les communautés syriaques de Haute-Mésopotamie sont massacrées. La famine s'installe au Liban. Les Chaldéens de la frontière perse sont éliminés[13].

Le sombre tableau du XXe siècle ne doit pas faire oublier le dynamisme des communautés d'Orient. Les chrétiens libanais jouent un rôle important dans la fondation du Liban en 1920, alors que la région était sous mandat français. Lors du concile de Vatican II, les catholiques orientaux jouent un rôle important dans le dialogue avec les orthodoxes et l'islam. En 1974, les chrétiens orientaux créent le Conseil des Églises du Moyen-Orient (CEMO). Il réunit les Églises orthodoxes chalcédoniennes, les Églises coptes, arméniennes et syriennes et les Églises protestantes qui se sont développées en Orient à partir du XIXe siècle. En 1990, les catholiques d'Orient rejoignent le CEMO. Pour la première fois de leur histoire, les Églises d'Orient parlent d'une même voix[14].

Les chrétiens d'Orient aujourd'hui

Combien de chrétiens d'Orient?

Aujourd'hui, les chrétiens d'Orient représentent 4% de la population du Proche- et du Moyen-Orient, soit six millions d'habitants, dont quatre millions de coptes égyptiens[15]. Comme le reste de la population, ils souffrent du manque de démocratie, des difficultés économiques, du sous-développement, de l'emprise de l'Occident et des nombreux conflits. Ils se répartissent ainsi :

  • 500 000 en Israël, soit 8% de la population. Ce sont pour la plupart des émigrés russes dont le nombre augmente ;
  • 54 000 en Palestine, soit 1,5% de la population. Leur nombre décline en raison d'une forte émigration ;
  • 1 400 000 au Liban, soit 40% de la population ;
  • 3 à 4 millions en Égypte, soit 6% la population ;
  • 3 050 000 en Syrie, soit 12% de la population ;

On trouve aussi 6 millions de chrétiens syriaques en Inde dans l'État du Kerala, et 4 millions forment une diaspora aux États-Unis, en Europe et en Australie[16]. Il y a aussi beaucoup de chrétiens non-orientaux au Moyen-Orient, des catholiques latins, des protestants, des évangéliques en Algérie, des Philippins émigrés...

Même s'ils sont regroupés sous une même appellation, les chrétiens d'Orient n'ont pas grand chose à voir les uns avec les autres. Les rites, les langues, les niveaux sociaux sont très divers[17].

Des communautés en pleine mutation

Si beaucoup de chrétiens d'Orient cherchent à émigrer, c'est plus pour fuir la misère que pour sauvegarder leurs croyances[15]. La formation d'États-Nations au XXe siècle a contribué à accentuer le départ des chrétiens d'Orient. La vague la plus récente est celle des Chaldéens d'Irak à la suite des deux guerres que le pays a vécu. Ces chrétiens possèdent déjà un réseau de relations à l'étranger et peuvent obtenir plus facilement des visas. La marginalisation des chrétiens s'est accrue avec l'arrivée des pétrodollars à partir de 1973.

On assiste actuellement à un véritable renouveau religieux chez les chrétiens d'Orient. Le clergé dynamique s'est rajeuni. Les conditions des non-musulmans se sont durcies[18]. Le monachisme, longtemps laissé à l'abandon, est en pleine renaissance. Des couvents sont restaurés et repeuplés, surtout chez les Coptes. Le patrimoine artistique et liturgique est mis en valeur. Le renouveau copte se colore cependant de traditions fondamentalistes[14].

Dans la diaspora, les Églises orientales s'appliquent à conserver un lien social entre les migrants.

Notes et références

  1. a et b Françoise Briquel-Chatonnet, « Tout commence à Édesse », dans L'histoire, no 337 (décembre 2008), p. 43.
  2. Acte, XI, 18-25.
  3. Françoise Briquel-Chatonnet, op. cit., p. 46.
  4. a et b Françoise Briquel-Chatonnet, op. cit., p. 48.
  5. a, b et c Françoise Briquel-Chatonnet, op. cit., p. 49.
  6. a, b et c Françoise Briquel-Chatonnet, op. cit., p. 50.
  7. a, b et c Françoise Briquel-Chatonnet, op. cit., p. 51.
  8. Jean Richard, « Face aux croisés », dans L'histoire, no 337 (décembre 2008), p. 52.
  9. Gérard Dédéyan (dir.), Histoire du peuple arménien, Privat, Toulouse, 2007 (ISBN 978-2-7089-6874-5), p. 343.
  10. Jean Richard, op. cit., p. 53.
  11. Jean Richard, op. cit., p. 54.
  12. a et b Jean Richard, op. cit., p. 55.
  13. Bernard Heyberger, « Le “bon temps” des Ottomans », dans L'histoire, no 337 (décembre 2008), p. 61.
  14. a et b Catherine Mayeur-Jaouen, « Dans la tourmente », dans L'histoire, no 337 (décembre 2008), p. 66.
  15. a et b Catherine Mayeur-Jaouen, op. cit., p. 63.
  16. Catherine Mayeur-Jaouen, op. cit., p. 64-65.
  17. Catherine Mayeur-Jaouen, op. cit., p. 64.
  18. Catherine Mayeur-Jaouen, op. cit., p. 65.

Voir aussi

Liens internes

Bibliographie

  • Jean-Michel Billioud, Jean Maksud, Histoire des chrétiens d'Orient, L'Harmattan, 1995, 251 p. 
  • Claude Lorieux, Chrétiens d'Orient en terres d'islam, Perrin, 2001, 372 p. 
  • Pierre Rondot et Paul Abela, Les Chrétiens du monde arabe : problématiques actuelles et enjeux , Maisonneuve & Larose, 1987, 160 p. 
  • Antoine Sfeir, « Chrétiens d'Orient, et s'ils disparaissaient ? », dans Les cahiers de l'Orient, Bayard, 2009

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Chrétiens d'Orient de Wikipédia en français (auteurs)

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